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des Les ouvriers français font deux sortes de reproches aux ouvriers étrangers: - être des inférieurs; - nous prendre notre travail.

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Academic year: 2022

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(1)

Pour le des

FRANCAIS OU PROLETAIRE?

Beaucoup d'étrangers travaillent en France.

Ces ouvriers sont :

- soit des émigrés politiques, persécutés dans leur pays à cause de leurs convictions;

soit des travailleurs des pays méditerranéens (espagnols et italiens

surtout) poussés par la famine et qui préfèrent être durement exploités

dans les usines plutôt que crever de faim;

- soit des ressortissants des pays autrefois colonisés; essentiellement des Algériens et de plus en plus des Noirs qui viement pour les mêmes raisons que les espagnols ou les italiens.

Les ouvriers de la métropole les traitent toujours avec méfiance, souvent avec hostilité. Par exemple, chez Citroën à Levallois, les WC sont remplies d'inscriptions injurieuses à leur égard.

Les ouvriers français font deux sortes de reproches aux ouvriers étrangers:

- être des inférieurs;

- nous prendre notre travail.

I) Les étrangers ne sont pas des inférieurs.

Il

y

a forcément des différences d'instruction et de qualification entre les travailleurs de différents pays. Mais ces différences ne sont

pas

dues à une quelconque infériorité. •

Si nos camarades algériens, par exemple,n'ont pas eu d'écoles pour apprendre à lire, s'ils n'ont

pas

eu accès aux centres d'apprentissage, ils n'en sont pas responsables.

Si les ouvriers de la métropole ont eu droit à une certaine instruc- tion, c'est seulement parce que les patrons voulaient leur faire produire p2us.

Un manoeuvre n'est pas plus inférieur à un Pl qu'un Pl n'est inférieur

à un

étudiant. Certains ont été moins touchés que d'autres par l'injustice

capitaliste. Le mérite n'a rien à voir là-dedans,

(2)

nn:E Les étrangers ne nous prennent pas notre travail

Il n'y a pas en France do chômage. Au contraire, certaines professions comme 0elles de mineur sont abandonnées par les français et les capitalistes ont été obligés de faire v~nir des étrangers pour que leur économie puisse fonctionner.

-- 2-

Lorsque les patrons ou les journalj_stes à leur solde essayent de faire croire à leur générosité parce qu'ils donnent du travail aux ouvriers algériens, espagnols ou italiens, ils mentent effrontément.

S'ils font venir des travailleurs étrangers, c'est parce qu'ils ne peuvent trouver des travailleurs français pour exécuter C<:lrtaines tâches,

Nos camarades étrangers ne nous sont donc pas inférieurs et ne menacent pas notre travail. q ï vérité est que, quelle que soit notre nationalité ou notregoul@gr gepeau.nous sores tous égaux gars__'exploitation .

A l'usine, nous sommes tous soumis aux mêmes cadences infernales, à la

mmo discipline. Algérien, Espagnol, Italien ou Français, nous

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rivés h la même chaîne. Et ne sommes-nous pas plus proches do notre SE.Blae . de chaine étranger que du directeur français qui nous opprime ?

Même lorsque nos dir::.geants affichent des idées racistes, ils savent s'unir par delà les frontières. Tous les patrons, tous les gouvernements ont des organismes de coopération :internationaux.

Travailleurs, unissons-nous aussi car c'est notre intérêt. Nous dresser contre nos camarades étrangers, c'est nous diviser. Nous diviser, C'est nous affaiblir. Nous affaiblir c'est permettre que l'on nous exploite encore plus.

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n7 AUX US INES SIMA "

"Honneur et bienvenue au roi des Belges, Ces banderoles mouillées

" par une pluie fine ont accueilli le roi Baudoin à Poissy-Beauregard, où

JJ (7 a visité vendredi matin les usines SIMCA. La cité du personnel qu'a

JJ traversée le souverain à son arrivée à J I h MI a pris un air de fête :

" au fenêtres, aux barrières des pavillons, sont accrochés des drapeaux

"noir-jaune-rouge en papeir. Les mêmes couleurs s'agitent dans les mains

"des enfants des écoles.

" Le roi qu'accompagnent M. SPAAK, vice-premier Ministre belge socialiste,

" est attendu au seuil du hall des usines par Mr. Henr1 PIGOZI. Prégid@kir

11 directeur-général de l'entreprise. Une délégation 6ê vinc;t-deux ouvr:i!er::;,

11 représentant les belges employés aux usines est également présente.

