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Dimanche 14 Février 1892 B u r e a u x : R u e N e u v e , 1 9

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PA M. Jûi

es u i e u

Les consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal.

Sixième année. — N

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14 P r i x du n u m é r o 1 0 c e n t i m e s

Dimanche 14 Février 1892 B u r e a u x : R u e N e u v e , 1 9

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9 r g a n e d e 1» S o c i é t é i n t e r c a n t o n a l e d e s i n d u s t r i e s d u J u r e , d e s C h a m b r é e d e c o m m e r c e , d e s B u r e a u x d e c o n t r ô l e e t d e e S y n d i c a t s i n d u s t r i e l s .

E n c o r e la b a i s s e

11 faut croire qu'on n'en finira jamais avec la nomenclature des conséquences désastreuses de la dissolution du syndi- cat des fabriques d'ébauches, prononcée, comme on le sait, le 10 juillet 1891.

Point n'était besoin d'être grand pro- /phèle pour prédire, au lendemain même

de la rupture du lien syndical et de la con- vention passée avec les fabricants d'hor- logerie, que les fabriques d'ébauches se- raient fatalement amenées à faire le plus déplorable usage de leur liberté et que la concurrence par la baisse des prix de vente, que chaque fabrique allait prati- quer dans le secret espoir de déplacer en sa faveur une partie de la production de ses anciens confrères, aurait cette double conséquence de réduire les béné- fices à la portion congrue et, par une conséquence fatale, de provoquer la ré- duction des salaires ouvriers.

L'événement a confirmé point par point ces fâcheuses prévisions et la baisse des salaires, tentée déjà au mois de no- vembre et empêchée grâce à l'énergique altitude des ouvriers, est, aujourd'hui, un fait accompli dans quelques fabriques.

Il faut que la situation générale des fabriques d'ébauches se soit singulière- ment aggravée, ou que la force du syn- dicat des ouvriers de l'ébauche soit sin- gulièrement compromise pour que l'on ait pu faire, sans protestations et sans bruit, ce qui avait été si vaillamment combattu et empêché il y a trois mois. Il est vrai que de baisses en baisses les fa- briques en sont arrivées à vendre à des prix qui se rapprochent sensiblement des prix de revient et que, d'un autre côté, le dilemme posé aux ouvriers se résu- mait en ces deux termes également ter- ribles : Vous subirez une baisse des sa-

laires ou nous fermerons nos établisse- ments.

Il fallait donc choisir entre gagner moins et ne rien gagner du tout; entre la misère'relative et la misère absolue. A une question ainsi posée, la réponse n'é- tait pas douteuse : les ouvriers ont ac- cepté la baisse.

Reste à savoir si la menace de ferme- ture des deux ou trois établissements qui ont imposé la baisse des salaires était sérieuse. Nous ne nous prononcerons pas sur cette délicate question, mais nous ne pouvons nous empêcher de nons étonner de la facilité avec laquelle les ouvriers ont été circonvenus.

* * *

Nous ne sommes pas de ceux qui pré- conisent les suspensions de travail et les grèves; nous savons trop combien coû- tent, aux patrons et aux ouvriers, les victoires passagères obtenues par ce moyen de coercition légale ; comme nous savons aussi, par l'expérience de ces der- nières années, que, dans bien des cas, la grève ou la menace de grève a été em- ployée sans raison de force majeure, ou avec une légèreté qui pouvait faire sup- poser que les groupes ouvriers voulaient simplement donner la mesure de leur force. Mais il est des cas où les intérêts"

des patrons et des ouvriers sont telle- ment identiques et se confondent d'une façon si absolue avec l'intérêt général, qu'on se demande si tous les moyens lé- gaux, y compris celui de la grève, ne de- vraient pas être employés comme mesure extrême il est vrai, mais justifiée par une nécessité inexorable.

