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Commande adaptative floue avec mode de glissement

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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

Commande adaptative floue avec mode de glissement

1. Introduction

La commande d’un système non linéaire est une tâche difficile même quand le modèle dynamique du système est disponible. Ce problème de commande est d’autant plus difficile si le modèle dynamique est inconnu ou mal connu. Les progrès enregistrés ces deux dernières décennies dans la théorie de la commande des systèmes non linéaires ont donné naissance à certaines méthodes systématiques de synthèse de lois de commande non linéaires. Parmi ces méthodes, on trouve la technique de linéarisation entrée sortie permettant l’analyse et la synthèse de la commande pour une large classe de systèmes non linéaires [28]. Cependant, cette technique ne peut être utilisée que pour les systèmes non linéaires dont le modèle dynamique est connu avec exactitude. Pour pallier ce problème, plusieurs approches de commande adaptative ont été introduites [5], [6]. Parmi ces approches, la commande adaptative floue a connu un succès considérable [45]. Dans la plus part des approches de commande adaptative floue on utilise un terme de robustification, ce terme est une loi de commande par mode de glissement [5], [6], [46].

Dans ce chapitre, nous allons étudier la synthèse d ’ un contrôleur adaptatif flou par mode glissant pour une classe de systèmes non linéaires. Les systèmes flous sont utilisés pour estimer en ligne la dynamique du système et la loi de commande est synthétisée en se basant sur cette estimation. Le problème des erreurs de reconstruction est traité par l’introduction d’un terme de robustification de type mode glissant. Les lois de commande et les lois d’adaptation sont obtenues en utilisant la méthode de Lyapunov.

(2)

2. Commande par mode de glissement

Considérons le système mono-entrée mono-sortie décrit par les équations différentielles suivantes :

x&i =xi+1 , i=1,K,n1

x&n = f( )X +b( ) ( )X u t (V.1) y=x1

Avec

X(t)=[x1(t),x2(t),K,xn(t)]T =[x(t),x&(t),K,x(n1)(t)]T est le vecteur d’état. u(t) : est l’entrée de commande du système, f(X) et b(X)sont des fonctions non linéaires continues incertaines.

On suppose que le gain de commande b( )X est différent de zéro pour tout x et de signe connu. Sans perte de généralité, il est supposé que b( )X bf0 avec b une constante donnée.

Soit la surface de glissement :

( )

=

+

=

1

1 n

i

n i

ix x

c X

S avec f0

ci ,i=1,K,n1 (V.2) A partir de l’équation (V.2), on déduit que pour S(X)=0, nous avons une équation différentielle linéaire dont la solution implique la convergence vers zéro de x(t) et de ses dérivées jusqu'à l’ordre n1 [28].

L’objectif de la commande se simplifie à la synthèse d’un contrôleur garantissant la convergence vers zéro du signal S(X).

La dérivée de la surface de glissement est donnée par l’équation suivante :

S c xi f( )X b( )X u

n

i

i + +

= +

=

1 1

1

& (V.3)

On désire assurer la condition d’attractivité (SS&<0 ) de la surface S(X). En utilisant (V.3), le calcul de SS&

donne :

=

+

+

=S c x + f X b X u S

S n i i

i

) ( )

1 (

1 1

& (V.4)

(3)

Si les fonctions f(X) et b(X) sont connues, pour atteindre les objectifs de commande, on peut utiliser la loi de commande par mode de glissement suivante :

=

= + ( ) ( )

) (

1

1

1 1

X f S KSign x

X c

u b n i i

i

(V.5)

En utilisant (V.3), (V.5) devient

S&=KSign(S) (V.6) ce qui implique que S(X)0 quand t, et par conséquent x( )i (t)0 quand t pour i=1,K,n1[28].

La loi de commande (V.5) du système (V.1) peut être facilement implantée si f(X) et )

(X

b sont parfaitement connues. Ces fonctions étant généralement incertaines, le but est alors de les approcher par des systèmes flous.

