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Bureaux : rue de la Serre, 58. Quarante-deuxième Année — si- 93.

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La Chaux-de-Fonds, Samedi 26 Novembre 1927.

Bureaux : rue de la Serre, 58. Quarante-deuxième Année — si- 93.

M ÏMRTON

S U I S S E

ORGHME DE LB CHRMBRE SUISSE DE L'HORLOGERIE, DES CHAMBRES DE COMMERCE, DE5 BURErUlJC DE CONTROLE, DES ASSOCIATIONS PRTRONRLES

~~**** *********** ET DE L'INFORMATION HORLOGÈRE SUISSE i ***********

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Contre le chômage

On sait assez que les causes du chômage jont multiples : L e régime de concurrence qui prévaut entre les diverses entreprises, sur le plan national et

sur le plan international — et qu'on ne supprimerait, soit dit entre parenthèse, qu'au prix de maux infi- niment plus considérables. L'écart entre les quan- tités produites de chaque « richesse » — au ;ens économique du mot — et la quantité indispen- sable, en fait, aux besoins changeants de la clien- tèle. Sans doute, le chômage né de la concurrence se corrige à la longue, puisque les ouvriers congé- diés (ceux des entreprises qui périclitent) s'engagent dans des maisons prospères. Sans doute aussi, l'é- cart de la production et de la consommation se ré- sout, à la longue, par le jeu de l'offre et de la demande. Il n'en reste pas moins que ces deux cir- constances, difficilement évitables, engendrent un chômage plus ou moins douloureux. Il est, enfin, n i e troisième cause de chômage, moins connue, .nais tout aussi active: l'étroite coïncidence entre les alternances de hausse et de baisse des prix et la stabilité de l'emploi. E n d'autres termes, il existe un lien étroit entre la stabilité plus ou moins cer- taine de la monnaie, et celle de l'emploi. Ce lien, un économiste d'esprit clair, et qui s'exprime >our être compris de chacun, M . Henri Fuss, chef du service du chômage au Bureau international du Travail, l'a mis en lumière dans une étude dont nos lecteurs trouveront ici l'essentiel, avec les commen- taires qu'elle appelle. O n la ht dans la Revue Inter- nationale du Travail, numéro de novembre.

*

Lorsque les moyens de paiement — la monnaie, quelle soit de papier ou de métal, et les divers instruments fiduciaires semblent aller plus vite

FEUILLETON

que la production, il se crée partout l'illusion de la richesse. L a demande des consommateurs en est stimulée, en même tempj que. l'ardeur des produc- teurs. C'est ce qui s'est produit dans les derniers temps de la guerre, au début d'une inflation moné- taire quasi universelle. Au contraire, l'insuffisance des moyens de paiement crée l'illusion de la pau- vreté, développe le pessimisme, ralentit la demande, décourage la production. C'est ce qui s'est produit dans la seconde période de l'inflation, alors que, le prix des denrées indispensables s'étant élevé formidablement, il n'est rien resté au consommateur étranger pour l'achat, en monnaie saine, des biens moins urgents — les montres, pour parler de ce qui nous occupe. Surtout c'est ce qui se pro- duit dans les périodes de déflation où, pour soutenir une monnaie rétablie, force est aux Etats de restreindre les moyens de paiement. O n le voit assez dans la plupart des pays qui nous entourent, lesquels ont reconstitué leur santé monétaire, ou (éont en voie d'y procéder. A l'intérieur et au dehors, par un contre-coup naturel, ces opérations de re- dressement monétaire provoquent des troubles éco- nomiques traduits fatalement par un chômage plus ou moins accusé.

O r , M . Fuss s'est préoccupé de retrouver, dans les mouvements monétaires les plus récents, la preu- ve de cette relation entre le mouvement des prix et celui de l'emploi. Aux Etats-Unis, il a constaté, depuis 1903, ce parallélisme entre la baisse générale des prix et l'accroissement du chômage, entre la hausse générale des prix et la diminution du chô- mage. Si, depuis 1923, les variations du niveau général des prix se sont, aux Etats-Unis, accentuées beaucoup moins que dans la période précédente, fious le devons à la sage politique des « Federal Re- serve Banks », qui s'efforcent, comme on sait, par le contrôle du crédit, de maintenir un parallélisme à peu près exact entre le développement des instru-

ments de paiement et celui de la production. L e maintien de nos exportations d'horlogerie aux Etats- Unis est dû, pour une large part, à cette sage poli- tique des banques.

