• Aucun résultat trouvé

S-arrangements avec répétitions de tas II

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "S-arrangements avec répétitions de tas II"

Copied!
6
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: hal-00265871

https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00265871

Preprint submitted on 20 Mar 2008

HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

S-arrangements avec répétitions de tas II

Sylviane Schwer

To cite this version:

Sylviane Schwer. S-arrangements avec répétitions de tas II. 2001. �hal-00265871�

(2)

S-arrangements avec r´ep´etitions de tas II

Sylviane R. Schwer

LIPN, UPRESA CNRS 7030, Universit´e Paris 13, Institut Galil´ee 99, Avenue Jean-Baptiste Cl´ement 93430 Villetaneuse, France

fax : +33 (1) 48.26.07.12 t´el. : +33 (1) 49.40.36.84 e-mail : schwer@lipn.univ-paris13.fr

20 mars 2008

R´esum´e

Nous ´etudions quelques familles d’objets isomorphes ` a l’ensemble des arrangements avec r´ep´etitions par des blocs de tas ou multi-ensembles puis nous introduisons une op´eration alg´ebrique de composition fond´ee sur les S-mots.

mots clefs : langages formels, chemins dans des hypercubes, syst`emes d’addition de vecteurs, ordres et pr´eordres, intervalles g´en´eralis´es.

1 Introduction

Nous avons introduit dans [8] la notion de S-arrangement avec r´ep´etitions de tas, ainsi que des outils de th´eorie des langages pour les traiter (S-alphabets, S-mots et S-langages) et fait quelques

´enum´erations de ces objets. Dans cet article, nous montrons une correspondance naturelle de cette famille avec une famille particuli`ere de langages associ´es `a une certaine famille de syst`emes d’addition de vecteurs, ou r´eseaux de Petri [6], lesquels constituent un outil largement r´epandu de mod´elisation des communications entre processus parall`eles. Nous en d´eduisons une repr´esentation g´eom´etrique `a l’int´erieur d’un n-hypercube de l’ensemble des S-arrangements avec r´ep´etitions de n tas, le cas binaire correspondant aux chemins de Delannoy [9, p.411]. Puis nous ´etablissons des correspondances entre l’ensemble des S-arrangements avec r´ep´etitions de tas, les pr´e-ordres lin´eaires engendr´es par des ordres totaux et l’ensemble des positions relatives d’intervalles g´en´eralis´es [4]. De plus, nous introduisons une op´eration sur les S-langages qui g´en´eralise l’op´eration de composition de [4].

Nous renvoyons le lecteur ` a [1] pour les notions et notations de la th´eorie des langages, `a [6] pour celles concernant les syst`emes d’addition de vecteurs et ` a [8] pour celles concernant les S-langages.

2 S-Syst` emes d’Addition de Vecteurs et Repr´ esentations g´ eom´ etriques

2.1 S-Syst` emes d’Addition de Vecteurs

Nous reprenons la d´efinition de [7], puis nous introduisons la notion de S-VAS comme satur´e d’un VAS sur le S-alphabet.

D´ efinition 2.1 Un n-syst`eme d’addition de vecteurs (n-VAS) est un triplet A = (X, ϕ, ~a) o` u X

∗ n n

(3)

Nous associons au n-VAS A = (X, ϕ, ~a) sur X le langage L

A

(~a ↓) = {f ∈ X

|~a + ϕ(f ) = ~ 0 et (∀g ∈ X

)((g est facteur gauche de f) ⇒ ( ~a + ϕ(g) ≥ ~ 0)}.

D´ efinition 2.2 Etant donn´e un n-VAS A = (X, ϕ, ~a), le n-S-VAS associ´e est le n-VAS A

S

=( X, b ϕ, ~a) b o` u ϕ(s) = b P

x∈s

ϕ(x).