Or, dans le cas particulier, l'intérêt des ouvriers de même que l'intérêt général commandent que l'on conserve, aux prix de l'ébauche, une fixité aussi absolue que possible. Toutes les mesures que l'on

pourra prendre pour arrêter la dégringo- lade des prix seront légitimes et revêti- ront le caractère de mesures de salut public.

Que va-t-il se passer? Les fabriques qui ont fait la baisse, dans le seul but avoué — sinon avouable — de pouvoir vendre à des prix plus bas que ceux fae turés par leurs concurrents et de dépla- cer ainsi en leur faveur une partie de la production générale, ne jouiront pas longtemps de leur triomphe. La baisse se propagera avec une rapidité qui laissera à peine le temps, à ses auteurs responsa- bles, d'en retirer le moindre profit. Et, au bout de fort peu de temps, la situation respective des fabriques d'ébauches rede- viendra exactement ce qu'elle était aupa- ravant... à ceci près que les bénéfices du patron auront été réduits et que l'ouvrier sera plus près de la misère. Mais on n'aura pas augmenté d'une douzaine la consommation de l'ébauche. Beau triom- phe; en vérité !

Nous parlions des auteurs responsables des baisses récentes. Quels sont-ils?

Apparemment, ce sont les fabriques qui les ont décrétées et la question peut paraître naïve. Mais si l'on va au fond des choses, si l'on remonte aux origines de la crise de l'ébauche, si l'on tient compte de ce que nous sommes en face de l'une des conséquences prévues de la dissolution du syndicat, on arrive à cette conclusion forcée: que les fabriques qui ont fait !abaisse ne doivent pas supporter la responsabilité entière de leur acte et que les véritables coupables sont ceux --qui ont provoqué la dissolution anticipée

et anti-statutaire du syndicat des fabri- ques d'ébauches.

Mais cette faute ne devait pas être la

seule; un véritable duel se poursuit de-

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LA" FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE puis six mois. C'est à qui vendra plus bas

que son concurrent, et l'on prétend que certaine grosse fabrique a donné pour mot d'ordre, à ses voyageurs, de vendre plus bas que n'importe quel prix facturé par d'autres établissements !

Au point de vue du droit strict, il n'y a rien à objecter; il est évident qu'une personne quelconque a le droit de se ruiner si tel est son bon plaisir. S'il s'agissait de capitaux employés à des œuvres d'utilité publique et de bienfai- sance, tout le monde applaudirait à une telle philanthropie, qui serait profitable à tout le monde et ne pourrait faire du mal qu'à son auteur. Mais le cas est bien différent ; il s'agit d'une lutte dont l'enjeu doit être la suprématie du vainqueur et la ruine industrielle des vaincus; et cha- cun y est intéressé parce que chaque coup qui se donne est douloureusement ressenti par tous les membres de la fa- mille horlogère.

Chefs de fabriques d'ébauches, fabri- cants d'horlogerie, ouvriers, tous se res- sentent de la baisse et de l'instabilité des prix, de la dépréciation des stocks, de la réduction des salaires.

Eh bien, puisque tous sont atteints, que tous entrent en lice. Qu'on dégage les responsabilités principales des res- ponsabilités secondaires ; qu'on isole les auteurs et les continuateurs de la débâ- cle, qu'on désigne enfin ceux qui s'entê- tent à prolonger le gâchis et qui se ré- jouissent des ruines accumulées autour d'eux et, qu'à la face du monde horloger, on dise :

Voilà l'ennemi!

T r a i t é s de commerce

On écrivait de Berne, vendredi matin :

«D'après les nouvelles reçues jeudi au palais fédéral, les négociations ont encore été fort laborieuses aujourd'hui à Zurich. On ne dé- sespère pourtant pas entièrement d'arriver à une entente. Même si cette entente se pro- duisait, les instruments ne pourraient pas être signés immédiatement, attendu que le protocole est extrêmement long. On consta- terait seulement que l'accord est fait sur les points essentiels en discussion et Ton conti- nuerait de négocier. Si l'on arrive à cet accord préalable, les deux pays se mettront mutuellement, à titre provisoire, au bénéfice de la clause de la nation la plus favorisée.

