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(1)Chapitre 2 : Les fonctions usuelles (partie 1

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Academic year: 2022

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(1)

Chapitre 2 : Les fonctions usuelles (partie 1) ; résumé I. Notions élémentaires

1. Limites :

Toujours commencer un calcul de limite par « le calcul formel » Formes indéterminées usuelles : +∞ + (−∞) ; 0 . (±∞) ; 0

0 ; ±∞

±∞ ; 00 Théorème de composition : (toujours faire un schéma de la composition)

𝑆𝑜𝑖𝑡 𝑎 , 𝑏 𝑒𝑡 𝑙 ∈ ℝ ; 𝑆𝑖 lim

𝑥→𝑎𝑓 𝑥 = 𝑏 𝑒𝑡 lim

𝑦 →𝑏𝑔 𝑦 = 𝑙 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 lim

𝑥→𝑎𝑔𝑜𝑓 𝑥 = 𝑙 Théorème de comparaison :

Si, pour 𝑥 proche de 𝑎 et si, lorsque 𝑥 → 𝑎 alors , lorsque 𝑥 → 𝑎 :

𝑔(𝑥) ≤ 𝑓(𝑥) 𝑔 𝑥 → +∞ 𝑓 𝑥 → +∞

𝑓(𝑥) ≤ 𝑔(𝑥) 𝑔 𝑥 → −∞ 𝑓 𝑥 → −∞

𝑓 𝑥 − 𝑙 ≤ 𝑔(𝑥) 𝑔 𝑥 → 0 𝑓 𝑥 → 𝑙

𝑔(𝑥) ≤ 𝑓(𝑥) ≤ 𝑕(𝑥) 𝑔 𝑥 → 𝑙 𝑒𝑡 𝑕 𝑥 → 𝑙 𝑓 𝑥 → 𝑙 𝑓(𝑥) ≤ 𝑔(𝑥) 𝑓 𝑒𝑡 𝑔 𝑎𝑑𝑚𝑒𝑡𝑡𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑙𝑖𝑚𝑖𝑡𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑎 lim

𝑥→𝑎𝑓(𝑥) ≤ lim

𝑥→𝑎𝑔(𝑥) Branches infinies

(𝐶𝑓) et(𝐶𝑔) sont asymptotes l’une à l’autre au voisinage de ±∞ lorsque :

𝑥→±∞lim 𝑓 𝑥 − 𝑔 𝑥 = 0

On suppose que lim

𝑥→∞𝑓 𝑥 = +∞

𝑆𝑖 lim𝑥→∞𝑓(𝑥)

𝑥 = 0 : branche parabolique de direction (Ox) 𝑆𝑖 lim𝑥→∞𝑓(𝑥)

𝑥 = +∞ : branche parabolique de direction (Oy) 𝑆𝑖 lim𝑥→∞𝑓(𝑥)

𝑥 = 𝑎 ≠ 0 : direction asymptotique de direction 𝑦 = 𝑎𝑥

Si lim𝑥→∞𝑓 𝑥 − 𝑎𝑥 = 𝑏 , asymptote « oblique » d’équation 𝑦 = 𝑎𝑥 + 𝑏

2. Continuité :

𝒇 𝐞𝐬𝐭 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐢𝐧𝐮𝐞 𝐞𝐧 𝐚 ⟺ 𝐥𝐢𝐦

𝒙→𝒂𝒇 𝒙 = 𝒇(𝒂)

𝑓 est continue sur l’intervalle 𝐼 ⟺ 𝑓 est continue en a pour tout a de 𝐼 𝒇 𝐞𝐬𝐭 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐢𝐧𝐮𝐞 à 𝐠𝐚𝐮𝐜𝐡𝐞 𝐞𝐧 𝐚 ⟺ 𝐥𝐢𝐦

𝒙→𝒂𝒇 𝒙 = 𝒇(𝒂) 𝒇 𝐞𝐬𝐭 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐢𝐧𝐮𝐞 à 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐞 𝐞𝐧 𝐚 ⟺ 𝐥𝐢𝐦

𝒙→𝒂+𝒇 𝒙 = 𝒇(𝒂)

(2)

