Fiche d activité de l axe 1 : essor et déclin des puissances internationales : un regard historique

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Fiche d’activité de l’axe 1 : essor et déclin des puissances internationales : un regard historique Exercice 1 : introduction

Q 1 : quels sont les 2 types d’Etats en Europe à la veille de la Première Guerre mondiale ? Qu’est-ce qui les caractérise et les différencie ?

Q 2 : quelles évolutions constate-t-on dans les années 60 ? L’Europe en 1914

Le monde en 1962

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Jalon : l’empire ottoman, de l’essor au déclin.

Exercice 2 : rédaction d’une synthèse structurée.

=>Comment l’empire ottoman du XIVe au XXe siècle permet-il d’identifier et comprendre les facteurs d’affirmation et de déclin d’une puissance de rang international qui a longtemps dominé une partie de l’Europe et du bassin méditerranéen ?

Organisation du travail :

La classe est divisée en 4 équipes composés de 6 élèves (3 binômes).

Chaque groupe rédige une synthèse sur l’ensemble du jalon « l’empire ottoman, de l’essor au déclin ». A l’intérieur du groupe, chaque binôme rédige une partie structurée qui présente les caractéristiques de l’empire à partir d’une ou deux cartes. Le plan global est le suivant :

A. L’affirmation d’une puissance (XIVe-XVIIe siècle).

B. Le déclin d’une puissance (XVIIIe-XIXe siècle).

C. La disparition d’une puissance (début XXe siècle).

Equipe rouge Equipe bleu Equipe jaune Equipe verte

A-L’affirmation d’une

puissance (XIVe-XVIIe siècle).

B-Le déclin d’une puissance (XVIIIe-XIXe siècle).

C-La disparition d’une puissance (début XXe siècle).

Les 3 heures sont divisées comme suit :



1

^ère

heure : travail en binôme.

- Prise de connaissances du sujet à partir d’une des vidéos de l’émission « le dessous des cartes ».

. Comment se fabrique un empire : https://www.youtube.com/watch?v=fPf2QLAr8mI&t=52s . Un puzzle inachevé : https://www.youtube.com/watch?v=GxzUmfi21RI

-

Choix d’une ou deux cartes correspondant à une date marquante de l’affirmation, du déclin ou de la fin de l’empire ottoman.

-

Recherches afin d’expliquer les cartes choisies à partir de sources variées (manuel à partir de la p 118, livres apportés, ressources numériques). Possibilité d’échanger avec les autres binômes partageant le même thème de recherche.

=>Pour la séance suivante, le binôme doit avoir rédigé sa partie.



2

^ème

heure : travail en groupe de 6. Chaque binôme présente son travail au groupe. Ajustements du dossier.



3

^ème

heure : un groupe est tiré au sort pour présenter son travail à l’oral. Les autres groupes remettent leur

travail à l’écrit.

(3)

Coup de pouce : Questions pour mieux exploiter les vidéos introductives du dessous des cartes Binômes A : l’affirmation d’une puissance (vidéo 1)

1

^ère

partie (jusqu’à 5,5 minutes)

Q 1 : quelle tribu turcomane est à l’origine de l’empire ? D’où vient son nom ?

...

Q 2 : localisez le berceau de l’empire ottoman.

...

Q 3 : quelles réformes sont à l’origine de la puissance de cet empire ?

 ………

……….

 ………..

……….

Q 4 : quel espace territorial est dominé par les Ottomans à la fin du XIVe siècle ?

……….

Q 5 : quels sont les facteurs de leur puissance ?

 ………..

……….

 ………

………..

 ………

………..

Q 6 : pourquoi la prise de Constantinople marque-t-elle une étape importante ?

 ………

………..

 ………

………..

2

^ème

partie (de 5,50 mn à la fin)

Q 1 : quels sont les territoires conquis dans la 2

^ème

moitié du XVe et au XVIe siècle ?

...

………..

Q 2 : quelles conquêtes ont une dimension religieuse importante pour les Ottomans ?

 ………

……….

 ………..

……….

Q 3 : à quelle autre grande puissance l’empire ottoman de Soliman le Magnifique est-il confronté ?

...

(4)

Q 4 : quelles sont les sources de revenus de l’empire ottoman ?

 ………

……….

 ………..

……….

Q 5 : quels sont les éléments visibles de la puissance de l’empire ottoman ?

 ………

………..

 ………

………..

Questions pour mieux exploiter les vidéos introductives du dessous des cartes Binômes B et C : le déclin et la disparition d’une puissance (vidéo 2) 1

^ère

partie (jusqu’à 3,5 minutes)

Q 1 : à son apogée, quelle était l’extension de l’Empire ottoman ?

...

