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LA MISE EN EVIDENCE DE L’IMPORTANCE DE LA MAINTENANCE PREVENTIVE DES EQUIPEMENTS DE RADIOLOGIE :

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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

REPUBLIQUE DU BENIN _*_*_*_*_*_*_

MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE

_*_*_*_*_*_*

UNIVERSITE D’ABOMEY-CALAVI _*_*_*_*_*_*_

ECOLE POLYTECHNIQUE D’ABOMEY-CALAVI _*_*_*_*_*_*_

DEPARTEMENT DE GENIE D’IMAGERIE MEDICALE ET DE RADIOBIOLOGIE _*_*_*_*_*_*_

RAPPORT DE FIN DE FORMATION POUR L’OBTENTION DU

DIPLOME DE LICENCE PROFESSIONNELLE THEME

Sous la direction de :

Molem Agitat

Me ns

LA MISE EN EVIDENCE DE L’IMPORTANCE DE LA MAINTENANCE PREVENTIVE DES EQUIPEMENTS DE

RADIOLOGIE : CAS DU CENTRE HOSPITALIER

UNIVERSITAIRE DE ZONE D’ABOMEY-CALAVI/SÔ-AVA

Année académique : 2014-2015

8e promotion

REALISE ET PRESENTE PAR :

Mèdji Thomas-d’Aquin Candide HOUEDIER

Tuteur de stage : M. Germain HOUENON Ingénieur des travaux en Imagerie

Médicale

Superviseur : Dr Daton MEDENOU Maitre assistant des universités du

CAMES

(2)

REPUBLIQUE DU BENIN

***********

MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE (MESRS)

***********

UNIVERSITE D’ABOMEY-CALAVI (UAC)

***********

ECOLE POLYTECHNIQUE D’ABOMEY-CALAVI (EPAC)

***********

DEPARTEMENT DE GENIE D’IMAGERIE MEDICALE ET DE RADIOBIOLOGIE

***********

DIRECTEUR DE L’ECOLE POLYTECHNIQUE D’ABOMEY-CALAVI Prof Félicien AVLESSI

DIRECTEUR ADJOINT CHARGE DES ETUDES ET DES AFFAIRES ACADEMIQUES

Prof Clément BONOU

CHEF DU DEPARTEMENT DE GENIE D’IMAGERIE MEDICALE ET DE RADIOBIOLOGIE

Prof Nicolas ATREVI

Année Académique : 2014-2015 8ème Promotion

(3)

NOMS PRENOMS MATIERES ENSEIGNEES

AHOYO Théodora Microbiologie générale AKOWANOU Christian Science physique

AKPOVI Casimir Physiologies cellulaire et humaine ANAGONOU Sylvère Education physique et sportive I – II

ATREVI Nicolas Embryologie humaine, Anatomie radiologique II, Neuro anatomie, Techniques radiologiques III

ATCHADE Pascal Parasitologie Générale

ALITONOU Guy Chimie générale, Chimie organique

DOSSOU Cyriaque Techniques d’expression et méthodes de communication III – IV

DOSSOU Julien Notion de radiobiologie et de radioprotection DESSOUASSI Noël Biophysique de l’imagerie

GANDJI Servais Anatomie radiologique I, Techniques radiologiques II et Notions générales d’échographie

GBAGUIDI A. Bertin Enregistrement d’images

HOUNSOSSOU Hubert Anatomie générale I- II, Biostatistique

LOZES Evelyne Immunologie générale

MEDENOU Daton Appareillage I et II, Physique électronique TOPANOU Roland Techniques radiologiques I

SEGBO Julien Biologie moléculaire

SOUMANOU Mohamed Biochimie générale

YANDJOU Gabriel Techniques d’expression et méthodes de communication I – II

YOVO S. Paulin Pharmacologie

LISTE DES ENSEIGNANTS

PERMANENTS DU GIMR

(4)

NOMS PRENOMS MATIERES ENSEIGNEES

ABLEY Sylvestre Déontologie médicale

AGOSSOU Gilles Législation et droit du travail BIAOU Olivier Sémiologie radiologique AHOGA Gervais Soins infirmiers

DANSOU Bertin Anglais III – IV DEHOUMON Justin Sémiologie médicale DOSSEVI Lordson Techniques instrumentales FOURN Léonard Santé publique

HOUNDEFFO Thiburce Sémiologie gynéco-obstétricale HOUNNOU Gervais Sémiologie chirurgicale

HOUNNON Hyppolite Mathématiques KOFFI Aristide Anglais I – II

KOUNASSO Gabriel Informatique, Informatique médicale

LISTE DES ENSEIGNANTS

VACATAIRES DU GIMR

(5)

Qualité Prénom(s) et Nom Observations

Président Julien DOSSOU

Juge Hubert HOUNSOSSOU

Superviseur Daton MEDENOU

IDENTIFICATION DU

JURY

(6)

Je dédie ce travail

A la sainte TRINITE

Pour votre amour immense, votre bonté infinie ! Eclairez-moi de votre lumière puis accordez-moi sagesse et brillance dans ma carrière professionnelle.

A mon Feu Père, Didier HOUEHOUNHA

Très tôt arraché à notre affection, ton départ prématuré te prive de la joie de voir aujourd’hui l’aboutissement de tes espoirs. Reçois mes éternelles prières et veille toujours sur tes enfants.

A ma Mère, Elisabeth HOUEHOUNHA Née BOSSA Pour l’amour que tu m’as donné et les multiples sacrifices consentis à mon égard. Tu ne cesses de m’orienter sur le chemin de l’effort. Brave et vaillante, que le Tout Puissant te garde aussi longtemps que possible auprès de moi afin que tu savoures les merveilles de tes efforts.

DEDICACES

(7)

A DIEU

Qui ne cesse de me combler de son amour et de ses grâces et dont l’assistance a rendu possible ce travail.

A mes sœurs, Glorya ; Immaculée ; Angela pour votre assistance fraternelle et vos conseils. Que l’amour qui nous unit, grandisse d’avantage.

A Monsieur Daton MEDENOU, mon superviseur

Vous m’avez appris que lorsqu’on travaille avec sérieux et rigueur, on aboutit toujours à un bon résultat. Merci d’avoir accepté de conduire ce travail.

A tout le personnel de l’unité de radiodiagnostic du CHUZ-AC/SA J’ai été très heureux de faire partie de cette famille que vous formez, j’ai appris en étant à vos côtés. Je vous exprime mes sincères remerciements.

A tous les professeurs du département de Génie d’Imagerie Médicale et de Radiobiologie

Vous avez été des artisans de ma formation. Votre rigueur scientifique, votre grande pédagogie grâce à laquelle vous transmettez vos connaissances font de vous, des modèles à suivre.

A mes amis, en particulier Léontine, Ezéchiel, Bénédicte, Flora, Sébastienne, Consuelo, Lemer, Firmin, en souvenir de nos joies et peines partagées.Que ce lien d’amitié, subsiste au fil du temps.

A mes camarades de promotion pour tous ces moments passés ensemble.