La construction d’un n-S-VAS fait qu’` a chaque S-lettre de X est associ´e le vecteur traduisant la consommation d’une occurrence de chaque lettre pr´esente dans la S-lettre. Pour consommer p

i

occurrences de x

i

, il faut utiliser exactement p

i

S-lettres contenant x

i

.

Soit alors B

n

= {e

1

, . . . , e

n

} la base canonique de Z

n

, soit ν

X

= {x

p11

, . . . , x

pnn

} un n-tas sur l’alphabet X = {x

1

, . . . , x

n

}. D´efinissons le n-VAS B

n

= (X, β, ~ ν(X

n

)) en posant ∀i ∈ [n], β(x

i

) = −e

i

, nous avons alors le r´esultat suivant :

Th´ eor` eme 2.1 Il existe une correspondance naturelle entre L

BSn

(~ ν(X) ↓) et ∨ ∨ν

X

.

2.2 Repr´ esentation g´ eom´ etrique.

L’ensemble des vecteurs accessibles de B

nS

valant l’ensemble fini Q = {~a ∈ Z

n

| ~ 0 ≤ ~a ≤ ~ ν(X

n

)}, le graphe de couverture de Karp et Miller [6] fournit directement un automate fini d´eterministe G

BSn

(~ ν(X ) ↓) g´en´erant le langage L

BSn

(~ ν(X ) ↓).

En suivant les notations de [1, p.71–75], G

BnS

(~ ν(X) ↓) = h X, Q, ~ b ν (X

n

), { ~ 0}, δi tel que (q, x, q

) ∈ δ si et seulement si q

= q + ϕ(x), b ∀q ∈ Q, ∀x ∈ X b .

Cet automate G(B

Sn

) poss`ede Q

n

i=1

(p

i

+1) ´etats. Dessinons chaque ´etat `a l’emplacement qui lui correspond dans l’espace Z

n

, inversons le sens des fl`eches des arcs de transitions et nous obtenons une g´en´eralisation `a la dimension n des chemins de Delannoy [9] ou marches dans un Z -treillis avec diagonales [5]. Il en r´esulte

Corollaire 2.1 Soit ν

X

= {x

p11

, . . . , x

pnn

} un n-tas, il existe une correspondance naturelle entre

∨ ∨ν

X

et l’ensemble des marches al´eatoires avec diagonales de ~ 0 ` a ~ ν(X

n

) dans Z

n

avec progression positive unitaire ou nulle sur chacun des axes.

3 Pr´ e-ordres Lin´ eaires et Intervalles G´ en´ eralis´ es

3.1 Pr´ e-ordres lin´ eaires

Appelons ensemble lin´eaire un ensemble totalement ordonn´e. Rappelons qu’un pr´e-ordre sur un ensemble E une relation binaire r´eflexive et transitive et appelons pr´e-ordre lin´eaire un pr´e-ordre dont deux ´el´ements quelconques sont toujours comparables. Nous nous int´eressons au probl`eme suivant : ´etant donn´es n ensembles lin´eaires disjoints (L

1

, . . . , L

n

), L

i

poss´edant p

i

´el´ements,

∀i ∈ [n], combien de pr´e-ordres lin´eaires g´en`erent-ils, c’est-`a-dire, combien de pr´e-ordres lin´eaires pr´eservant leurs ordres peut-on construire ? Notons P(p

1

, . . . , p

n

) cet ensemble et P (p

1

, . . . , p

n

) le cardinal de celui-ci. En associant ` a chaque chaˆıne L

i

une couleur x

i

et p

i

boules, tout S- arrangement avec r´ep´etition du n-tas ν

X

= {x

p11

, . . . , x

pnn

} repr´esente un pr´e-ordre lin´eaire et tout pr´e-ordre lin´eaire obtenu ` a partir de (L

1

, . . . , L

n

) peut ˆetre d´ecrit par un S-arrangement avec r´ep´etition de ν

X

Il vient :