Sans nous arrêter à l'exemple des autres pays, qui confirme presque unanimement la thèse de notre auteur, rappelons qu'en Suisse, de même, le niveau des prix a suivi fidèlement le mouvement de baisse américain depuis le début de 1925 (indice 170,8) jusqu'au début de 1927 (indice 145,4). Simultané- ment, le chômage a légèrement augmenté: 11500 de- mandeurs d'emploi inscrits à fin 1924, 17000 à lin 1925 et 18000 à fin 1926. Depuis janvier 1927, les prix ont légèrement augmenté et le pourcen- tage des chômeurs complets ou partiels dénombrés par les caisses d'assurance-chômage (nouvelle sé- rie statistique) est tombé de 5,8 en janvier 1927 à 3,3 en juin dernier, contre 6,1 en juin 1926.

** *

Morat, siège horloger a u XVHI

m e

siècle

par Marins /allai. Tous droits réserves.

1.

Eu 1773, l'Encyclopédie d'Yverdon portait sur ia ville de Morat le jugement que voici: «Cette ville languit; elle est presque déserte. Peut-être parce que les revenus publics sont trop considérables et favorisent l'indolence ».

L'auteur de l'Encyclopédie, de Félice, devait s'y connaître, car vers 1760 un sien parent était à Morat, médecin de la Ville et un autre de Félice y faisait le commerce des cotons.

Il y avait, en effet, une grande part de vérité dans ce tableau peu flatteur. Il est certain, que tout le long du XVIIIe siècle, les bourgeois de Morat ne firent preuve d'aucune espèce d'initiative. Comme la Communauté était très riche, ils se contentèrent de vivre essentiellement des deniers publics. Dès l'année 1656, ils décidèrent de n'accepter de nouveaux bour- geois que tous les trois ans. Eu 1732, il fut décidé que l'on ne recevrait aucun bourgeois au cours des 20 années subséquentes, et en 1760, il fut même

interdit au maître bourgeois, sous son serment, de ne jamais présenter une proposition semblable.

Dans ces conditions, les arts et métiers, ainsi que le commerce déclinèrent rapidement entre les mains des bourgeois. Les terres qu'ils possédaient dans les environs furent achetées par des paysans. L'élément allemand évinça aussi de plus en plus l'élément fran- çais. Cependant, on continua à avoir à Morat une église et une école françaises. Le commerce de tran- sit devint l'aliment économique principal de la ville.

Puisque les bourgeois s'ingéniaient à vivre leur petit train, il fallut bien que des forces vives étran- gères redonnent quelque animation et à l'industrie et au commerce moratois. Ces nouvelles énergies lui vinrent surtout du pays de Neuchâtel. On voulut bien permettre à ces étrangers de s'établir à Morat et leur renouveler l'habitation d'année en année, quoique parfois non sans beaucoup de peine et de tracasseries. <

Le premier en date des horlogers modernes éta- blis à Morat fut Abram Brandt-dit-Gruerin de La Chaux-de-Fonds, celui-là même qui épousa Judith jeanrichard, la sœur de Daniel. Il y est reçu à l'ha- bitation le 7 novembre 1711, en qualité d'horloger et graveur.

Au début de cette même année 1711, le conseil de ville s'était aperçu que l'horloge communale avait grandement besoin d'être réparée. 11 manda le maître

Il existe donc une étroite relation entre le facteur

« monnaie » et le chômage. Toutes les fois que les instruments de paiement se rétrécissent, donc que les prix tendent à baisser, le chômage aug- mente. Lorsqu'une légère augmentation des prix survient, tout le monde travaille. Bien entendu, ce parallélisme ne se maintient qu'un certain temps; si les prix haussent à l'excès, le pouvoir de consom- mation des particuliers se restreint aux denrées in- dispensables — et encore! — et c'est un chômage industriel autrement grave qui intervient. L a thèse de M . Fuss ne saurait donc être poussée à l'excès...

E t notre auteur conclut qu'une politique monétaire qui tendrait à stabiliser le niveau général dés prix éliminerait une cause importante de chômage. Elle maintiendrait une relation constante entre une pro- duction sans cesse accrue et les instruments de paiement indispensables à l'échange des produits.