REMERCIEMENTS

(8)

A notre président de jury

Nous mesurons le prix de votre disponibilité à notre égard, pour avoir accepté de présider notre jury. Qu’il nous soit permis de vous exprimer notre profond respect et notre gratitude.

Aux Membres de jury

Vous avez accepté de bon cœur sacrifier une partie de votre temps pour apprécier et juger ce modeste travail. Vos remarques seront les bienvenues pour son amélioration. Nous vous prions d’accepter toute notre reconnaissance et nos remerciements distingués.

HOMMAGES

(9)

% : Pourcentage [ ] : Références

ASP : Abdomen Sans Préparation

CHUZ-AC/SA : Centre Hospitalier Universitaire de Zone d’Abomey-Calavi/Sô-Ava DFF : Distance Foyer Film

DM : Densité Mesurée

EPAC : Ecole Polytechnique d’Abomey-Calavi

GIMR : Génie d’Imagerie Médicale et de Radiobiologie GMAO : Gestion du Matériel Assistée par Ordinateur HSG : Hystéro Salpingographie

kV : Kilovolt

LB : Lavement Baryté mA : Milliampère

mAs : Milliampère seconde ORL : Oto-rhino-laryngologie

TOGD : Transit Oeso-Gastro-Duodénal UCR : Uretro Cystographie Rétrograde UIV : Urographie Intraveineuse

LISTE DES SIGLES ET

ABREVIATIONS

(10)

Titre Pages

I Bilan des examens réalisés dans le service de radiologie du CHUZ-AC/SA au cours de la période de notre stage.

15 II Facteurs techniques utilisés et angles mesurés dans la cadre de

l’évaluation du temps de pose.

35 III Comparaison des angles mesurés et attendus dans la cadre de

l’évaluation du temps de pose.

35 IV Facteurs techniques utilisés et densité mesurées lors de la

vérification de l’intensité du courant.

37 V Récapitulation des facteurs techniques utilisés pour le contrôle du

calibrage de la haute tension.

38

VI Calcul de la tension en mode triphasé. 39

VII Résultat du test de vérification de la calibration du kilovoltage. 39 VIII Facteurs technique utilisés lors du calcul des dimensions du foyer 40

IX Correspondance entre les numéros de regroupement et les dimensions effectives du foyer.

41

X Répartition des réponses des techniciens sur la disponibilité des équipements adéquats pour la maintenance préventive de l’appareil à rayon- x au CHUZ-AC/SA.

45

LISTE DES TABLEAUX

(11)

FIGURES Pages

I Plan sommaire du service d’Imagerie Médicale CHU/AC/SA. 8 II Répartition des stagiaires dans les différents postes de travail

durant le séjour du stage.

13

III schéma du tube à rayon x. 21

IV la procédure de maintenance préventive. 31

GRAPHIQUES

1 Résultat du test de vérification du temps de pose : méthode de la toupie.

43

2 Cause du défaut de maintenance préventive adéquate des équipements de radiologie au CHUZ-AC/SA.

46

LISTE DES FIGURES ET

GRAPHIQUES

(12)

THEME

La mise en évidence de l’importance de la maintenance préventive des équipements de radiologie : cas du Centre Hospitalier Universitaire

de Zone d’Abomey-Calavi/Sô-Ava

(13)

RESUME/ABSTRACT……… …XIV

INTRODUCTION………01

CHAPITRE 1 : PRESENTATION DU CADRE DE STAGE ………...03

1. SITUATION GEOGRAPHIQUE ET HISTORIQUE DU CHUZ-AC/SA………...04

2. LES STRUCTURES COMPOSANT LE CHUZ-AC/SA………...05

3. PRESENTATION DU SERVICE D’IMAGERIE MEDICALE….………06

CHAPITRE 2 : DEROULEMENT DU STAGE………..………...11

1. LES TRAVAUX EFFECTUES………...12

2. DIFFICULTES RENCONTREES………...16

3. PROBLEMATIQUE………17

CHAPITRE 3 : ETUDE DU THEME………..………19

INTRODUCTION………...20

1. GENERALITE SUR LA MAINTENANCE PREVENTIVE DES APPAREILS DE RADIODIAGNOSTIC………...20

2. METHODE DE L’ETUDE ET TESTS DE FONCTIONNEMENT………..33

3. COMMENTAIRE ET ANALYSE………...43

4. LES CAUSES DU DEFAUT DE MAINTENANCE PREVENTIVE………...45

5. SUGGESTIONS………...47

CONCLUSION……….50

REFERENCES...………..52

ANNEXES……….………...53

SOMMAIRE

(14)

Afin de mettre en pratique les connaissances théoriques reçues au cours de notre formation, nous avons été envoyés dans le service de radiologie du Centre Hospitalier Universitaire de Zone d’Abomey – Calavi /Sô-Ava pour un stage pratique de fin de formation d’une durée de trois (03) mois.

Une meilleure fréquentation d’un service de radiologie repose sur la capacité de ce service à réaliser de bons radiogrammes. Or, ces derniers dépendent non seulement de la dextérité du technicien mais principalement de la qualité de l’équipement utilisé. La radiologie est donc l’un des services médicaux où la continuité et la qualité des prestations sont conditionnées par l’utilisation d’équipement constamment performant. Le maintien de la performance d’un appareil dépend en plus de la manière dont il est sollicité, mais surtout de son entretien. La maintenance préventive revêt donc, en radiologie, une importance capitale, ce qui à donc fait l’objet de notre étude sous le thème «La mise en évidence de l’importance de la maintenance préventive des équipements de radiologie : cas du Centre Hospitalier Universitaire de Zone d’Abomey – Calavi /Sô-Ava».

Nous avons alors réalisé les tests de précision du calibrage du temps de pose, du milliampèrage, du kilovoltage, de la collimation du rayon central, ainsi que celui des dimensions effectives du foyer. Il ressort de ces tests que certains de ces paramètres évalués, s’avèrent défectueux. Aussi, la présente étude s’est- elle intéressée aux causes d’une telle situation. Il résulte notamment de nos investigations que cette activité n’est pas inscrite dans le cahier de charge du service, que les moyens et outils nécessaire pour sa mise en œuvre, font défaut et que le personnel du service manque d’instruction par rapport à la maintenance préventive. Dès lors, nous avons préconisé une meilleure organisation fonctionnelle de la maintenance préventive, à travers sa réglementation, la formation des acteurs et la mise à disposition des outils et moyens nécessaires à sa réalisation.

Mots clés :maintenance préventive ; équipements de radiologie.

RESUME

(15)

In order to put into practice the theoretical knowledge received during our training, we were sent in the service of radiology of the University hospital of Zone of Abomey – Calavi /S ô-Ava for a practical training for three (03) months duration.

A better frequentation of a service of radiology rests on the capacity of this service to carry out good radiograms. However, the latter depend not only on the dexterity of the technician but mainly of the quality of the used equipment. Radiology is thus one of the medical departments where the continuity and the quality of the services are conditioned by the use of equipment constantly powerful. The maintenance of the performance of a device depends besides the way in which he is requested, but especially its maintenance. The preventive maintenance thus is, in radiology of a major importance, which with is the object of our study under the topic: “The highlighted of importance of the preventive maintenance of the equipment of radiology: case of the University hospital of Zone of Abomey – Calavi /S ô-Ava”.