 Si 𝑓 et 𝑔 sont continues en 𝑎 , alors

𝑓 + 𝑔 et 𝑓. 𝑔 sont continues en 𝑎 , ainsi que 𝑓

𝑔 lorsque 𝑔(𝑎) ≠ 0

 Si 𝑓 est continue en 𝑎 et si 𝑔 est continue en 𝑓(𝑎) alors 𝑔𝑜𝑓 est continue en 𝑎

 Les fonctions polynômes, rationnelles, irrationnelles, 𝑙𝑛, 𝑒𝑥𝑝, 𝑐𝑜𝑠, sin et tan sont continues sur tout intervalle inclus dans leur ensemble de définition Soit 𝑓 définie et continue sur ] 𝑎 ; 𝑏 ] 𝑆𝑖 lim𝑥→𝑎+𝑓 𝑥 = 𝑙

alors on peut prolonger f par continuité à droite en posant : 𝑓 𝑎 = 𝑙 Idem à gauche

On note 𝑓(𝐼) l’ensemble des 𝑓 𝑥 pour 𝑥 ∈ 𝐼 Théorème des valeurs intermédiaires :

si 𝑓 est continue sur l’intervalle 𝐼, alors 𝑓(𝐼) est un intervalle 3. Dérivabilité :

𝒇 𝐞𝐬𝐭 𝐝é𝐫𝐢𝐯𝐚𝐛𝐥𝐞 𝐞𝐧 𝒂 ⟺ 𝐥𝐢𝐦

𝒙→𝒂

𝒇 𝒙 − 𝒇(𝒂) 𝒙 − 𝒂 ∈ ℝ

Cette limite est alors notée 𝑓 𝑎 ; c’est la pente de la courbe de f au point A a, f a c'est-à-dire le coefficient directeur de la tangente en 𝐴

Si cette limite est infinie, la courbe admet une tangente verticale

𝑓 est dérivable sur l’intervalle 𝐼 ⟺ 𝑓 est dérivable en a , pour tout a de 𝐼 Si 𝑓 est dérivable en 𝑎 alors 𝑓 est continue en a (réciproque fausse)

 Si 𝑓 et 𝑔 sont dérivables en 𝑎, alors

𝑓 + 𝑔 et 𝑓. 𝑔 sont dérivables en 𝑎 , ainsi que 𝑓

𝑔 lorsque 𝑔(𝑎) ≠ 0

 Si 𝑔 est dérivable en 𝑎 et si 𝑓 est dérivable en 𝑔(𝑎) alors 𝑓𝑜𝑔 est dérivable en 𝑎 et on a : 𝑓𝑜𝑔 = 𝑓𝑜𝑔. 𝑔′

 Les fonctions polynômes, rationnelles, l𝑛, 𝑒𝑥𝑝, 𝑐𝑜𝑠, sin 𝑒𝑡 tan sont dérivables sur tout intervalle inclus dans leur ensemble de définition

 Les fonctions irrationnelles sont dérivables sur tout intervalle 𝐬𝐭𝐫𝐢𝐜𝐭𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 inclus dans leur ensemble de définition

On dit que 𝑓 est de classe 𝐶𝑛 sur 𝐼 lorsque 𝑓 admet des dérivées successives jusqu’à l’ordre 𝑛 , toutes continues

(3)

𝒇 𝐞𝐬𝐭 𝐝é𝐫𝐢𝐯𝐚𝐛𝐥𝐞 à 𝐠𝐚𝐮𝐜𝐡𝐞 𝐞𝐧 𝒂 ⟺ 𝐥𝐢𝐦

𝒙→𝒂

𝒇 𝒙 − 𝒇(𝒂) 𝒙 − 𝒂 ∈ ℝ

𝒇 𝐞𝐬𝐭 𝐝é𝐫𝐢𝐯𝐚𝐛𝐥𝐞 à 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐞 𝐞𝐧 𝒂 ⟺ 𝐥𝐢𝐦

𝒙→𝒂+

𝒇 𝒙 − 𝒇(𝒂) 𝒙 − 𝒂 ∈ ℝ

𝒇 𝐞𝐬𝐭 𝐝é𝐫𝐢𝐯𝐚𝐛𝐥𝐞 𝐞𝐧 𝒂 ⟺

𝒇 𝐞𝐬𝐭 𝐝é𝐫𝐢𝐯𝐚𝐛𝐥𝐞 à 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐞 𝐞𝐧 𝒂 𝒇 𝐞𝐬𝐭 𝐝é𝐫𝐢𝐯𝐚𝐛𝐥𝐞 à 𝐠𝐚𝐮𝐜𝐡𝐞 𝐞𝐧 𝒂

