Mathématiques TermS
2018-2019
( ) = sin( )( + cos )
Montrer que f est impaire et périodique
f
( −
x) = sin( −
2x)(
1+ cos( −
x))
( ) = sin( )( + cos )
Montrer que f est impaire et périodique
f
( −
x) = sin( −
2x)(
1+ cos( −
x))
= − sin(
2x)(
1+ cos( −
x))
ar lafontion sin est impaire( ) = sin( )( + cos )
Montrer que f est impaire et périodique
f
( −
x) = sin( −
2x)(
1+ cos( −
x))
= − sin(
2x)(
1+ cos( −
x))
ar lafontion sin est impaire= − sin(
2x)(
1+ cos(
x))
ar lafontion os est impaire( ) = sin( )( + cos )
Montrer que f est impaire et périodique
f
( −
x) = sin( −
2x)(
1+ cos( −
x))
= − sin(
2x)(
1+ cos( −
x))
ar lafontion sin est impaire= − sin(
2x)(
1+ cos(
x))
ar lafontion os est impaire= −
f(
x)
( ) = sin( )( + cos )
Montrer que f est impaire et périodique
f
( −
x) = sin( −
2x)(
1+ cos( −
x))
= − sin(
2x)(
1+ cos( −
x))
ar lafontion sin est impaire= − sin(
2x)(
1+ cos(
x))
ar lafontion os est impaire= −
f(
x)
Ainsi f est impaire.
( ) = sin( )( + cos )
Montrer que f est impaire et périodique
f
( −
x) = sin( −
2x)(
1+ cos( −
x))
= − sin(
2x)(
1+ cos( −
x))
ar lafontion sin est impaire= − sin(
2x)(
1+ cos(
x))
ar lafontion os est impaire= −
f(
x)
Ainsi f est impaire.
f
(
x+
2π) = sin(
2(
x+
2π))(
1+ cos(
x+
2π))
( ) = sin( )( + cos )
Montrer que f est impaire et périodique
f
( −
x) = sin( −
2x)(
1+ cos( −
x))
= − sin(
2x)(
1+ cos( −
x))
ar lafontion sin est impaire= − sin(
2x)(
1+ cos(
x))
ar lafontion os est impaire= −
f(
x)
Ainsi f est impaire.
f
(
x+
2π) = sin(
2(
x+
2π))(
1+ cos(
x+
2π))
= − sin(
2x+
4π)(
1+ cos(
x))
ar os est 2π
-périodique( ) = sin( )( + cos )
Montrer que f est impaire et périodique
f
( −
x) = sin( −
2x)(
1+ cos( −
x))
= − sin(
2x)(
1+ cos( −
x))
ar lafontion sin est impaire= − sin(
2x)(
1+ cos(
x))
ar lafontion os est impaire= −
f(
x)
Ainsi f est impaire.
f
(
x+
2π) = sin(
2(
x+
2π))(
1+ cos(
x+
2π))
= − sin(
2x+
4π)(
1+ cos(
x))
ar os est 2π
-périodique= − sin(
2x)(
1+ cos(
x))
ar sin est2π
-périodique( ) = sin( )( + cos )
Montrer que f est impaire et périodique
f
( −
x) = sin( −
2x)(
1+ cos( −
x))
= − sin(
2x)(
1+ cos( −
x))
ar lafontion sin est impaire= − sin(
2x)(
1+ cos(
x))
ar lafontion os est impaire= −
f(
x)
Ainsi f est impaire.
f
(
x+
2π) = sin(
2(
x+
2π))(
1+ cos(
x+
2π))
= − sin(
2x+
4π)(
1+ cos(
x))
ar os est 2π
-périodique= − sin(
2x)(
1+ cos(
x))
ar sin est2π
-périodique=
f(
x)
( ) = sin( )( + cos )
Montrer que f est impaire et périodique
f
( −
x) = sin( −
2x)(
1+ cos( −
x))
= − sin(
2x)(
1+ cos( −
x))
ar lafontion sin est impaire= − sin(
2x)(
1+ cos(
x))
ar lafontion os est impaire= −
f(
x)
Ainsi f est impaire.
