*r*'*
M£
* V-w
**•**
* \1
î ^
Accessions Shell* No
JJat ton L
i'ùjai
t;yAr^yy^j ,y<://///s/sf'>yj////r//
.
/A
Jra
/t'a/,r //s///, /A7,:C
\rf /f
/y: ttr/y7/ttûm m* ://
//////:/'t
yho^r^t.
-&s<-^<^c^-c*^t^2 5
1
MV
eyÛ<^y
t/Y^fî
LA PAIX PERPETUELLE
AVEC LES ROIS.
Xa
paix ne vaut ritn si elle n'estpas la dernière.JL awt
qu'il existeraen
Franceune
ligne de la déclaration des droits, les rois, lesprinces et les grands seront inévi-tablement
sesennemis
ouvertsou
esches, toujours prêtsà
se coaliser et àprendre
lesarmes
pour détruirecette liberté,dont
l'exemple leur fera perpétuellement craindrede
trou- ver des imitateursdans
leurs esclaves.C'est ce sentiment
de
haineprofonde pour
les droits des peuples> quimit
lesarmes
à lamain
à tous les bri-*gands couronnés
de l'Europe , et c'est cemême sentiment
qui leur feratoujoursemployer
la -violenceou
la rusepour
étouffer jusqu'au souvenir des vérités consolatrices
que nous avons
sihautement
proclamées.]Soh , il ne
peut
pasy
ayoirde
paix sincère entre les rois, qui se prétendentles envoyés deDieu
j entre les rois,qui mettent leurs caprices à la place de la raison^ et le
peuple
qui défend sa souveraineté, si celui-ci ne parvient pas à les rendre tellement impuissans, qu'ils n'osent plus semontrer
sans craindrede compromettre
lerestedo
leur dé»testable autorité.
Et
ce ressentiment des familles royales , nourriesdans
l'inégalité et dans la flatterie_, contre tout ce qui a la
moindre apparence
de détruireimmédiatement
oumédia-
tenient leur funeste pouvoir,, C3t aussi fort
que
l'amourde
l'existence dans la généralité des
hommes
: ceci n'a pas besoin d'êtredémontré
àceux
qui saventde combien de
prestiges "se sont entourés les roispour
écarter de toutes les têtes lemoindre
doute sur la divinitéde
leur établisse-»ment,
etcombien
ils emploient de précautionspour op-
poser à la vérité des digues presqu'insurmontables. Ilim-
porteessentiellement
au bonheur
des Français qu'ils«entenf.A
toute l'étendue
de
ce principe, sur lequel il n'estpas per-îïiïs d'élever de* doutes sans méconnoitre ia
profondeur
du
sot orgueil des rois; c'est le fil dont il faut se servirpour
jugerde
leurattachement
a notre république , de la sin- cérité de leurs promesses et de la réalité de leurs enga-gemens.
