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Étude par diffraction de neutrons de la structure nucléaire et magnétique de DyAlO3

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HAL Id: jpa-00206640

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00206640

Submitted on 1 Jan 1968

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Étude par diffraction de neutrons de la structure nucléaire et magnétique de DyAlO3

R. Bidaux, P. Mériel

To cite this version:

R. Bidaux, P. Mériel. Étude par diffraction de neutrons de la structure nucléaire et magnétique de DyAlO3. Journal de Physique, 1968, 29 (2-3), pp.220-224. �10.1051/jphys:01968002902-3022000�.

�jpa-00206640�

(2)

ÉTUDE

PAR

DIFFRACTION

DE NEUTRONS

DE LA

STRUCTURE NUCLÉAIRE ET MAGNÉTIQUE

DE

DyAlO3

Par R. BIDAUX et P.

MÉRIEL,

Service de Physique du Solide et de Résonance

Magnétique,

Centre d’Études Nucléaires de Saclay.

(Reçu

le 5 août

1967.)

Résumé. 2014

DyAlO3

devient

antiferromagnétique

en dessous de TN = 3,48 ± 0,03 °K.

Le groupe

d’espace magnétique

est Pb’n’m’, la structure

magnétique

de

type Gx Ay.

Le moment

magnétique

des ions de Dy

(8,8

± 0,3 03BCB au zéro

absolu)

fait avec l’axe a un

angle

de 57 ±

indépendant

de la

température.

Les interactions

responsables

de l’ordre

magnétique

sont pour la

plus grande part d’origine dipolaire.

Abstract. 2014

DyAlO3

is

antiferromagnetic

below TN =

3.48 ±

0.03 °K. The

magnetic

space group is Pb’n’rn’, the

magnetic

structure of

GxAy type.

The

angle

of the

magnetic

moment of Dy ions

(8.8 ±

0.3 03BCB at absolute

zero)

with the a axis, 57° ± 2°, is

independent

of

temperature.

Interactions are, for the most

part, dipolar.

DyAI03

est une

p6rovskite d6form6e,

orthorhom-

bique, appartenant

au groupe

d’espace

Pbnm et de

parametres [1] :

Le motif

comprend quatre

molecules

DyAlo3’

Au cours d’une 6tude ant6rieure sur le grenat d’aluminium et de

dysprosium

ou cette

p6rovskite

existait a 1’6tat

d’impuret6,

il avait ete

signale [2]

qu’elle

devenait

magnétiquement

ordonn6e en dessous

de

3,42 ± 0,05

OK. La

pr6sente 6tude,

effectuee sur

un 6chantillon de

p6rovskite

pure, a pour but de

pr6ciser

la structure nucl6aire de cette substance et sa structure

magn6tique

de basse

temperature

par dif- fraction de neutrons.

I. Structure nucléaire. - Un

spectre

obtenu a la

temperature

ambiante permet de

pr6ciser

la

position

des atomes dans la

maille, principalement

celle des

atomes

d’oxyg6ne auxquels

un

spectre

X est peu sensible. A cause de la forte

absorption

des neutrons

thermiques

par le

dysprosium,

la

poudre

de

p6rovskite

est contenue dans une cassette

plate

en aluminium

mince

plac6e

en transmission

symetrique

sur le

trajet

du faisceau. Un affinement par moindres carr6s conduit aux valeurs des

param6tres

donn6es dans le

FiG. 1. - Motif cristallin de

DyAlOg

en

projection

sur

le

plan

001

(origine

en

001/4).

Les contours de la maille sont en traits

pleins,

ceux de la

pseudo-maille p6rovskite

en tirets.

tableau

I,

l’accord entre intensités observ6es et cal- cul6es 6tant donne par le tableau II. La maille est

representee

en

projection

sur la

figure

1. Sur cette

figure,

on a trace en tirets la

pseudo-maille p6rovskite.

