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Dimanche 6 Novembre 1892.

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Les Consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal.

Sixième Année. — N

0

90.

Prix du numéro 10 centimes

Dimanche 6 Novembre 1892.

Bureaux : R u e de la Serre, 27.

Suisso . . . . Fr. 6»— Fr. 3»—

Union postale » 12»— » 6*—

On s'abonne à tous les bureaux de poste

Paraissant le Jeudi et le Dimanche à la Chaux-de-Fnnds

Provenant de la Suisse 20 et. la ligne

» de l'étranger 25 » » » Minimum d'une annonce 50 cent.

Les annonces se paient d'avance Organe de la Société Intercantonale des Industries du Jura, des Chambres de commerce, des Bureaux de contrôle

et des Syndicats professionnels.

Législation sur le travail

Nous avons publié clans notre numéro du BU octobre, les résolutions prises par l'I'nion suisse du commerce et de l'in- dustrie, sur diverses questions soulevées par le Département fédéral de l'industrie.

Le Vorort de l'Union suisse avait de- mandé, par circulaire l'opinion de ses sections, au nombre desquels figure Ia Société intercantonale des industries du .lura.

On lira avec intérêt le rapport du se- crétaire de l'intercantonale, dont les con- clusions différent sensiblement de celles de l'Union suisse.

Au Vorort tle l'Union suisse du commerce et de l'industrie,

à Zurich.

Monsieur le Président et Messieurs, En réponse à votre circulaire N° 160, du 25 juillet dernier, laquelle était accompagnée de la reproduction de la circulaire du 30 juillet 1891, du Département fédéral de l'industrie et de l'agriculture, nous avons l'honneur de vous communiquer ce qui suit :

Nous avons transmis à nos sections et à di- verses personnes compétentes, les deux pièces sur lesquelles doit s'exercer le préavis que vous nous demandez, mais nous n'avons pas reçu de réponses de celles-ci, sections ou parti- culiers, sauf du syndicat des fabriques de montres. Lc rapport que nous vous envoyons a été fait d'une part, en tenant compte dcs'opi- nions émises par celle de nos sections qui a répondu, d'autre part, par les informations que le secrétariat de l'intercantonale a pu re- cueillir dans les milieux intéressés, patronaux et ouvriers et avec la collaboration de la cham- bre cantonale neucliàteloise du commerce, de l'industrie et du travail, qui a bien voulu se mettre à notre disposition pour coopérer à ce travail, fait, par conséquent en commun par le secrétariat soussigné et M. Fritz Iluguenin, secrétaire de la chambre cantonale ci-haut nommée. Ceci dit, nous entrons dans la ques- tion et en prenons les paragraphes qui sont spécialement visés comme préavis à donner.

La circulaire du Département s'exprime comme suit :

« Nous relevons ce point qu'une question

< qui entre en effet pour beaucoup dans la so-

« lution de la motion Comtesse, c'est celle de

« savoir si, relativement au paiement des sa-

« laircs aux ouvriers qui ne sont pas sous le

« régime de la loi sur les fabriques, il existe

« des conditions de nature si grave, qu'elles

« fassent paraître nécessaire l'intervention de

« mesures législatives. »

Nous répondons, oui, ces conditions de na- ture grave existent dans l'industrie de l'horlo- gerie, pour ne parler que de celle des indus- tries que nous sommes le mieux à même d'ap- précier dans son économie de production. Oui, elles font paraître nécessaire l'intervention de mesures législatives. Les paiements de salai- res, soit avec retenues qui ne sont pas con- tractuelles, ou avec escomptes non consentis d'avance ou en marchandises, s'exercent trop souvent encore et sous trop de formes, au dé- triment, non seulement de l'ouvrier qui voit son gain diminué par l'un ou l'autre de ces procédés, mais au détriment aussi, des fabri- cants payant en monnaie légale, sans retenues ou escomptes arbitraires, lesquels se voient débordés par la concurrence de ceux, usant de ces moyens indirects, de baisser le prix de revient de leurs produits et augmentant ainsi leur puissance de concurrence.

Nous ne pouvons mieux faire, pour donner à notre argumentation une forme plus tangi- ble, que de reproduire in-extenso un article qui a paru dans le journal La Fédération horlogère du 28 octobre 1887. .