We then carried out the tests of precision of calibration of the exposure time, the milliamperage, the kilovoltage, the collimation of the central ray, the effective dimensions of the focus of the x-ray tube. It comes out from these tests that some of the evaluated parameters prove to be defective. Also, the present study was interested in the causes of such a situation. It results in particular from our investigations that this activity is not registered in the specifications of the service, that the means and tools necessary for its implementation are lacking and that the staff of the service misses instructions on the preventive maintenance. Consequently, we recommended a better functional organization of the preventive maintenance, through its regulation, the training of the actors and the provision of tools and means necessary to its realization.

Keywords: preventive maintenance; equipment of radiology.

ABSTRACT

(16)

INTRODUCTION

(17)

L’Ecole Polytechnique d’Abomey-Calavi (EPAC) est la seule école qui forme les techniciens en imagerie médicale pour se conformer au nouveau système académique en vigueur qui est le système LMD. Ainsi, conscient du fait qu’aucune compétence professionnelle ne se construit si elle n’est renforcée par une connaissance pratique approfondie du métier, le département du Génie d’imagerie Médicale et de Radiobiologie (GIMR) comme tous les autres départements de l’Ecole Polytechnique d’Abomey-Calavi (EPAC) envoie ses apprenants qui sont en fin de formation de licence professionnelle en stage pratique de trois mois dans les unités de radiologies des hôpitaux de la place.

C’est donc pour répondre à cette exigence que nous avons été envoyés au service de radiologie du Centre Hospitalier Universitaire de Zone d’Abomey- calavi /Sô-Ava ex hôpital de zone d’Abomey- calavi/Sô-Ava pour un stage pratique de trois ( 03) mois allant du 18 mai au 18 Août 2015.

En effet, c’est avec la découverte des rayons-X par Wilhelm ROENTGEN qu’est née la radiologie. Elle est une technique d’investigation primordiale qui permet de préciser le diagnostic. Vu la place qu’elle occupe, une attention particulière doit être accordée aux équipements de travail qui conditionnent la production des rayons-x et par conséquent la qualité de l’image radiologique. C’est pourquoi notre étude porte sur le thème intitulé :

« La mise en évidence de l’importance de la maintenance préventive des équipements de radiologie : cas du CHUZ –AC/SA».

Le développement de notre étude s’articulera autour des points suivants : Présentation du cadre de stage ;

Déroulement du stage ; Etude du thème.

(18)

PREMIERE PARTIE :

PRESENTATION DU CADRE

DE STAGE

(19)

1.1 . SITUATION GEOGRAPHIQUE ET HISTORIQUE DU CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE D’ABOMEY-CALAVI/Sô-AVA Inauguré le 12 Mai 2003 par Madame Céline Seignon KANDISSOUNON, alors Ministre de la santé, l’ex hôpital de zone d’Abomey- Calavi /Sô-Ava devenu Centre Hospitalier Universitaire d’Abomey-Calavi /Sô- Ava est situé dans le département de l’Atlantique, plus précisément dans la commune d’Abomey-Calavi, au quartier Zopah, à deux kilomètres environ du carrefour Arcon-ville du côté droit en venant de Cotonou, en face de la station terrienne des télécommunications de Bénin Télécom SA. Il est actuellement dirigé par le pédiatre Daouda YESSOUFOU.

L’hôpital de zone d’Abomey-Calavi/Sô-Ava a été créé conformément à l’article 9 du décret N° 98-300 du 20 Juillet 1998 et l’arrêté N°

2225/MSP/DC/SGM/CADS du 10 Avril 2000 et est devenu Centre Hospitalier Universitaire d’Abomey-Calavi /Sô-Ava sous le décret N° 2010- 640 du 31 décembre 2010 portant restructuration de l’espace hospitalier et universitaire de la république du Bénin. En 2003, la mise sur pied de son équipe d’encadrement a permis le démarrage effectif des activités.

L’installation de ses autres organes de gestion s’est faite progressivement.

Elle a pour objectifs de :

 prévenir les maladies ;

 prendre en charge les malades ;

 améliorer la santé des populations de la zone ;

 rendre disponibles et accessibles les soins de qualité ;

 offrir des soins à moindre coût ;

(20)

1.2. LES STRUCTURES COMPOSANT Le CENTRE HOSPITALIER UNIVERTAIRE D’ABOMEY-CALAVI /SÔ-AVA

Cet hôpital abrite :

 deux (2) blocs administratifs :

 l’administration de la zone sanitaire

 l’administration de l’hôpital

 un (1) bloc technique comportant les services suivants :

les urgences ;

l’imagerie médicale ;

la médecine ;

la maternité ;

le bloc opératoire ;

la chirurgie ;

la pédiatrie ;

la stomatologie ;

le laboratoire d’analyses biomédicales ;

l’ORL ;

l’ophtalmologie ;

la kinésithérapie ;

la clinique du diabète et de l’HTA

l’officine de pharmacie;

la maintenance ; et entre autres

la cantine ;

la buanderie ;

la morgue.

Outre la présentation générale de ces structures qui composent le CHUZ- AC/SA d’une part, il convient de présenter également de manière spécifique celles qui composent le service d’imagerie médicale d’autre part.

(21)

1.3. PRESENTATION DU SERVICE D’IMAGERIE MEDICALE

Le service d’Imagerie Médicale du Centre Hospitalier Universitaire d’Abomey-Calavi /Sô-Ava est un service clé dans la chaîne médicale, qui participe à l’établissement du diagnostic de certaines pathologies à partir des images obtenues après irradiation du patient. Il est situé entre le service des urgences, le bloc opératoire et le laboratoire d’analyses biomédicales et est subdivisé en deux unités : l’unité de radiographie et l’unité d’échographie.

1.3.1. Les locaux du service Le service est composé de :

 un hall d’attente pour les patients, équipés de bancs ;

 un secrétariat d’accueil et d’enregistrement des patients ;

 une salle de radiographie ;

 une salle d’échographie ;

 un laboratoire de développement des films ;

 un bureau pour la surveillante ;

 un vestiaire pour le personnel qui fait office de salle de garde attenante à une douche ;

 une toilette pour les patients.

1.3.2. Description des diverses salles

Le service d’IM du CHU/AC/SA comprend une salle d’examen, une chambre noire et une chambre claire.

(22)

La salle d’examen Elle dispose :

 d’une table d’examen ;

 d’un tube radiogène ;

 d’un pupitre de commande ;

 d’un paravent plombé tridimensionnel ;

 d’un négatoscope

 de deux tabliers plombés ;

 de caches plombées ;

 d’un escabeau;

 d’une table sur laquelle est déposé le stérilisateur contenant les matériels d’Hystérosalpingographie ;

 d’une table sur laquelle est installé l’appareil numérique et l’imprimante

 de deux climatiseurs.