Proposition 3.1

(i)Il y a une correspondance naturelle entre P(p

1

, . . . , p

n

) et D(p

1

, . . . , p

n

)

(ii)P (p

1

, . . . , p

n

) = D(p

1

, . . . , p

n

)

(4)

3.2 Positions relatives d’intervalles g´ en´ eralis´ es

Dans [4], est introduit l’ensemble de toutes les positions relatives possibles entre une chaˆıne de longueur p et une chaˆıne de longueur q d’un ensemble lin´eaire (assez grand pour contenir au moins p+q ´el´ements. Il y est prouv´e que cet ensemble ´equivaut ` a un ensemble particulier de suites de p+q entiers Π(p, q). Nous g´en´eralisons le probl`eme ` a n chaˆınes et montrons son ´equivalence avec les probl`emes que nous ´etudions. Notons Π(p

1

, . . . , p

n

) l’ensemble de toutes les (p

1

, . . . , p

n

)-positions.

D´ efinition 3.1 Etant donn´e (p

1

, . . . , p

n

)∈ P

n

, Π(p

1

, . . . , p

n

) est l’ensemble des fonctions π de P

[p1+···+pn]

satisfaisant :

(i) (∃r ≤ p

1

+ · · · + p

n

), π[p

1

+ · · · + p

n

] = [r] et

(ii) (∀i ∈{ 1,. . . , n }), π

|[p1+···+pi−1+1,p1+···+pi−1+pi]

est strictement croissante.

Ainsi Π(2, 2) = {1234, 1223, 1324, 1214, 1323, 1212, 2314, 2313, 1423, 1312, 2413, 2312, 3412}.

Π(p

1

, . . . , p

n

) repr´esente bien toutes les positions possibles entre n chaˆınes (C

1

, . . . , C

n

), C

i

de taille p

i

, d’un ensemble lin´eaire contenant au moins p

1

+ · · · + p

n

´el´ements, car chaque suite est un codage associant au j

`eme

´el´ement de C

i

, de rang k dans le pr´eordre correspondant, le couple (p

1

+· · · +p

i−1

+j, k). Ainsi, un ´el´ement aparaˆıt autant de fois que le nombre de chaˆınes auxquelles il appartient, ce qui revient bien ` a travailler sur des chaˆınes disjointes. Montrons alors la

Proposition 3.2

(i) Il existe une une correspondance naturelle entre Π(p

1

, . . . , p

n

) et P(p

1

, . . . , p

n

).

(ii) Le cardinal de Π(p

1

, . . . , p

n

) est D(p

1

, . . . , p

n

)

preuve : (ii) d´ecoule de (i) que nous prouvons. Soit π ∈ Π(p

1

, . . . , p

n

) et X = {x

1

, . . . , x

n

} une famille - prise comme n-alphabet - de n ensembles lin´eaires distincts x

i

= x

i,1

≤ . . . ≤ x

i,pi

associ´ee au n-tas ν

X

= {x

p11

, . . . , x

pnn

}. Associons ` a chaque intervalle [p

1

+· · · + p

i1

+ 1, p

1

+ · · · +p

i

] l’ensemble lin´eaire x

i

= x

i,1

≤ . . . ≤ x

i,pi

par l’isomorphisme d’ordre de [n] sur S

n

i=1

x

i

d´efini par : ∀i ∈ [n], ∀k ∈ [p

i

], ϕ(p

1

+ · · · + p

i1

+ k) = x

i,k

. Sur S

n

i=i

x

i

, la relation binaire d´efinie par x y si et seulement si π(ϕ(x)) ≤ π(ϕ(y)) est un pr´e-ordre lin´eaire, d’apr`es les propri´et´es de π.

