• Aucun résultat trouvé

Hidradenocarcinoma of the heel associated with inguinal metastases [Hidradénocarcinome du talon associé à des métastases inguinales]

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "Hidradenocarcinoma of the heel associated with inguinal metastases [Hidradénocarcinome du talon associé à des métastases inguinales]"

Copied!
7
0
0

Texte intégral

(1)

Disponibleenlignesur

ScienceDirect

www.sciencedirect.com

CAS CLINIQUE

Hidradénocarcinome du talon associé à des métastases inguinales

Hidradenocarcinoma of the heel associated with inguinal metastases

W. Labbardi

a,∗

, F. Hali

a

, F. Marnissi

b

, B. Cribier

c

, S. Chiheb

a

aServicededermatologie,CHUd’Ibn-Rochd,Casablanca,Maroc

bServiced’anatomopathologie,CHUd’Ibn-Rochd,Casablanca,Maroc

cCliniquedermatologique,hôpitauxuniversitairesdeStrasbourg,1,placedel’Hôpital, 67000Strasbourg,France

Rec¸ule23juillet2016 ;acceptéle3mars2017

MOTSCLÉS

Hidradénocarcinome; Carcinomeannexiel; Carcinomesudoral; Métastase

ganglionnaire

Résumé

Introduction.L’hidradénocarcinomeestunetumeurmalignerare,développéeauxdépensdes glandessudoripares.Ilsurvientclassiquementdenovoetrésulterarementdeladégénérescence d’unhidradénomebéninpréexistant.Lesmétastasesganglionnairesaucoursdecettetumeur sontrarementdécritesdanslalittérature.Nousrapportonsl’observationd’unpatientayantun hidradénocarcinomedutalonassociéàdesmétastasesganglionnairesinguinales.

Observation.Unhommede64ans,tabagiquechroniquesevré,présentaitdepuisdeuxansun noduleindoloredutalondroit,sansnotiondelésionpréexistante,augmentantprogressivement de taillepour formerune tumeur ulcérée. L’examen clinique trouvait unemasse tumorale arrondie,ulcéréeaucentre,associéeàunmagmad’adénopathiesinguinalesdroites.L’étude histologique etimmunohistochimique étaitévocatrice d’unhidradénocarcinome.Le patient était traité parexérèse tumoralelarge associéeàun curage inguinalhomolatéral.L’étude histologiqueducurageganglionnairemontraitdesganglionsinfiltrésparlatumeur,avecune effractioncapsulaire.Une radiothérapie était effectuée dansunsecond temps. L’évolution étaitbonne,sansrécidiveavecunreculde34mois.

Auteurcorrespondant.

Adressese-mail:wafaalabbardi@gmail.com,wafaalabbardi@hotmail.com(W.Labbardi).

http://dx.doi.org/10.1016/j.annder.2017.03.024 0151-9638/©2017Publi´eparElsevierMassonSAS.

(2)

Discussion.L’hidradénocarcinome est une tumeur maligne rare. Le diagnostic repose sur l’étudehistologiqueet immunohistochimique.Toutefois, il estparfoisdifficile dedistinguer un hidradénocarcinome d’unhidradénome bénin, d’où l’intérêt d’uneexérèse chirurgicale complèteavecdesmargesdesécuritémêmeenl’absencedecritèrecytologiquedemalignité.

Lesrécidiveslocalessontfréquentes.Lesmétastasessontraresetsurviennenthabituellement aprèsl’exérèsedelatumeur,cequifaitl’originalitédenotreobservation.

©2017Publi´eparElsevierMassonSAS.

KEYWORDS

Hidradenocarcinoma;

Lymphnode metastasis;

Adnexalcarcinoma;

Eccrinecarcinoma

Summary

Background.Hidradenocarcinomaisararemalignanttumourinvolvingthesweatglands.It classicallyarisesdenovo,onlyrarelyresultingfrompre-existinghidradenoma.Theliterature containsfewreportsoflymphnodemetastasisinthistumour.Wereportacaseofapatient withhidradenocarcinomaoftheheelassociatedwithinguinalnodemetastases.