La chambre noire

C’est le laboratoire de développement des films. Il abrite un équipement de développement manuel, composé :

 des bains de développement tels que le révélateur, le bain d’arrêt, le fixateur et le bain de lavage final contenus dans différents bacs ;

 des cassettes ;

 d’une table de chargement et de déchargement des cassettes avec en dessous deux armoires à plusieurs compartiments contenant les films rangés par ordre décroissant ;

 d’une longue spatule pour brasser les solutions de développement ;

 d’une passe-cassette dont un compartiment ne fonctionne plus ;

 d’une lampe inactinique ;

(23)

 d’un négatoscope ;

 d’un climatiseur ;

 d’une paire de ciseaux.

La chambre claire

Elle est voisine à la chambre noire. La chambre claire est séparée de la chambre noire par un mur. Nous disposons dans cette chambre d’un négatoscope, d’un chariot non fonctionnel, d’un appareil de radiographie mobile non fonctionnel, d’un séchoir et de matériel de nettoyage.

Figure 1 : Plan sommaire du service d’Imagerie Médicale CHUZ-AC/SA

T

T

Chambre claire Chambre

noire

Salle de garde

T

Salle d’échographie Bureau de la

surveillante Secrétariat

Salle d’examens

Hall d’attente des patients

(24)

Légende : T : Toilette

Lit pour les examens échographiques

Lit pour la salle de garde Armoire de la surveillante Table simple banc

Table d’examen radiographique Passe-cassette

1.4. LES RESSOURCES HUMAINES

Le personnel du service d’Imagerie Médicale est composé de :

 Madame HOUNHANOU ASSOGBA Prisca : Ingénieur des travaux en Imagerie Médicale, échographiste et Surveillante du service ;

 Monsieur Germain HOUENON : Ingénieur des travaux en Imagerie Médicale;

 Monsieur Mathieu AMOUSSOU : Ingénieur des travaux en Imagerie Médicale ;

 Monsieur Julius AKOMEDI : Technicien supérieur de radiologie ;

 Madame AINA Rhôde : Technicien supérieur de radiologie ;

 Madame MASSIN Sandra: Technicien supérieur de radiologie ;

 Madame NOUCHET Sandrine : Technicien supérieur de radiologie ;

 Madame AHOUSSINOU Béatrice: Sage-femme échographiste ;

 Madame CAKPO CHI-CHI Reine : Aide-soignante de ce service.

(25)

1.5. FONCTIONNEMENT DU SERVICE D’IMAGERIE MEDICALE

Le service fonctionne 24h/24 et 7J/7 avec un système de garde de 24 h suivi d’un repos de soixante-douze heures.

En radiologie

 les examens standards se réalisent tous les jours de la semaine ;

 les examens spéciaux se font sur rendez-vous (RDV) ;

Les clichés sont interprétés par le docteur Akouavi KIKI précédemment chef service de l’imagerie médicale de CHU/AC/SA.

En échographie

L’échographie s’effectue tous les jours ouvrables de 8h à 15h sauf les mercredis par la sage femme échographiste madame Béatrice AHOUSSINOU. Les résultats sont reçus le même jour.

(26)

DEUXIEME PARTIE :

DEROULEMENT DU STAGE

(27)

2.1. OBJECTIFS DU STAGE

Les objectifs de notre stage sont les suivants :

-Acquérir une bonne dextérité dans la conduite des différentes techniques et d’être capable de produire de bons radiogrammes sans l’aide d’aucun technicien ;

- Appliquer les règles de radioprotection pour soi-même, pour le personnel, pour le patient et pour le public en connaissance de cause de la radiobiologie;

-Amener les étudiants à assimiler et à effectuer autant que faire se peut la pratique clinique de films après chaque examen ;

- Apprendre les notions élémentaires d’interprétation radiologique sur la base des connaissances en anatomie, en sémiologie, en techniques radiologiques et en pathologies élémentaires radiologiquement décelables.

2.2. LES TRAVAUX EFFECTUES

Envoyés par les autorités de l’EPAC au Centre Hospitalier Universitaire de Zone d’Abomey-Calavi/Sô-Ava, nous avons été autorisés par l’administration de l’hôpital pour commencer notre stage le 18 Mai 2015. Suite à cette autorisation, nous avons été présentés à la surveillante du service d’IM du CHU/AC/SA qui nous a accueillis et après les civilités d’usage, elle nous a montré le service. Le planning qui nous a été établi est de faire une rotation entre le secrétariat, la salle d’examen et la chambre noire comme l’indique le tableau ci-dessous :

(28)

Figure II: Répartition des stagiaires dans les différents postes de travail durant le séjour du stage

2.2.1. Au secrétariat

Au secrétariat, nous avons eu pour rôle d’accueillir les patients, de mettre le code correspondant sur leur bon d’examen, d’enregistrer ceux qui ont déjà payé, de les faire attendre dans le hall jusqu'à leur tour, de rendre les clichés interprétés aux patients après les avoir enregistrés.

2.2.2. Dans la salle d’examen

Ce compartiment est prioritairement réservé à la réalisation des examens radiographiques. Ainsi nous avons eu l’occasion de suivre et de réaliser toute seule les examens standards, à confronter nos cours théoriques reçus aux réalités des pratiques du terrain et à acquérir la dextérité et la compétence en matière de la réalisation de l’Hystérosalpingographie.

HOUEDIER Candide

&

AGBADI Firmin

KOHINTO Lemer Serge

AMEYAPOH Adjo Délali Une journée

Salle d’examen Chambre noire et

secrétariat

(29)

2.2.3. Dans la chambre noire et dans la chambre claire

Dans la chambre noire nous avons renouvelé les solutions de développement, préparé d’autres et chargé les cassettes en fonction des examens à réaliser. Les notions d’enregistrement d’image que nous avons reçues dans notre établissement ont été d’une grande utilité. Ainsi après irradiation, nous passons au développement. A ce niveau nous apprêtons les films pour les introduire successivement dans:

- Le révélateur pour révéler l’image;

- Le bain d’arrêt pour mettre fin à l’action du révélateur;

- Le fixateur qui permet de rendre définitive l’image révélée - Puis le bain de lavage final.

En ce qui concerne la chambre claire, c’est dans celle-ci que nous séchions les clichés puis nous vérifions leur critère d’évaluation.

(30)

Tableau I: Bilan des examens réalisés dans le service de radiologie du CHUZ- AC/SA au cours de la période de notre stage.

Examens Réalisés

personnellement Total Fréquences en

%

Crâne/sinus (Blondeau) 27 91 29,67

Ceinture scapulaire 28 75 37,33

Membres thoraciques 40 154 25,97

Thorax osseux 15 43 34,88

Poumons et télécœur 95 241 39,42

Ceinture pelvienne 30 85 35,29

Membres pelviens 126 384 32,81

Rachis 50 158 31,65

ASP 07 23 30,43

HSG 05 37 18,92

UIV 00 00 00,00

UCR 00 00 00,00

LB 00 00 00,00

TOGD 00 00 00,00

Total 419 1291 100,00

Au total, nous avons reçu au cours de notre stage 1291 examens et nous en avons réalisé personnellement 419 ce qui nous donne un indice de soit 32,46 %. Il ressort de ce tableau que la radiographie des membres pelviens est la plus fréquente avec un effectif de 384 examens.