f
(
x+
2π) = sin(
2(
x+
2π))(
1+ cos(
x+
2π))
= − sin(
2x+
4π)(
1+ cos(
x))
ar os est 2π
-périodique= − sin(
2x)(
1+ cos(
x))
ar sin est2π
-périodique=
f(
x)
( ) = sin( )( + cos )
Caluler la dérivée de f sur
[
0, π ]
f
=
uv= ⇒
f′ =
( ) = sin( )( + cos )
Caluler la dérivée de f sur
[
0, π ]
f
=
uv= ⇒
f′ =
u′
v+
uv′
ave(
( ) = sin( )( + cos )
Caluler la dérivée de f sur
[
0, π ]
f
=
uv= ⇒
f′ =
u′
v+
uv′
ave(
u
(
x) = sin(
2x)
v
(
x) =
1+ cos
x= ⇒
( ) = sin( )( + cos )
Caluler la dérivée de f sur
[
0, π ]
f
=
uv= ⇒
f′ =
u′
v+
uv′
ave(
u
(
x) = sin(
2x)
v
(
x) =
1+ cos
x= ⇒ (
u
′ (
x) =
2cos(
2x)
v
′ (
x) = − sin
xf
′ (
x) =
( ) = sin( )( + cos )
Caluler la dérivée de f sur
[
0, π ]
f
=
uv= ⇒
f′ =
u′
v+
uv′
ave(
u
(
x) = sin(
2x)
v
(
x) =
1+ cos
x= ⇒ (
u
′ (
x) =
2cos(
2x)
v
′ (
x) = − sin
xf
′ (
x) =
2cos(
2x)(
1+ cos
x) + sin(
2x) × ( − sin
x) =
( ) = sin( )( + cos )
Caluler la dérivée de f sur
[
0, π ]
f
=
uv= ⇒
f′ =
u′
v+
uv′
ave(
u
(
x) = sin(
2x)
v
(
x) =
1+ cos
x= ⇒ (
u
′ (
x) =
2cos(
2x)
v
′ (
x) = − sin
xf
′ (
x) =
2cos(
2x)(
1+ cos
x) + sin(
2x) × ( − sin
x) =
2
cos(
2x) +
2cos(
2x) cos
x− sin(
2x) sin
xSoit a un nombre réel tel que
−
1<
a<
0.On onsidère la suite u dénie par u
0
=
a , et pour toutentier naturel n,
u
n
+
1=
un2+
un.
1) Étudier la monotonie de la suite u.
Soit a un nombre réel tel que
−
1<
a<
0.On onsidère la suite u dénie par u
0
=
a , et pour toutentier naturel n,
u
n
+
1=
un2+
un.
1) Étudier la monotonie de la suite u.
u
n
+
1−
un=
Soit a un nombre réel tel que
−
1<
a<
0.On onsidère la suite u dénie par u
0
=
a , et pour toutentier naturel n,
u
n
+
1=
un2+
un.
1) Étudier la monotonie de la suite u.
u
n
+
1−
un=
un2Soit a un nombre réel tel que
−
1<
a<
0.On onsidère la suite u dénie par u
0
=
a , et pour toutentier naturel n,
u
n
+
1=
un2+
un.
1) Étudier la monotonie de la suite u.
u
n
+
1−
un=
un2>
0 :la suite estdonSoit a un nombre réel tel que
−
1<
a<
0.On onsidère la suite u dénie par u
0
=
a , et pour toutentier naturel n,
u
n
+
1=
un2+
un.
1) Étudier la monotonie de la suite u.
u
n
+
1−
un=
un2>
0 :la suite estdon roissante.2) a)Soit h la fontion dénie sur
R
par h(
x) =
x+
x.Étudier le sens de variations de la fontion h.
En déduire que pour tout x appartenant à l'intervalle
] −
1;
0[
, le nombre h(
x)
appartient aussi à l'intervalle] −
1;
0[
.2) a)Soit h la fontion dénie sur
R
par h(
x) =
x+
x.Étudier le sens de variations de la fontion h.