Dès 1922, la Conférence de Gênes indiquait les premiers pas à faire dans cette direction. Une nsso-

horloger de Fribourg, qui avait. déjà été chargé d'une réparation antérieure, mais il écrivit aussi à l'horloger «du Lock» (Brandt), qui s'était offert de la réparer

En juillet 1711, les deux maîtres firent leur rapport et le conseil chargea de la réparation le maître de Fribourg, à l a condition qu'il fit de bon . travail et un échappement « en pendule ».

Ce qui n'empêcha pas le conseil de signer, le 11 novembre suivant, un contrat avec Brandt, aux ter- mes duquel ce dernier s'engageait à installer une horloge neuve et à prendre l'ancienne à son compte.

Cette horloge neuve fut construite à La Chaux-de- Fonds, voiturée jusqu'à Neuchâtel et transportée en- suite par bateau à Morat.

La bourgeoisie avait désigné comme gouverneur de la nouvelle horloge, certain Marti, serrurier de profession, qui chercha noise à Abram Brandt, dont il était le rival en grosse horlogerie. Marti prétendait que l'horloge ne marchait pas bien et Brandt "dut donner à la ville des garanties écrites. Cependant, le maître horloger neuchâtelois rétorqua que Marti était un incapable, qui n'y connaissait rien et qu'il fallait remplacer, si l'horloge devait continuer à bien marcher. Il proposa de nommer à sa place, comme conducteur, l'armurier Jean Devaux de Lamboing, établi à Morat depuis le 9 mai 1709. Devaux entra en fonctions le 1er janvier 1713.

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896 L A F É D É R A T I O N H O R L O G È R E SUISSE

dation, celle de la « Stable Money » s est fondée aux Etals-Unis pour tendre au même résultat. Il s'agirait en somme d'établir une collaboration in- ternationale des banques d'émission, en vue d'empê- cher les fluctuations anormales du pouvoir d'achat de l'or. Problème qui se superpose, on le voit, à celui de la stabilisation des changes, réglé presque partout. L e jour où cet accord serait accompli, une des causes les plus graves du chômage chronique disparaîtrait. Quant à ses autres causes, plus com- plexes et d'un traitement plus délicat, c'est par une organisation plus parfaite de l'économie publique, dans l'ordre de la production et dans celui des échanges, qu'il faudra chercher à les prévenir. T o is les industriels .perspicaces en tomberont d'accord avec le clairvoyant collaborateur de la Revue In- ternationale da Travail. P . D \

La politique commerciale de la Su sse

Au cours d'une conférence, faite récemment à Zurich, le Dr. Wetter, vice-président de l'Union suisse du commerce et de l'industrie, a donné quelques renseignements fort intéressants sur la politique doua- nière actuelle de notre pays. En effet, le temps est passé où la conclusion des traités de commerce était une affaire secrète; aujourd'hui, et à juste raison, l'opinion publique tient à être renseignée, aussi exactement que possible, sur les diverses phases des négociations commerciales que notre pays pou.'s.iit avec l'étranger. Au cours de ces dernières années, il a été facile de se rendre compte que la politique commerciale d'un pays est étroitement liée à sa poli- tique étrangère. Or, quelle doit être la politique com- merciale de la Suisse? Avant de répondre à cette question, il y a lieu de déterminer quelles sont les bases de notre activité économique. La Suisse, chacun le sait, a atteint un degré d'industrialisation très élevé, quoique ne possédant pas de matières pre- mières. La nécessité de faire venir de l'étranger les produits bruts dont ses industries ont besoin l'oblige à se confiner dans la fabrication des pro- duits où le travail et la bienfacture jouent le rôle principal. D'autre part, pour l'écoulement de ses produits, il lui est nécessaire d'avoir à l'étranger et souvent dans des pays fort éloignés, des débouchés continus et importants. Cette double nécessité exclut donc pour' notre pays toute idée de protectionnisme outrancier. Devant rester en contact étroit avec l'étranger, nous n'avons aucun intérêt à élever à nos frontières des barrières douanières prohibitives. La prospérité de nos industries d'exportation est en étroite connexion avec celle de l'artisanat et de l'agri- culture et en voulant porter atteinte à l'une, on compromettait gravement les intérêts de l'autre. 11 est donc tout indiqué pour notre pays de conclure avec les Etats qui nous entourent des traités de commerce susceptibles de permettre à nos industries vitales de subsister.

Aavant la guerre, notre situation commerciale était des phis favorables. Nous avions conclu avec tous nos principaux voisins des traités de commerce pour une durée en général de 10 ans, qui accordaient Ce maître avait été établi auparavant à Bienne, Il était venu à Morat, parce que cette ville ne pos- sédait pas d'armurier bourgeois à cette époque-là.