R´eciproquement, soit un pr´e-ordre total sur S

n

i=i

x

i

. Soit l’ordre total

induit sur les classes d’´equivalence. Notons r le nombre de ses classes.Construisons la fonction π de [p

1

+ . . . + p

n

] sur [r ] en posant ∀i ∈ [n], ∀k ∈ [p

i

], π

(p

1

+ · · · + p

i1

+ k) ´egale le nombre de classes inf´erieures ou ´egales `a la classe de x

i,k

. π ∈ Π(p

1

, . . . , p

n

). ✷

Nous ´etudions par ailleurs les propri´et´es de treillis de ces ensembles.

3.3 Op´ erateurs de Π(p

1

, . . . , p

n

)

Dans [4], trois op´erateurs naturels de Π(p, q) sont introduits. La transposition qui change l’ordre de prise en compte des chaˆınes, la sym´etrie qui inverse l’ordre de l’ensemble lin´eaire et la com- position qui permet, connaissant les positions relatives des chaˆınes C

1

et C

2

d’une part et C

2

et C

3

d’autre part, de calculer les positions possibles induites de C

1

et C

3

. Nous ´etudions les op´erations correspondantes dans le contexte des S-langages associ´es `a Π(p

1

, . . . , p

n

), soit ∨ ∨ν

X

, pour ν

X

= {x

p11

, . . . , x

pnn

}. La transposition est alors la fonction identit´e, la sym´etrie la fonction miroir [1, p.48]. La composition est l’op´eration fondamentale pour le raisonnement relationnel bi- naire. Par exemple si π

1

= 1234 ∈ Π(2, 2) et π

2

= 3412 ∈ Π(2, 2), alors π

1

◦ π

2

= Π(2, 2). Ce dont le lecteur se convaincra apr`es traduction sous forme de mots : aabb et ccbb donne (aa∨ ∨cc)bb, qui dit que si C

a

et C

c

sont avant C

b

, sans information compl´ementaire, C

a

et C

c

peuvent se trouver dans n’importe quelle position relative.

Puisque nous avons la possibilit´e de traiter globalement les trois chaˆınes, nous proposons une op´eration param´etr´ee qui g´en´eralise la composition, nomm´ee jointure.

Soit X un alphabet et f ∈ X b

, notons X

f

= {x ∈ X |kf k

x

6= 0}. Soit s, s

⊂ X , posons

′ ′

(5)

d’un S-mot f de X b

sur un sous-alphabet Y de l’alphabet X b comme le S-mot obtenu `a partir de f en supprimant toutes les occurrences n’appartenant pas ` a ce sous-alphabet ; on le note f

|Y

:

∀f ∈ X b

, ∀Y ⊂ X, f

|Y

= (f

1

⋓ Y ) . . . (f

r

⋓ Y ) si f = f

1

. . . f

r

avec f

i

∈ X b . On peut alors poser :

D´ efinition 3.2 Soit X ,Y et Z trois alphabets, et soit f ∈ X b

, g ∈ Y b

. On appelle jointure sur l’alphabet Z, et on note ⊲⊳

Z

l’ensemble

f ⊲⊳

Z

g = {h

|Z

| h ∈ (X ∪ \ Y ∪ Z)

, h

|Xf

= f et h

|Yg

= g}.

On omet l’indice Z dans f ⊲⊳

Z

g quand il vaut X ∪ Y . Ainsi acb

a

b

bab ⊲⊳ ecde

e b

e

b

bb = [e∨ ∨a]cde

e b

a

b e

bab.

Cette d´efinition s’´etend aux langages : la jointure sur Z de L et L

est le langage L ⊲⊳

Z

L

= {f ⊲⊳

Z

g|f ∈ L, g ∈ L

}.