En ce qui concerne les examens spéciaux, seul l’HSG à été réalisé avec un effectif de 37.

(31)

2.3. DIFFICULTES RENCONTREES

Durant notre stage dans le service d’Imagerie Médicale du CHU/AC/SA, nous avons rencontré dans l’exécution de nos tâches d’énormes difficultés.

Parmi celles-ci nous pouvons citer :

-le tube décentré qui nous oblige à augmenter le champ d’irradiation;

-le tube de l’appareil à RX qui ne permet pas de faire les angulations;

-des pannes fréquentes du numériseur qui retarde le bon déroulement des examens ;

-l’absence de matériels de contention qui ne facilite pas le positionnement des patients polytraumatisés et surtout des enfants;

-la rareté des examens spéciaux qui ne nous permet pas de confronter la théorie à la pratique;

-Les films qui sont percés avec des ciseaux, ce qui crée des risques de blessures et de présence d’artéfact sur les clichés;

-Absence de cadre pour la fixation des films qui nous oblige à plonger ceux-ci avec nos mains dans les solutions;

-la chambre noire toujours inondée à cause d’un défaut du système de plomberie, qui ne nous donne pas le goût au travail;

-l’absence du séchoir pendant les 4 premières semaines, qui nous obligeait à sécher les films au soleil.

(32)

2.4. PROBLEMATIQUE

En milieu hospitalier, l’Imagerie Médicale joue un rôle important parce qu’elle aura permis le diagnostic des affections soit près de 95%. L’une des techniques utilisées par celle-ci au Bénin est la radiographie conventionnelle qui utilise les rayons x pour donner des images des parties du corps sur un support, appelé film radiographique. La réalisation de bons examens radiologiques dépend non seulement de la dextérité du technicien mais principalement de l’équipement technique utilisé. Il s’agit essentiellement de l’appareil de radiographie et du système de développement des films irradiés. Aussi une meilleure fréquentation d’un service de radiologie repose sur l’état et la fiabilité de l’équipement technique à fournir de bons radiogrammes.

Il apparait donc impératif qu’en raison de la place occupée par les équipements dans le domaine de la radiologie, une attention particulière devrait être accordée à ces outils de travail qui conditionnent la production des rayons x et par conséquent la qualité de l’image radiographique. Ainsi, maintenir les performances des équipements revendiquées par le fabriquant devrait être la préoccupation première des techniciens utilisateurs de ces équipement. Mais, nous avons remarqué durant notre stage une certaine légèreté dans l’attention accordée aux équipements dans le service. Nous avons alors choisi d’effectuer une étude sur le thème : «La mise en évidence de l’importance de la maintenance préventive des équipements de radiologie : cas du Centre Hospitalier Universitaire de Zone d’Abomey - Calavi /Sô-Ava».

(33)

2.5. OBJECTIFS DE L’ETUDE

Le but de cette étude basée sur la maintenance préventive se retrouve en trois points essentiels qu’il convient de souligner :

2.5.1. Objectif général

Cette étude nous permettra de manière général de :

 contribuer à l’amélioration de la qualité des prestations dans l’unité de radiologie du CHUZ-AC/SA en montrer la place de choix qu’occupe la maintenance préventive dans le maintien en bon état des équipements de radiologie.

2.5.2. Objectifs spécifiques

Plus spécifiquement, elle nous permettra de :

 cerner la notion de maintenance préventive ;

 montrer les modalités et étapes de sa mise en œuvre ;

 Sensibiliser l’administration du CHUZ-AC/SA et les autorités à divers niveau sur la nécessité d’acquérir de nouveaux matériels accessoires nécessaire à la maintenance préventive.

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TROISIEME PARTIE : ETUDE

DU THEME

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INTRODUCTION

Pour mieux appréhender l’idée de la problématique de la maintenance préventive des équipements de radiologie, il s’avère très nécessaire de décrire chacune des éléments entrant en ligne de compte. Ainsi le présent chapitre que voici, abordera tous les aspects de cette description pour une meilleure compréhension de notre étude. Aussi après, il abordera successivement et dans l’ordre : les expériences réalisées suivies des résultats obtenus, les commentaires et analyses pour finir par quelques suggestions.

3.1. GENERALITE

3.1.1. L’appareil de radiodiagnostic [5]

Un appareil de radiologie est un ensemble, constitué d'un tube radiogène, d'un générateur de haute tension, d’un circuit de milliampèrage et de circuit annexe, le tout commandé depuis une console de contrôle (ou pupitre de commande). Ces éléments sont dans la plupart des installations radiographiques soit fixes, dont le poids et le volume occupés dépendent essentiellement du type de générateur et de sa puissance, soit assemblés dans des unités compactes destinées à être déplacées au chevet du malade. Ce dernier cas, c’est l’appareil mobile à rayon-X. Les appareils radiographiques portables rassemblent tous les constituants en un volume réduit de 15 à 20kg.

3.1.1.1. Le tube radiogène

Le tube radiogène est une enveloppe de verre pyrex, de forme cylindrique à l’intérieur duquel est fait un vide très poussé (de l’ordre d’un nanomètre de hauteur de mercure) et dans cette enveloppe sont logés le bloc cathodique

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Figure III : schéma du tube à rayon x [10]

La cathode [6]

La cathode correspond à la partie négative du tube radiogène. Il s’agit d’un filament en forme de spirale composé généralement de tungstène et de trace de thorium. Les électrons sont émis à la cathode par un mécanisme de thermo-émission : la cathode est amenée à haute température par un courant électrique. Les électrons libérés par la haute température sont soumis à une différence de potentiel et sont précipités sur l’anode avec une grande vitesse. Le filament est monté dans une pièce creuse appelée pièce de concentration, dont la finalité est de focaliser les électrons sur l’anode. Sur certains appareils, la cathode est constituée de deux filaments de taille différente. Le grand filament permet d’augmenter le flux d’électron et donc la production de rayons-X alors que le petit filament permet de concentrer un faisceau d’électron plus faible sur une petite surface de l’anode, améliorant ainsi la finesse de l’image.

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L’anode

L’anode est la partie positive du tube radiogène et correspond à la cible.