On le chargea en conséquence de faire des apprentis parmi les fils de bourgeois. Il forma entre autres le fils du maître bourgeois Koerber. Mais quelques années plus tard ces derniers usèrent de tous les moyens pour l'évincer. Si bien qu'en 1721 Devaux dut quitter Morat. Il alla s'établir d'abord à Villars les Moines (Münchwiler), propriété des de Graf fen- ded de Berne, grands officiers au service étranger, Dans la suite, la bourgeoisie lui permit de s'établir à Champagny (Qempenach), à proximité de Morat, à la condition qu'il ne viendrait jamais exercer sa profession en ville.

Le Conseil l'y alla néanmoins chercher trois ans plus tard pour former de nouveau un apprenti bour- geois, car les armuriers faisaient encore défaut à Morat. Devaux accéda et après bien des vicissitudes il meurt dans cette ville en 1735.

On me pardonnera ces disgressions, mais il m'im- portait de laisser parler les documents sur la men- talité bourgeoise d'une petite ville du XVlIle siècle.

Et dire que cette mentalité régnait un peu partout avec la même intensité et sévérité!

Abram Brandt ne fut pas le seul horloger neuchâ- telois établi à Morat au cours du XVIIIe siècle.

Avant 1734, nous y rencontrons Abram Jeanrichard, l'oncle de sa femme, le frère de Daniel.

à nos industries indigènes et à notre agriculture une protection suffisante; et d'un autre côté, notre in- dustrie d'exportation avait réussi de battre en brèche sur plusieurs points les barrières douanières de l'étranger. Nous pouvions donc écouler les produits de nos industries sur les marchés mondiaux d'une manière assez suivie et régulière. Survint la guerre qui bouleversa tout. Avec la vague de protectionnisme qu'elle suscita, conséquence assez naturelle des rudes combats qui se livrèrent sur les champs de bataille, la guerre rendit fort difficile la reprise des relations commerciales normales entre Etats. La Suisse dut s'efforcer à nouveau de battre en brèche les barrières douanières élevées un peu partout et qui menaçaient de l'étouffer. Tout d'abord, avec l'Espagne en 1921, puis ensuite avec l'Italie, l'Autriche, la Tchécoslo- vaquie et l'Allemagne, nous avons conclu des traités de commerce qu'on peut considérer comme assez satisfaisants. Malheureusement, avec notre grande voisine de l'Ouest, il n'en a pas été de même et les négociations qui se poursuivent à l'heure actuelle sont fort pénibles. Et pourtant nous achetons en France plus de 500 millions de fr. de marchandises par année, alors que nous lui en vendons pour 150 millions seulement. Nous venons au cinquième rang parmi les meilleurs clients de la France. Propor- tionnellement à notre chiffre de population, nous achetons en France, annuellement, pour 125 francs de marchandises par habitant, alors que pour la France, ce chiffre tombe à 4,50 fr. L'augmentation des droits de douane français, inacceptable pour nous, est due au récent traité de commerce que la France vient de conclure avec l'Allemagne. La si- tuation est donc sérieuse et on ne peut que souhaiter qu'une solution intervienne dans le plus bref délai possible.

Les négociations franco-suisses

M. W. Stucki, directeur de la division du commerce, est rentré de Paris où il s'est entretenu avec M.

Bokanowski, ministre du commerce, et M. Serruys, Directeur des Accords commerciaux, au sujet de la négociation d'un traité de commerce avec la France.

M. Stucki a rendu compte de ses entretiens à la Commission consultative instituée pour la négocia- tion du traité; cette dernière était réunie jeudi à Berne sous la présidence du chef du Département de l'Economie publique.

La Commission a formulé des propositions; cellesrci seront soumises par le Département publique au Conseil fédéral, qui prendra prochainement une dé- cision.

Informations

Avis.

Les personnes qui recevraient des demandes de C. Gtyb-Cwytcwi, Tyqqw,

feront bien dé s'adresser à nous avant de répondre.

— Les personnes qui recevraient des demandes de Georges Girardet, Besançon,

sont instamment priées de nous le faire savoir immé- diatement.

L'Information Horlogère Suisse

La Chaux-de-Fonds Rue Leopold Robert 42.

Il est reçu à l'habitation le 24 février 1733.

