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Une approche méthodologique de la résolution de conflits

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Academic year: 2021

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HAL Id: hal-03198347

https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-03198347

Submitted on 14 Apr 2021

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Une approche méthodologique de la résolution de conflits

Claudette Cayrol, Marie-Christine Lagasquie-Schiex, Jérôme Mengin

To cite this version:

Claudette Cayrol, Marie-Christine Lagasquie-Schiex, Jérôme Mengin. Une approche méthodologique de la résolution de conflits. Congrès Francophone de Reconnaissance des Formes et Intelligence Arti- ficielle (RFIA 2000), Feb 2000, Paris, France. �hal-03198347�

(2)

A methodologial approah for onit resolution

Claudette Cayrol MC Lagasquie-Shiex Jérme Mengin

Institut de Reherhe en Informatique de Toulouse,

118 route de Narbonne, 31062 Toulouse Cedex,Frane

{ayrol, lagasq, mengin}irit.fr

Résumé

Nous nous intéressons àla restauration de ohérene

d'une basede royanesinonsistante, quenousabor-

donsparlarésolutiondeonitsguidéepardespréfé-

renesentre lesroyanes.

L'approhe méthodologique que nous suivonsonsiste

àdénirdesprinipes,puis dessolutionsduproblème

de résolutionde onitsrespetantesprinipes.

Nous proposons ensuite une étude algorithmique de

l'une des solutions ainsi dénies, puis, une ompa-

raison ave les solutions obtenues lorsqu'on restaure

la ohérene en séletionnant diretement des sous-

ensembles ohérents.

Mots Clef

Formalisationdesraisonnements,gestiondesonnais-

sanes.

Abstrat

We are interested in restoring the onsisteny of an

inonsistentset ofbeliefs. Inthis paper,westudyhow

this problem an be solved by resolving onits bet-

ween thebeliefs,guidedby somepreferenes. Ourme-

thodologial approah onsists of two steps: we rst

speifysomepriniplesthatareinaordanewiththe

intuition behind the notionsof onitresolution and

preferene;wethengiveformaldenitionsofsolutions

that obey these priniples. We also study algorithmi

aspets of our solutions and their relationship to so-

lutionsobtainedby diretly seletingonsistent setsof

beliefs.

Keywords

Formalizationofreasonings,managementofknowledge.

1 Introdution

Le problèmedelarestauration delaohérene d'une

tionsdepréféreneentrelesroyanesest au÷urde

nombreusesproblématiquesenIntelligeneArtiielle

(raisonnementnon monotone,révision,...).

Danseadre,ilexistedeux approhesduales:

Soitonséletionnediretementàpartirdelabase

initiale des sous-ensembles onsistants de ette

base 1

.

Soitonidentied'abordlesonitsexistantdans

labase initialepuis onherheàlesrésoudre en

abandonnant des royanes, e qui nous ramè-

nera,là-enore,àdes sous-ensemblesonsistants

delabase initiale.

Dans le as il n'existe pas de préférene entre les

royanes, esdeux méthodes onduisentaux mêmes

résultats 2

.

Lapriseenomptedepréférenespermetdedistinguer

lesdeux approhesdupointdevuesémantique:

Dans leas d'une restauration de ohérene par

séletiondiretedesous-ensemblesonsistants,on

attribueauxpréférenesunesémantiquequel'on

peut qualier de globale (omment se situe une

formule donnéepar rapport aux autres formules

delabase?).

Alorsque,dansleasd'unerésolutiondeonits,

onexploite les préférenes sousl'angle d'unesé-

mantiquediteloale(ommentsesituentlesfor-

mulesd'unonitdonnélesunesparrapportaux

autres?).

L'approheloaleestessentielledansleasl'ondis-

pose de plusieursrelations depréférene qui peuvent

1.Cequel'onpeutfairesansalulernéessairementtousles

onits.