C'estencore de ceprincipe qu'ilfaut partir
pour
apprécier la futilité de cette politique diplomatique, qui veut fonder notre sûreté sur la division des rois ou surune
prétendue balance, qui consiste à aftoiblir les unspour
aggrandir les autres, et ànous
fairetrafiquer ainsi ea tyrans de ia terre,de
la liberté et des droits des peuples. .Quoi
Ivous
croyez àla bonne-foi de ces scélérats?dont
l'existence repose sur le
«rime
et sur la dissimulation!Et pouvez-vous
vous flatter de faireoublier à ces adroits usur- pateurs l'intérêtcommun
qui les rallie tous contre nos principes, et devantlesquels doivent naturellement setaire toutesUs
jalousies, toutes les intrigues des cours et tous lesrapports de la politique ordinaire desrois ?Gouvernement
Français, prends-y garde.La
consolida- tion deh
libertédépend sûrement
de la qualité de paixque
tu vas contracter avec lesennemis
de la république, ilappelles-toi qu'enFrance
le peuple a été proclamésou-
verain_, etque
cette seule proclamation suffitpour
réunir sans cesse les rois contreneus
jusqu'à ce qu'ils en aient effacé le souvenir. Rappelles-toi aussi,que
l'armela plus terrible avec laquellenous
les avons combattus, est ce saintamour de
la patrie, cetenthousiasme
divin qu'on n'est pas sûr deréveillerdeux
fois chezun
peuple.La
coalition des tyrans sait bien calculer les effets des douceurs de la paix et les suites de l'attiédissement de l'en-thousiasme
national ; ellecompte profondément
sur cet égoïsme dévorant quiefface par-tout les traces de l'amourde
la patrie5 elle se sent assez fortepour
nous attaqueravec
avantage, lorsque tonsles ressorts seront détendus et les miracles de la liberté impossibles à renouveller.Ah
! je crains bien que ces cris violens, parlesquelsou demande
la paix générale, cetempressement
avec lequelon
s'efforce d'inspirer au peuple l'amour de la paix , sans s'embarrasser ni des conditions, ni des suites, ne soient les eris et l'empressementdu
royalisme,qui veut endormû*
6eLion
pour
l'enchaîner.Veux
- tudonc
, jem'entends
dire ^ perpétuer leshorreurs dela guerre ? et ces millions
d'hommes
expirans, et cescampagnes
dévastées^ et ces manufactures languis- santesne
t'inspirentaucune compassion
?jJ'arows
que
je n'entends rien à ce genre d'h'uinanit^-(5)
j'avoue (fue je profère
une
guerre perpétuelle I l'asservil- semenl des Français ; et je soutiensque,
dansl'état actuel des cfaoses,une
paiximmédiate
, au lieude
réparer les plains faites à l'espèce , prépareroientsûrement
à laFrance
de pins grands massacres, suivis de l'oppressionet de la misère publique.Mais
la guerrene
sera pas perpétuelle ; et il est au pou-*voir
du gouvernement
français de diriger tellement le»hostilités qui
nous
restent à exercer,que
la véritable paix, qui en sera la suite, laisse les rois dans l'impuissancede
rien tenter contre la république, consolidée par
Paugmen*
talion de saprospérité et de ses amis.
Je
commencerai
par l'exposition de cesmoyens,
j'endé*montrerai successivementl'utilité, la justice et la facilité.
Ce
plan,que
je propose ; consiste à tendre lamain
à dea peuplesquiinvoquentdepuislong-tems notre secours, etqui deviendroient' nos alliés-; à porterun coup
mortelà lamai-
son d'Autriche et à l'Angleterre, chefs de la ligue tyran- nique, et à effrayer les rois, par la juste punition de leur»confrères,
que
nouspouvons
aisément atteindre.J'invite le
gouvernement
fiançais à seconder,, par tous lesmoyens,
la révolution d'Italie,J
où
ily
a tant de disposi-tions à la liberté.
Cette révolution entraîneroit la déîrônîsation.
du
roide
Sardaigne,du
roi deNapie*,. de l'empereurcomme
ar- chiduc,duc,
cet.du
Milanais,du Mantouan,
ect,du pape
etdu duc de Parme;
ce qui feroit cinqfameux
fri-pons
demoins
sur la terre et seroltun
excellentaugur»
pour
tous lesautres»Je suppose que
cette révolution soit faite,quejesgeu- Vcrnemens monarchiques
quioppriment
l'Italie soientdétruits par les efforts réunis des habitans et des
armées
françaises, etque
lespeuples s\y réunissentpour
sedonner une
organisation et des lois.Examinons
quels seroient lesrésultais de ce
changement
à l'égard des- rois coalisés etde
la république françaises
D'abord
18 millionsd'hommes, dont
tous lesmoyens
servent à présent à fortifier la coalition , daviendroient
immédiatement
les alliés de la république française ; et les rois,, essentiellement affoihlis, auroieatun
nouvelennemi
à combattre.
m ,
Les nombreuses
ressourcesdu
plusbeau
territoirea»
FE
tu-ope échapperoient à la tyranniepour
servir d'appui à la liberté, et les principaux coalisés recevroient par là l'échec le plus terrible qu'ils aient encoreéprouvé, échec
qui les rëaniroit à.un
silence éternel.r
Par
cetcYènemeut.