Patientsandmethods.Wereportthecaseofa64-year-oldpatientwithahistoryofchro- nicsmoking,who inthe lasttwo yearsdeveloped apainless nodule inhisright heel, with nopriorinjury, andwhich graduallyincreasedinsizetobecomeanulceratedtumour.Phy- sicalexaminationrevealed aroundedtumour mass,ulceratedinthecentre,andassociated withmultipleinguinaladenopathies. Histologicalandimmunohistochemicalexaminationwas suggestiveofhidradenocarcinoma. Thepatient hadundergoneextensivelocal excisionwith inguinallymphadenectomy.Histologicalexaminationshowedinfiltrationoflymphnodesbythe tumourwithcapsular rupture.Radiotherapywassubsequentlygiven.Theoutcome wasgood withoutrecurrenceafter34monthsoffollow-up.

Discussion.Hidradenocarcinomaisarare malignanttumour.Diagnosis isbasedonhistolo- gicalandimmunohistochemicalexamination.However,hidradenocarcinomamay onoccasion bedifficulttodifferentiatefromhidradenoma,abenigntumour,hencetheinterestofcom- pletesurgicalresectionwithsafetymarginsevenintheabsenceofcytologicalmalignancy.Local recurrencesarecommon.Theoccurrenceoflymphnodemetastasisduringhidradenocarcinoma hasbeendescribedonlyrarelyintheliterature.Suchmetastasesusuallyoccuraftertumour resection.Thespecificfeaturesofourcasearetherarityoflymphnodemetastasesinhidra- denocarcinomacoupledwiththefactthatthesemetastaseswerediscoveredupondiagnosisof theprimarytumour.

©2017PublishedbyElsevierMassonSAS.

L’hidradénocarcinome est une tumeurmaligne rare déve- loppéeauxdépens desglandes sudoripares[1].Ilsurvient classiquement de novo et résulte rarement de la dégé- nérescence d’un hidradénome bénin préexistant [2,3].

Cette tumeur siège préférentiellement au niveau de la tête et du cou et rarement sur les extrémités [4,5].

Le diagnostic repose sur l’étude histologique et immu- nohistochimique [6,7]. Les descriptions de métastases ganglionnairesd’hidradénocarcinomesontraredanslalitté- rature[8].Nousrapportonsl’observationd’unpatientayant unhidradénocarcinomedutalon associéà desmétastases ganglionnairesinguinales.

Observation

Unhommede64ans,tabagiquechroniquesevré,présentait depuisdeuxansunelésionnodulaireindoloredutalondroit, sanssignesinflammatoireslocauxnilésionpréexistante.Le patientconsultaitdevantl’augmentationrécentedelataille

delalésionetl’apparitiond’uneulcérationsecondaireàun traumatisme.L’examen cliniquetrouvaitunemasse tumo- ralearrondie,ulcéréeensoncentre,mesurant5cmdegrand axe.Elleétaitassociée àunmagmad’adénopathiesingui- nalesdroites(Fig.1).

L’étude histologique montrait une prolifération tumo- rale maligne infiltrant le derme et ulcérant l’épiderme, agencée en lobules, faite de massifs de cellules claires au sein d’un stroma hyalin, fibreuxet inflammatoire.Ces lobules de cellules claires étaient constitués d’éléments à noyau excentré, sans véritable vacuole cytoplasmique.

On notait par endroits, des ébauches de kératinisation avec présence d’éléments d’aspect plus canalaire. Les atypies et les mitoses étaient fréquentes. Des emboles lymphatiques étaient également présentes (Fig. 2—4).

L’étude immunohistochimique montrait que les cellules exprimaient fortement la cytokératine 17 et l’antigène de membrane épithéliale (EMA). Elle objectivait égale- ment une positivité focale de la cytokératine 7 (CK7) danslesstructurescanalairessuperficielles,avecuneforte

(3)

Figure1. Vastetumeurulcérée(photoclinique).

expression de PHLDA1, marqueur folliculaire et sudoral (Fig.5et6),sansexpressiondurécepteurauxl’androgènes ni de Ber-Ep4. Cet aspect histologique et immunohisto- chimique étaitévocateur d’hidradénocarcinome. Un bilan d’extension comportant une tomodensitométrie (TDM) thoraco-abdomino-pelvienne et une radiographie du pied droitétaitnégatif.