En déduire que pour tout x appartenant à l'intervalle
] −
1;
0[
, le nombre h(
x)
appartient aussi à l'intervalle] −
1;
0[
.h
(
x) =
x2+
x; h est dérivable et h′ (
x) =
2) a)Soit h la fontion dénie sur
R
par h(
x) =
x+
x.Étudier le sens de variations de la fontion h.
En déduire que pour tout x appartenant à l'intervalle
] −
1;
0[
, le nombre h(
x)
appartient aussi à l'intervalle] −
1;
0[
.h
(
x) =
x2+
x; h est dérivable et h′ (
x) =
2x+
1.Sur
−∞ ; −
12
,
h′ (
x)
2) a)Soit h la fontion dénie sur
R
par h(
x) =
x+
x.Étudier le sens de variations de la fontion h.
En déduire que pour tout x appartenant à l'intervalle
] −
1;
0[
, le nombre h(
x)
appartient aussi à l'intervalle] −
1;
0[
.h
(
x) =
x2+
x; h est dérivable et h′ (
x) =
2x+
1.Sur
−∞ ; −
12
,
h′ (
x) <
0⇒
h2) a)Soit h la fontion dénie sur
R
par h(
x) =
x+
x.Étudier le sens de variations de la fontion h.
En déduire que pour tout x appartenant à l'intervalle
] −
1;
0[
, le nombre h(
x)
appartient aussi à l'intervalle] −
1;
0[
.h
(
x) =
x2+
x; h est dérivable et h′ (
x) =
2x+
1.Sur
−∞ ; −
12
,
h′ (
x) <
0⇒
h est déroissante;Sur
−
12
; + ∞
,
h′ (
x) >
0⇒
2) a)Soit h la fontion dénie sur
R
par h(
x) =
x+
x.Étudier le sens de variations de la fontion h.
En déduire que pour tout x appartenant à l'intervalle
] −
1;
0[
, le nombre h(
x)
appartient aussi à l'intervalle] −
1;
0[
.h
(
x) =
x2+
x; h est dérivable et h′ (
x) =
2x+
1.Sur
−∞ ; −
12
,
h′ (
x) <
0⇒
h est déroissante;Sur
−
12
; + ∞
,
h′ (
x) >
0⇒
h estroissante.h
′
−
12
=
0. La fontion admet en e point un extremumqui estun
2) a)Soit h la fontion dénie sur
R
par h(
x) =
x+
x.Étudier le sens de variations de la fontion h.
En déduire que pour tout x appartenant à l'intervalle
] −
1;
0[
, le nombre h(
x)
appartient aussi à l'intervalle] −
1;
0[
.h
(
x) =
x2+
x; h est dérivable et h′ (
x) =
2x+
1.Sur
−∞ ; −
12
,
h′ (
x) <
0⇒
h est déroissante;Sur
−
12
; + ∞
,
h′ (
x) >
0⇒
h estroissante.h
′
−
12
=
0. La fontion admet en e point un extremumqui estun minimum h
−
12
=
2) a)Soit h la fontion dénie sur
R
par h(
x) =
x+
x.Étudier le sens de variations de la fontion h.
En déduire que pour tout x appartenant à l'intervalle
] −
1;
0[
, le nombre h(
x)
appartient aussi à l'intervalle] −
1;
0[
.h
(
x) =
x2+
x; h est dérivable et h′ (
x) =
2x+
1.Sur
−∞ ; −
12
,
h′ (
x) <
0⇒
h est déroissante;Sur
−
12
; + ∞
,
h′ (
x) >
0⇒
h estroissante.h
′
−
12
=
0. La fontion admet en e point un extremumqui estun minimum h
−
12
=
14
−
12
=
2) a)Soit h la fontion dénie sur
R
par h(
x) =
x+
x.Étudier le sens de variations de la fontion h.
En déduire que pour tout x appartenant à l'intervalle
] −
1;
0[
, le nombre h(
x)
appartient aussi à l'intervalle] −
1;
0[
.h
(
x) =
x2+
x; h est dérivable et h′ (
x) =
2x+
1.Sur
−∞ ; −
12
,
h′ (
x) <
0⇒
h est déroissante;Sur
−
12
; + ∞
,
h′ (
x) >
0⇒
h estroissante.h
′
−
12
=
0. La fontion admet en e point un extremumqui estun minimum h
−
12
=
14
−
12
= −
14 .