2.Remarquons que,sion dispose delabase sous laforme

d'unensembledeformules,alorslapremièreméthodeseraplus

rapideàutiliserquelaseonde(eneet,onpeutéviterlealul

desonits).Àl'inverse,silabasenousestdonnéesouslaforme

d'unensemble deonits,ilsera probablement plusjudiieux

(3)

préférée à la royane b dans un onit

1

alors que

dansleonit

2

eseral'inverse!).Ils'agitdond'une

approheplusgénéralequel'approheglobale.Notons

d'autre part que des préférenes loales permettent

aussi d'exprimer plus failement des préférenes dé-

pendant d'un ontexte ou des préférenes ondition-

nelles(voir[4,16, 2,9℄).

Nous allons don aborder le problème de résolution

desonitsdansunebaseinonsistanteéquipéed'une

relationdepréférene,maissousunangleunpeupar-

tiulier.Eneet,ilexistedetrèsnombreuxtravauxsur

e sujet,maislaplupartdutemps,ils'agit deontri-

butionstrèsexpérimentales ettrèsliéesauxapplia-

tions.Or,noussouhaiterionsdénireproblèmeetses

solutionsdemanièreplussystématiqueen dénissant

des prinipes à respeter et des solutions respetant

esprinipes.

Ce quinousamène,danslasetion2,àprésenterune

approhe méthodologique de e problème et de ses

solutions. En setion 3, nous évoquerons l'aspet al-

gorithmique du alul des solutions proposées. Puis,

en setion 4,nous préiserons lesliens existantentre

lessolutionsduproblèmederésolutiondeonitsque

nous proposonsen setion2et ertainessolutionsdu

problème de restauration deohérene (par séletion

direte de sous-ensembles onsistants). Et enn, en

setion5,nousonlurons.

2 L'approhe méthodologique

2.1 Les dénitions et prinipe de base

SoitLunlangagelogiquequelonque.SoientE unen-

sembledeformulesdeLreprésentantdesroyanes,et

K unensembleonsistantde formulesdeLreprésen-

tantdesonnaissanesinontestables.L'unionE[K

pourraêtreinonsistanteetEseraappeléunebasede

royanes.

Leproblèmedelarestaurationdeohérenepeutêtre

dérit ommeétantlesuivant:

Restaurer la K-onsistane onsiste à trou-

verunsous-ensembleK-onsistant 3

deE.En

général,onprivilégielessolutionsmaximales

pourl'inlusion(voir[3,7,8,1,12℄).

Quantauproblèmedelarésolutiondeonits,ilpeut

êtredérit delamanièresuivante:

E est supposée K-inonsistante et elle est

donnée sous la forme d'un ensemble de K-

onits('est-à-direlessous-ensemblesdeE

minimauxpourl'inlusionparmieuxquisont

K-inonsistants).

i

onits issus de E (haque

i

étant un K-

onit),N (E)= S

i

i

lenoyaudeEetL(E)

l'ensembledes formulesde E nepartiipant

àauunonit(formules libres de E). Ona

alorsE=N (E)[L(E) 4

.

Résoudre les K-onits onsiste à détermi-

nerunsous-ensemblede E qui neontienne

auun des K-onits. Il faut trouver, pour

haqueonit,au moins une formuleàsup-

primeretilsut detravaillersurNpuisque

lesformulesdeLnesontpasimpliquéesdans

laK-inonsistane.

Nous avons don la dénition suivante qui araté-

riseequel'onappelleunesolutiond'unproblèmede

onits.

Dénition1 Soit C=f

i

g unproblème de onits.

S est une solution 5

de C ssi S est unsous-ensemble

de N(uniondes

i

)telque

i

\S6=;, 8i.

Exemple 1 Soit C l'ensemble des onits suivant:

C =ffa;bg;fb;gg(a, b, étant3 formules proposi-

tionnelles).