3. Commande adaptative floue par mode glissant

Dans cette partie, notre tâche est d’utiliser les systèmes flous pour approcher les fonctions non linéaires f(X) et b(X). En utilisant les approximations floues, nous proposons des lois de commande avec leurs lois d’adaptation pour atteindre les objectifs de commande.

Les fonctions f(X) et b(X), peuvent être approximées en ligne en utilisant les systèmes flous définis comme suit :

fˆ(X,θf )=wTf( )X θf (V.7) ( ) ( ) b

T b

b w X

X

bˆ ,θ = θ (V.8) avec wf( )X et wb(X) sont des vecteurs de fonctions floues de base supposées convenablement fixées à l’avance par l’utilisateur, θf et θb sont les vecteurs de paramètres à ajuster par un algorithme d’adaptation.

Les fonctions réelles f(X) et b(X) peuvent être approchées avec des systèmes d'inférence floue de la manière suivante :

(4)

f( )X = fˆ(X,θ*f ) (V.9)

b( )X =bˆ(X,θb*) (V.10) avec θ*f et θb* sont respectivement les valeurs optimales de θf et θb

( ) ( )

= f

X

f f X f X

f

θ

θ* argminθ sup ˆ , (V.11) ( ) ( )

= b

X

b b X b X

b

θ

θ* argminθ sup ˆ , (V.12) Notons que les valeurs optimales θ*f et θb* sont des constantes artificielles inconnues introduites uniquement pour faire l’étude théorique de la stabilité de l’algorithme de commande. En effet, la connaissance de leurs valeurs n’est pas nécessaire pour l’implantation des lois de commande adaptatives.

A partir de l’analyse ci-dessus, on peut écrire :

( ) ( ) ( ) f T f

f w X

X f X

f ˆ ,θ = θ~ (V.13) ( ) ( ) ( ) b

T b

b w X

X b X

b ˆ ,θ = θ~ (V.14) avec

f f

f θ θ

θ~ = *

et θ~b =θb* θb

: les erreurs d’estimation paramétrique.

3.1. Synthèse de la loi de commande

Considérons maintenant la loi de commande suivante :

( ) ( ) ( )

=

= + 1

1

1 ˆ ,

ˆ ,

1 n

i

f i

i b

X f S KSign x

c X

b

u θ

θ (V.15)

Cette loi de commande résulte de (V.5) en remplaçant les fonctions f(X) et b(X) par leurs approximations floues fˆ(X,θf) et bˆ(X,θb) et elle ne peut garantir à elle seule la stabilité du système bouclé. Ceci est dû, d’une part, à l’existence des erreurs d’approximation et, d’autre part, au fait que cette loi de commande n’est pas défini lorsque bˆ(X,θb)=0. Pour traiter le problème des erreurs d’approximation, on a ajouté un terme de robustification à la loi de commande équivalente, et pour éviter la division par zéro lors du processus d’adaptation des paramètres θb, soit on modifie sa loi d’adaptation soit on modifie carrément la loi de commande. Dans ce qui suit, nous montrons comment modifier la loi de commande pour surmonter ces problèmes.

(5)

La loi de commande est donnée par :

u=uaf +un (V.16) La loi de commande (V.16) est la somme de deux termes : un terme de commande adaptative floue uaf, utilisé pour compenser les non-linéaités du système, et un terme de robustification de type mode glissant un, introduit pour pallier le problème des erreurs d’approximation.

Le terme adaptatif flou est défini comme suit :

( ) ( )

=

= + 1

1

, 1

ˆ ˆ ,

1 n

i i i f

b

af f X c x

X b

u θ

θ (V.17) et le terme de robustification par mode de glissement un est donné par :

un =KSign( )S (V.18) avec K une constante positive.

Les paramètres du contrôleur flou sont adaptés par les lois d’adaptations suivantes [5] :

θ&f =ηfwf( )X S (V.19) θ&b =ηbwb( )X uafS

(V.20) avec f0

ηf et f0 ηb .