Dans la

p6rovskite

«

ideale », cubique,

les atomes de

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:01968002902-3022000

(3)

221

TABLEAU I

POSITIONS DES ATOMES DANS LA MAILLE DE

DyAI03 (Pbnm)

TABLEAU II

COMPARAISON ENTRE LES INTENSITES NUCLEAIRES OBSER-

VEES ET CALCULEES A TEMPERATURE AMBIANTE :

dysprosium

en

occuperaient

les sommets, l’aluminium le centre, les atomes

d’oxygène

le centre des faces.

En

fait, chaque

atome d’aluminium est entour6 d’un octaèdre d6form6 d’atomes

d’oxyg6ne

a des distances

comprises

entre

1,87

et

1,99 A (dans

le

corindon,

la

plus

courte distance Al-0 vaut

1,89 A). Chaque

atome de

dysprosium

est entour6 de 12 voisins

oxyg6ne

a des distances

qui

s’6chelonnent entre

2,27

et

3,28 A (plus

courte distance

Dy-O

dans

Dy203 : 2,24 A).

Le spectre obtenu a

4,2

OK est

identique

- a

1’agi-

tation

thermique pres

- au

spectre

obtenu a

temp6-

rature ambiante.

Donc,

a

4,2 OK,

la structure nu-

cl6aire est rest6e la meme

qu’a

l’ambiante et les ions

Dy

sont encore dans 1’etat

paramagnétique.

II. Structure

magndtique.

- A

1,5 OK,

le spectre

est

profondément

modifi6. A cette

temperature,

le

reseau des ions

Dy

est

magnétiquement

ordonn6. Le spectre difference entre

4,2

et

1,5

OK

( fig. 2) repr6sente

le spectre «

magnetique »

de

DyAI03.

Les raies de

ce spectre sont dues

uniquement

a la diffraction par le reseau

magn6tique

ordonn6 a

1,5

OK. On constate :

1) Que

toutes les raies

magnétiques

s’indexent dans la maille

nucléaire,

bien que certaines d’entre elles

ne satisfassent

plus

aux conditions d’extinction du groupe

d’espace nucleaire;

2) Que

les raies fortes sont celles pour

lesquelles

I

est

impair.

Les seules

configurations antiferromagnétiques

sim-

ples

satisfaisant a ces conditions sont de

type

A ou G

([3] et fig. 3),

et il est evident

qu’elles coexistent,

les

r6gles

d’extinction

correspondant

a un seul des

types

purs A ou

G, rappel6es

dans la

figure 3,

ne pou- vant rendre

compte

de 1’ensemble des raies fortes observees.

Il devient alors facile de determiner le groupe

d’espace magn6tique

de cette structure. En

effet, parmi

tous les groupes

magn6tiques compatibles

avec

le groupe

d’espace Pbnm,

huit sont de la classe de Pbnm lui-meme. Le tableau III donne pour chacun de ces

TABLEAU III

LES HUIT GROUPES D’ESPACE

MAGNETIQUES

DE LA CLASSE

DE Pbnm ET LES STRUCTURES

MAGNETIQUES

INVA-

RIANTES DANS CES GROUPES SUR LE SITE DE TERRE RARE.

(4)

FIG. 2. -

Spectre

«

magnétique

» de

DyAI03 (spectre

difference entre 4,2 et 1,5

OK).

FIG. 3. - Structures

magn6tiques

colineaires pour

lesquelles

la maille

magn6tique

a memes dimensions que la maille nucleaire. Les cercles noirs et blancs

correspondent

a des moments

magn6tiques opposes.

Pour

chacune de ces structures, les indices hkl des raies de diffraction intenses

qui apparaissent

satisfont aux

conditions

indiquees.

groupes les modes

qui peuvent

s’6tablir sur les deux sites et

qui

laissent la structure

magn6tique

invariante

sous 1’effet des

operations

du groupe.

(On

reconnait

dans ce tableau les huit «

representations »

donn6es

par Bertaut

[4]).

On voit alors que les modes A et G

ne

peuvent

coexister que sous la forme

Gx Ay (si

le

groupe

magn6tique

est

Pb’ n’ m’)

ou

G, Ax (si

le groupe

est

Pbnm’).

