• Aucun résultat trouvé

PAUL LA COUR. - Das Tonrad (La roue phonique); Copenhague, 1878

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "PAUL LA COUR. - Das Tonrad (La roue phonique); Copenhague, 1878"

Copied!
2
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00237514

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237514

Submitted on 1 Jan 1879

HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

PAUL LA COUR. - Das Tonrad (La roue phonique);

Copenhague, 1878

C. Daguenet

To cite this version:

C. Daguenet. PAUL LA COUR. - Das Tonrad (La roue phonique); Copenhague, 1878. J. Phys.

Theor. Appl., 1879, 8 (1), pp.213-213. �10.1051/jphystap:018790080021301�. �jpa-00237514�

(2)

2I3

Avec les barreaux trempés, la seconde aimantation ne

produit

presque aucun effet; il n’en est

plus

de même dans le cas des

barreaux recuits, ce

qui

semble

indiquer

que la force

magnétisante employée

avait saturé les

premiers.

Pour les barreaux

trempés

à

différentes

températures,

l’aimantation décroît à mesure que la

température s’élève.

Le

magnétisme

des barreaux avait à

peine

varié au bout de

neuf mois. A. HURION.

PAUL LA COUR. - Das Tonrad (La roue phonique); Copenhague, I878.

L’instrument consiste en une roue dentée de fer doux, mobile

autour d’un axe vertical, en face du

pôle

d’un électro-aimant

placé

dans son

plan.

Ce

pôle

est assez

petit

pour

agir

sur une seule dent

à la fois.

Lorsqu’on

fait passer dans le fil un courant

interrompu parun diapason ( courant phono-électrique), et qu’on donne

à la roue

une vitesse telle que le nombre de dents

qui

passent devant le

pôle

dans un temps donné soit

égal

au nombre

d’interruptions

pen- dant le même temps, le mouvement continue avec la même vitesse ; c’est la vitesse

régulière

de la roue. On

pourrait

aussi obtenir des

vitesses

mul tiples

ou

sous-multiples,

mais cet état

d’équilibre

serait

moins stable que le

premier.

Les

irrégularités

du mouvement dis-

paraissent,

si le moment d’inertie de

l’appareil

est suffisamment

grand;

on obtient facilement cette

régularité

en

plaçant

sur la

roue un

disque

de bois creusé d’une rainure circulaire

remplie

de

mercure ; le métal

agit

à la fois par son

poids

et par son frotte-

ment sur le

disque

pour maintenir la vitesse constante.

On peut faire varier entre des limites étendues le nombre des dents et le nombre de vibrations du

diapason interrupteur,

et ob-

tenir ainsi un mouvement de rotation

régulier plus

ou moins

rapide, applicable

à des

chronographes,

à des

appareils synchrones

dans

la

Lélégraphie,

etc. C. DAGUENET.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018790080021301

Références

Documents relatifs

1) RESET_STATE : Etat dans lequel rentre le processeur lorsqu’il est alimenté. 2) DISCONNECT_STATE : Etat dans lequel toutes les commandes sont déconnectées. 4)

Cette distance est plus difficile à calculer car elle dépend de beaucoup de paramètres : la vitesse, l'état de la route (sèche ou mouillée), les caractéristiques du

[r]

tères narratologiques établis par Gérard Genette dans la section « Durée » de son Discours du  récit afin de résoudre une tension qui semble y être à l’œuvre entre

En négligeant également la masse propre des rayons, calculer l'effort de traction supporté par chacun d'eux, pour une vitesse de rotation ω > ω 1.. Compte tenu de sa

2. 3) Calculer l’ordre de grandeur de la taille d’un pixel du capteur CMOS de l’appareil photographique dont la fiche technique est donnée dans le document. 4) Le

Bien qu’il y ait en moyenne 10 minutes entre le passage de deux bus consécutifs (on reprend λ = 1/10), un passager probabiliste qui se présente tous les jours à 9 heures 5

2) Un camion roule pendant 3h à une vitesse moyenne de 85 km/h. Ces deux villes sont distantes de 360 km. Quelle a été la vitesse moyenne de cet avion sur ce vol en km/h ?.. 2) Un