Jean-Jacques Jeanrenaud de Motiers-Travers appa raît à Morat du 7 février 1764 jusqu'en 1792.

En 1772, c'est le tour de Henri Buchend de Fontaine qui épousera Julianne Haberstock, bour- geoise de 'Morat, en 1782. A cette occasion, il fut reçu bourgeois — le seul pendant plus d'un demi- siècle — en payant pour sa naturalisation la somme de 500 couronnes, ce qui équivalait à fr. 1250. Mais entre temps, Buchenel avait quitte l'horlogerie pour se faire marchand drapier.

C'est dire que les horlogers neuchâtelois ne furent pas nombreux à Morat. Mais il y eut des Neuvevil- lois, des Genevois et des Vaudois et d'autres, comme nous allons le voir.

Cependant, il y eut encore des professionnels neu- châtelois à Morat, au cours du XVIIIe siècle; un cloutier Perrin de Noiraigue, un chaudronnier Ro- bert de La Chaux-de-Fonds et son , frère qui est perruquier, des Sagnards, et d'autres.

Ce qui intéresse particulièrement ici, c'est les indienneurs neuchâtelois et autres établis pendant des années à Guin.

Les premiers fabricants d'indiennes mentionnés sont Schmidt et Passet qui apparaissent dès l'année 1734.

p e 1735 à 1744 Moïse Godet, imprimeur d'indiennes, originaire de Cortaillod, est au service de la maison Schmidt et Passet.

Douanes

Italie. — Droits (Agio).

L'agio pour le payement des droits de douane a été fixé à 255 o/0 pour la période du 21 au 27 no- vembre courant.

Postes, Télégraphes et Téléphones

A p r q p o s d e l a r é d u c t i o n d e s t a x e s p o s t a l e s Comme on l'a annonncé récemment, l'Administra- tion fédérale des postes s'est décidée à réduire, à partir du 1er janvier, certaines taxes postales, celles des imprimés et des échantillons consignés par 50 exemplaires au minimum. Les milieux du commerce et de l'Industrie insistent depuis longtemps sur la nécessité de réduire les taxes en vigueur jusqu'à, présent, qui grèvent très sérieusement les frais géné- raux de nos entreprises et les empêchent, dans de nombreux cas, de poursuivre la baisse des prix. En effet, il résulte d'une comparaison entre les taxes actuelles et celles perçues en 1914, que les tarifs postaux accusent aujourd'hui encore une majoration variant de 100 à 150 o/0 selon l'article. Or, si l'on tient compte du fait que l'indice moyen du coût de la vie n'est présentement que de 65 o/o, oh cons- tatera sans peine que les tarifs postaux sont sensi- blement supérieurs au renchérissement moyen des prix.

Aussi les groupements économiques estiment-ils que cette première concession consentie par les Postes sur les imprimés et les échantillons, n'est pas suffisante, elle n'intéresse au reste tout au plus qu'un nombre restreint d'« usagers ». Il ne saurait s'agir que d'un premier pas. D'autres mesures doivent suivre et, en tout premier lieu, la réduction du tarif des lettres dans le service interne.

Ces réductions sont d'ailleurs possibles, pour s'en convaincre, il suffira de considérer la situation fi- nancière actuelle des postes. Avant la guerre, le bénéfice de l'exploitation a varié comme suit:

1902: fr. 3,666,289; 1904: fr. 3,577,604: 1905:

fr. 4,496,118; 1908: fr. 2,953,937; 1911: fr. 3 million 751,374; 1913: fr. 1.004,610.

Au cours de la guerre, le résultat de l'exploitation devint déficitaire. Depuis lors, par contre, des années meilleures se sont rencontrées. Le bénéfice net re- connu par l'Administration des postes, fut en 1923 de 341,000 fr. En 1924, de 3,9 millions; en 1925, de 4,6 millions; enfin, en 1926 de 5,5 millions. Ces chiffres, néanmoins, ne sont pas comparables avec ceux de l'avant-guerre, car l'administration des pos- tes a jugé opportun, entre temps, de modifier ses méthodes comptables, et a prévu dans ses comptes annuels des postes nouveaux destinés à absorber une partie des bénéfices de l'exploitation proprement dite.