Le voici :

« La lettre d'un groupe d'ouvriers de Cour-

« genay, publiée clans le N0 43, du 14 octobre,

« appelle de nouveau l'attention sur un abus

< déjà maintes fois signalé, mais qui, malgré

* les mesures prises pour le faire disparaître,

« fleurit encore sur certains points du terri-

« toire horloger. Pratiqué d'une façon directe

« ou indirecte, suivant les cas ou les lieux, le

« paiement des salaires en marchandises, cons-

« titue l'un des plus criants abus que les ou-

« vriers aient dû supporter jusqu'ici; aussi

< croyons-nous devoir en examiner les consé-

« quences, tant au point de vue des intérêts

« ouvriers, au détriment desquels il s'exerce,

« qu'à celui de la situation privilégiée qu'il

* crée en faveur des fabricants ou chefs d'ate-

« liers, qui l'ont introduit dans leurs mœurs

« commerciales. Si nous en croyons les per-

« sonnes qui ont suivi, dès l'origine, le déve-

< loppement de cette pratique, condamnable,

« il faudrait, pour déterminer l'époque à Ia-

« quelle elle a pris pied chez nous, remonter

« au temps où une certaine catégorie d'indus-

triels, colporteurs ou boutiquiers .ont vu,, l'industrie horlogère, une mine d'or a exploi- ter par ces procédés nouveaux. On les vit ajouter à leur métier de marchands de bric- à-brac, celui de brocanteurs de montres, pour arriver à la situation de fabricants, en attendant que les gains réalisés dans une période de prospérité générale leur permis- sent de s'élever insensiblement au rang de grands exportateurs.

« Au point de vue précumaire, la combinai- son était excellente. Fixer à un prix appa- ramment rénumérateur, le salaire de leurs ouvriers, puis le soldé eh tout oU partie en marchandises de qualité inférieure, facturées le double ou le triple de leur valeur nor- male, telle était la clef d'un système qui au- rait, à ses novateurs, des perspectives de bé- néfice à double origine, qu'une motion plus juste, mains moins savante du louage de services, n'avait pas permis jusqu'alors de réaliser. Et, comme le génie mercantile n'est pas, quoiqu'on en dise le privilège ex- clusif d'une seule race, bon nombre d'indus- triels indigènes, en quête de profits faciles, se firent les disciples convaincus de l'école nouvelle.

« il ne fallut rien moins que quelques scan- dales retentissants, pour que les protesta- tions indiquées des ouvriers lésés produi- sissent un salutaire effet, et pourtant, pour sévir d'une façon plus léquine qu'autrefois, cette peste n'en règne pas moins encore dans quelques grands et petits centres de production, et certains faits récents, parve- nus à notre connaissance, font supposer que, si l'on n'y met bon ordre, nous allons assis- ter à une recrudescence de la maladie. Aus- si, le moment nous parait-il venu de prendre les mesures d'hygiène, propre à arrêter la contagion et à assainir notre' atmosphère industrielle.

« Il y va d'ailleurs de la sécurité des fabri- cants consciencieux aussi bien que de celle des ouvriers. Le profit que le fabricant réa- lise sur la vente des objets dont il impose l'acceptation à ses ouvriers, à titre de paie- ment de leur salaire, lui permet de se con- tenter, sur la vente de ses montres d'un bé- néfice très inférieur à celui prélevé par ses concurrents et ceux-ci sont ainsi supplantés par les payeurs en nature, chez tous les acheteurs où ils sont mis en leur présence.

Nous pourrions citer tel fabricant de cette intéressante catégorie, qui vend ses montres au prix de production, trouvant très suffi-

(2)

, •

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LA FEDERATION HORLOGÈRE SUISSE

« sant le gain qu'il réalise sur les draps « tout

« laine» ou les toiles «pur fil» ou «pur coton»,

« dont il force la vente aux horlogers qui ont

« la bonne fortune d'être occupés par lui.

« Voilà certes, un point du programme gé-

« -néral de la Fédération, pour la réalisation

«duquel, patrons et ouvriers pourraient se

« mettre d'accord. Malheureusement, les actes

« de la nature de ceux, que nous venons dé-

« noncer, demeurent trop souvent cachés ; les

« ouvriers qui en sont victimes n'osant pas se

« plaindre, de crainte de représailles.

«Mais la Fédération horlogère se doit à

« elle-même et doit aux intérêts dont elle a la

« sauvegarde, de prêter-"son concours absolu

« à toutes les mesures qui seront prises dans

« le buf de supprimer une fois pour toutes, cet

« abus criant de la force. Aux ouvriers lésés,

« à signaler les faits ; ils peuvent être assurés

« de la plus parfaite discrétion, comme aussi

« de la plus énergique intervention.