Proposition 3.3 Soit X , Y et Z trois alphabets, et soit f ∈ X b

, g ∈ Y b

. (i) f ⊲⊳

Z

g 6= ∅ si et seulement si f

|X∩Y

= g

|X∩Y

(ii) Il existe une expression explicite (et r´eguli`ere) de f ⊲⊳

Z

g.

preuve : (i) d´ecoule des d´efinitions, ainsi que (ii) dans le cas o` u f

|X∩Y

6= g

|X∩Y

. Supposons que f

|X∩Y

= g

|X∩Y

f = f

0

h

f1

f

1

. . . h

f k

f

k

avec f

i

∈ X \ − Y

et h

f i

∈ X b et h

f i

∩ Y 6= ∅, g = g

0

h

g1

g

1

. . . h

gl

g

l

avec g

i

∈ Y \ − X

et h

gi

∈ Y b et h

gi

∩ X 6= ∅.

Posons h

i

= h

f i

∪ h

gi

et U = Z − (X ∪ Y ),

si X ∪ Y ⊂ Z, alors f ⊲⊳

Z

g = [(f

0

∨ ∨g

0

).h

1

.(f

1

∨ ∨g

1

) . . . h

k

.(f

k

∨ ∨g

k

)]∨ ∨U

sinon f ⊲⊳

Z

g = [(f

0

∨ ∨g

0

).h

1

.(f

1

∨ ∨g

1

) . . . h

k

.(f

k

∨ ∨g

k

)]

|Z

.

Il est bien connu que l’entrelacs est une op´eration qui conserve la rationalit´e, et c’est ´egalement vrai pour le S-entrelacs. ✷

La composition au sens de [4] est la jointure sur Z = X ∆Y avec card(X) = card(Y ) = card(Z) = 2.

R´ ef´ erences

[1] J.-M. Autebert. Langages Alg´ebriques. Masson, 1987

[2] J.-M. Autebert, M. Latapy, S. R. Schwer, Le treillis des chemins de Delannoy, soumis ` a Discrete Mathematics.

[3] D. Krob, M. Latapy, J.-C. Novelli, H. D. Phan et S. R. Schwer, Pseudo-permutations I: First Combinatorial and lattice Properties, 13

th

International Conference on formal power series &

algebraic combinatorics, 2001, May 20-26, Arizona State University.

[4] G. Ligozat. Intervalles g´en´eralis´es I et II. Comptes Rendus de l’Acad´emie des Sciences de Paris, s´erie A, Tome 310 (1990) 225-228 et 299–302

[5] L. Moser and H. S. Zayachkowski. Lattice paths with diagonal steps. Scripta Math. 26 (1963) 223–229

[6] J.L. Peterson. Petri Net Theory and the modeling of Systems. Prentice Hall, 1981

[7] S. R. Schwer. Fine covers of a VAS language. Theoretical Computer Science 95 (1992) 159–168

(6)

[8] S. R. Schwer. S-arrangements avec r´ep´etitions de tas I. soumis ` a Comptes Rendus de l’Acad´emie des Sciences de Paris.

[9] E. W. Weisstein. CRC Concise Encyclopaedia of Mathematics. CRC Press, 2000.

Références

Documents relatifs

2) La répétition : Si on remet chaque boule tirée dans l’urne avant de tirer la suivante, on peut tirer plusieurs fois la même boule : on parle alors d’un tirage avec répétition

Cette publication régulière de fi- ches dans notre bulletin nous a d'ailleurs valu la proposition de Freinet de vouloir bien nous occuper de la Commission du

• Etude des pr´ ´ edicats/constructions encore plus cruciale, aspects alg´ ebriques.

Comme 1 2 est symétrique, ceci contredirait la deuxième relation intervenant dans la définition d’un quasi-ordre. C’est dire exactement que:

Résumé : Des tableaux de contingence indicés par le temps définissent l'évolution des modalités de deux variables qualitatives* Nous étudions cette évolution à l'aide d'une

- Comment faire pour obtenir un 'tri en place', c'est à dire sans utilisation de listes

Algorithme A* : arriver `a sa destination malgr´e des

ordre de Slater d’un tournoi, les méthodes exactes de résolution sont fondées sur des énumérations plus ou moins exhaustives des ordres totaux possibles (voir