Ces postes nouveaux sont précisément les comptes d'amortissement et de réserves, qui n'existaient pas avant la guerre, et qui empêchent de se rendre compte clairement du rendement effectif de l'Adminis- tration des Postes. En réalité, le bénéfice de l'exploi- tation a été sensiblement supérieur, depuis 1923, aux chiffres publiés par l'Administration des Postes. En effet, si nous comparons le résultat net de l'exploi-

En 1746-56, nous rencontrons aussi Moïse-Ro- dolphe Henchoz de Château-d'Oex, fils du châtelain

Henchoz du même lieu, venu de Berne.

Puis il y a Fischer de Vallamand et Gros de Ge- nève, entrepreneurs de la « Fabrique d'imprimerie en différentes étoffes», à Guin, qui établit, en 1765, un règlement général pour ses ouvriers et le fait approuver par le conseil de Morat. Bientôt, elle sera en déconfiture, car elle a affaire avec ses fournis- seurs, les Faesch de Bâle, grands banquiers et marchands de coton chez lesquels le célèbre négociant Pourtalès fit son apprentissage.

A Guin, existe aussi la Fabrique Labran, bien neu- châteloise, et dès 1780, François Verdan, que l'on

rencontre aussi à Boudry et à Bienne; en 1786 enfin Brand et Cie, également indienneurs.

Si j'insiste ici, sur les fabriques d'indiennes, c'est qu'elles occupaient des graveurs de mollettes! et de rouleaux assez nombreux, dont quelques-uns furent d'abord horlogers. Ainsi, le 5 août 1777, Simon Jeannin, graveur, d'Auvernier, est reçu à l'habita- tion de Morat.

Disons, en passant, que la teinturerie de Mora; exis- tait déjà en 1734 et que les cultivateurs et prépa- rateurs de tabac y apparaissent dès l'année 1733.

(A suivre).

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L A F E D E R A T I O N H O R L O G È R E SUISSE 897

tation, année par année, an bénéfice net, déduction faite des versements aux comptes de réserve et d'amortissement, nous aboutissons aux chiffres sui- vants :

19*3 1924 1923 1926 (eh milliers de francs)

Excédent d'exploita-

tion 5,442 10,796 13,354 13,465 Bénéfice net (après

les amortissements) 541 3,973 4,649 5,504 Les chiffres figurant sous « Excédent d'exploita- tion » sont les seuls qui puissent se comparer avec les chiffres concernant la période d'avant-guerre. Ils accusent une augmentation sensible des recettes effec- tives. Ces recettes effectives, par contre, sont absor- bées en bonne part depuis 1923, par les comptes nouveaux .En 1926, par exemple, on a attribué à ces fonds spéciaux plus de la moitié du bénéfice d'ex- ploitation. A la fin de 1926, ces fonds représentaient un capital total de plus de 28 millions.

Il est naturel que l'Administration des Postes cherche à amortir ses déficits de guerre. Par con- tre, les normes qu'elle a adoptées sont inadmissibles, car elles empêchent toute réduction réellement sen- sible des taxes postales.

Dans ces conditions, du moment que le bénéfice net effectif de l'exploitation est bien supérieur à ce qu'il était avant la guerre, on ne comprendrait pas pourquoi l'Administration des postes ne continuerait pas résolument dans la voie des réductions ,en dimi- nuant le tarif de la lettre dans le service interneü C'est cette réduction, précisément, qui sera la plus sensible, non seulement au commerce et à l'indus- trie, mais encore au public en général.

E m i s s i o n d e t i m b r e d e b i e f a i s a n c e

« P r o J u v e n t u t e ».

Les images sont dédiées à la mémoire de Pestalozzi.

Les projets de timbres de 5, 10 et 30 cts. sont l'œuvre du peintre Georges, Ruegg à Zurich.

Le bénéfice qui résultera de la vente des timbres est destiné à l'œuvre « Pour la Jeunesse », qui l'affec-

En décembre prochain, quatre nouveaux timbres

« Pro Juventute », ayant la caractère d'estampilles pos- tales d'affranchissement, seront mis en vente. La série comprend.

un timbre à 5 cts prix de vente 10 cts.

» » » 10 » » » » 15 »

» » » 20 » » » » 25 »

» » » 30 » » » » 40 » tera spécialement à l'œuvre de protection de la jeunesse scolaire.

Les timbres seront aussi valables, sans restriction, dans les relations avec tous les pays de l'Union pos- tale universelle.