L’examen du

paquet

de raies

(021, 003, 201) permet

imm6diatement de trancher entre les deux

possibilités :

dans le

premier

cas, la reflexion 201 est onze fois

plus

intense que la reflexion 021. Dans le

second,

elle est six fois

plus

faible. Bien que le

pouvoir s6parateur

du

spectrom6tre

ne soit pas suffisant pour isoler ces deux

réflexions,

l’ examen du

spectre (fig. 2)

montre a 1’6vidence que seule la

premiere configura-

tion

(Gx Ay)

est valable.

Elle conduit

cependant

a deux

configurations

pos- sibles

repr6sent6es

sur la

figure 4,

ces deux

configura-

tions ne differant que par le

signe

de la composante ay.

Elles seraient 6videmment

identiques

dans la

p6rov-

skite « id6ale », les deux structures 6tant alors super-

posables, manifestement,

par la translation

1/2, 1/2, 1/2.

C’est parce que la structure s’6carte un peu de

cette structure id6ale que les deux

configurations

ne

donneront pas exactement les memes intensités

magn6- tiques.

Mais on

peut

s’attendre a ce que ces differences soient faibles et

qu’il

soit difficile de decider

laquelle

des deux structures est la bonne.

Le calcul confirme cette

faqon

de voir. Les inten-

sit6s

magn6tiques

sont fonction

quadratique

des

composantes gx

du moment

magn6tique

suivant x et

ay suivant y. Les raies

permettant

en

principe

de

(5)

223

FIG. 4. - Les deux

configurations magnetiques possibles,

pour le site de

dysprosium

dans

DyAlo3,

de type

Gx Ay.

Elles different par le

signe

de la

composante

suivant y.

decider entre les deux structures sont celles

qui

com-

portent

un terme

rectangle ay gx qui change

de

signe

d’une structure a l’autre. Le coefficient de ce terme est

toujours petit

et le rend

toujours

tres faible vis-a-vis des termes

en av

ou

g2 X.

On

peut

alors utiliser les six raies intenses du spectre dont la seconde et la

cinquieme dependent uniquement

de gx, les

quatre

autres

de a, (hormis

les reflexions 111

et 113

qui dependent

aussi de gx, mais extrêmement

peu)

pour

déterminer ay

et gx, ainsi que le facteur de forme

magn6tique.

On

obtient,

a

1,50

oK :

soit un moment resultant a cette

temperature :

FIG. 5. - Facteur de forme

magn6tique

du

dysprosium.

En trait

plein,

facteur de forme observe dans

DyAlo3’

En tirets, facteur de forme

th6orique [5].

le moment faisant avec 1’axe a un

angle

de

57 ±

2o.

La

figure

5 donne le facteur de forme

magn6tique

obtenu. Les

points experimentaux

sont bien

groupes

sur

une courbe assez nettement en dessous de la courbe

pr6-

vue

th6oriquement

par

Blume,

Watson et Freeman

[5].

TABLEAU IV

COMPARAISON ENTRE LES INTENSITES

MAGNETIQUES

OBSERVEES ET CALCULEES A

1,5

°K 1

Le tableau IV compare les intensités

observ6es,

mises a 1’echelle

grace

aux intensités

nucl6aires,

avec

les intensités calcul6es

d’apr6s

les deux modèles. L’ac- cord le meilleur est obtenu pour la structure du pre- mier

type (R

=

4,2 %

contre

6,5 %

pour la structure

du second

type).

La

figure

6 montre 1’evolution de l’intensit6 de la reflexion 001

(qui depend uniquement

de la

composante ay)

et du groupe de reflexion O11-101

(qui

ne

depend

que de la

composante gx).

On obtient

ainsi pour

temperature

de Neel

TN

=

3,48 ± 0,03

°K.

D’autre part, les deux courbes trac6es sur la

figure

a travers les

points

de mesure 6tant

affines, I’angle

de 570 entre le moment

magn6tique

et 1’axe a ne

(6)

FIG. 6. - Variation de l’intensit6 des reflexions

magn6- tiques

001 et 011-101 en fonction de la

temperature.

Les

deux courbes

ajust6es

aux

points

de mesure sont affines.

varie pas avec la

temperature.