En cas de rupture, le tarif général serait ap- pliqué à partir de minuit dans la nuit du 12 au 13. »

— Une dépêche partie de Berne et en- voyée à Paris annonçait ces jours derniers qu'un mouvement important se serait mani- festé, notamment à Genève, auprès des pou- voirs publics et auprès du représentant de la France, afin de peser sur le Parlement fran- çais et l'amener à consentir à des réductions sur son tarif minimum. Le fait n'est pas exact, et ce serait un mauvais moyen d'ar- river à l'entente entre les deux pays voisins et amis que tout le monde désire. Les de- mandes de la Suisse portent sur quelques articles seulement et il est probable que le

gouvernement français, qui examine ces de- mandes dans un grand esprit de conciliation;

cédera sur le point le plus important.

On a dit aussi que le gouvernement fran- çais avait donné ordre de percevoir, à partir du 1e r février, la prime de 6 francs pour cer- tificat d'origine. La vérité est que cette per- ception était de droit étroit à partir du 1er fé- vrier, la convention de 1882 cessant d'exis- ter; néanmoins M. Bibot, ayant été saisi de la question, a donné instruction aux agents consulaires de suspendre jusqu'à nouvel avis la perception de la prime. Ajoutons, à titre de renseignement, que les primes perçues s'élèvent à une somme insignifiante, 18 à 24 fr.

— A l'ouverture de la Chambre italienne, la rupture des négociations avec la Suisse n'était pas encore connue. La nouvelle a été apportée par une dépêche de Genève com- muniquée par le correspondant parlemen- taire de ΓAgence Oalziel à plusieurs députés.

D'autres dépêches de Berne de la matinée annonçaient que les négociations conti- nuaient. Cette nouvelle a produit ane pénible impression.

Dars les couloirs, M. Colombo déclare que le gouvernement ne répondra pas aujour- d'hui si des questions lui sont faites sur la rupture des négociations de Zurich. Cela re- froidit les députés lombards, mais les méri- dionaux, plus irrités de l'insuccès, persistent à demander des explications.

M. Colajanni interpelle le gouvernement sur les mesures qu'il entend prendre en pré- sence de l'insuccès des négociations avec la Suisse. Il demande s'il est vrai que des pour- parlers seront continués malgré l'application du tarif général et si le gouvernement peut donner des explications sur les causes qui ont amené la rupture.

— Le ministre des finances a ordonné à la direction des douanes d'appliquer, à partir de samedi, le tarif général aux provenances de la Suisse. Agissant sur un ordre du Con- seil fédéral, le ministre de Suisse à Borne a demandé aujourd'hui au gouvernement ita- lien de continuer les négociations malgré l'application des tarifs généraux. M. Di Bu- dini a déclaré accepter en principe et a ajouté qu'on allait s'entendre à ce sujet.

La rupture des négociations avec l'Italie

On télégraphie de Zurich à Y Agence Oalziel suisse :

Jeudi soir, la conférence a duré jusqu'à onze heures. A l'issue de la séance, les délé- gués suisses ont envoyé un rapport au Con- seil fédéral constatant que toute entente était impossible.

Les délégués italiens restent encore à Zurich vendredi. Ils ont annoncé leur départ pour samedi.

Les négociations ne reprendront que si l'Italie propose de nouvelles concessions.

— Les négociations pour le .traité de com- merce avec l'Italie sont définitivement rom- pues. Les négociateurs suisses sont rentrés à Berne. C'est sur les filés de coton que l'en- tente a été impossible.