4" Après avoir salué d'un sourire les membres du comité d'entreprise,

11 Baudoin se dirige vers un panneau devant lequel M. PIGOZZI lui explique

" schématiquement le fonctionnement de l'entreprise. Le souverain a ensuite

"visité les bâtiments ou sept mille ouvriers sont au travail."

11 Le Monde "

(3)

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(4)

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QUAND LES CATOLIQUES DECOUVRENT L'EXPLOITATION

---~----

Résultats d'une enquête menée par la Jeunesse Ouvrière Chrétienne auprès de jeunes travailleurs de Basse-Normandie :

Sur 6l jeunes travailleurs : 26 font de 10 à 13 heures de travail chaque jour ; 30 autres travaillent de 8 à 10 Heures. 5 seulement

font moins de 8 heures.

Deux apprentis racontent leur vie

" (Jean X a d'abord été apprenti pâtissier) : On m'a fait faire

"la plonge 6 heures par jour, le samedi et le dimanche j'étais obligé

"de travailler à 4 heures du matin : je n'ai pu résister à ce

"travail. Maintenant je suis apprenti dans un petit garage : j'ai

"un contrat et je gagne 2.000 francs par mois, juste de quoi payer ' y'abonnement au car, "

"(Daniel Y est apprenti carossier) : 11 travaille 60 heures

"par semaine et exécute un travail de manoeuvre. D'après son contrat

"il ne doit faire que huit heures par jour. Un autre garçon, Gilbert,

"travaille parfois 65 heures par semaine au lieu des 44 prévues. Il ' a encore six semaines d'essai après trois de travail déjà. Depuis

"cinq mois une dizaine d'apprentis sont passés : il se demande s'il

"aura droit à son contrat .... "

Un jeune ouvrier:

" Pierre X travaille dans la métallurgie à F, Journée continue ,

"une semaine de 5 heures du matin à J M heures, la suivante de 14 H.

"à 23 H. Mes copains, dit-il, je les vois le dimanche. "

A la suite d'une enquête analogue menée auprès des jeunes ouvrières, la JOCF conclut :

"L'accroissement de la production se fait par l'augmentation

"incessante des cadences, au total mépris de ceux et de celles qui

"y sont soumis. Aucune exigence financière ou économique ne peut

"rendre acceptable le sacrifice de la santé et de l'équilibre humain

"de toute une génération "

Pour qu'une organisation catholique arrive à des conclusions que peuvent approuver tous les militants ouvriers, il faut que l'exploitation ait atteint une intensité peu commune.

Quelles que soient notre idéologie ou nos croyances, nous devons nous unir contre los cadences infernales et pour imposer des conditions de vie plus humaines.

. .. I ...

(5)

- 5 - LA MARINE EST DANS LB LAC

---

Ln grande grève de l'an dernier, qui avait paralysé pendant des semaines la marine marchande britannique, avait montré l'exaspération des marins anglis devant les salaires et les conditions de travail qui leur étaient imposées avec la compilcité de leur syndicat.

Un mouvement était alors parti de la base pour balayer ce

syndicat, véritnble officine de briseurs de grèv'3, qui nJhésitait pas à envoyer des émissaires à bord des navires imr,1QMlisés pour inciter les marins à trahir leurs camarades en lutte. Les militants engagés dans le 'mouvement de réforme' avaientl'ambition de remplacer le

syndicat pourri par une organisation démocratique, representant vrai- ment les intérêts de ses membres.

Mais on ne se débarrasse pas facilement de la bureaucratie, Sous prétexte d'efficacité, le "mouvement de réforme" se donnait lui aussi une direction. Et maintenant, le 11Workers News Bulletin°, publié par un groupe révolutionnaire anglais, nous np~rend que cette direction 'non officielle' commence à ressembler 3Qü<j deux gouttes d'eau à la direction ''officielle' : même mollesse dans la défense des revendications, même attitude bureaucratique envers la base.

Les marins anglais ont pourtant montré que la volonté de lutte ne leur manque pas, Il leur reste peut-être à comprendre que le problème pour les travailleurs n '<:>st pas de se choisir une 11UGUQ<<j ' direction, mais de s'organiser pour pr•.:'.ildre eux-mômes en mains la direction de leurs propres affaires. Dès maintenant un pas a été fait dans cette direction: les marins réclament l'application à leur industrie du système des 'shop stewards', délégués élus directement par la

base pour représenter les travailleurs d'un atelier ou d'une petite usine, indépendamment de toute tutelle syndicale.

Inutile de préciser que Messieurs les "dirigeants" voient cette revendication d'un très mauvais oeil.

GROUPE DE LIAISON

POUR

L'ACTION DES

TRAVAILLEURS 8t G L, A. T.)

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