Sionappliqueladénition1,onobtientles5solutions

suivantes: S

1

= fa;b;g, S

2

= fa;bg, S

3

= fb;g,

S

4

=fa;g,S

5

=fbg.

RemarquonsqueS

4 etS

5

semblentplusintéressantes

queles 3autres, puisqu'on nesupprime qu'uneseule

formuleparonit.

Parexemple,sionseplae dansleadredudiagnos-

tibasésurlaonsistane,haqueonitestassoiéà

unensembledeomposantsnepouvantavoirunfon-

tionnement orretenmême tempsétantdonnéesles

observations eetuées; don supprimer une formule

d'un onit orrespond à supposer un omposant en

panne.Et onpréfèregénéralementsupposerle moins

depannespossible.

Tout onitdoit ertesêtre résolumaisl'élimination

d'uneformulepeutrésoudreplusieursonitsàlafois.

Lesouiden'éliminerqu'uneseuleformuleparonit

orrespondàequenousappelonsleprinipedemini-

malité(voirsetion2.2),etnousamèneàladénition

suivante.

Dénition2 Soit C=f

i

g unproblème de onits.

S est une solution minimale de C ssi S est un sous-

ensemblede Nvériant:

i

\S6=;,8i,

4.Poursimplier,onutiliseralanotationC,NetLàlaplae

deC(E),N (E)etL(E).

5.Cela orrespond à la notion d'ensemble andidat ou

(4)

i

Cette dénition aratérise don les sous-ensembles

de N minimaux pour l'inlusion renontrant tous les

onits 6

.

Exemple 1 (suite) Quand on applique la déni-

tion2surl'exemple1,onn'obtientalorsommesolu-

tionsminimalesquelessous-ensemblesS

4 etS

5 .

Cettedénition2permet dond'obtenirunensemble

de solutions beauoup plus intéressant que elui ob-

tenu par la dénition 1. Toutefois, elle ne tient pas

ompte dufaitque,dansunonit,onpréférerasup-

primerune formulepluttqu'uneautre.

2.2 Utilisation des préférenes

On introduit donlaprise enompte despréférenes

dans le problème de résolutionde onits. On onsi-

dèrequehaqueK-onitdeE(noté

i

)estmunid'un

pré-ordre totalet que8i,f(

i

) dénotel'ensembledes

élémentsminimaux de

i

par rapport àe pré-ordre.

OnnoteraN

min

= S

i f(

i ).

À partirde là, on peut expliiter un ertain nombre

deprinipesàrespeterpourobtenirdebonnessolu-

tionset'esttoutel'originalitédenotreapprohe:

Le prinipede minimalité:

ne garder que les solutions qui n'en ontiennent

pas d'autres(minimalité au sensde l'inlusion);

'estleprinipedebasedéjàexploitédansladé-

nition 2;

Le prinipede parimonie:

éliminerlepluspetitnombrepossiblederoyanes

(minimalité ausensdelaardinalité);

Le prinipedu respet des préférenes:

les royanesà éliminer sont hoisiesautantque

possible dans les f(

i

) (l'idée étant de s'assurer

quetouteformuleéliminéel'aétépourunebon-

ne raison);

Le priniped'eaité:

séletionner leplus petit nombre possible de so-

lutions(andefailiterl'utilisationfuturedees

solutionss'ilyenatrop,il seratrèsdiilede

lesexploiter).

Remarquons que es prinipes ne sont pas toujours

ompatibles.

Exemple 1 (suite) Reprenonsl'exemple1en sou-

lignantlesélémentsminimauxdehaqueonit:C=

ffa;bg;fb;gg. Sur et exemple, parmi les solutions

obtenues par la dénition 1, S

4 et S

5

respetent le

prinipe deminimalité,S

4

respetelespréférenes et

6.Unensemblee

1

renontre unautreensemblee

2 ssie

1

\

e 6=;.

5

pasdesolutionrespetanttouslesprinipesàlafois.