Le patient étaittraité par uneexérèse tumoralelarge associée à un curage inguinal homolatéral. Les limites d’exérèse étaient saines. L’étude histologique du curage ganglionnairemontraitdesganglionsinfiltrésparlatumeur avec effraction capsulaire. Une radiothérapie était prati- quéedansunsecondtempslesairesganglionnaires,àraison de6séancesà 50Gyparséance. L’évolutionétaitbonne, sansrécidiveavecunreculde34mois.

Discussion

L’hidradénocarcinomeaétédécritpourlapremièrefoispar Keasby et Hadley en 1954 [9]. Depuis, une cinquantaine decasseulementontétérapportésdanslalittérature[7].

Cette tumeurrare représente, eneffet, 6 % des tumeurs eccrinesmalignes [1] et moins de 0,001 % de l’ensemble des tumeurs [1,10].L’hidradénocarcinome survient classi- quementdenovoetrésulterarementdeladégénérescence d’un hidradénomebénin préexistant [2,3]. Ilsiège préfé- rentiellementauniveaudela têteetdu couetrarement auniveaudes extrémités[4,5]. Toutefois,d’autres locali- sationsontété plusrarementdécritesdans lalittérature, tellesqueletronc,l’abdomenoulecuirchevelu[11].L’âge moyen de survenue est de 50 ans, avec une légère pré- dominanceféminine[6].Laprésentationcliniqueestcelle d’une plaqueérythémateuse oud’unnodule cutanéindo- lore,fermeoukystique,laissantparfoissourdreunliquide séreuxclairouhémorragique.Cenoduleesthabituellement unique,decroissancelente[4,5,12].

Le diagnostic de certitude est basé sur l’étude ana- tomopathologique, quimontre une prolifération tumorale intradermiqueenmassifs, comportant unedifférenciation sudorale et découpée par un stroma dense et hyalinisé [6—8,13]. Cetteprolifération tumoraleestformée decel- lulesarrondiesdetaillemoyenne,àcytoplasmeéosinophile ou clair. Des cellules de plus petite taille, basophiles, sont visiblesen périphérie. Lesmitoses sont nombreuses, quelquefois atypiques. Parfois, ces atypies nucléaires et ces mitoses sont rares et l’aspect se rapproche plus de l’hidradénomebénin. Les plages tumorales sont creusées depetitescavitésglandulaires.Desfoyersdekératinisation,

Figure2. Vastetumeurdermo-hypodermiqueulcérée.

(4)

Figure3. Petitslobulesdecellulesclaires.

desaspectspapillairesetdesdépôtsdemucinepeuventêtre notés[13].

À la différence de l’hidradénome bénin, qui est bien limité,l’hidradénocarcinomemontreuneconfigurationasy- métrique, une architecture moins kystique, des zonesde nécroseavecunenvahissementdestissusvoisins[5,13].

L’étudeimmunohistochimique del’hidradénocarcinome montreuneexpressiondecytokératines(CK5/6,CKAE1/3, CK7),del’EMA,del’antigènecarcino-embryonnaire(ACE), de lap63 etde laprotéine S100[11,14]. Cependant,ces marqueurs ne sont pas spécifiques de la tumeur [11,14].

Les cellules tumorales expriment diversement les récep-

Figure4. Grosplanmontrantl’invasionprofonde,avecélémentsdekératinisationetcellulesatypiques.

(5)

Figure5. Immunomarquagedelacytokératine7expriméedansdescanauxglandulaires.

teursaux androgènes (AR),lesrécepteurs aux estrogènes (ER),lesrécepteursàla progestérone(PR), àl’epidermal growthfactor(EGFR)etàl’humanepidermalgrowthfactor receptor2(HER-2)[15].Uneexpressionplusimportantede HER-2aétéparticulièrementnotéedansleshidradénocar- cinomesmétastatiques[16].Unautremarqueurdescellules

souchesfolliculairesetsudorales,pleckstrinhomology-like domain, familyA, member1 (PHLDA1), égalementconnu souslenomT-celldeath-associatedgene51(tdag51),peut êtreutilisé[17].

Lesdonnéessurlesaltérationsgénétiquesdansleshidra- dénocarcinomessontrares.