lamaison
d'Autriche seroitdepouiil«f( 4 )
âe
laplusbelle partie de ses éfats, et deviendroit, parta di-minution
de sesarmées
et de ses revenus ,une
puissance secondaire dans la balanceeuropéenne
: l'Angleterreper-
droit la navigationdelà
Méditerranée, et parconséquent
le
commerce du Levant
et le débitprodigieux de sesmanu*
factures qu'elle faità
Gênes,
àLivourne
et a Naples.Er l'influence de ces
deux
puissances, qui
menacent
l'indépendante de l'Europe, sur l'Italie, est telle, qu'elles ont toujours fait agir dans leur sens tousles petits tyran- jaaux qui l'oppriment.J'ajoute
aux changemens
favorables, qui seroientla suite d'une telle révolution ,la destruction de lapapauté,
par laquelle tous les ressortsdu
fanatisme qui -s'agitent encoreen Europe
, perdroient leur centre de gravitation; et la re- ligion catholique, dépouillée de l'ambition de ses princi- paux^ minisires, seroit bientôt réduite a la simplemorale de
Jésus.Au même
instantou la déclaration des droits seroit pu-t bliée dans tous les coins de l'Italie, lesgreniersde laeamU pagne
deRome,
de la Fouille , de la Gaïabré,, de la Sicile etde
laSarda%ne,
deviendraient à la disposition de nosdé-,partemens méridionaux,
et la réunion de toutes les forces*naritimes
3 depuisle
Texel
àSavonne
, et depuisPerpignan au
golpKe Adrsatique, parviendraient àabaisser l'insolencedu
paviiio britannique.Ii ne se ôîl pas difficile, je crois, de
prouver que
la1U
3>erré
de
l'Italie^ ajoutée à ctîle de la France et dela
Hol-
lande y acheveroit de déjouer lesmanœuvres
des tyrans, et hâ'erolt prodigieusement la délivrancede
toute l'Europe, perspective si. flatteusepour
les vrais amis de l'humanité.Mais
quelque fut l'influence d'un pareilévénement
sur le Sortdu
genre humain., toujours est-ilvraiqiïll diminueraitde beaucoup
les forcesde
nosennemis,
et aogmenteroit prodigieusement les nôtres, ce qui,est le plus sur garantd'une paix durable.
Et fel on veut se
donner
lapeine d'approfondir celtema-
tière importante,
on
sera forcé de convenirque
les espé- rances ries- rois ne seront entièrement détruites, et leurs criminels efforts jamais réprimés, jusqu'à ce qu'unexemple
semblablene
les eifraiepar
l'idée de la punition,que
innature inflige à la fin
aux
oppresseurs quiluttent contre les drotts des peuples»Eîi çifet, de quel triste présage ne serclt-ce pas
pour
les tyrans qui. youdroieH* renouer contre nous leurs trames,, le tableau de cinq roisou
princes détrônés, errans etmi^
serables paréii.Ste de leur aveugle opposition à la voix de la
Ile
< 5 >
II y a plus : cettepunîticn est
dans
les bornes les plus étroitesdelà
justice éternelle, et est çoiniiaandée par elleaux
peuples qui"peuvent v prétendre sans nuire à leur exis- tence5 car quelle seroit la garantie de la soiiveraineté etdu bonheur
des peuples, s'il ne leui étoit paspermis de punieles tyrans qui veulent
y
attenter?C'est icile cas derappeler la doctrine
du
r»©n J. Jacques, qui, refusant àun
peuple ie droit d'en asserviraun
autreprouve
qu'unenation peut et doit détruire legouvernement de
tf5n voisin, dont l'organisation et les principes sont in—compatibles avec l'exercice de ses droits naturels.