C’est là que sont produits les rayons-X, lorsque les électrons accélérés par la différence de potentiel entre les deux électrodes viennent percuter l’anode. La surface de bombardement des électrons sur l’anode s’appelle le foyer et sa taille est un élément déterminant de la finesse de l’image .Les rayons-X sont émis dans toutes les directions à partir du foyer, mais sont partiellement arrêtés par l’anode elle-même. La plus grande concentration des rayons-X se retrouve donc dans une direction perpendiculaire à la surface de l’anode : on parle d’anode réflective. La surface de l’anode est oblique par rapport à la direction du faisceau d’électron de manière à permettre à d’avantage de rayon-X de pouvoir sortir du tube. [4]

La production de rayons-X est très inefficace puisque le rendement dans les tubes radiogènes de radiodiagnostic est d’environ 1%. Une grande quantité de chaleur est produite en même temps que les rayons-X, ce qui pose des problèmes technologiques importants et qui limitent, en tout état de cause, la quantité de rayon-X produite. L’anode est généralement composé de tungstène car le tungstène à un numéro atomique élevé (Z= 74), qui favorise le rendement, mais aussi une température de fusion élevé (3410°). [6]

La surchauffe, qui peut entrainer une fonte du foyer dépend de la concentration en électron sur l’anode et de leurs énergies. Le flux de rayon-X produit dans le tube dépend donc de la taille du foyer (qui dépend lui-même de la taille du faisceau d’électron et donc de la taille de la cathode.), du flux d’électron (mesuré en mA) et de leur énergie (mesurée en KV). La surchauffe de l’anode limite donc la puissance électrique (kW) utilisable pour produire les rayons-X. [4]

Les avantages de l’anode tournantes sont une augmentation de la quantité de rayons-X produit, et donc d’une possibilité d’augmentation de la puissance du générateur. Les appareils équipés d’anode tournante sont de puissance supérieure à 15-20kW. L’autre avantage majeur est de pouvoir diminuer la taille du foyer à la faible puissance et d’améliorer ainsi la finesse de l’image lors de la prise d’une radiographie. Un temps de mise en route de l’anode doit être respecté et le déclenchement se fait toujours en deux (02) temps.

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Le vide [9]

Dans le tube de Röntgen, le vide est poussé au maximum jusqu’environ 10-6mm Hg. C’est un vacuum.

Enveloppe de protection [5]

Le tube radiogène est entouré de plusieurs enveloppes de protection permettant d’assurer une protection électrique, thermique et mécanique du tube, tout en assurant la protection des utilisateurs contre la fuite des rayonnements.

Le tube radiogène est entouré d’une ampoule de verre qui à pour fonction d’assurer une isolation électrique, d’évacuer la chaleur produite et d’assurer un vide aussi parfait que possible. L’ampoule est généralement composée de verre ou d’une combinaison de verre et de métal ou de céramique. L’ampoule baigne dans de l’huile, qui participe au système de refroidissement. Le tout est enfermé dans une gaine métallique, assurant l’évacuation de la chaleur produite, la protection mécanique du tube et l’absorption des rayons-X indésirables.

L’enveloppe protectrice laisse échapper les rayons-X par une fenêtre de sortie. Les rayons-X les moins énergétiques, qui ne contribueront pas à la formation de l’image, mais qui pourront avoir des effets biologiques, sont éliminés par un filtre d’aluminium. La taille du faisceau de rayons X est ensuite ajustée par l’utilisation de diaphragmes.

La gaine du tube [8]

Il s’agit d’une fine couche de plomb qui contient l’ensemble du tube.

L’huile minérale contenue entre la gaine et l’ampoule permet l’équilibre des températures entre ces divers éléments et joue un rôle d’isolent et d’agent refroidisseur.

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3.1.1.2. Le générateur de haute tension [3]

Le générateur de haute tension produit un courant anodique allant de la cathode à l'anode, le plus constant possible et une haute tension ajustable entre 50 et 120 kV. Un générateur classique est composé d’un redresseur de tension et d’un transformateur. Le générateur est une pièce maitresse de l’appareil radiographique, car il conditionne son fonctionnement, son rendement et sa fiabilité. Les générateurs triphasés fonctionnent sur le même principe que les générateurs monophasés, mais le courant triphasé permet de limité fortement les variations de tension au cours de l’exposition.

Il est constitué de trois(3) circuits électriques : - Circuit primaire de basse tension ;

- Circuit secondaire de haute tension ; - Circuit de chauffage du filament.

3.1.1.3. Console de contrôle

Encore appelée pupitre de commande, la console de contrôle est séparée de la table d’examen par un paravent plombé et permet à l'opérateur d'ajuster les trois (03) paramètres d'exposition radiographique : la haute tension (kV), l'intensité du courant (mA) et le temps de pose (ms). La haute tension représente la force de pénétration des rayons-X et permet de contrôler la quantité et l'énergie des rayons-X produits. L'intensité du courant (mA) définit le courant à travers le tube. Quant au temps de pose (ms), il détermine la durée de passage des rayons-X. Les deux (02) dernières grandeurs sont souvent regroupées en une seule, la quantité d’électricité, exprimée en milliampère seconde (mAs). Enfin, un déclencheur permet au technicien de prendre le cliché radiographique. La

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première étape consiste à faire tourner l’anode et la seconde à faire passer les rayons.

Ces trois paramètres d’exposition radiographique sont réglés de manière à produire de façon adéquate les rayons-X. ils sont choisis par le technicien en fonction de la structure explorée.

3.1.1.4. Les dispositifs auxiliaires [5]

Ils sont constitués par les accessoires permettant de filtrer ou de diminuer le rayonnement en vue d’améliorer la qualité de l’image. Ainsi, on à :

 Le diaphragme : c’est un élément constitué de volets radio opaques en plomb qui permettent de limiter l’exposition à la partie du corps concernée ;

 La grille anti-diffusante : elle est composée de lamelles en plomb empilées les unes sur les autres et disposées de façon à éliminer le rayonnement secondaire qui peut entrainer une perte de qualité de l’image (contraste, netteté, clarté).

Afin d’exploiter au mieux les équipements et dispositifs ainsi présentés, leurs maintenances préventive et curative s’avère indispensables. Un accent particulier sera mis sur la maintenance préventive, dont l’impact positif sur l’efficacité des services d’imagerie médicale mérite d’être souligné.

3.1.2. La maintenance préventive des équipements de radiologie [1]

La maintenance biomédicale se définit comme l’ensemble des opérations destinées à maintenir ou à rétablir un dispositif médical dans un état ou dans des conditions données de sureté de fonctionnement, pour accomplir une fonction requise ainsi que d’en réduire la probabilité de défaillance. Deux types

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de maintenance ressortent de cette définition à savoir la maintenance préventive et celle curative. Loin de constituer des alternatives indissociables, ces types de maintenances doivent coexister, même si la première permet de réduire la seconde.

3.1.2.1. La maintenance préventive comme moyen de réduction de la maintenance curative

La maintenance préventive est précisément un ensemble d’actions planifiées qui visent à réduire la probabilité de panne d’un équipement médical et à le maintenir dans un état optimal de fonctionnement. Elle n’est donc pas conditionnée à la survenance d’une défaillance, et à pour objectif de « prévenir plus tôt que guérir ».

Par contre, la maintenance corrective ou curative regroupe des actions réalisées suite à une panne et destinées à rétablir le fonctionnement d’un équipement médical, de manière durable. En cela, elle se distingue du simple

« dépannage » qui n’apporte qu’une réponse provisoire au problème relevé.

Ainsi définie, la maintenance curative intervient lorsque l’équipement à perdu une ou des qualités nécessaire(s) à son utilisation. Cette opération, effectuée dans le but de redonner à l’équipement sa qualité affectée, a un coût généralement élevé et peu aussi présenter l’inconvénient de rendre l’équipement temporairement indisponible.