La vente par les offices de poste durera un mois, soit du 1er décembre au matin jusqu'au 31 du même mois. Ces timbres ne peuvent pas être vendus avant le 1er décembre 1927. La validité en est limitée, pour le service postal, à la période du 1er décembre 1927 au 30 avril 1928 inclusivement, donc à 5 mois. Le 30 avril 1928. à minuit, les timbres « P r o Juventute»

perdront leur validité Les envois postaux qui por- teraient de ces timbres avant et après cette durée de validité seraient considérés comme non affran- chis. Toutefois, les envois de l'espèce trouvés dans les boîtes aux lettres, lors de la première levée du 1er mai, seront encore expédiés sans autre, c'est-à-dire comme s'ils étaient valablement affranchis.

R e l a t i o n s t é l é p h o n i q u e s a v e c l a H o n g r i e . Jusqu'ici, les relations téléphoniques avec la Hon- grie étaient limitées à la période comprise entre 19 et 8 heures. Par suite de la mise en exploitation d'un deuxième circuit direct Zurich-Vienne, cette restriction est supprimée.

Désormais, l'échange de communications télépho- niques entre les réseaux suisses et hongrois, autori- sés à la correspondance, est admis à toute heure.

Chronique financière et fiscale

I t a l i e . — T a x e d ' é c h a n g e s u r l e s m o n t r e s . En vertu d'une décision de l'administration des finances, rapporté et: détail dans la Fédération Hor- logère Suisse, No. du 29 octobre dernier, les ventes de montres effectuées en Italie ne sont plus frappées d'une nouvelle taxe d'échange, lorsque cette taxe a été déposée à la douane par des voyageurs de com- merce au moment du passage de la frontière.

Les maisons suisses qui auraient été obligées de payer I?. taxe d'échange à double, sont invitées à en aviser la Chambre suisse de l'horlogerie, qui interviendra pour que les taxes perçues en trop leur soient restituées.

Chronique des métaux et diamants

Un différend au sujet du prix officiel de Par gent en Amérique. — Suppression de la Loi Pittmann?

En 1918, alors que le prix de l'argent se main- tenait au-dessus de 100 Cents, les Etats-Unis décré- tèrent la fameuse loi Pittmann; cette loi prévoyait la vente du trésor fédéral des U. S. A., de 568,3 millions d'argent pur, aussi longtemps que l'on pou- vait en obtenir un bénéfice. La moitié à peu près de cette réserve a ainsi été vendue ,en Inde prince paiement; la vente cessa au cours de l'année 1920, après qu'un changement profond se fut produit sur le marché de l'argent, dont le prix baissa au-dessous de 100 cents l'once. Cependant, un article de la loi Pittmann prévoyait que chaque once d'argent vendue devait être remplacée par une égale quantité d'argent produit en Amérique et payée au prix uniforme de 1 dollar par once. Dès que le prix baissa en-dessousi de 100 cents, les producteurs américains, se basant sur la disposition précitée continuèrent à vendre au Trésor américain de l'argent au prix de 1 dollar l'once, alors qu'ils pouvaient l'obtenir sur le mar- ché mondial pour un prix sensiblement plus bas.

Le Gouvernement américain refuse maintenant d'a- cheter au prix de 1 dollar par once les quantités d'argent prévues par la loi Pittmann, car le même métal peut s'obtenir sur le marché mondial, et par conséquent dans le commerce libre des Etats-Unis au prix de 55 7/8 cents l'once. D'un autre côté, les producteurs américains ne veulent pas renoncer sans autre aux bénéfices énormes que leur offrait la loi Pittmann et 1'« Association des producteurs d'argent américains» a intenté un procès au secrétaire d'Etat Mellon et au Directeur de la Monnaie, en vue de les obliger à respecter la loi et à leur acheter une quantité régulière de 14,6 millions d'onces d'argent au prix de 1 dollar l'once. Si l'on compare ce prix avec celui actuel du marché mondial, l'association réaliserait, si elle gagnait son procès, un bénéfice de 61/2 millions de dollars. Les représentants du Trésor opposent à la réclamation qui leur est faite que la loi Pitmann est une loi exceptionnelle, créée par la guerre et qu'elle n'a plus aujourd'hui sa raison d'être; elle a été créée dans l'intérêt général du pays et non pour assurer des avantages spéciaux aux producteurs de l'argent. L'affaire est pendante ac- tuellement devant le Tribunal du district de Washing- ton, avec recours éventuel à la Fédéral Court of Claims à Washington. On est impatient, tant à l'étran- ger qu'aux Etats-Unis, de connaître la solution qui sera donnée au différend, car un échec des produc- teurs, en supprimant la loi Pittmann, ne sera pas sans exercer une influence sur le prix de l'argent pour l'avenir. ,

Registre du commerce

Raisons sociales.