Figure6. ImmunomarquagemontrantlaforteexpressiondePHLDA1,unmarqueursudoraletfolliculaire.

(6)

Une translocationt(11;19) ouencore uneamplification dugèneher-2ontétérapportéesdanslalittérature[18].

Le diagnostic différentiel se pose sur le plan clinique aveclecarcinomeépidermoïde,lemélanomeachromique, des mycoses profondes ou encore la tuberculose cutanée [4,19,20].

Histologiquement,l’hidradénocarcinomeestparfoisdif- ficileàdistinguerdel’hidradénomebéninnotammentdans saformeatypique,duporocarcinome,ducarcinomesébacé etducarcinometrichilemmal[11,16].Cheznotre patient, le diagnostic différentiel s’est posé essentiellement avec un carcinome sébacé mais la négativité du récepteur à l’androgène,lapositivité dePHLDA1 ainsiquecelle dela cytokératine 7 dans les structures canalaires étaient en faveurd’unhidradénocarcinome.

L’évolutiondel’hidradénocarcinomepeutêtremarquée parlasurvenuedemétastasesviscéralesouganglionnaires [5]. Cependant, les métastases ganglionnaires sont plus rarementdécritesdanslalittérature[8,21]etsurviennent habituellement dans un délai variable après l’exérèsede la tumeur [21]. En effet, dans une série ayant colligé 40 cas d’hidradénocarcinomes,seul un patient présentait desmétastasesganglionnaires[8].

Des localisations ganglionnaires, « métastases bénignes », ont été également rapportées au cours d’hidradénomes morphologiquement bénins, sans critère demalignitéhistologique[22].

L’hidradénocarcinome est une tumeur très rare. Il n’existe donc pas de consensus thérapeutique bien éta- bli[5].Letraitementdechoixrestel’exérèsechirurgicale complèteavecdesmargesdesécurité[11,23]maisletaux derécidiveslocalesvariede10à50%[5].

Desmargesdesécuritéd’aumoins3cmsontrecomman- dées[11].Sicesmargeslatéralesnepeuventêtrerespectées pourdesraisonsanatomiquesoufonctionnelles,unexamen histologiquedesmargeslatéralesestnécessaire[11].Lachi- rurgiemicrographiquedeMohspermetunmeilleurcontrôle desmarges etdiminueainsile risquederécidives locales [11,24].

La place de la technique du ganglion sentinelle est largementdiscutéedanslalittérature[25].Lecuragegan- glionnaireestindiquéencasd’adénopathiescliniquesetde critères histologiquesde malignité[26]. Certainsfacteurs pronostiques tels qu’une taille tumorale importante, des margesderésectionfaibles,laprésenced’emboleslympha- tiques,uneinvasiondesgainesnerveusesouuneeffraction capsulaireganglionnairesontcorrélésàunrisqueélevéde récidive,indiquantuneradiothérapieadjuvante[11,23,26].

L’analyseanatomopathologiqueréaliséecheznotrepatient trouvaitlamajoritédecescritères,justifiantainsilaradio- thérapiecomplémentaire.

Lachimiothérapieapeudeplacedanslapriseencharge de l’hidradénocarcinome et semble n’avoir aucune inci- dencesur la surviedes patients [27]. Plusieurs molécules ont été utilisées (5-fluorouracile, capécitabine, cispla- tine,docétaxel,paclitaxel),avecdesréponsestransitoires ou partielles [6]. Cette tumeur reste dans l’ensemble très chimiorésistante [5,11,28]. Le sunitinib, un inhibi- teur de la tyrosine kinase à activité anti-angiogénique et anti-tumorale, semble avoir une efficacité transitoire maisrelativementprolongéedansleshidradénocarcinomes métastatiques et peut donc constituer une alternative

intéressante pour les patients en impasse thérapeutique [14,29].

Enconclusion,l’hidradénocarcinomeestunetumeurtrès raremaisagressive.Sondiagnosticreposesuruneconfron- tationanatomoclinique.Unepriseenchargeprécoceetune surveillancerégulièreàlongtermepermettentd’améliorer laqualitédevieainsiqueletauxdesurviedespatients[19].

Déclaration de liens d’intérêts

Lesauteursdéclarentnepasavoirdeliensd’intérêts.