Le principal enjeu de la maintenance préventive réside dans la nécessité de ne pas subir les pannes en se contentant de réagir à leur survenance. Elle contribue à réduire, dans la mesure du possible, les interventions curatives. Par conséquent, il est vital pour tout établissement hospitalier d’accorder une attention particulière à cette opération, qui poursuit plusieurs autres objectifs.

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3.1.2.2. Les autres buts de la maintenance préventive des équipements de radiologie.

La maintenance préventive des équipements des services d’imagerie médicale répond à plusieurs préoccupations relatives aux patients, à la gestion rationnelle des équipements mêmes et au fonctionnement du service d’imagerie médicale.

3.1.2.2.1. En ce qui concerne les patients

La maintenance préventive de l’appareil de radiodiagnostic vise :

la fiabilité des diagnostics : la pertinence d’un diagnostic établi sur la base de la radiologie est étroitement liée au fonctionnement optimal de l’appareil utilisé malgré la compétence de celui qui l’analyse. Or, l’appareil encore fonctionnel peut renfermer une anomalie que seule une maintenance préventive permettra de déceler ;

La continuité des soins : en diminuant la probabilité des défaillances des équipements de radiologie, la maintenance préventive vise à préserver l’activité du service d’imagerie et la continuité des soins.

3.1.2.2.2. En ce qui concerne la gestion rationnelle des équipements

La maintenance préventive des équipements de radiologie a également pour but :

- d’argumenter leur durée de vie ;

- de diminuer leur temps d’immobilisation, en cas de révision ou de pannes et d’amélioré leur disponibilité ;

- d’éviter la surconsommation d’énergie, d’eau, des produits, etc.

- d’optimisé l’amortissement de leurs couts.

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3.1.2.2.3. En ce qui concerne le fonctionnement du service d’imagerie

Au service d’imagerie, la maintenance préventive des équipements vise à : - limité les dépenses liées au fonctionnement du dit service, par la diminution des films rejetés ou d’examen refaits ;

- améliorer les conditions de travail des utilisateurs de l’équipement en limitant les risques d’irradiation et en promouvant une meilleur implication des techniciens dans la gestion des équipements. Pour atteindre ces objectifs, la maintenance préventive de l’appareil de radiodiagnostics fait intervenir des acteurs précis et des outils adaptés.

3.1.2.3. Les acteurs et les outils de la maintenance préventive de l’appareil de radiodiagnostic

Dans le cadre de la maintenance préventive des équipements de radiologie, divers outils sont utilisés par les acteurs qui interviennent dans ce processus.

3.1.2.3.1. Les acteurs de la maintenance préventive en radiologie

 les utilisateurs, à savoir les techniciens et ingénieurs d’imagerie médicale : sur ces derniers, repose une importante responsabilité en

matière de maintenance préventive. Etant les principaux manipulateurs de l’appareil de radiologie, ils doivent se servir de leurs savoir-faire et de leurs compétences, pour s’assurer quotidiennement du fonctionnement optimal des équipements. A cet effet, ils doivent non seulement entretenir les équipements, mais aussi réaliser des expériences à l’aide des matériels de vérification nécessaires.

 les techniciens et ingénieurs biomédicaux : il peut s’agir de l’équipe

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conception et de la mise en œuvre de la politique de maintenance. A cet effet, ils assurent la réalisation et le suivi de l’exécution du planning de maintenance préventive. Quant aux techniciens biomédicaux, ils

participent à la phase d’élaboration mais sont des acteurs de la

maintenance préventive dont ils assurent la traçabilité. Contrairement aux utilisateurs (techniciens ou ingénieurs d’imagerie médicale), ces acteurs peuvent démonter les équipements, en se servant, à cette fin, des outils nécessaires.

3.1.2.3.2. Les outils de la maintenance préventive en radiologie

Comme mentionné ci-haut, les divers acteurs de la maintenance préventive se servent d’outils adaptés à leur mission :

 les outils utilisés par l’équipe de radiologie : pour assurer leur partition en matière de maintenance, les techniciens et ingénieurs de radiologie

utilisent généralement les matériels ci-dessous, dans le cadre du contrôle du calibrage des facteurs techniques :

la toupie (manuelle ou motorisée), afin de vérifier le

fonctionnement effectif et intégral du système de minuterie ; l’échelle de Meyer, qui permet de s’assurer de la non-défectuosité du calibrage de l’intensité du courant ;

la cassette Wisconsin, en vue d’obtenir le niveau de précision de la haute tension, en s’assurant que la tension débitée par le tube correspond à celle qui est affichée ;

le disque étoilé de Nuclear Association, qui sert d’instrument de vérification des dimensions du foyer au niveau du collimateur ; le cylindre à barres de RMI qui permet aussi de vérifier les dimensions du foyer ;

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le cylindre de RMI et sa plaque, pour vérifier la collimation et l’alignement du faisceau ;

le densitomètre, pour mesurer la densité du faisceau ; etc.

 les outils utilisés par l’équipe biomédicale : pour effectuer la maintenance préventive, le service biomédical devra disposer de matériel de contrôle des mesures et d’essais mais également de l’outillage nécessaire aux opérations de démontages et de réglages, ainsi que les moyens

informatiques. On peut donc regrouper ces matériels dans les catégories suivantes :

les appareils de mesure (testeurs, sonde etc.) ;

les fournitures (câbles, ampoules, piles, pièces détachées) ; l’outillage (pinces, clés, tournevis, quincaillerie) ;

les moyens informatiques (ordinateur et logiciel de Gestion du Matériel Assistée par Ordinateur – GMAO – pour organiser une maintenance préventive fiable) ;

etc.

Il convient enfin de donner un bref aperçu de la procédure et des facteurs qui conditionnent l’efficacité de la maintenance préventive.

3.1.2.4. La procédure et les exigences de la maintenance préventive [2]

La figure ci-dessous schématise la procédure de la maintenance préventive.

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Figure IV : la procédure de maintenance préventive [2].

Source : Conçu d’après l’organigramme de la maintenance, de José Village (voir références page 52).

Maintenance préventive Planification

Exécution

Interne

Externe

Demande de devis Suivi de contrat

Validation des factures

Tests de sécurité- Contrôle qualité- Essais

Traçabilité GMAO

Remise en service du dispositif médical

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Les principales exigences de la maintenance préventive sont les suivantes : -une bonne organisation fonctionnelle : la maintenance préventive est une fonction qui doit être décrite de façon claire, par la rédaction de protocoles détaillant le fonctionnement du service biomédical en vue de sa mise en œuvre ; -une gestion documentaire : elle regroupe le classement de l’archive des divers documents utilisés pour gérer les équipements, tels que les enregistrements des maintenances ;

-un personnel compétent, notamment les techniciens en radiologie et l’équipe biomédical ;

-l’existence de moyens matériels adaptés et suffisants.

Cet aperçu général de la maintenance préventive des équipements de radiologie nous permettra de procéder à l’état des lieux de la mise en œuvre de cette fonction au CHUZ-AC/SA.

3.2. MATERIEL DE L’ETUDE

Dans le souci de poser un diagnostic pertinent, nous avons réalisé des tests de vérification portant sur la précision des facteurs techniques, les dimensions du foyer, la collimation et l’alignement du faisceau. Le but de ces tests étant de connaitre l’impact du défaut de maintenance préventive sur l’appareil à rayons X du CHUZ-AC/SA.

