HAL Id: jpa-00237513
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Submitted on 1 Jan 1879
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THOMAS GRAY.- On the experimental determination of magnetic moments in absolute measure.
(Détermination de moments magnétiques en valeur absolue) ; Phil. Magazine, 5e série, t. VI, p. 321 ; 1878
A. Hurion
To cite this version:
A. Hurion. THOMAS GRAY.- On the experimental determination of magnetic moments in absolute measure. (Détermination de moments magnétiques en valeur absolue) ; Phil. Magazine, 5e série, t. VI, p. 321 ; 1878. J. Phys. Theor. Appl., 1879, 8 (1), pp.211-213. �10.1051/jphystap:018790080021101�.
�jpa-00237513�
2II
second cas, la diminution de lumière sera
plus rapide
que ne l’in-dique
la formule.D’ailleurs,
la chaleur W n’est constante que si la machine aatteint sa vitesse de rotation maxima. Cette limite est obtenue
avec six
foyers
lumineux pour la machine Wallace et aveccinq bougies
Jablochkoff pour la machine Gramme. L’auteur conclut àl’impossibilité
de la subdivision indéfinie de la lumièreélectrique,
au moins avec les machines actuellement
employées.
G. FOUSSEREAU.
THOMAS GRAY.2014 On the experimental determination of magnetic moments in ab-
solute measure. (Détermination de moments magnétiques en valeur absolue) ; Phil.
Magazine, 5e série, t. VI, p. 32I ; I878.
Le but du travail de l’auteur est de
rechercher,
d’unepart,
comment la
trempe
de l’acier influe sur sonaimantation,
del’autre,
si les barreaux aimantes abandonnés à eux-mêmes con- servent leur étatmagnétique.
Toutes les mesures sont faites en-
prenant
pour unités fon damentales lecentimètre,
le gramme e t la seconde.Les
expériences
ontporté
sur des barreaux d’acier de 5"- delong,
extraits d’un même fil deocm,
097 de diamètrepesant 5gr,
77par mètre.
Ces
barreaux, placés
dans un vase de fer àparois minces,
furent
portés
au rougevif, puis plongés brusquement
dans l’eauà I5°. Pour les
recuire, après
les avoirpartagés
en faisceaux decinq,
on lesplaçait
dans un bain d’huile et on retirait un faisceauaux
températures
suivantes :100°,
I50°,
200°,250°, 260°, 270°, 280°,
300°;chaque
faisceau était abandonné dans l’air à un refroidissement len t.On aimantait une
première
foischaque
barreau en leplaçant
à l’intérieur d’une hélice
composée
de I60 tours, traversée par lecourant d’une
pile
de 1 o élémentsDaniell,
modèle W.Thomson;
l’intensité du courant était
I
I,065 et la forcemagnétisante 377.
Uneseconde aimantation
pouvait
êtrecommuniquée
à l’aide d’uneseconde
hélice,
dont la forcemagnétisante
était i ioo. On déter-Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018790080021101
2I2
minait la durée d’oscillation de
chaque
barreaususpendu
à un filde soie de 30cm de
longueur.
On le faisait ensuiteagir
sur unepetite aiguille
aimantée collée derrière unmiroir,
en seplaçant
dans les
positions indiquées
par Gauss. La déviation s’évaluait par la méthode deréflexion,
comme dans ungalvanomètre
deM. W. Thomson.
Les deux observations combinées
donnaient,
d’unepart,
la com-posante
horizontale de l’action terrestre, del’autre,
le momentmagnétique
dechaque
barreau.Le Tableau suivant donne la moyenne des résultats obtenus avec
chaque
groupe decinq
barreaux :Composante
horizontale de l’action de laTerre, 0,I5399.
2I3
Avec les barreaux
trempés,
la seconde aimantation neproduit
presque aucun
effet;
il n’en estplus
de même dans le cas desbarreaux
recuits,
cequi
sembleindiquer
que la forcemagnétisante employée
avait saturé lespremiers.
Pour les barreauxtrempés
àdifférentes
températures,
l’aimantation décroît à mesure que latempérature
s’élève.Le
magnétisme
des barreaux avait àpeine
varié au bout deneuf mois. A. HURION.
PAUL LA COUR. - Das Tonrad (La roue phonique); Copenhague, I878.
L’instrument consiste en une roue dentée de fer
doux,
mobileautour d’un axe
vertical,
en face dupôle
d’un électro-aimantplacé
dans son
plan.
Cepôle
est assezpetit
pouragir
sur une seule dentà la fois.
Lorsqu’on
fait passer dans le fil un courantinterrompu parun diapason ( courant phono-électrique), et qu’on donne
à la roueune vitesse telle que le nombre de dents
qui passent
devant lepôle
dans un
temps
donné soitégal
au nombred’interruptions
pen- dant le mêmetemps,
le mouvement continue avec la mêmevitesse ; c’est
la vitesserégulière
de la roue. Onpourrait
aussi obtenir desvitesses
mul tiples
ousous-multiples,
mais cet étatd’équilibre
seraitmoins stable que le
premier.
Lesirrégularités
du mouvement dis-paraissent,
si le moment d’inertie del’appareil
est suffisammentgrand;
on obtient facilement cetterégularité
enplaçant
sur laroue un
disque
de bois creusé d’une rainure circulaireremplie
demercure ; le métal
agit
à la fois par sonpoids
et par son frotte-ment sur le
disque
pour maintenir la vitesse constante.On
peut
faire varier entre des limites étendues le nombre des dents et le nombre de vibrations dudiapason interrupteur,
et ob-tenir ainsi un mouvement de rotation
régulier plus
ou moinsrapide, applicable
à deschronographes,
à desappareils synchrones
dansla