L'inconvénient de cette loi de commande est que la loi de commande n'est pas définie pour bˆ(X,θb)=0. Pour résoudre le problème de division par zéro dans la loi de commande, nous utilisons une nouvelle loi de commande bien définie garantissant les objectifs de commande. Cette loi de commande est donnée par

u =uaf +un (V.21) Le terme adaptatif flou uaf est donné par :

( )

( ) ( ) ( )

= +

= + 1

1 2 1

0

ˆ , ˆ ,

ˆ ,

ˆ , n

i

b i

i f

b b

af f X cx b X S

X b

X

u b θ β θ

θ ε

θ (V.22)

avec ε0 une constante positive petite et β f0. Le terme robuste un est défini comme suit :

(

K u

)

Sign( )S

un =b1

(V.23)

(6)

et

( ) ( ) ( )

= + +

1 2 1

0

0 ˆ , ˆ ,

ˆ ,

n

i

b i

i f

b

S X b x

c X

f X

b

u θ β θ

θ ε

ε (V.24)

L’estimation des paramètres est faite par les lois d’adaptation suivantes :

θ&f =ηfwf( )X S

(V.25) θ&b =ηbwb( )X S(uaf βS)

(V.26) avec f0

ηf , f0 ηb .

3.2. Analyse de la stabilité

Pour étudier la stabilité du système en utilisant de la loi de commande (V.22), on utilise la méthode de Lyapunov.

A partir de (V.22) et (V.24), on obtient la relation

b(X )u f(X ) c x b(X b)S u

n

i i i f

af

b =

=

+ β θ

θ

θ ˆ , ˆ ,

ˆ , 1

1

1 (V.27)

En utilisant les équations (V.21) et (V.22) et (V.27), la dérivée de la surface de glissement peut être réécrite sous la forme

S&=

(

f( )X fˆ(X,θf)

)

+

(

b( )X bˆ(X,θb)

)

uaf +b( )X un βb(X,θb)Su (V.28) En ajoutant et en retranchant le terme b(X b)S

, *

ˆ θ

β , l’équation (V.28) devient

S w X w ( )X b(uaf S) b( )X un b(X b)S u

T b f T

f + +

= ~ ~ ˆ , *

)

( θ θ β β θ

&

(V.29) Considérons maintenant la fonction candidate de Lyapunov

bT b

b f T f f

S

V θ θ

θ η η θ

~

~ 2

~ 1

~ 2

1 2

1 2

+ +

= (V.30) dont la dérivée temporelle est

bT b

b f T f f

S S

V θ θ

θ η η θ

&

&

&

& 1 ~ 1 ~

= (V.31) A partir de (V.29), (V.31) devient

(7)

( ) ( ) ( ) ( ) f T b b f T f f b

n af

b T b f T

f X Sw X u S Sb X u b X S Su

Sw

V θ θ

θ η η θ θ

β β

θ

θ~ ~ ˆ , 1 ~ 1 ~

)

( + + * 2

= &

&

(V.32)

A partir de (V.25) et (V.26), on a

( )~ 1 ~ 0

=

fT f

f f T

f X S

w θ θ

θ η & (V.33)

( )~ ( ) 1 ~ f =0 T f f af

b T

b X S u S

w θ θ

β η

θ & (V.34)

Ce qui implique :

V& =Sb( )X un βbˆ(X,θb*)S2 Su (V.35) En utilisant (V.23), (V.35) devient

V& =KS βbˆ(X,θb*)S2 (V.36) Puisqu’on a supposé que b( )X b, il est alors raisonnable de supposer que

( , ) 0

ˆ * f

X b

b θ et, de ce fait, (V.36) peut être simplifiée à

V& KS . (V.37) V& 0.

Remarque 5.1 : Le terme de robustification par mode de glissement donné par (V.23) peut être lissé par le remplacement de la fonction discontinue Sign( )S par la fonction continue

Φ

Sat S , ou Φ est une constante positive. Dans ce cas, on ne peut qu’assurer la convergence de l’erreur de poursuite dans un voisinage autour de zéro.