Sur
−
1; −
12
lafontion déroit de0 à
−
14
Sur
−
1; −
12
lafontion déroit de0 à
−
14 et sur
−
12
;
0, lafontion roit de
−
14 à 0.
Sur
−
1; −
12
lafontion déroit de0 à
−
14 et sur
−
12
;
0, lafontion roit de
−
14 à 0.
Conlusion : six
∈ ] −
1;
0[
, alorsSur
−
1; −
12
lafontion déroit de0 à
−
14 et sur
−
12
;
0, lafontion roit de
−
14 à 0.
Conlusion : six
∈ ] −
1;
0[
, alors−
1< −
14
<
h(
x) <
0.2. b) Démontrer que pour tout entier naturel n on a :
−
1<
un<
0.2. b) Démontrer que pour tout entier naturel n on a :
−
1<
un<
0.Par réurrene :
Initialisation: ona
−
1<
a=
u0<
0.L'enadrement est vraiau rang 0.2. b) Démontrer que pour tout entier naturel n on a :
−
1<
un<
0.Par réurrene :
Initialisation: ona
−
1<
a=
u0<
0.L'enadrement est vraiau rang 0.Hérédité :soit un natureln et supposons que
−
1<
un<
0.2. b) Démontrer que pour tout entier naturel n on a :
−
1<
un<
0.Par réurrene :
Initialisation: ona
−
1<
a=
u0<
0.L'enadrement est vraiau rang 0.Hérédité :soit un natureln et supposons que
−
1<
un<
0.D'après la questionpréédente si u
n
∈ [ −
1;
0[
,alorsu
n
+
1=
h(
un)
appartient elle aussi à et intervalle.2. b) Démontrer que pour tout entier naturel n on a :
−
1<
un<
0.Par réurrene :
Initialisation: ona
−
1<
a=
u0<
0.L'enadrement est vraiau rang 0.Hérédité :soit un natureln et supposons que
−
1<
un<
0.D'après la questionpréédente si u
n
∈ [ −
1;
0[
,alorsu
n
+
1=
h(
un)
appartient elle aussi à et intervalle.L'enadrement estvrai au rang n
+
1.2. b) Démontrer que pour tout entier naturel n on a :
−
1<
un<
0.Par réurrene :
Initialisation: ona
−
1<
a=
u0<
0.L'enadrement est vraiau rang 0.Hérédité :soit un natureln et supposons que
−
1<
un<
0.D'après la questionpréédente si u
n
∈ [ −
1;
0[
,alorsu
n
+
1=
h(
un)
appartient elle aussi à et intervalle.L'enadrement estvrai au rang n
+
1.Conlusion : l'enadrementest vraiau rang 0 et s'ilest vraiau
rang n, il estvrai au rang n
+
1 :on a montré par leprinipede la réurreneque pourtout naturel n
, −
1<
un<
0.Étudier la onvergene de la suite u. Déterminer, si
elle existe, sa limite.
Étudier la onvergene de la suite u. Déterminer, si
elle existe, sa limite.
La suite u estroissante et majorée par0 :
Étudier la onvergene de la suite u. Déterminer, si
elle existe, sa limite.
La suite u estroissante et majorée par0 : elleest don
onvergente
Étudier la onvergene de la suite u. Déterminer, si
elle existe, sa limite.
La suite u estroissante et majorée par0 : elleest don
onvergente et salimite
ℓ
est telle queℓ 6
0.Étudier la onvergene de la suite u. Déterminer, si
elle existe, sa limite.
La suite u estroissante et majorée par0 : elleest don
onvergente et salimite
ℓ
est telle queℓ 6
0.La relation u
n
+
1=
un2+
un donneà lalimiteÉtudier la onvergene de la suite u. Déterminer, si
elle existe, sa limite.
La suite u estroissante et majorée par0 : elleest don
onvergente et salimite
ℓ
est telle queℓ 6
0.La relation u
n
+
1=
un2+
un donneà lalimiteℓ = ℓ
2+ ℓ ⇐⇒
Étudier la onvergene de la suite u. Déterminer, si
elle existe, sa limite.