𝒇𝒅 𝒂 = 𝒇𝒈 𝒂

II. La fonction logarithme népérien

On appelle fonction logarithme népérien (notée 𝑙𝑛), l’unique primitive sur ]0 ; + ∞ [ de la fonction 𝑥 ⟼ 1

𝑥 et qui s’annule pour 𝑥 = 1

 ∀ 𝑥, 𝑦 ∈ ]0 ; +∞ [2 ln 𝑥𝑦 = ln 𝑥 + ln⁡(𝑦)

 ∀ 𝑥 ∈ ]0 ; +∞ [ ln 1

𝑥 = − ln 𝑥

 ∀ 𝑥, 𝑦 ∈ ]0 ; +∞ [2 ln x

y = ln 𝑥 − ln⁡(𝑦)

 ∀ 𝑥 > 0 ∀ 𝑛 ∈ ℚ ln 𝑥𝑛 = 𝑛 ln 𝑥

𝑥→+∞lim ln 𝑥

x = 0 ; lim

𝑥→𝑜+𝑥 ln 𝑥 = 0

𝑥→0lim

ln⁡(1 + 𝑥) 𝑥 = 1

ln 𝑒 = 1 et ln 𝑒𝑛 = 𝑛 ∀𝑛 ∈ ℚ ; 𝑒 ≈ 2,71828 courbe : voir « exp »

III. Bijection et réciproque

𝑓 est une 𝐛𝐢𝐣𝐞𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 de 𝐼 vers 𝐽 lorsque : 1) Tout 𝑥 de 𝐼 admet une seule image 𝑦 dans 𝐽 2) Tout 𝑦 de 𝐽 admet un seul antécédent 𝑥 dans 𝐼

Si 𝑓 est une bijection, alors 𝑓 admet une bijection réciproque notée 𝑓−1 et il y a équivalence :

𝑓 ∶ 𝐼 → 𝐽

𝑥 ⟼ 𝑦 = 𝑓(𝑥) ⟺ 𝑓−1: 𝐽 → 𝐼 𝑦 ⟼ 𝑥 = 𝑓−1(𝑦)

 On a 𝑓𝑜𝑓−1 = 𝑓−1𝑜𝑓 = 𝐼𝑑

 Dans un repère orthonormal, les courbes de 𝑓 et de 𝑓−1 sont symétriques par rapport à la droite d’équation 𝑦 = 𝑥

(4)

Théorème de la bijection :

Si 𝑓 est continue et strictement monotone sur l’intervalle 𝐼 , alors 𝑓 réalise une bijection de 𝐼 vers lintervalle 𝐽 = 𝑓(𝐼)

La réciproque 𝑓−1 est aussi continue et strictement monotone, de même monotonie Si de plus, 𝑓 est dérivable sur 𝐼 et si 𝑓′ ne s’annule pas sur 𝐼, alors 𝑓−1 est dérivable sur 𝐽 et (𝒇−𝟏)′ = 𝟏

𝒇′𝒐𝒇−𝟏

IV. La fonction exponentielle de base « e »

On appelle fonction exponentielle de base « 𝑒 » la réciproque de la fonction 𝑙𝑛

𝑙𝑛 : ]0 ; +∞ [ → ℝ

𝑥 ⟼ 𝑦 = 𝑙𝑛⁡(𝑥) ⟺ 𝑒𝑥𝑝 : ℝ → ]0 ; +∞ [ 𝑦 ⟼ 𝑥 = exp⁡(𝑦)

∀𝑥 ∈ ℝ exp 𝑥 = 𝑒𝑥

 ∀𝑥 ∈ ℝ ln 𝑒𝑥 = 𝑥 𝑒𝑡 ∀𝑥 ∈ ]0 ; +∞ [ 𝑒ln 𝑥 = 𝑥

 ∀𝑥 ∈ ℝ 𝑒𝑥𝑝′ 𝑥 = exp⁡(𝑥)

Propriétés algébriques :