Q 2 : quelles sont les principales batailles qui marquent le début du déclin de l’Empire ottoman (lieux, dates, belligérants) ?

 ………

……….

 ………..

……….

Q 3 : quels sont les éléments qui montrent le déclin économique, commercial et administratif de l’Empire ottoman ?

 ………

……….

 ………..

……….

Q 4 : au XVIIIe siècle, quelles puissances font la conquête de territoires ottomans ?

 ………

……….

 ………..

……….

Q 5 : quelles puissances « la question d’Orient oppose-t-elle ? Pourquoi ?

 ………

(5)

………..

 ………

………..

2

^ème

partie (de 3,50 mn à 6,50 mn)

Q 1 : quels sont les mouvements nationaux qui secouent l’Empire ottoman au XIXe siècle ?

...

………..

...

Q 2 : quel est le 1

^er

pays à devenir indépendant ? A quelle date ?

...

………..

...

Q 3 : quelle année marque la perte de nombreux territoires dans les Balkans ?

...

………..

...

Q 4 : quelles puissances prennent le contrôle de l’Afrique du Nord ?

...

………..

...

Q 5 : dans quels domaines l’Empire ottoman est-il distancé par les puissances européennes au XIXe siècle ?

 ………

………..

 ………

………..

3

^ème

partie (de 6,50 minutes à la fin)

Q 1 : dans quel camp l’Empire ottoman combat-il pendant la Première Guerre mondiale ?

...

Q 2 : quel peuple est victime d’un génocide au sein de l’Empire ?

...

Q 3 : quelles puissances organisent le démantèlement des possessions de l’Empire ottoman dans le monde arabe ?

Expliquez.

(6)

...

………..

Q 4 : quels pays et quels peuples se partagent les territoires de l’Empire ottoman par le traité de Sèvres en 1920 ? Sur quel territoire s’étend l’Empire ottoman après ce traité ?



Les pays et les peuples :

- ...



Le territoire : ……….

Q 5 : comment l’Empire ottoman disparaît-il ?

...

………..

...

………..

Prolongement : les 5 guerres actuelles de la Turquie (Les cinq guerres de la Turquie d’Erdogan (lemonde.fr))

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II / Reconstruction des puissances internationales.

Jalon 2 : une puissance qui se reconstruit après l’éclatement d’un empire : la Russie.

A / Le contexte en 1991.

Exercice 3 : analyse d’une carte.

La correction des questions constitue la trace écrite.

Q 1 : de quels empires la Russie d’aujourd’hui est-elle l’héritière ?

=>………

………..

* ………..

………..

* ………..

………..

Q 2 : en quoi l’URSS était-elle un empire ? Quels étaient ses fondements ?

* ………..

………..

* ………..

……….

………..

Q 3 : comment peut-on expliquer l’effondrement de l’empire soviétique en 1991 ?

=>………

………..

* ………..

L’URSS : un empire et sa dislocation

(8)

………..

* ………..

………..

B / Deux phases distinctes dans la stratégie de puissance de la Russie.

La correction des questions constitue la trace écrite.

1 / Les années 1990 : reconstruire la puissance économique.

Exercice n° 4 (G1) : répondre au questionnaire.

Document : extrait du reportage « Poutine, le nouvel empire » (de 6 mn à 14,20).

https://www.youtube.com/watch?v=j0iXTbWFexg

Q 1 : comment les Russes se sentent-ils au lendemain de la chute de l’URSS ?

………..

Q 2 : pourquoi ?

=>………

………

………..…

………..

Q 3 : par qui la Russie est-elle dirigée dans les années 1990 ? Pourquoi son pouvoir est-il faible ?

=>………

………

………..…

Q 4 : à quelles difficultés économiques et sociales est-elle confrontée ?

=>………

………

………..…

………..

………

Q 5 : que reproche la Russie à l’OTAN ?

* ………..

………..

* ………..

………..

Q 6 : en quoi l’arrivée au pouvoir de Poutine marque-t-elle une rupture ?

=>………

………..

(9)

………..

………

2 / Depuis le début des années 2000 : rétablir la puissance de la Russie.

Exercice n° 4 (G2) : répondre au questionnaire sur le document ci-dessous.

Document : discours de Vladimir Poutine du 24 octobre 2014 à Sotchi.

Chers collègues, Mesdames et Messieurs, chers amis,

C’est un plaisir de vous accueillir à la XIe réunion du Club Valdaï.