— Le Conseil fédéral s'est réuni vendredi matin et a pris l'arrêté suivant :

f Vu le rapport du 11 février de ses délé- gués chargés de poursuivre les négociations avec l'Italie à Zurich ;

ot Considérant :

<c 1° Que les concessions offertes par l'Italie sur les tissus de coton et les broderies, arti- cles essentiels de l'exportation suisse, sont

insuffisantes et qu'elles n'atteignent pas même pour l'ensemble des droits et surtaxes le 3 % des taux actuels, considérés comme beaucoup trop élevés ;

« 2° Considérant, d'autre part, que l'Italie exige pour l'entrée de ses produits en Suisse des avantages beaucoup plus considérables que ceux qui lui sont accordés actuellement, principalement sur les vins, demandant le relèvement de l'éch Ile alcoolique de 16° à 18°, sur les raisins, les porcs et autres pro- duits naturels, et n'ayant comme compensa- tion que quelques concessions sur les fro- mages ;

« 3° Considérant que pour le moment la conclusion d'un nouveau traité doit être con- sidérée comme impossible, les délégués ita- liens ayant reçu l'ordre de quitter Zurich si leurs dernières propositions n'étaient pas ac- ceptées ;

« Arrête :

« 1° Le tarif général des douanes sera ap- pliqué dès le 13 février aux marchandises provenant d'Italie.

« 2° Le département des péages est chargé de l'exécution du présent arrêté. »

Cartes de légitimation industrielle pour voyageurs de commerce

Les cartes de légitimation industrielle éta- blies conformément aux formulaires prévus dans les nouveaux traités de commerce du 10 décembre 1891, et dont les voyageurs de commerce suisses doivent aujourd'hui être porteurs pour avoir la faculté de faire des achats de marchandises et de prendre des commandes dans l'Empire allemand et Γ Au- triche-Hongrie, sans être astreints au paie- ment d'une taxe, seront à l'avenir délivrées par les chancelleries cantonales. Des pres- criptions plus détaillées à cet égard sont renfermées dans l'annexe de la Feuille offi- cielle suisse du commerce du 19 décembre 1891. Une carte de légitimation particulière est exigée pour chacun de ces deux pays. La désignation de la personne du porteur (âge, taille, cheveux, signes distinctifs) devra dé- sormais aussi être faite dans la carte de légi- timation à l'usage des voyageurs qui se ren- dent en Autriche.

Les voyageurs suisses peuvent aussi jouir, sur les chemins de fer autrichiens, de la ré- duction de taxe qui est assurée, dans l'éten- due du territoire où le tarif du 16 juin 1890 est appliqué, aux voyageurs de commerce, pour leurs malles d'échantillons (0,1 kr. par 10 kg. et par km., moyennant la production d'une carte de légitimation particulière qu'ils peuvent se procurer également auprès des chancelleries cantonales.

Pour ce qui concerne l'expédition par pas- savant des objets passibles de droits, que les voyageurs de commerce prennent avec eux en Autriche comme échantillons (art. 4 du traité de commerce du 10 décembre 1891), les prescriptions qui sont aujourd'hui en vi- gueur resteront les mêmes, conformément à l'article 5 du protocole final du nouveau traité austro-allemand.

Au surplus, nous renvoyons expressément pour toutes les dispositions des nouveaux traités de commerce avec l'Empire allemand et l'Autriche-Hongrie, qui s'appliquent aux voyageurs de commerce et aux échantillons, à l'annexe sus mentionnée de Ia Feuille offi- cielle suisse du commerce du 19 décembre 1891, qu'on peut se procurer au prix de 50 centimes, sous la forme de brochure, au- près de l'administration de la Feuille, à Berne.

{Feuille officielle suisse du commerce).

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LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE 55 NOUVKLLESjnVERSES

E c h a n g e d e l a m e s s a g e r i e , — A partir du 15 courant, on pourra expédier des articles de messagerie, avec ou sans valeur déclarée, à destination de Constantinople et de Salonique, par la voie de Zimony (Sem- lin). Ces envois sont remis dans cette der- nière localité à la Société commerciale hon- groise par actions et réexpédiés par les trains conventionnels quotidiens des chemins de fer des Balkans. Le poids d'un colis ne doit pas dépasser 20 kg. La déclaration de valeur est limitée à fr. 1,250 (500 florins). Les rem- boursements ne sont pas admis. Chaque envoi doit être accompagné de 3 déclarations en douane. L'affranchissement est obliga- toire. Tant le colis que le bulletin d'expédi- tion qui s'y rapporte doivent porter la sus- cription bien visible « Messagerie via Zimony- gare. »