Remarque 5.2 : Pour avoir une loi de commande bien définie même lorsque bˆ(X,θb)=0, nous avons remplacé bˆ1(X,θb) par ( )

( b)

b

X b

X b

θ ε

θ ˆ , ˆ ,

2

0 + .

Remarque 5.3 : Le terme βbˆ(X,θb)S dans (V.22), est ajouté pour avoir une nouvelle loi d’adaptation pour les paramètres θb (équation (V.20)). En fait, cette loi permet l’initialisation

(8)

des paramètres θb par zéro. Ceci est un avantage, car dans ce cas on n’a pas besoin de connaissances a priori sur les valeurs optimales de θb. Effectivement, on peut remarquer que si β =0 et θb( )0 =0, on a uaf =0, θ&b =0et θb =0,t.

4. Exemple de simulation

Pour illustrer les performances de la méthode de commande étudiée, nous considérons la commande d’un pendule inversé représenté par la figure III.12. Son modèle dynamique est donné par :

x&1 =x2

x&2 = f( )X +b( ) ( )X u t (V.38) y=x1

Avec

( )

+

+

=

c p p

c p p

m m

x L m

m m

x x Lx x m

g X

f 2

1 1 1 2 2 1

cos 3

4

sin sin cos

(V.39)

( )

+

= +

c p p

c p

m m

x L m

m m

x X

b 2

1 1

cos 3

4 cos

(V.40)

θ

1 =

x est l’angle du pendule et x2 la vitesse angulaire.

Notons que les fonctions non linéaires f(X) et b(X) sont supposées inconnues. Dans cet exemple de simulation, les valeurs suivantes sont utilisées :

mp =0.1kg ,mc =1kg,mt =mc +mp ,L=0.5m ,g=9.81m/s2.

(9)

Chacune des fonctions (V.39) et (V.40) est approchée par un système flou, et chaque système flou a pour entrée les variables x1 et x2. Bien que b( )X est fonction seulement de x1, nous utilisons un système flou avec les entrées x1 et x2car la forme de la fonction est supposée inconnue. Pour chaque variable d’entrée, on définit cinq fonctions d’appartenance Gaussiennes comme suit :

( )





+

=

ailleurs

3 . 0

25 . 1 2

exp 1

1.25 x

Si 1

2 i

1

i F i

x x

i

µ

,

( ) 



+

=

2

3 . 0

625 . 0 2

exp 1

2

i F i

x x

i

µ , ( )





=

2

3 . 0 2 exp 1

3

i F i

x x

i

µ ,

( ) 



=

2

3 . 0

625 . 0 2

exp 1

4

i F i

x x

i

µ

( )





=

ailleurs

3 . 0

25 . 1 2

exp 1

1.25 x

Si 1

2

i

5

i F i

x x

i

µ

Chaque système flou a une base de règles de 25 règles.

Les paramètres de synthèse sont choisis comme suit : 05

.

=0

ηf , ηb =0.05, θf( )0 =0, θb( )0 =0.5, ε0 =0.01, b=0.1, K =10, c1 =3, β =10, 5

.

=2 Φ .

Les résultats de simulation, la position angulaire, y=x1, la vitesse angulaire, y& =x2, la commande, u, la surface de glissement, S, plan de phase, sont représentées sur les figures V.1-V.5 pour la condition initiale x( )0 =[1.0,0]T :

(10)

0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10

-10 0 10 20 30 40 50 60

la variation angle du pendule

temps (sec)

angle du pendule [deg]

0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10

-140 -120 -100 -80 -60 -40 -20 0 20

la variation vitesse angulaire

temps (sec)

vitesse angulaire [deg/s]

Figure V.1. Variation de la sortie (position du pendule).

Figure V.2. Variation de la vitesse angulaire.