(…) Peut-être que la position exceptionnelle des États-Unis et la façon dont ils mènent leur leadership est vraiment une bénédiction pour nous tous, et que leur ingérence dans les événements du monde entier apporte la paix, la prospérité, le progrès, la croissance et la démocratie, et nous devrions peut-être seulement nous détendre et profiter de tout cela ? Permettez-moi de dire que ce n’est pas le cas, absolument pas le cas. Un diktat unilatéral et le fait d’imposer ses propres modèles aux autres produisent le résultat inverse. Au lieu de régler les conflits, cela conduit à leur escalade (…) Ils ont jadis parrainé des mouvements islamistes extrémistes pour combattre l’Union soviétique. Ces groupes se sont formés au combat et aguerris en Afghanistan, et ont plus tard donné naissance aux Talibans et à Al-Qaïda. L’Occident les a sinon soutenus, du moins a fermé les yeux sur cela, et, je dirais, a fourni des informations et un soutien politique et financier à l’invasion de la Russie et des pays de la région d’Asie centrale par les terroristes internationaux (nous ne l’avons pas oublié). C’est seulement après que des attaques terroristes horribles aient été commises sur le sol américain lui-même que les États-Unis ont pris conscience de la menace collective du terrorisme. Permettez-moi de vous rappeler que nous avons été le premier pays à soutenir le peuple américain à l’époque, le premier à réagir comme des amis et partenaires après la terrible tragédie du 11 Septembre. Au cours de mes conversations avec les dirigeants américains et européens, je parlais toujours de la nécessité de lutter ensemble contre le terrorisme, de le considérer comme un défi à l’échelle mondiale. (…)

Nos partenaires ont exprimé leur accord, mais après quelques temps, nous nous sommes retrouvés au point de départ. Ce fut d’abord l’opération militaire en Irak, puis en Libye, qui a été poussée au bord du gouffre. Pourquoi la Libye a-t-elle été réduite à cette situation ? Aujourd’hui, c’est un pays en danger de démantèlement et qui est devenu un terrain d’entraînement pour les terroristes. (…)

Chers collègues, cette période de domination unipolaire a démontré de manière convaincante que le fait d’avoir un seul centre de pouvoir ne rend pas les processus mondiaux plus faciles à gérer. Au contraire, ce type de construction instable a montré son incapacité à lutter contre les menaces réelles telles que les conflits régionaux, le terrorisme, le trafic de drogue, le fanatisme religieux, le chauvinisme et le néo-nazisme. (...) Voilà pourquoi nous voyons, en cette nouvelle étape de l’histoire, des tentatives de recréer un semblant de monde quasi-bipolaire en tant que modèle commode pour perpétuer le leadership américain. Peu importe qui prend la place du centre du mal dans la propagande américaine, peu importe qui remplace l’ex-l’URSS en tant que principal adversaire. Cela pourrait être l’Iran, en tant que pays qui cherche à acquérir la technologie nucléaire, la Chine, en tant que plus grande économie mondiale, ou la Russie, en tant que superpuissance nucléaire. (…)

Certains disent aujourd’hui que la Russie tournerait le dos à l’Europe – de tels propos ont probablement été tenus ici aussi lors des discussions – et rechercherait de nouveaux partenaires commerciaux, surtout en Asie. Permettez-moi de dire que ce n’est absolument pas le cas. Notre politique active dans la région Asie-Pacifique n’a pas commencé d’hier, et non en réponse aux sanctions, mais c’est une politique que nous suivons depuis maintenant un bon nombre d’années. Comme beaucoup d’autres pays, y compris les pays occidentaux, nous avons vu que l’Asie joue un rôle de plus en plus important dans le monde, dans l’économie et dans la politique, et nous ne pouvons tout simplement pas nous permettre d’ignorer ces développements.

Permettez-moi de dire encore une fois que tout le monde agit ainsi, et nous allons le faire nous aussi, d’autant plus qu’une grande partie de notre pays est géographiquement en Asie. Au nom de quoi devrions-nous ne pas faire usage de nos avantages concurrentiels dans ce domaine ? Ce serait faire preuve d’une vue extrêmement courte que de ne pas le faire. (…) Cela a également un impact important sur les relations internationales, y compris parce que cette ressource douce (soft power) dépendra dans une large mesure des réalisations concrètes dans le développement du capital humain plutôt que des trucages sophistiqués de la propagande. (…)

Aujourd’hui, nous voyons déjà une forte augmentation de la probabilité de tout un ensemble de conflits violents avec la participation directe ou indirecte des plus grandes puissances mondiales. Et les facteurs de risque comprennent non seulement les conflits multinationaux traditionnels, mais aussi l’instabilité interne dans différents États, surtout quand on parle de nations situées aux intersections des intérêts géopolitiques des grandes puissances, ou à la frontière de continents civilisationnels, culturels, historiques et économiques. (...) Et ce processus dangereux a été initié par les Etats-Unis d’Amérique quand ils se sont unilatéralement retirés du Traité sur les missiles anti-balistiques (ABM) en 2002, puis se sont

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Q 1 : remettez ce discours dans le contexte des tensions entre la Russie et l’Occident.