Enregistrements:

17/XI/27. — / . et M. Qiachino frères, soc. ri', coll.

(Michel-Emile César et Jean-Mario-Fernand G., de Genève), fabrique de bijouterie et joaillerie, 6, Place Chevelu, Genève.

19/XI/27. — Oberle und Baumgartner, soc. n. coll.

Emile O., de Dimstal, Alsace, Alois B., d'Oensin- gen), polissage d'acier, Oensingen.

19/XI/27. — Schütz et Cie, soc. n. coll. (Ferdinand Ellenberger, de Heimiswil, Hermann Sch., de Mar- tisberg), fabrication et commerce de cadrans métal et argentés, Route de Boujean 47, Bienne.

21/XI/27. — Albert Kienzler (de Zurich), commerce d'horlogerie, d'orfèvrerie et argenterie, rhabillages, Zweierstr. 138, Zurich 3.

Modification:

l l / X I / 2 7 . — Précise A. G., fabrique d'horlogerie, Granges. M. le Dr. jur. Thomas Rudolf Speich, de Glaris, a été nomme membre du Cons, d'adm.

cette société.

l l / X I / 2 7 . — La soc. an. « Buffat et Cie», horlogerie, La Chaux-de-Fonds, est dissoute; la liquidation s'opère par Eugène Buffat, sous la raison Buffat et Cie, Société anonyme en liquidation.

17/XI/27. — La maison «Roland Ruefli», fabrication et vente de montres, Granges, modifie sa raison sociale en celle de Roland Ruefli, Uhrenfabrik Jorin (Fabrique d'horlogerie Jorin), (Fabbrica d'O- rologeria Jorin), (Jorin Watch).

21/XI/27. — La soc. an. « Fabrique de Spiraux de la Charrière S. A.», La Chaux-de-Fonds, .modifie son genre d'affaires en fabrication, achat et vente de de balanciers et de tous articles s'y rattachant et sa raison sociale en celle de Fabrique de Balanciers de la Charrière S. A.

Radiations:

12/XI/27. — Paul Jeanmonod, atelier de sertissages, Plainpalais.

14/XI/27. — Hans Müller, horlogerie, etc., Fischbach (Lucerne).

15/XI/27: — Ernst Kessi, horlogerie, bijouterie et optique, Meiringen.

16/XI/27. — Société anonyme Compagnie des Mon- tres Sapho S. A. (Sapho Watch Co. S. A.), La Chaux-de-Fonds.

17/XI/27. — Georges Ganière, fabrication d'assor- timents ancre, La Chaux-de-Fonds.

21/XI/27. — Veuve de Louis Cattin, fabrication d'hor- logerie, La Chaux-de-Fonds.

21/XI/27. — Aloys Derendinger, horlogerie, bijou- terie, Fribourg.

Faillites.

Ouverture de faillite.

1 XI/27. — Jean Hempler, bijoutier, Lion d'Or 2, Lausanne.

Délai pour productions: 16 décembre 1927.

Assemblée des créanciers: 21 novembre 1927.

10/XI/27. — Ganière Georges, fabricant d'assorti- ments ancre, Rue des Crétêts, 65, La Chaux-de- Fonds.

Liquidation sommaire, Art. 231 L. P.

Délai pour productions: 9 décembre 1927.

Etat de collocation:

Débitrice: Pierreries S. A., fabrication de pierres d'horlogerie, Nidau.

Délai pour action en opposition: 3 décembre 1927.

Concordats.

Prolongation du sursis concordataire:

l l / X I / 2 7 . — Le sursis accordé à Eugène-C. Moecklin, bijouterie, Rue de Bourg 13, Lausanne, est pro- longé, l'assemblée générale des créanciers ren- voyée au 19 décembre 1927.

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pas correctement.

Peuvent faire partie de la Société :

1. Les fabricants et commerçants en horlogerie et bijouterie.

2. Les maisons dont l'activité s'exerce dans une branche qui peut être considérée comme annexe aux industries de l'horlogerie et de la bijouterie, soit, par exemple, les fournisseurs des parties détachées de la montre, ébauches, fabricants de boites, assortiments, cadrans, aiguilles et décolletages.

3. Les banquiers. 3683 Les membres de la Société doivent être inscrits au

Registre du commerce.

Le quinzième exercice commence le /"janvier 1928.

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