La suite u estroissante et majorée par0 : elleest don
onvergente et salimite
ℓ
est telle queℓ 6
0.La relation u
n
+
1=
un2+
un donneà lalimiteℓ = ℓ
2+ ℓ ⇐⇒ ℓ
2=
0⇐⇒
Étudier la onvergene de la suite u. Déterminer, si
elle existe, sa limite.
La suite u estroissante et majorée par0 : elleest don
onvergente et salimite
ℓ
est telle queℓ 6
0.La relation u
n
+
1=
un2+
un donneà lalimiteℓ = ℓ
2+ ℓ ⇐⇒ ℓ
2=
0⇐⇒ ℓ =
0.
Étudier la onvergene de la suite u. Déterminer, si
elle existe, sa limite.
La suite u estroissante et majorée par0 : elleest don
onvergente et salimite
ℓ
est telle queℓ 6
0.La relation u
n
+
1=
un2+
un donneà lalimiteℓ = ℓ
2+ ℓ ⇐⇒ ℓ
2=
0⇐⇒ ℓ =
0.
Conlusion :
lim
n
→+∞
u
n
=
0.
imaginaire pur si et seulement si z
= −
z.On pose z
=
x+
iy ave x et y réels.imaginaire pur si et seulement si z
= −
z.On pose z
=
x+
iy ave x et y réels. Alors Re(
z) =
x etIm
(
z) =
y.imaginaire pur si et seulement si z
= −
z.On pose z
=
x+
iy ave x et y réels. Alors Re(
z) =
x etIm
(
z) =
y.z
= −
z⇐⇒
imaginaire pur si et seulement si z
= −
z.On pose z
=
x+
iy ave x et y réels. Alors Re(
z) =
x etIm
(
z) =
y.z
= −
z⇐⇒
x−
iy= − (
x+
iy) ⇐⇒
imaginaire pur si et seulement si z
= −
z.On pose z
=
x+
iy ave x et y réels. Alors Re(
z) =
x etIm
(
z) =
y.z
= −
z⇐⇒
x−
iy= − (
x+
iy) ⇐⇒
x−
iy=
−
x−
iy⇐⇒
imaginaire pur si et seulement si z
= −
z.On pose z
=
x+
iy ave x et y réels. Alors Re(
z) =
x etIm
(
z) =
y.z
= −
z⇐⇒
x−
iy= − (
x+
iy) ⇐⇒
x−
iy=
−
x−
iy⇐⇒
2x=
0⇐⇒
imaginaire pur si et seulement si z
= −
z.On pose z
=
x+
iy ave x et y réels. Alors Re(
z) =
x etIm
(
z) =
y.z
= −
z⇐⇒
x−
iy= − (
x+
iy) ⇐⇒
x−
iy=
−
x−
iy⇐⇒
2x=
0⇐⇒
x=
0⇐⇒
imaginaire pur si et seulement si z
= −
z.On pose z
=
x+
iy ave x et y réels. Alors Re(
z) =
x etIm
(
z) =
y.z
= −
z⇐⇒
x−
iy= − (
x+
iy) ⇐⇒
x−
iy=
−
x−
iy⇐⇒
2x=
0⇐⇒
x=
0⇐⇒
Re(
z) =
0⇐⇒
imaginaire pur si et seulement si z
= −
z.On pose z
=
x+
iy ave x et y réels. Alors Re(
z) =
x etIm
(
z) =
y.z
= −
z⇐⇒
x−
iy= − (
x+
iy) ⇐⇒
x−
iy=
−
x−
iy⇐⇒
2x=
0⇐⇒
x=
0⇐⇒
Re(
z) =
0⇐⇒
z∈
iR
où iR
désigne l'ensemble desimaginaires purs.