« Qu'ils nous signalent donc sans crainte et

« sans être arrêtés par aucune considération,

« les agissements de ceux qui spéculent sur

« la situation précaire de la classe ouvrière,

« pour se créer, sur le dos du travailleur, une

« source nouvelle de gains. Les enquêtes né-

« cessaircs seront vigoureusement conduites

« et d'efficaces mesures seront prises sans re-

« tard, à condition toutefois, que la révélation

« des faits soit accompagnée de documeuts

« en établissant la parfaite exactitude et pou-

« vant tenir lieu de preuves. La question du

« paiement des salaires, préoccupe d'ailleurs

« tous ceux qui ont à cœur l'amélioration des

« conditions d'existence des ouvriers; aussi

« avons-nous constaté, avec une vive satisfae-

« tion qu'elle était mentionnée dans certains

« programmes politiques, élaboré en vue des

« élections au Conseil national. On peut donc

« s'attendre à ce qu'une extension de quelques

« dispositions de la loi sur le travail dans les

« fabriques, si non de la loi elle-même, soit

« demandée et obtenue. En attendant ce jour,

« l'opinion politique sera avec ceux qui tra-

« vailleront par tous les moyens en leur pou-

« voir à aider nos ouvriers à se soustraire au

« genre d'exploitation que nous avons signalé

« dans cet article. »

Répondant aux alinéas suivants :

a) « Les propositions contenues dans la mo-

« tion et visant à créer un correctif, sont-elles

« d'un côté appropriées à ce but, et d'un autre

« côté, sont-elles en somme réalisables % » Oui, nous estimons ces propositions appro- priées au but et les croyons réalisables dans la mesure où se réalisent les prescriptions de la loi fédérale sur les fabriques, bien qu'en tenant compte d'une difficulté additionnelle, résultant de la position de l'ouvrier travaillant à domicile comparée à celle de l'ouvrier grou- pé en fabrique, la première nécessistant une surveillance plus minutieuse et dès lors, une augmentation, — non seulement proportion- nelle mais progressive, — du nombre des ins- pecteurs fédéraux.

Nous nous prononçons donc pour cette aug- mentation du nombre des inspecteurs.

h) « Le correctif en question, doit-il exercer

« ses effets pour tous l'es salariés qui se trouvent

« en dehors de la loi sur les fabriques, (par

« exemple pour ceux des métiers et de la petite

« industrie, des exploitations rurales, des mé-

« nages, des auberges, des maisons de com-

«merce, etc.) ou seulement pour ceux de

« quelques catégories et éventuellement des-

« quelles (voir alinéa 5 de la motion) ? » Le syndicat des fabriques de montres par l'organe de son secrétaire, donne l'appréciation suivante :

« Réponse oui; — il faudrait dire par exemple,

«Tous les ouvriers quelconques, travaillant

« soit à façon, soit à la journée, ou à la se-

« maine, doivent être payés en espèces au moins

«tous les quinze jours. Les employés au mois

< ou à l'année, doivent-ils être payés en espèces

« dans les termes prévus au contrat. !S'il n'ex-

«iste pas de contrat, le paiement aura lieu

« chaque mois. »

Nous partageons bien, en principe, cette opinion, mais craignant que, dans la pratique, cette extension générale ne se heurte à des difficultés trop grandes d'exécution, nous de- mandons l'examen d'une formule d'extension par catégories, qui serait celle-ci, ou tout autre équivalente :

Le correctif exercera ses effets pour tous les salariés exécutant un travail qui, — dans ses conditions essentielles, · - est assimilable à celui qui est exécuté par l'ouvrier travaillant en fabrique. — Les effets de la motion Com- tesse s'exerceraient dès lors, en premier lieu dans toute industrie où co-existent parallèle- ment les deux modes de production, soit le travail dans la fabrique et Je travail exécuté par l'ouvrier travaillant dans son domicile, (exemples : horlogerie, bijouterie, broderie, etc.).