Le matériel utilisé regroupe : l’appareil à Rx

la développeuse manuelle le négatoscope

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des films de format 18x24 cm

un tablier plombé pour assurer notre protection des caches plombées

les outils de vérification de la précision des facteurs techniques : la toupie manuelle, l’échelle de Meyer, la cassette Wisconsin et le densitomètre ;

l’outil de contrôle des dimensions du foyer : le cylindre à barre de RMI ;

les outils de contrôle de la collimation et de l’alignement du faisceau : le cylindre de RMI et sa plaque.

3.3. METHODES D’ETUDE

Trois méthodes ont été exploitées pour la collecte des informations.

D’abord une recherche documentaire a été nécessaire, afin de disposer d’un aperçu sur le sujet. Ensuite, une enquête auprès des techniciens du service de radiologie du CHUZ-AC/SA a été faite. Aussi, des personnes ressources en maintenance hospitalière, notamment ceux du service de maintenance du CHUZ-AC/SA ont été consultés. Enfin, nous avons réalisé certains tests sur l’appareil à rayons X du CHUZ-AC/SA.

De la contribution des techniciens des services de radiologie et de la maintenance suite à la fiche d’enquête, il ressort que :

 le personnel de radiologie reconnait l’utilité de la maintenance préventive mais ignore l’existence d’une quelconque procédure au sein de l’hôpital ;

 le personnel de radiologie déclare également que les équipements de radiologies sont très peu entretenus ;

 le personnel de la maintenance affirme, quant à lui, ne pas être toujours qualifié pour intervenir sur l’appareil à rayon X, en cas de notamment de défaut de calibrage des facteurs techniques.

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LES EXPERIENCES ET LES RESULTATS

Le diagnostic qui sera établi à la fin de ce chapitre est l’analyse des résultats issus des tests ou expériences que nous avons réalisés, suivant une méthodologie définit à travers un protocole.

3.3.1. Test de vérification du temps de pose : méthode de la toupie

C’est une méthode qui permet l’évaluation du système de minuterie, de vérifier l’état des redresseurs et du bouton d’exposition, à partir de l’interprétation des résultats obtenus.

Description du matériel

La toupie est un disque métallique généralement réalisé en cuivre, en aluminium ou dans un alliage de ces deux métaux, et percé d’un trou (sténopé) vers la périphérie. Elle peut être manuelle ou motorisée. Dans le cadre de l’expérience, nous avons utilisé une toupie manuelle. Cependant, d’autres instruments tels qu’un film et un tablier plombé ont été utilisés. Egalement, deux caches plombés ont été nécessaire, dans la mesure où le diaphragme du tube n’est pas fidèle.

Protocole

On place la toupie dans le champ d’irradiation et perpendiculaire aux rayons centraux. Un opérateur porte le tablier plombé et se charge de faire tourner la toupie à vitesse moyenne pendant qu’un autre irradie. L’expérience s’est déroulée quatre fois, à des temps de pose différents (l’intensité du courant, la haute tension et la distance foyer-film étant constantes), en prenant soin de numéroter chaque exposition.

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Résultats

On observe sur chacune des irradiations, des arcs de cercle. Ici, le redressement de la tension d’alimentation du générateur est en mode triphasé. Il convient alors, pour connaitre le temps de pose débité par le tube, de mesurer ces arcs de cercle. Pour le redressement triphasé, l’angle de l’arc est proportionnel au temps de pose, puisque en une seconde la toupie fait un tour.

Ainsi on calcule l’angle par le produit : =360 x t Avec t en seconde et en degrés.

Facteurs techniques utilisés

Tableau N°II : Facteurs techniques utilisés et angles mesurés dans la cadre de l’évaluation du temps de pose

Expositions Intensité du

courant (mA)

Haute tension (kV)

DFF (cm)

Temps de pose affiché (s)

Angle mesuré (°)

01 500 60 100 0,016 29

02 500 60 100 0,020 34

03 500 60 100 0,025 43

04 500 60 100 0,025 50

Source : nos expériences Evaluation

Tableau N°III : Comparaison des angles mesurés et attendus dans la cadre de l’évaluation du temps de pose

Expositions Angle mesuré(°) Angle attendu(°)

01 29 05,76

02 34 07,20

03 43 09,00

04 50 09,00

Source : nos expériences

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3.3.2. Test de vérification de la précision du calibrage de l’intensité du courant : méthode de l’échelle de Meyer

Description du matériel

L’échelle de Meyer est un bloc métallique généralement en aluminium ou en cuivre taillé en escalier dont chaque élément est appelé échelon. Il est utilisé comme pénétromètre en vue de contrôler la force de pénétration des rayons. Les autres instruments utilisés sont :

- des films (ici deux film de format 24x30cm) ; - le négatoscope ;

- et un densitomètre.

Protocole

On place l’échelle perpendiculairement à la direction cathode-anode, le rayon central traverse l’échelle par l’échelon du centre et la casette est placée en dessous de l’échelle. On maintient constante le mAs pour avoir le même effet photographique et on fait varier aussi bien le temps de l’intensité du courant. La haute tension reste également constante. On irradie l’échelle en parcourant tout le calibre et ensuite on développe le cliché.

Résultats

Il s’agit de clichés présentant les barrettes. Pour interpréter les résultats, on mesure la densité d’un échelon, de préférence celui du milieu pour tous les choix de milli ampérage. La comparaison des densités au niveau du même échelon devrait donner le même résultat.

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Facteurs techniques utilisés

Tableau N°IV : Facteurs techniques utilisés et densité mesurées lors de la vérification de l’intensité du courant

Expositions Quantité d’électricité (mAs)

Intensité du courant (mA)

Temps de pose (s)

Haute tension (kV)

DFF (cm)

DM

01 10 250 0,040 80 100 1,22

02 10 320 0,032 80 100 1,36

03 10 400 0,025 80 100 1.16

04 10 500 0,020 80 100 1.35

Source : nos expériences

3.3.3. Test de vérification du calibrage de la haute tension : méthode de la cassette Wisconsin

Description du matériel

La cassette Wisconsin est une modification des cassettes ordinaire avec un seul écran renforçateur. Elle est divisée en six régions et une dernière réservée à l’information. Les cinq premières portent chacune une paire de colonne de dix trou chacune et les régions A, B, C et D couvrent respectivement les gammes de 60kV, 80kV, 100kV et 120kV tandis que la région CDA permet d’évaluer une filtration excessive dans une gamme de 60kV. En outre, nous avons utilisé :

- Le densitomètre ;

- Les caches plombés ;

- Un film de format 18 X 24 cm.

Protocole

Après avoir chargé la cassette, on la pose sur la table avec son axe parallèle à l’axe cathode-anode. A chaque irradiation, le rayon central est au milieu de la zone concernée tandis que les autres régions sont protégées avec les caches plombés. Après le développement du film, on obtient une image constituée de cinq pairs de colonnes contenant chacun dix trous de chaque pair

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