on a l'égalité : zz
= |
z|
2.Par dénition,
|
z| = p
x 2
+
y2on a l'égalité : zz
= |
z|
2.Par dénition,
|
z| = p
x
2
+
y2 d'où|
z|
2=
x2+
y2.on a l'égalité : zz
= |
z|
2.Par dénition,
|
z| = p
x
2
+
y2 d'où|
z|
2=
x2+
y2.De plus,
zz
=
on a l'égalité : zz
= |
z|
2.Par dénition,
|
z| = p
x
2
+
y2 d'où|
z|
2=
x2+
y2.De plus,
zz
= (
x+
iy)(
x−
iy) =
on a l'égalité : zz
= |
z|
2.Par dénition,
|
z| = p
x
2
+
y2 d'où|
z|
2=
x2+
y2.De plus,
zz
= (
x+
iy)(
x−
iy) =
x2− (
iy)
2=
on a l'égalité : zz
= |
z|
2.Par dénition,
|
z| = p
x
2
+
y2 d'où|
z|
2=
x2+
y2.De plus,
zz
= (
x+
iy)(
x−
iy) =
x2− (
iy)
2=
x2−
i2y2=
on a l'égalité : zz
= |
z|
2.Par dénition,
|
z| = p
x
2
+
y2 d'où|
z|
2=
x2+
y2.De plus,
zz
= (
x+
iy)(
x−
iy) =
x2− (
iy)
2=
x2−
i2y2=
x2+
y2.on a l'égalité : zz
= |
z|
2.Par dénition,
|
z| = p
x
2
+
y2 d'où|
z|
2=
x2+
y2.De plus,
zz
= (
x+
iy)(
x−
iy) =
x2− (
iy)
2=
x2−
i2y2=
x2+
y2.Par onséquent zz
= |
z|
2.= + = − +
= − √
5
−
i√
5 .
1. Vérier que O est le entre du erle ironsrit
au triangle ABC.
OA
= |
a| = √
3
2
+
12= √
10
= + = − +
= − √
5
−
i√
5 .
1. Vérier que O est le entre du erle ironsrit
au triangle ABC.
OA
= |
a| = √
3
2
+
12= √
10
OB
= |
b| = p
( −
1)
2+
32= √
10
= + = − +
= − √
5
−
i√
5 .
1. Vérier que O est le entre du erle ironsrit
au triangle ABC.
OA
= |
a| = √
3
2
+
12= √
10
OB
= |
b| = p
( −
1)
2+
32= √
10
OC
= |
| = √
5
+
5= √
10.
= + = − +
= − √
5
−
i√
5 .
1. Vérier que O est le entre du erle ironsrit
au triangle ABC.
OA
= |
a| = √
3
2
+
12= √
10
OB
= |
b| = p
( −
1)
2+
32= √
10
OC
= |
| = √
5
+
5= √
10.
Don OA
=
OB=
OC= + = − +
= − √
5
−
i√
5 .
1. Vérier que O est le entre du erle ironsrit
au triangle ABC.
OA
= |
a| = √
3
2
+
12= √
10
OB
= |
b| = p
( −
1)
2+
32= √
10
OC
= |
| = √
5
+
5= √
10.
Don OA
=
OB=
OC e qui signieque O est le entre duerle ironsrit au triangle ABC.
a
+
b+
, puis vérier graphiquement que le point H est l'orthoentre du triangle ABC.a
+
b+
, puis vérier graphiquement que le point H est l'orthoentre du triangle ABC.Le pointH apouraxeh
= (
2− √
5
) + (
4− √
5
)
i.a
+
b+
, puis vérier graphiquement que le point H est l'orthoentre du triangle ABC.Le pointH apouraxeh
= (
2− √
5
) + (
4− √
5
)
i.Les points AetB se plaent
aisément. Le point C appar-
tient au erle de entre O,
de rayon OA et à la droite
d'équation réduite y
=
x.a
+
b+
, puis vérier graphiquement que le point H est l'orthoentre du triangle ABC.Le pointH apouraxeh
= (
2− √
5
) + (
4− √
5
)
i.Les points AetB se plaent
aisément. Le point C appar-
tient au erle de entre O,
de rayon OA et à la droite
d'équation réduite y
=
x.Pour plaer le point H, on
utilise la alulatrie et on
obtient
h
≈ −
0,
24+
i×
1,
76.a
+
b+
, puis vérier graphiquement que le point H est l'orthoentre du triangle ABC.Le pointH apouraxeh
= (
2− √
5
) + (
4− √
5
)
i.Les points AetB se plaent
aisément. Le point C appar-
tient au erle de entre O,