=>………

………

………..

………

Q 2 : quelle est la situation géopolitique du monde en 2014 ? En quoi est-elle dangereuse selon Poutine ?

=>………

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………..

………

Q 3 : quelle vision géopolitique du monde défend-il ?

=>………

………

………..…

………..

………

(...) En l’absence d’instruments juridiques et politiques, les armes deviennent encore une fois le point focal de l’ordre du jour mondial ; elles sont utilisées n’importe où et n’importe comment, sans la moindre sanction du Conseil de sécurité de l’ONU.

Et si le Conseil de sécurité refuse de rendre de tels arrêts, alors on le condamne immédiatement comme un instrument dépassé et inefficace. (…)

Chers collègues, compte tenu de la situation mondiale, il est temps de commencer à se mettre d’accord sur des choses fondamentales. Ceci est d’une importance et d’une nécessité extrêmes ; cela vaudrait beaucoup mieux que de se retirer dans nos propres retranchements. Plus nous faisons face à des problèmes communs, plus nous nous trouvons dans le même bateau, pour ainsi dire. Et la manière sensée de trouver une issue réside dans la coopération entre les nations, les sociétés, dans le fait de trouver des réponses collectives aux défis croissants, et dans la gestion commune des risques.

Quelle pourrait être la base juridique, politique, et économique pour un nouvel ordre mondial qui permettrait la stabilité et la sécurité, tout en encourageant une saine concurrence, et en ne permettant pas la formation de nouveaux monopoles qui entravent le développement ? (…) Nous devons identifier clairement où se terminent les actions unilatérales et nous avons besoin de mettre en oeuvre des mécanismes multilatéraux. (…) J’ajouterais que les relations internationales doivent être basées sur le droit international, qui lui-même doit reposer sur des principes moraux tels que la justice, l’égalité et la vérité.

(...) Nous n’avons même pas besoin de reconstruire quelque chose de nouveau, à partir de zéro ; ce n’est pas une « terre vierge », d’autant plus que les institutions créées après la Seconde Guerre mondiale sont relativement universelles et peuvent être dotées d’un contenu moderne et adéquat pour gérer la situation actuelle. Cela est vrai quant à l’amélioration du travail de l’ONU, dont le rôle central est irremplaçable, ainsi que celui de l’OSCE, qui, durant 40 ans, a démontré qu’elle était un mécanisme nécessaire pour assurer la sécurité et la coopération dans la région euro-atlantique. Je dois dire que même aujourd’hui, en essayant de résoudre la crise dans le sud-est de l’Ukraine, l’OSCE joue un rôle très positif. (…)

Nous avons un agenda pacifique et positif, tourné vers l’intégration. Nous travaillons activement avec nos collègues de l’Union économique eurasienne, de l’Organisation de coopération de Shanghai, du BRICS et avec d’autres partenaires. Ce programme vise à renforcer les liens entre les gouvernements, pas à les fragiliser. Nous ne prévoyons pas de façonner des blocs ou de participer à un échange de coups. Les allégations et déclarations selon lesquelles la Russie essaie d’établir une sorte d’empire, empiétant sur la souveraineté de ses voisins, n’ont aucun fondement. La Russie n’a pas besoin d’un quelconque rôle spécial ou exclusif dans le monde – je tiens à le souligner. Tout en respectant les intérêts des autres, nous voulons simplement que nos propres intérêts soient pris en compte et que notre position soit respectée. (...)

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Q 4 : quelle est son ambition pour la place de la Russie dans le monde ? Quels espaces privilégie-t-il ?

=>………

………

………..…

Les espaces qu’il privilégie :

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Q 5 : sur quels moyens la Russie s’appuie-t-elle pour réaffirmer sa puissance ?

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C / Bilan de la reconstruction de la puissance russe.

Exercice n° 5 : Analyse d’un dossier documentaire et tableau à compléter

Organisation du travail (1h30)

Vous travaillez en 12 binômes. Il y a 3 binômes par thème. Pour chaque thème, deux aspects sont étudiés : les atouts de la puissance russe et ses limites.



1

^er

thème : les bases matérielles (territoire, population).



2

^ème

thème : le hard power (armée, diplomatie)



3

^ème

thème : l’économie.



4

^ème

thème : le soft power (culture, sport, histoire, médias, valeurs).

Documents à utiliser :

- le manuel à partir de la p 124

- le dossier documentaire proposé et disponible en ligne sur le site d’hg : thème 3 : Analyser les dynamiques

des puissances internationales - Site de histgeo972 ! (jimdofree.com)

Tableau à remplir (page suivante).

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