∀ 𝑥, 𝑦 ∈ ℝ2 𝑒𝑥+𝑦 = 𝑒𝑥𝑒𝑦 ; ∀ 𝑥, 𝑦 ∈ ℝ2 𝑒𝑥−𝑦 =𝑒𝑥

𝑒𝑦 ; ∀𝑥 ∈ ℝ 𝑒−𝑥 = 1 𝑒𝑥

∀ 𝑛 ∈ ℚ ∀𝑥 ∈ ℝ (𝑒𝑥)𝑛 = 𝑒𝑛𝑥 lim

𝑥→+∞

𝑒𝑥

𝑥 = +∞ ; lim

𝑥→−∞𝑥 𝑒𝑥 = 0 ; lim

𝑥→0

𝑒𝑥 − 1 𝑥 = 1

(5)

V. Les fonctions « logarithme de base a » : 𝑎 > 0 𝑎 ≠ 1

𝑙𝑜𝑔𝑎 𝑥 =ln⁡(𝑥)

ln⁡(𝑎) ∀𝑥 ∈]0 ; +∞[ ; (𝑙𝑜𝑔𝑎 𝑥 = 1 𝑥𝑙𝑛(𝑎) Propriétés algébriques : les mêmes que celles de « 𝑙𝑛 »

VI. Les fonctions « puissances » et « exponentielle de base a » Définition :

∀𝑎 > 0 , ∀𝑏 ∈ ℝ on note 𝑎𝑏 le réel 𝑒𝑏𝑙𝑛 (𝑎)

1. Fonctions « puissances »

Soit 𝑎 ∈ ℝ ; 𝑓 𝑥 = 𝑥𝑎 ∀𝑥 ∈ ]0 ; +∞ [ (la puissance est fixe)

 Si 𝑎 = 𝑛 est un entier pair non nul

∀ 𝑥, 𝑦 ∈ ]0 ; +∞ [2 𝑦 = 𝑥𝑛 ⟺ 𝑥 = 𝑦𝑛 = 𝑦1𝑛

 Si 𝑎 = 𝑛 est un entier impair ∀ 𝑥, 𝑦 ∈ ℝ² 𝑦 = 𝑥𝑛 ⟺ 𝑥 = 𝑦𝑛 = 𝑦1𝑛

 Si a est un nombre rationnel (𝑎 =𝑝

𝑞 ) : 𝑥𝑎 = 𝑥

𝑝

𝑞 = 𝑥𝑞 𝑝 (L’ensemble des valeurs possibles pour 𝑥 est dépendant de 𝑝 et de 𝑞)

Les propriétés algébriques bien connues pour 𝑛 et 𝑝 dans ℤ , s’étendent à ℚ ainsi qu’à ℝ

(6)

2. Fonction exponentielle de base a : 𝑎 > 0 𝑎 ≠ 1

∀𝑥 > 0 ∀𝑦 ∈ ℝ 𝑦 = 𝑙𝑜𝑔𝑎 𝑥 ⟺ 𝑥 = 𝑎𝑦 (la puissance est variable) C'est-à-dire la réciproque de la fonction 𝑙𝑜𝑔𝑎

𝑎𝑥+𝑦 = 𝑎𝑥𝑎𝑦 etc …(cf fonction exp)

𝑥 ⟼ 𝑎𝑥 est dérivable sur ℝ (et donc continue) et 𝑎𝑥 = 𝑎𝑥 𝑙𝑛⁡(𝑎)

3. Compléments :croissances comparées

∀𝛼 > 0 ∀𝛽 > 0 lim

𝑥→+∞

(𝑙𝑛𝑥 )𝛼

𝑥𝛽 = 0 : (𝑙𝑛𝑥)𝛼 est négligeable par rapport à 𝑥𝛽 lim

𝑥→+∞ 𝑥𝛽

𝑒𝛼𝑥 = 0 : 𝑥𝛽 est négligeable par rapport à 𝑒𝛼𝑥 lim𝑥→0 𝑥𝛽(𝑙𝑛𝑥)𝛼 = 0

Les autres cas sont, soit triviaux, soit s’en déduisent On retient le moyen mnémotechnique

Quand il y a une forme indéterminée ∶ 𝑙𝑛 ≪ 𝑥 ≪ 𝑒𝑥𝑝

(7)

VI Primitives et intégrales a) Primitive

Définition : Une primitive de 𝑓 sur l’intervalle 𝐼 est une fonction 𝐹 dérivable sur 𝐼 et telle que 𝐹’(𝑥) = 𝑓(𝑥)

On note 𝑓 𝑥 𝑑𝑥 une primitive quelconque de 𝑓 (notation ambigüe) Théorème : Si f est continue sur I alors F admet une primitive sur I Propositions :