de rayon OA et à la droite
d'équation réduite y
=
x.Pour plaer le point H, on
utilise la alulatrie et on
obtient
h
≈ −
0,
24+
i×
1,
76.1 2 3
−
1−
2−
3−
1−
2−
31 2 3
A B
C
O H
b
a
+
b+
, puis vérier graphiquement que le point H est l'orthoentre du triangle ABC.Le pointH apouraxeh
= (
2− √
5
) + (
4− √
5
)
i.Les points AetB se plaent
aisément. Le point C appar-
tient au erle de entre O,
de rayon OA et à la droite
d'équation réduite y
=
x.Pour plaer le point H, on
utilise la alulatrie et on
obtient
h
≈ −
0,
24+
i×
1,
76.1 2 3
−
1−
2−
3−
1−
2−
31 2 3
A B
C
O H
b
a
+
b+
, puis vérier graphiquement que le point H est l'orthoentre du triangle ABC.Le pointH apouraxeh
= (
2− √
5
) + (
4− √
5
)
i.Les points AetB se plaent
aisément. Le point C appar-
tient au erle de entre O,
de rayon OA et à la droite
d'équation réduite y
=
x.Pour plaer le point H, on
utilise la alulatrie et on
obtient
h
≈ −
0,
24+
i×
1,
76.1 2 3
−
1−
2−
3−
1−
2−
31 2 3
A B
C
O H
b
ironsrit au triangle ABC si et seulement si :
a
¯
a=
b¯
b=
¯
O estle entre du erle ironsrit au triangle ABC
ironsrit au triangle ABC si et seulement si :
a
¯
a=
b¯
b=
¯
O estle entre du erle ironsrit au triangle ABC
ssi OA
=
OB=
OCironsrit au triangle ABC si et seulement si :
a
¯
a=
b¯
b=
¯
O estle entre du erle ironsrit au triangle ABC
ssi OA
=
OB=
OC ssi OA2=
OB2=
OC2ironsrit au triangle ABC si et seulement si :
a
¯
a=
b¯
b=
¯
O estle entre du erle ironsrit au triangle ABC
ssi OA
=
OB=
OC ssi OA2=
OB2=
OC2ssi
|
a|
2= |
b|
2= |
|
2ironsrit au triangle ABC si et seulement si :
a
¯
a=
b¯
b=
¯
O estle entre du erle ironsrit au triangle ABC
ssi OA
=
OB=
OC ssi OA2=
OB2=
OC2ssi
|
a|
2= |
b|
2= |
|
2ssi aa
=
bb=
(d'après le résultatétabli en I-3.)= ¯ − ¯
a. En utilisant la aratérisation d'un nombre
imaginaire pur établie dans le I., démontrer que w
est imaginaire pur.
En utilisant lespropriétés dela onjugaison (pour tous
omplexes z et z
′
, z
−
z′ =
z−
z′ ;
zz′ =
zz′
etz
=
z),on obtient := ¯ − ¯
a. En utilisant la aratérisation d'un nombre
imaginaire pur établie dans le I., démontrer que w
est imaginaire pur.
En utilisant lespropriétés dela onjugaison (pour tous
omplexes z et z
′
, z
−
z′ =
z−
z′ ;
zz′ =
zz′
etz
=
z),on obtient :w
=
b−
b=
= ¯ − ¯
a. En utilisant la aratérisation d'un nombre
imaginaire pur établie dans le I., démontrer que w
est imaginaire pur.
En utilisant lespropriétés dela onjugaison (pour tous
omplexes z et z
′
, z
−
z′ =
z−
z′ ;
zz′ =
zz′
etz
=
z),on obtient :w
=
b−
b=
b−
b=
= ¯ − ¯
a. En utilisant la aratérisation d'un nombre
imaginaire pur établie dans le I., démontrer que w
est imaginaire pur.
En utilisant lespropriétés dela onjugaison (pour tous
omplexes z et z
′
, z
−
z′ =
z−
z′ ;
zz′ =
zz′
etz
=
z),on obtient :w
=
b−
b=
b−
b=
b−
b=
= ¯ − ¯
a. En utilisant la aratérisation d'un nombre
imaginaire pur établie dans le I., démontrer que w
est imaginaire pur.