Or,
S'il estdémontré que
la coalition des tyrans ne ces- sera ctek'agiter contre nous,que
lorsqu'elle sera affoiblie et effrayée; s'il est clairque
rienne
peut plus l'effrayer et l'affoildir}que
la destruction des cinqou
sfxgouverne- mens
dont.elle tire les plus grandsmoyens
denous
nuire ,il est. aussi
évidemment démontré que
le peuple français a le droitde
détruire cesgouvernemens;
etque
ïe directoire exécutif est obligé de le faire, parceque
le salut de S* li-berté l'exige, parce qu'il peut le faire «t parce qu^ii le
peut
facilement.On
objectera peut-être qu'il seroit injuste de confondre dans ladestruction desgouvernemens
itàîft u? e^ux quine nous
font pas la guerre. Je répondsque,
sur onze gouver-nemens
qui divisent l'Italie , ouatreseulement
sont actuel-lement en
paix avecnuus^ Gênes,
Venise , laToscane
etSaint-Marin; que
leurspays
sont, très-resserrés;que Venise
sertde frontière entre l'Italie et l'Allemagne, etque dans
lechangement
des sept autregouvernemens
, lepeuple des
pays
neutresresteroit lemaure
desuivreou de ne
pas suivrePexempie
des autresJ'ai dit
que
le directoire exécutifest obligéd'emplover lesmoyens
qui sonten
sonpouvoirpour
de'truire les jjouverne- înens italiens quinous
font la guerre; j'ajoute àprésentque
cette obligation est dfaûtaht plus positive,
que
son exécu-«tïon esf de la plus
grande
facilité, etque
toutannonce
leVœu du
peuple italienpour
la liberté.Les
preuves de cette facilite et de cevœu
sont dans lesmouyemens
, cnu, depuis la révolution, ont éclatédans
foutes les parties de l'Italie etdansles
malheurs
sous lesquelsgémit
le peupleItalien.Ce que
j'avance ici n*est pas exagéré: et lanarration desfaits intéressera
sûrement
en faveurdes amis de la liberté, existans enItalie, les patriotes Français qui aimentsincère-ment
l'buniariftvé.Eu Piémont.
le peuple, excisé par les étudlans deTu-
rin ,
demanda
la réyoluUioa eîi 1791. -Depuis celteépoque^
C 6 )
les patriotes
nombreux
et répandus dans toutes lespm-,
vinces, ontformé
des clubs, ont entretenu des intelli-gences
avec
nosarmées,
leur ont faitlivrer des places , et ailoient faire main-basse sur la famille royale , lorsque,
ayantété découverts
au commencement
de 1794, plusieuri furent arrêtésetpendus,etd'autresseréfugièrenten
France.Ceux
qui sont restés dans le pays? rendent encore des ser*-vicesà ia république, etle
gouvernement
français sait qu'ils sont pixels à tout entreprendrepour
la liberté.A Naples
, ily
avoit des sociétés patriotiques depuis 1792-7 lorsque le eontr'amiralLatoncbe
fat h la fin de cetteannée devant Naples,
elles envoyèrent des députationsau
large ravertirque
les patriotes étoient prêts,que
des dis- positions étoient prisespour empêcher
les batteries de faire feu, et qu'iln'avoit qu'à tenirune
conduiteferme. Depuis,elles ont fait
un nombre
infini de prosélyiesdans toutes les partiesdu royaume
5 elles ont fait circuler des écrits et des charisons révolutionnaires , et elles étoient autorisées à espérerun grand
succès, lorsqu'il s'élevaune
persécution, terrible qui dure encore.Un
grandnombre
degénéreux
martyrs de la liberté ont péri glorieusement sur lesécha—
rancis • d'autres
meurent
tous les foursdans
des cachots horribles; d'autres servent enFrance
la cause de la révolu- tion : etun nombre
incalculable degénéreux
enfansde
Scevoluy caches soustoutesles formes%
menace
encore dansle pays, la tête
du
tyran.Dsus
cemoment,
les bastilles deNaples
regorgentde
p^ineles_, les ruesde
Cette villesont barricadées, les pro- vinces Si nt enmouvement
, et les patriotes quiy
sont ré-£i;r"
ont
commencé
à fermenter, estéchappée autyran
duPiémont.