(11)

0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10

-0.5 0 0.5 1 1.5 2 2.5 3

la variation de la surface

temps (sec)

la surface S

0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10

-120 -100 -80 -60 -40 -20 0 20

la variation de la commande

temps (sec)

la commande u [N.m]

Figure V.3. Variation de la surface de glissement.

Figure . V.4. Variation de la commande.

(12)

0 0.1 0.2 0.3 0.4 0.5 0.6 0.7 0.8 0.9 1

-3 -2.5 -2 -1.5 -1 -0.5 0

plan de phase et droite de glissement

x(1)

x(2)

plan de phase droite de glissement

Les résultats de simulation de la position, θ, et de la vitesse, θ&, sont donnés respectivement Figures V.1 et V.2. La surface de glissement, S , et la commande u sont montrés sur les Figures V.3. et V.4., le plan de phase dans la Figure V.5. On remarque que les trajectoires réelles convergent vers leurs point d’équilibre, la surface de glissement tendre vers zéro, la commande c’est une commande continue et réelle et le plan de phase à l’origine dans le régime permanant.

Les figures V.6- V.10 représentent les résultats obtenus pour une variation paramétrique de 50% et de perturbation externe d(t)=sin(t)à partir à l’instant t=2s

0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10

-10 0 10 20 30 40 50 60

la variation angle du pendule

temps (sec)

angle du pendule [deg]

Figure V.6. Variation de la sortie (position du pendule).

Figure . V.5. plan de phase et la droite de glissement.

(13)

0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10

-120 -100 -80 -60 -40 -20 0 20

la variation vitesse angulaire

temps (sec)

vitesse angulaire [deg/s]

0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10

-0.5 0 0.5 1 1.5 2 2.5 3

la variation de la surface

temps (sec)

la surface S

Figure V.8. Variation de la surface de glissement.

Figure V.7. Variation de la vitesse angulaire.

(14)

0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10

-120 -100 -80 -60 -40 -20 0 20

la variation de la commande

temps (sec)

la commande u [N.m]

-0.2 0 0.2 0.4 0.6 0.8 1 1.2

-3 -2.5 -2 -1.5 -1 -0.5 0 0.5

plan de phase et droite de glissement

x(1)

x(2)

plan de phase droite de glissement

Les résultats de simulation de la position, θ, et de la vitesse, θ&, sont donnés respectivement Figures V.6 et V.7. La surface de glissement, S , et la commande u sont montrés sur les Figures V.8. et V.9., le plan de phase dans la Figure V.10. On remarque que les trajectoires réelles convergent vers leurs point d’équilibre, la surface de glissement tendre vers zéro, la commande c’est une commande continue et réelle, plan de phase à l’origine dans le régime permanant et montrent l'efficacité de cette technique et la robustesse vis -à-vis des perturbations et des incertitudes du modèle.

Figure V.9. Variation de la commande.

Figure V.10. plan de phase et la droite de glissement.

(15)

Les figures V.11-V.15 représentent les résultats obtenus pour la poursuite du vecteur d’état désiré suivant :





= t

d t

sin 2 )

( π

θ et 



= t

d t

cos 2 ) 2

( π π

θ&

Les résultats de simulation, la position du pendule réelle et consigne, θ et θd, la vitesse du pendule réelle et consigne, θ& et θ&d, la commande, u et ur, la surface de glissement, S, plan de phase, sont représentées sur les figures V.11-V.15 pour la condition initiale x( )0 =[1.0,0]T. Les paramètres de synthèse sont choisis comme suit :

001 .

=0

ηf , ηb =0.001, θf( )0 =0, θb( )0 =0.5, ε0 =0.1, b=0.1, K =10, c1 =10, β =20, 5

.

=2 Φ .

0 2 4 6 8 10 12 14 16 18 20

-80 -60 -40 -20 0 20 40 60 80

la variation de la positon du pendule -réelle et consigne-

temps (sec)

la positon du pendule -elle et consigne- [deg]

réelle consigne

Figure V.11. Variation de la position du pendule (réelle et consigne).

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