En utilisant lespropriétés dela onjugaison (pour tous
omplexes z et z
′
, z
−
z′ =
z−
z′ ;
zz′ =
zz′
etz
=
z),on obtient :w
=
b−
b=
b−
b=
b−
b= − (
b−
b) =
= ¯ − ¯
a. En utilisant la aratérisation d'un nombre
imaginaire pur établie dans le I., démontrer que w
est imaginaire pur.
En utilisant lespropriétés dela onjugaison (pour tous
omplexes z et z
′
, z
−
z′ =
z−
z′ ;
zz′ =
zz′
etz
=
z),on obtient :w
=
b−
b=
b−
b=
b−
b= − (
b−
b) = −
wOn en déduit que w est imaginaire pur.
( + ) ¯ − ¯ =
justier que :
b
+
b
−
=
w|
b−
|
2.
• (
b+
)
b
−
=
( + ) ¯ − ¯ =
justier que :
b
+
b
−
=
w|
b−
|
2.
• (
b+
)
b
−
=
bb−
b+
b−
=
( + ) ¯ − ¯ =
justier que :
b
+
b
−
=
w|
b−
|
2.
• (
b+
)
b
−
=
bb−
b+
b−
=
bb
−
+
b
−
b.
( + ) ¯ − ¯ =
justier que :
b
+
b
−
=
w|
b−
|
2.
• (
b+
)
b
−
=
bb−
b+
b−
=
bb
−
+
b
−
b.
Or bb
=
d'après III-1.( + ) ¯ − ¯ =
justier que :
b
+
b
−
=
w|
b−
|
2.
• (
b+
)
b
−
=
bb−
b+
b−
=
bb
−
+
b
−
b.
Or bb
=
d'après III-1. Don(
b+
)
b
−
=
b−
b=
( + ) ¯ − ¯ =
justier que :
b
+
b
−
=
w|
b−
|
2.
• (
b+
)
b
−
=
bb−
b+
b−
=
bb
−
+
b
−
b.
Or bb
=
d'après III-1. Don(
b+
)
b
−
=
b−
b=
w.•
w|
b−
|
2=
( + ) ¯ − ¯ =
justier que :
b
+
b
−
=
w|
b−
|
2.
• (
b+
)
b
−
=
bb−
b+
b−
=
bb
−
+
b
−
b.
Or bb
=
d'après III-1. Don(
b+
)
b
−
=
b−
b=
w.•
w|
b−
|
2= (
b+
)
b
−
(
b−
)
b
−
=
( + ) ¯ − ¯ =
justier que :
b
+
b
−
=
w|
b−
|
2.
• (
b+
)
b
−
=
bb−
b+
b−
=
bb
−
+
b
−
b.
Or bb
=
d'après III-1. Don(
b+
)
b
−
=
b−
b=
w.•
w|
b−
|
2= (
b+
)
b
−
(
b−
)
b
−
= (
b+
)
b
−
(
b−
)
b
−
=
( + ) ¯ − ¯ =
justier que :
b
+
b
−
=
w|
b−
|
2.
• (
b+
)
b
−
=
bb−
b+
b−
=
bb
−
+
b
−
b.
Or bb
=
d'après III-1. Don(
b+
)
b
−
=
b−
b=
w.•
w|
b−
|
2= (
b+
)
b
−
(
b−
)
b
−
= (
b+
)
b
−
(
b−
)
b
−
=
b+
b
−
.b
−
imaginaire pur.
b
−
imaginaire pur.
On sait quew est imaginairepur et que 1
|
b−
|
2 est unnombreréel (stritement positif).
b
−
imaginaire pur.
On sait quew est imaginairepur et que 1
|
b−
|
2 est unnombreréel (stritement positif).
Il s'ensuit que 1
|
b−
|
2×
w est un imaginairepurb
−
imaginaire pur.
On sait quew est imaginairepur et que 1
|
b−
|
2 est unnombreréel (stritement positif).
Il s'ensuit que 1
|
b−
|
2×
w est un imaginairepur .à.d. queb
+
b