Pour la seconde partie de l'appréciation du syndicat des fabriques de montres, concernant les employés, nous sommes d'accord, sauf que, comme ligne de démarcation entre l'employé et l'ouvrier, nous admettrions l'existence du contrat, qui constitue le personnel commis- sionné, par conséquent la qualité d'employé.

c) « N'y aurait-il pas lieu d'admettre, dans le

« principe énoncé apodictiquement au chiffre

« 1 de la motion, une exception pour les cir-

« constances dans lesquelles la nourriture et le

«logement fournis par le patron constituent

« une partie du salaire ? »

Non, nous ne pensons pas qu'une exception, dans les industries de la catégorie visée soit désirable, car ce mode de faire peut donner lieu aux plus grands abus, échappant à tout contrôle véritablement efficace. — Si on se place au point de vue d'établissement de caté- gories d'industries, nous croyons qu'il est pos- sible de ne pas faire cette exception, par la- quelle on tournerait aisément la loi. — Lc syndicat des fabriques de montres qui n'admet pas les catégories est, [de par cette position, forcé logiquement à admettre des exceptions en ce qui concerne la nourriture et le logement, ce qu'il fait en répondant à l'alinéa c: «oui, le

« paiement du salaire, déduction faite de la

« nourriture et du logement, s'il y a lieu, doit

«avoir lieu, en espèces, an moins chaque

« quinzaine. »

d) « Que faut-il entendre par retenue sur les

« salaires, (chiffre de la motion) ? y a-t-il lieu

« d'introduire, dans le cas où une stipulation

« par contrat n'aurait pas eu lieu, les retenues

«aussi pour du travail défectueux, des ma-

« tières ou des outils détériorés, d'autres pré- j u d i c e s causés au patron, des avances faites

« par lui, les prétentions d'autres créanciers,

« etc.»

D'accord avec le syndicat des fabriques de montres, nous estimons qu'on doit entendre ici, les retenues qui ne sont pas basées sur une libre convention entre l'ouvrier et le patron ou qui ne sont pas'légitimées par un dommage réel qu'aurait causé l'ouvrier à son patron. — Si ce dernier cas est invoqué, le bien-fondé ainsi que le montant éventuel de la retenue, doivent être fixés contradictoirement, après enquête établissant qu'il y a dommage, ou par une expertise, ou par le juge compétent. — En d'autres cas et sous d'autres formes, nous es- timons qu'il faut interdire toute retenue.

Si le patron fait des avances à son ouvrier, il doit lui faire signer un engagement pour le remboursement de la somme avanéce, l'auto- risant à retenir le salaire et fixant le montant qu'affectera la retenue, sur chaque paie où elle aura à s'exercer.

Quant aux prétentions d'autres créanciers, on ne peut retenir en faveur d'un tiers-créan- cier qu'ensuite du consentement écrit de l'ou- vrier, fixant la quotité et la date de la retenue à faire. Quant à la saisie, elle est réglée par

la loi. — Nous estimons, soit dit en passant, qu'on ne peut pas saisir le gain à venir et que la saisie ne peut porter que sur le gain acquis.

e) « Serait-il justifiable de maintenir la con-

«dition prévue à l'art. 10, alinéa2dela loi sur

«les fabriques, (voir le chiffre 3 de la motion)

« qui rend souvent illusoire le paiement des sa-

« laircs par quinzaines, notamment alors que

« le patron, agissant dans le sens d'un rôgle-

« ment de fabrique » pourrait prendre des dis-

« positions plus ou moins arbitraires ï » Nous demandons qu'on réserve l'art. 10, ali- néa 2 de la loi sur les fabriques, car un prin- cipe inscrit dans une loi, ne doit en aucun cas être illusoire, pas plus qu'un règlement de fabrique ne doit pouvoir primer la loi ou con- tenir des dispositions arbitraires, contraires à cette loi, ceci, en vertu du principe que la loi est au-dessus du règlement. |

En ce qui concerne la réduction de la jour- née maximum du travail, le syndicat des fa- briques de montres, comme nous-mème se prononce en faveur de la réduction. La journée maximum pourrait être fixée à 10 heures, sans inconvénients, car l'expérience a consacré l'opinion plusieurs fois émise, que la produc- tion, en 10 heures de travail, ne sera nullement inférieure à celle de 11 heures.

Aussi longtemps que les principaux pays avec lesquels nos industries d'exportation se trouvent en concurrence, se refuseront à limi- ter d'une manière quelconque le travail dans les fabriques, ou à introduire quelles restric- tions que ce soit au travail des adultes et des enfants, nous ne pouvons introduire !ajournée de 8 heures, ni interdire le travail des femmes mariées dans les fabriques, sans compromettre gravement notre position industrielle et par conséquent, l'avenir tant de l'ouvrier que du patron suisse. D'ailleurs, le principe même de l'interdiction du travail des femmes mariées dans les fabriques, est très discutable. Serait- il juste et humain? N'irait-il pas à rencontre du but'?