Références

[1]Cruz DJ. Sweat glandcarcinomas: a comprehensive review.

SeminDiagnPathol1987;4:38—74.

[2]GouiaaN,AbbesK,FakhfekhI,AyadiL,BahriI,ChaariC,etal.

Hidradénocarcinomedéveloppé surunhidradénomepréexis- tant.AnnDermatolVenereol2008;135:714—5.

[3]Obaidat NA, Alsaad KO, Ghazarian D. Skin adnexal neo- plasmspart2:anapproachtotumoursofcutaneoussweat glands.JClinPathol2007;60:145—59.

[4]Yavel R, Hinshaw M, RaoV, Hartig GK, Harari PM,Stewart D,etal.Hidradenomaandhidradenocarcinomaofthescalp.

ManagedusingMohsmicrographicsurgeryandamultidiscipli- narysurgeryandamultidisciplinaryapproach:casereportsand reviewoftheliterature.DermatolSurg2009;35:273—81.

[5]AmelT,OlfaG,FatenH,MakremH,SlimBA,MoncefM.Metas- tatichidradenocarcinoma:surgeryandchemotherapy.NAmJ MedSci2009;1:372—4.

[6]Requena L, Kutzner H, Hurt MA, Santa Cruz DJ, Mehregan DA,MehreganDR,etal.Malignanttumourswithapocrineand eccrine differentiation. In: LeBoit PE, Burg G, Weeden D, SarasainA,editors.WorldHealthOrganisationclassificationof tumours.Pathologyandgeneticsofskintumours.Lyon:IARC Press;2006.

[7]Toulemonde A, Croue A, Rodien P, Verret JL. Hidradé- nome nodulairemalinet hidradénomesnodulaires multiples chez un malade hypogonadique. Ann Dermatol Venereol 2006;133:1005—8.

[8]Wettlé C, Cribier B. Étude descriptive de 56 cas d’hidradénocarcinomesethidradénomesporoïdesmalins.Ann DermatolVenereol2014;141:290.

[9]Keasbey LE, Hadley GG. Clear cell adenocarcinoma:

report of three cases with widespread metastases. Cancer 1954;7:934—52.

[10]Mehregan AH, Hashimoto K, RahbariH. Eccrine adenocarci- noma:a clinicopathologicstudyof35 cases.ArchDermatol 1983;119:104—14.

[11]SoniA,BansalN,KaushalV,ChauhanAK.Currentmanagement approachtohidradenocarcinoma:acomprehensivereviewof theliterature.ECancerMedSci2015;9:517.

[12]WangXX,WangHY,ZhengJN,SuiJC.Primarycutaneoussweat glandcarcinoma.JCancerResTher2014;10:390—2.

[13]KoCJ,Cochran AJ,EngW, BinderSW.Hidradenocarcinoma:

ahistologicalandimmunohistochemicalstudy.JCutanPathol 2006;33:726—30.

[14]JinnahAH,EmoryCL,MaiNH,BergmanS,SalihZT.Hidrade- nocarcinomapresentingassofttissuemass:casereportwith cytomorphologicdescription,histologiccorrelation,anddiffe- rentialdiagnosis.DiagnCytopathol2016;44:438—41.

[15]LeLP,Dias-Santagata D,Pawlak AC,Cosper AK, Nguyen AT, SelimMA,etal.Apocrine-eccrinecarcinomas:molecularand immunohistochemicalanalyses.PLoSOne2012;7:e47290.

(7)

[16] NazarianRM,KapurP,RakhejaD,PirisA,DuncanLM,MihmJr MC,etal.Atypicalandmalignanthidradenomas:ahistological andimmunohistochemicalstudy.ModPathol2009;22:600—10.

[17] NagaiMA.Pleckstrinhomology-likedomain,familyA,member 1(PHLDA1)andcancer.BiomedRep2016;4:275—81.

[18] Kazakov DV, Ivan D, Kutzner H, Spagnolo DV, Grossmann P, VanecekT,etal.Cutaneoushidradenocarcinoma:aclinicopa- thological,immunohistochemical,andmolecularbiologicstudy of14cases,includingHer2/neugeneexpression/amplification, TP53genemutationanalysis,andt(11;19)translocation.AmJ Dermatopathol2009;31:236—47.