 Soit 𝐹 une primitive de 𝑓 sur 𝐼 ;

On a : 𝐺 primitive de 𝑓 sur 𝐼 ⟺ ∃𝑘 ∈ ℝ 𝐺 𝑥 = 𝐹 𝑥 + 𝑘

 Soit 𝐹 une primitive de 𝑓 sur 𝐼 et 𝑥0 ∈ 𝐼 et 𝑦0 ∈ ℝ ; il existe une unique primitive de 𝑓 sur 𝐼 telle que 𝐺 𝑥0 = 𝑦0

L’intégration par parties :

Si 𝑢 et 𝑣 sont de classe 𝐶1 sur , on a : 𝑢 𝑥 𝑣 𝑥 𝑑𝑥 = 𝑢 𝑥 𝑣(𝑥) – 𝑢 𝑥 𝑣 𝑥 𝑑𝑥 b) Calcul intégral

Définition :

Soit 𝑓 définie et continue sur 𝐼 et 𝐹 une primitive de 𝑓 sur 𝐼 ; 𝑎 et 𝑏 dans 𝐼 On appelle intégrale de 𝑓 entre 𝑎 et 𝑏 le réel 𝑓 𝑥 𝑑𝑥𝑎𝑏 = 𝐹 𝑏 − 𝐹 𝑎 = 𝐹(𝑥) 𝑎𝑏 Propriétés : (NB : la lettre « 𝑥 » est muette)

𝑓 𝑥 𝑑𝑥 = 0 ; 𝑓 𝑥 𝑑𝑥 =

𝑏 𝑎

𝑓 𝑥 𝑑𝑥 +

𝑐 𝑎

𝑓 𝑥 𝑑𝑥

𝑏 𝑐 𝑎

𝑎

1𝑑𝑥

𝑏 𝑎

= 𝑏 − 𝑎 ; 𝑓 𝑥 𝑑𝑥 =

𝑏 𝑎

− 𝑓 𝑥 𝑑𝑥

𝑎 𝑏

Linéarité : (𝑓 𝑥 + 𝑔 𝑥 )𝑑𝑥 =𝑎𝑏 𝑓 𝑥 𝑑𝑥 +𝑎𝑏 𝑔 𝑥 𝑑𝑥𝑎𝑏 et 𝑘𝑓 𝑥 𝑑𝑥 = 𝑘𝑎𝑏 𝑓 𝑥 𝑑𝑥𝑎𝑏 L’intégration par parties :

Si 𝑢 et 𝑣 sont de classe 𝐶1 sur 𝐼 et 𝑎 et 𝑏 dans , on a :

𝑢 𝑥 𝑣 𝑥 𝑑𝑥 = 𝑢 𝑥 𝑣(𝑥) 𝑎𝑏− 𝑢 𝑥 𝑣 𝑥 𝑑𝑥

𝑏 𝑎 𝑏

𝑎

(8)

Intégrale et aire :

Si : 𝑎 ≤ 𝑏

𝑓 𝑥 ≥ 0 ∀𝑥 ∈ [𝑎; 𝑏] alors 𝑓 𝑥 𝑑𝑥𝑎𝑏 mesure l’aire délimité par

l’axe (ox) la courbe de f

les droites d’équation x = a et x = b

Mini formulaire :

Formules en « x » Formules en 𝑢 et 𝑣

𝑥𝑛 𝑥𝑛 +1

𝑛 + 1 (𝑛 ≠ −1) 𝑢 + 𝑣 𝑈 + 𝑉

1

𝑥² −1

𝑥 𝑘 𝑢 𝑘 𝑈

1

𝑥 𝑙𝑛 𝑥 𝑢𝑛𝑢′ 𝑢𝑛+1

𝑛 + 1 (𝑛 ≠ −1) 𝐶𝑜𝑠(𝑎𝑥 + 𝑏) 1

𝑎𝑆𝑖𝑛(𝑎𝑥 + 𝑏) 𝑢′

𝑢² − 1

𝑢 𝑆𝑖𝑛(𝑎𝑥 + 𝑏) −1

𝑎𝐶𝑜𝑠(𝑎𝑥 + 𝑏) 𝑢′

𝑢 ln⁡( 𝑢 )

𝑒𝑎𝑥 +𝑏 1

𝑎 𝑒𝑎𝑥 +𝑏

Et toutes les formules de dérivées « à l’envers »

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