Revenant encore sur la question de réduction de la journée de travail à 8 heures, nous ne croyons pas cette réduction possible par le procédé artificiel. Nous croyons que cette ré- duction se fera, mais par la force même -des choses, car ensuite de la production générale, exagérée par le développement de l'outillage mécanique, si nous n'arrivons pas à trouver des débouchés, soit des consommateurs pour toute la production industrielle ; en d'autres termes si l'excédent de la production sur la consommation devrait aller en s'accentiiant, nous aurions à décider entre, avoir en perma- nence un certain nombre de travailleurs inoc- cupés, qui n'auraient plus qu'à choisir entre la mendicité et l'expatriation, ou réglementer les heures de travail pour pouvoir occuper tous les travailleurs.

C'est par cette formule que nous entrevoyons la possibilité de réduire à 8 heures, la journée normale de travail et au moyen de l'extension aussi large que possible, de la loi fédérale sur le travail dans les fabriques. Quant à l'aug- mentation du nombre des inspecteurs fédéraux des fabriques et la subdivision des arrondis- sements d'inspection, nous l'envisageons comme une conséquence naturelle de tout ce que nous avons dit sur l'ensemble des questions qui nous sont soumises.

En ce qui concerne le point 2 de votre circu- laire, soit de savoir si le commerce suisse en général, trouverait un avantage dans la créa- tion d'un bureau central, à Vienne, pour toutes les questions juridiques concernant le com- merce, nous n'avons reçu aucune réponse des personnes auxquelles nous avions soumis ce point et nous ne pouvons de ce fait vous don- ner un préavis de nos sections. — Cependant nous estimons que la création d'un bureau de ce genre, est des plus désirable et rendrait de réels services au commerce suisse. Il arrive

;* Φ & *,·-

(3)

LA FEDERATION HORLOGÈRE SUISSE

383

fréquemment que des négociante, ayant des poursuites à faire ou des rentrées à opérer, ne savent à qui s'adresser et tombent entre les mains d'agents peu scrupuleux qui les exploi- tent d'une indigne façon. — Nous verrions donc avec plaisir la création à Vienne comme aussi dans toutes les villes d'une importance un peu considérable, de bureaux du genre de celui projeté, qui rendront des services fort appréciables à notre commerce.

Nous vous présentons, Monsieur le Président et Messieurs, l'assurance de notre considéra- tion la jiliis distinguée.

(signé) JAMES P E R R E N O U D .

Brevets d'invention

Horlogerie et Bijouterie

LISTE DES B R E V E T S E N R E G I S T R É S E n r e g i s t r e m e n t s

Cl. 53,"no 5326. 23 juin 1892, 5 V2 h. p. — Nou- veau'genre d'ébauches pour petites pièces à musique (boites à musique). Jaccardfy C'">,S., fondeurs et fabricants d'ébauches, Culliairy, près Ste-Croix (Suisse), ayants-cause de l'inventeur Alph. Décrevel-Clerc, à l a S a g n c , près Ste-Croix.

Cl. 64, no 5272. 1er juillet 1892, 6 h. p. — Quan- tième perfectionné indépendant du mouve- ment et du cadran. — Scheibenstock Journiac, Charles, Locle (Suisse). M a n d a t a i r e : A Ma- thcv-Dorct, Locle.

Cl. 64, no 5273. 4 juillet 1892, 53/4 h. p. — Mon- tre perfectionnée. — Richard, Aimé, horloger, Vendôme, Loire-et-Cher (Fiance). Manda- taire : Ritter, A., Bàlc.

Cl. 64, no 5300. 21 juillet 1892, 5 h. p. — Mon- tre de poche avec métronom. — Si/dler, IL, Quartier neuf, Soleure(Suisse). Mandataire : Hanslin & Ci0, Berne.

Cl. 64, no 5310. 27 mai 1892, 10 h. a. — Chro- nographe sans engrenage pour montre quart ou cinquième de seconde dite foudroyante.

— Piguet, William-Alfred, fabricant d'horlo- gerie, au Sentier, Vallée-de-Joux (Suisse).

Cl. 65, no 5294. 29 juin 1892, 93/4 h. a. — Nou- veau genre de chaussée avec tige de grande moyenne pour montres et pendules. — Guve, Philippe, 17, Place de Cornavin, Genève (Suisse).