Connaissant la valeur du moment

magn6tique

a

1,50 OK,

on en deduit par

extrapolation

la valeur du moment

magn6tique

au

zero absolu :

8,8 Jb 0,3

lLB par atome de

dysprosium.

Cette valeur est inferieure a celle

(10 P-B) qu’on pourrait

attendre pour l’ion libre dans 1’etat fondamental

6H15/2.

III. Discussion. - Les

p6rovskites

de terres rares,

RM03

ou R est un ion de terre rare et M un ion

trivalent,

ont ete abondamment 6tudi6es

[3], [6], [7], [8], [9], [10].

En

regle g6n6rale,

on peut dire que les interactions dominantes sont les interactions

d’6change

M-M

(dans

le cas ou M est un ion du groupe du

fer),

les interactions M-R 6tant inferieures d’un ordre de

grandeur,

les interactions R-R encore inferieures d’un nouvel ordre de

grandeur.

Les interactions

responsables

de l’ordre

magn6- tique

dans

DyAI03

sont donc faibles

( TN

=

3,48 OK)

et il est int6ressant d’évaluer la contribution des inter- actions

magn6tiques dipolaires.

Le calcul

[11]

montre

que, si seules ces dernieres étaient en

jeu,

la

temp6ra-

ture d’ordre serait :

T N1 dip

=

3,274 ± 0,065

oK pour le mod6le 1

TN2 dip

=

3, 140 + 0,065

°K pour le mod6le 2 ou la tolerance

indiqu6e

ne tient compte que de l’in-

certitude sur la

position

des atomes de

dysprosium

dans la maille. L’incertitude sur

1’angle

des moments

magn6tiques

avec 1’axe a

(570 =1= 20)

aurait pour effet de modifier simultan6ment

Txi dip

et

TNz dip,

dans

le meme sens,

d’ environ =1= 4,5 %.

Ce calcul d’interactions

dipolaires

est fait évidem-

ment dans

l’approximation

du

champ

mol6culaire dont on sait que l’inconv6nient

qualitatif

le

plus important

est de

negliger

les correlations entre 6tats de

spins,

ce

qui

a pour effet

pratique

de surestimer de 10 a 20

%

la

temperature

d’ordre vraie corres-

pondant

a 1’effet consid6r6.

Neanmoins,

les conclus

sions suivantes restent

valables,

a savoir : :

1) L’energie magn6tique

dans

DyAI03

est

prin- cipalement (pour

70

% environ) d’origine dipolaire.

L’énergie magn6tique

non

dipolaire peut

certainement etre

attribuée,

pour sa

plus grande

part, a

1’6nergie d’echange

indirect entre ions

Dy+++ premiers voisins;

2)

Les calculs

d’6nergie dipolaire

semblent favo- riser le modele

1)

par rapport au mod6le

2),

ce

qui

va dans le sens des conclusions

(prudentes) qui

ont

ete tir6es du spectre de diffraction de neutrons.

Remarquons

que le mod6le

1)

est d’autant

plus

favo-

ris6 par rapport au mod6le

2)

que la structure de

DyAI03

est

plus

« deformee » par rapport a la structure

« idéale ». Par

ailleurs, l’énergie d’6change isotrope

est

la meme dans les modeles

1)

et

2)

et la stabilite

pr6vue

pour le mod6le

1)

ne

pourrait

etre remise en cause que par l’intervention d’une

6nergie d’echange anisotrope

dont nous n’avons aucune estimation pour

l’instant;

3) Enfin,

1’existence d’une affinit6 entre les cour-

bes a,,

(T)

et gx

(T)

semble

sugg6rer

que les

propri6t6s magn6tiques

de

DyAI03 pourraient

etre 6tudi6es dans

l’approximation

du modele

d’Ising.

Le calcul montre

que la structure la

plus

stable au

point

de vue

dipo-

laire

correspondrait

a des moments

magn6tiques

pres- que

alignes

suivant la direction de 1’axe b. Le fait que cette structure ne soit pas observ6e montre que

l’anisotropie

locale d’un ion

Dy3+

reste

grande

devant

l’anisotropie magn6tique.

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