Les
Français y laissèrent en I7cp lescormes
de l'amour de a liberté., dans ia constitution qu'ilsdonnèrent aux
habi- tans 3e l'île Saint-Pierre^ et dans l'excellente conduite qu'ilsy
tinrent.Les mêmes' mouveraens
se firent sentir enTojcane
en I70T > et àGênes
en 1794.Plusieurs
communes
riespays
conquis, en Italie, qu'on asicruellementmaltraitées,demandèrent
ily
aun
ailleur réunion à ia république française.Qn'on
se rappelle d'ailleurs avec quelle indignation le pétrieGénois
traita les Anglais après l'assassinat de laMo-
deste; qu'on interroge les patriotesqui ont
voyagé
derniè-rement
en îfaiie, eton
se convaincraque
lenombre
des amis dela.léroinliony
estgrand, etque
lamasse du
peuple*(7
)accablée par les
maux de
laguerre,y demande
àgrands
cris ( sur -tout
en Piémont
) l'entrée des troupes Françaises.Ces
faits servent à justifierpar
des nouvelles raisons la destruction desgouvernemens
italiens; elle ne seroit pas .seulement l'effet de lavengeance
de l'humanité infligée parle peuple français, mais elle seroit aussi le résultat de la volonté des italiens
5 maintenant
comprimés
par lesarmées ennemies
; en sorteque
lesFrançais ne fcroientque
remplir l'obligation imposée par lagrande
sociétéhumaine
à tous sesmembres^
envers les sections, dont la voix estétouffée .par la tyrannie et par la force supérieure.L'on
voit aussique
toutes les objections contre lescon-
quêtesne
sont pas applicables à ce projet; car il n'esticinullement
question de conquérir, mais il s'agitseulement
de garantir à jamais la république française detoute aggres- sion, en punissantexemplairement
lesgouvernemens cou-
pables envers l'humanité entière, et en gagnant, par ladon
de la liberté et de l'indépendance, l'amitié despeuplés,dont
ils étouffent la volonté.Quel grand
parti n'auroit-on paspu
tirer de tant d'heu- reuses dispositions, sion
eut su réunir àun
pointcommua
les efforts isolés de toutes les parties de l'Italie, et les
enhardir par des
encouragemens
nécessaires dans les pre-miers
pas contre le despotisme.Mais
ce qui n'apas étéfaitpeut
l'être avec d'autant plusde
succès ,que
l'armée françaiseen
Italie, a pleinementtriomphé
des austro-sardes.Que
les patriotes italiens puissentune
fois se convaincreque
nous voulons de bonne-foi les seconder et les secourir;que
lesdrapeaux
tricolores paraissent enPiémont
et ils'élève aussitôt
une
foule d'amis de la liberté quiépouvan-
teront etmettronten
fuite les tyrans de l'Italie.Cependant
n'oubliez pas, Français,que
l'Italie fut autre- fois votretombeau,
et qu'elle pourroit le devenir encore sivous
n'y entrez pas enamis
des peuples, dont vousdevez
être les libérateurs.Rappelons
à nosannées
cette devisa sublime, quinous
attira autrefois l'amourde
l'Univers :Guerre aux châteaux, paix aux chaumières
;que
les Italienstrouvent véritablement en nous desalliés etnon
desdominateurs
ni desconquérans
• ils ont aussi besoin qu'onménage
leurs opinions religieuses, et si nou.s-ne
voulons pas quela justicede cetteentreprise setourne en horreur, et son utilitéen
calamité et en revers, ne permettons pasque
l'indiscipline de l'armée, et sur-tout la barbare cupi- dité des administrateurs ^militaires,, quij désole iepays
conquis en Italie,changent
l'ainoir des peuples en haine,et rivent de plus
eu
plusUs
chateç» (£uenous
v©»djr.io^briser.
/y
S *2<&r~i£<ï-
c: -^/V iwsi /^ ?& *^^M /
.
//
*%
*?
«tf
à **
<^R-^H
-p3L
*-,
?a
^^^pj^
"'^L
>-
-*t
fc*