[19] GauerkeS,DriscollJJ.Hidradenocarcinomas: abriefreview andfuturedirections.ArchPatholLabMed2010;134:781—5.

[20] AsatiDP,BrahmachariS,KudligiC,GuptaC.Hidradenocarci- noma:araresweatglandneoplasmpresentingassmallturban tumorofthescalp.IndianJDermatol2015;60:421.

[21] CribierB,ReuterG,LouisB,ThiryL,WechsleG.Hidradénome nodulaireavecmétastaseinguinale? AnnDermatol Venereol 2005;132:S142—3.

[22] Stefanato CM, Ferrara G, Chaudhry IH, Guevara Pineda C, WaschkowskiG,RoseC,etal.Clearcellnodularhidradenoma involvingthelymphaticsystem:atumorofuncertainmalignant potentialoranovelexampleof‘‘metastasizing’’benigntumor?

AmJSurgPathol2012;36:1835—40.

[23] HallJ,KneeyG,A’HernRP,ClarkeJ,GleesJP,FordHT,etal.

Sweat-glandtumours:aclinicalreviewofcasesinonecentre over20years.ClinOncol2006;18:351—9.

[24]Tolkachjov SN, Hocker TL, Camilleri MJ, Baum CL. Mohs micrographic surgery in thetreatment of trichilemmal car- cinoma: the Mayo clinic experience. J Am Acad Dermatol 2015;72:195—6.

[25]BognerPN,FullenDR,LoweL,PaulinoA,BiermannJS,Sondak VK,etal.Lymphaticmappingandsentinellymphnodebiopsyin thedetectionofearlymetastasisfromsweatglandcarcinoma.

Cancer2003;97:2285—9.

[26]Chamberlain RS, Huber K, White JC, Travaglino-Parda R.

Apocrine gland carcinoma of theaxilla: reviewof the lite- ratureandrecommendationsfortreatment.AmJClinOncol 1999;22:131—5.

[27]Kyrgias G, Kostopoulou E, Zafiriou E, Zygogianni A, Skarla- tosJ,Roussaki-SchulzeAV,etal.Hidradenocarcinomaofthe temporalareasuccessfullytreatedwithconcomitantelectro- chemotherapyandradiotherapy.HeadNeckOncol2013;5:14.

[28]Lerner A, Beckford A, Ugent S, Goldberg L, Jalisi S, Demierre MF. Complete response of metastatic malignant hidradénocarcinometocapecitabinetreatment.ArchDerma- tol2011;147:998—9.

[29]Battistella M, Mateus C, Lassau N, Chami L, Boukoucha M, DuvillardP,etal.Sunitinibefficacyinthetreatmentofmetas- tatic skin adnexal carcinomas: report of two patients with hidradenocarcinomaandtrichoblasticcarcinoma.JEurAcad DermatolVenereol2010;24:199—203.

Références

Documents relatifs

– Selon Dent, le risque de développer des métastases osseuses est supérieur chez les malades atteintes de cancers du sein triple‑négatif que dans les autres groupesC. Article

Lorsque le cancer est connu mais qu’il n’y a pas de symptomato logie, la question de l’intérêt d’un examen ophtalmologique “systématique” à la recherche de

Ce traitement s’adresse à des patients jeunes, très sélectionnés, atteints de TNE bien diff érenciées de bas grade (Ki67 < 5-10 %), chez lesquels la tumeur primitive a

Une série de 10 patients, dont 9 avaient des lésions durales, traités par radiochirurgie associée, chez 6 d’entre eux, à un EIT, montre une médiane de survie de 18 mois, avec

En octobre 2016, le contrôle tumoral général et métastatique est satisfaisant sous octréotide, la surveillance des métastases choroïdiennes retrouve une lésion plane du côté

Cette stratégie de chimiothérapie première ou d’induction a été évaluée dans l’étude de phase II La prise en charge des patients atteints d’un cancer du rectum et porteurs

A European Organisation for Research and Treatment of Cancer phase III trial of adjuvant whole-brain radiotherapy versus observation in patients with one to three brain

Cette stratégie de chimiothérapie première ou d’induction a été évaluée dans l’étude de phase II La prise en charge des patients atteints d’un cancer du rectum et porteurs