R a d i a t i o n s

Cl. 64, no 3751. Perfectionnement apporté dans la construction des montres à quantième.

L I S T E D E S DESSINS E T M O D È L E S E n r e g i s t r e m e n t s

No 430. 6 octobre 1892, 8 h. a. — Ouvert. — 11 modèles. — Cadrans et plaques émaillécs pour cadrans. — Wyss, fils, Joseph, Chaux-

• de-Fonds (Suisse).

No 436. 14 octobre 1892, 10V4 h. a. — Ouvert.

— 1 modèle. — Calibre de remontoirechro- nographe compteur et simple. — Pidisheim

$ frères, Albert, St-Imicr (Suisse).

No 437. 11 octobre 1892' 3'/o h. p. — Ouvert. — 10 modèles. — Calibres, formes et disposi- tions pour chronographes simples et comp- teurs. Télémètres. Rattrapantes. Répéti- tions.

Cote de l'argent

du 5 novembre 1892 facturé a u x monteurs de boites L'argent 800 laminé et fil à fr. 116»75 le kilo.

» 805 » » » 128»15 » s> 875 » » » 131»— Ï>

» 900 » s> » 135*95 »

> 935 » » » 136*65 » Fin en grenailles » 144»20 »

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C S t - T -1I O C n C O C O CM C D C D T - I C O Q H 0 5 C 0 1 0 t ^ î D 0 5 0 C C C O C O C O ^ C M O CM^CO^O XO^W O1 - ^ -"J^

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Si l'on compare ces renseignements à ceux du mois de septembre, on trouve qu'il y a aug- mentation de 7855 sur le total des boites con- trôlées, soit 3421 sur les boites en or et 4434 sur les boîtes en argent.

Montage de Petites Boîtes

or et argent à tous titres

F. Jeanneret

R u e d u D o u b s . 0 5 LA C H A U X - D E - F O N D S

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geables. 1891-5 Emaux peints, paillonnés.

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Système breveté -fr No 4280

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Q u e l l e f a b r i q u e s e r a i t d i s p o s é e à f o u r n i r t o u s l e s m o u v e m e n t s n é c e s - s a i r e s p o u r l a f a b r i c a t i o n d e m o n t r e s b r e v e t é e s p a r

l a b o i t e ? 1890-5 E c o u l e m e n t r é g u l i e r 3 O O

p i è c e s p a r m o i s . S ' a d r e s s e r à

F. Jeanneret

D o u b s 6 5

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en t o u s g e n r e s V e n t e e n g r o s e t d é t a i l

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de 7 à 60 lignes.

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demi-boules, etc. , 1871-6

Fabrique de Yerres de Montres

en tous genres 1707-23

Ancienne maison TASTOIX & BASTARD

J. BASTARD & REDARD

21, Quai des Bergues, 21

Mise en garde

C o n t r e Ie n o m m é J o - s e p h B u r t i n s e disant inventeur calibriste d e Cluses e t qui n'est q u ' u n

v u l g a i r e escroc, isei-l

Un horloger connaissant à fond

la fabrication des 1887-1

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« Le mouvement est fixé dans un cercle Pilote a 1 extérieur (fig.2) qui l'entoure s u r toute sa hauteur, et qui une l'ois visse dans la boite, vient s'appuyer au ΙΌ η d de celle-ci, constituant ainsi un garde-pous­

sière dont l'efficacité va même jusqu'à la plus complète împerméa-

«II ressort de l'innovation de M. F. Borgel un avantage qu'il est bon de constater, c'est la solidité acquise p a r une boite légère due au t'ait que le cercle appuie au fond de la boite, tendant ainsi et le fond et la carrure. Ce l'ait, joint à la simplicité de la construction de la boite et à la suppression de la cuvette, justifie la mention d écono-

mique dont nous avons qualifié cette nouvelle boite. 1789-34 L'emboîtage du mouvement dans ce cercle est lait de manière que

lorsque le vissage est opéré à fond, le midi se trouve à sa place vis- à-vis du pendant. Un petit ressort d'arrêt en assure du reste la stabi- lité.» , . . ,.

NB. Les mouvements étant formés hermétiquement, il on résultera une économie de nettoyage pour le particulier. — Il est également fa- cile de sortir son mouvement pour en retoucher le réglage, et pour l'acheteur en reconnaître la qualité; une application très heureuse a été jointe pour les personnes qui désirent supprimer la vis au pendant.

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