Le port pour le transport par chemin de fer de Zimony à Constantinople ou Salonique est fixé à fr. 1.60 (64 kr.) par 2 1/2 kg. Outre le port au poids, les envois avec valeur dé- clarée sont soumis à un droit d'assurance de 40 cts. (16 kr.) par 125 fr. (50 florins).

Procédés industriels

S o u d e r u n e b a g u e q u i p o r t e u n j o y a u . - Pour préserver le joyau de la brû- lure, prenez une pomme de terre fraîche, coupez-la en deux et pratiquez dans chaque moitié un creux, dans lequel le joyau puisse être ajusté exactement, de telle sorte que la partie à souder de la bague fasse saillie. Fn- suite, enveloppez le joyau dans du papier de

soie, placez-le de façon qu'il se trouve dans la partie creusée, et liez la pomme de terre avec du fil de fer fin. Vous pouvez mainte- nant souder avre de la soudure tendre à l'or, non pas sur un charbon, mais en tenant la pomme de terre à la main.

Pour faire ce genre de réparation, un autre bon moyen consiste à remplir un petit creuset de sable mouillé, et à enfouir la partie qui porte le joyau dans le sable ; on peut ensuite souder.

V A R I É T É

V n m o y e n d e s ' e n r i c h i r Le journal Washington Post raconte et certifie exacte une histoire qui s'est passée il y a quelques années et qui montre bien la différence qu'il y a entre un pauvre petit voleur et un bonhomme qui s'appropi ie des millions.

Dans une banque de Boston, un jeune homme était caissier-adjoint. Il prit de mau- vaises habitudes et, pour satisfaire à ses be- soins, commença à puiser dans la caisse et dissimula les détournements en surchargeant les écritures. Cela dura plusieurs années avant qu'on eut des soupçons et qu'on se livra à une enquête sérieuse. Il avait pris à cette époque près de 75,000 francs.

Voyant qu'il allait être irrémédiablement découvert, il alla trouver un avocat et lui raconta tout. Celui-ci lui demanda seulement s'il était encore, pour le moment, en situa- tion et, après réponse affirmative, lui dit.

« Si on vous arrête pour un vol de 75,000 francs, vous serez sans nul doute sévèrement

condamné. Si vous prenez quelque chose comme 2 millions, vous pourrez amener les banquiers à composition. Allez, prenez tout ce qu'il y a en caisse et laissez moi faire. » Ainsi dit, ainsi fait. Il emporta deux mil- lions et demi, s'esbigna et fit savoir aux ban- quiers qui était son mandataire. L'avocat montra qu'arrêter le coupable ne ferait pas rentrer dans les fonds volés... On partagea.

La banque rentra dans la moitié de ses fonds et délivra au caissier une quittance1 pour solde de tout compte. Celui-ci construisit immédiatement de belles maisons, spécula et est aujourd'hui un de nos plus riches conci- toyens. Il y a dix ans que l'histoire s'est passée, tout le monde la connaît, mais per- sonne n'oserait se porter accusateur.

Et ce fait n'est point unique dans l'histoire de l'origine des propriétés.

COTE DE L'ARGENT

du 13 février 1892 Facturé aux monteurs de boîte.

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id. 935 id. id. » 144.45 id.

I i i s t e d e s m a r c h a n d e h o r l o g e r s ac- tuellement à la Chaux· de-Fonds ά l'hôtel de la Fleur- de - Lis : Liste dressée vendredi 12 février 1892, à 5 heures du soir : MM.

Kessler, Berlin.—Abel, Hambourg.— Lœwy, Vienne. — Bellack, Vienne.

Le rédacteur responsable. Fritz HUOUENIN.

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