Le prinipe de minimalité allié au respet des préfé-

renesnousmèneàladénitionsuivante.

Dénition3 Soit C = f

i

g un problème de onits

équipé d'un pré-ordre total sur haque

i

. S est une

solutionminimalepréféréessiS estunsous-ensemble

de Nvériant:

i

\S6=;,8i,

8x2S,9i telque

i

\S=fxg,

8x2S,9j telquex2f(

j ).

CequiestéquivalentàdirequeSestunsous-ensemble

deN

min

minimalpourl'inlusionquirenontrehaque

onit.

Exemple 1 (suite) Suretexemple, laseulesolu-

tionminimalepréféréeest S

4 .

Exemple2 Soitleproblèmedeonitssuivant:

C=ffa

6

;a

1

;a

2 g,fa

7

;a

2

;a

3 g,fa

3

;a

4

;a

8 g,fa

4

;a

5 gg.

Sur etexemple,ladénition 3nous fournitles 5so-

lutionsminimalespréféréessuivantes:

S

1

= fa

2

;a

4 g, S

2

= fa

2

;a

8

;a

5 g, S

3

= fa

1

;a

3

;a

5 g,

S

4

=fa

2

;a

3

;a

5 g,S

5

=fa

1

;a

3

;a

4 g.

D'autrepart,le prinipede parimonienous onduit

àladénition4.

Dénition4 Soit C=f

i

g unproblème de onits.

S est une solution parimonieuse de C ssi S est un

sous-ensemble de N minimal pour la ardinalité qui

renontre haqueonit.

Exemple 1 (suite) Quand on applique la déni-

tion4surl'exemple1,onn'obtientalorsommesolu-

tionparimonieusequelesous-ensembleS

5 .

Lessolutionsparimonieusesétanttoutesminimales 7

,

onpeutdonvoirladénition4ommeunmoyende

respeteraumieux lepriniped'eaité.

Parontre,étantdonnéleurinompatibilité,ilestim-

possible d'assoier prinipe de parimonie et respet

des préférenes. La seule hose que l'on puisse faire

est d'essayer de respeter le prinipe d'eaité en

utilisantlaardinalitéommeunmoyenpourréduire

l'ensembledes solutions.Ce quinous mène àladé-

nition5.

Dénition5 Soit C = f

i

g un problème de onits

équipé d'un pré-ordre total sur haque

i

. S est une

solutionard-minpréféréessi:Sestunsous-ensemble

deN

min

minimalpourlaardinalitérenontranthaque

onit.

7.Eneet,ladénition4raneladénition2.

(5)

Exemple1(n) Suretexemple,lasolutionard-

min préférée est aussi la solution minimale préférée

S

4

.Notonsqu'ilnes'agitpasd'unesolutionparimo-

nieuse.

Exemple 2 (suite) Si on reprend l'exemple 2, la

seulesolutionard-minpréférée estS

1 .

Il existe aussi d'autres moyens de réduire l'ensemble

dessolutionsandemieuxrespeterlepriniped'e-

aité.Nouspouvonsparexempleutiliserdesnotions

moins onnues ommelapréférenedite élitisteissue

de[7℄(voirlesdénitions 6et 7).

Dénition 6 Soient S

1 et S

2

deux solutions mini-

malespréféréesd'unproblèmedeonitC.Ondiraque

S

1 S

2

ssipourtoutx2S

2 nS

1

,ilexistey2S

1 nS

2

etunonit

i

2Ctelsque:y2

i nf(

i

)etx2f(

i ).

De manière informelle, ela signie que

i

est mieux

résolu par x quepary.

Dénition 7 Soit C = f

i

g un problème de onits

équipé d'un pré-ordre total sur haque

i

. S est une

solution éli-préférée ssi: S est un sous-ensemble de

N

min

qui renontrehaque onit et qui est maximal

pourla relationdonnéeparla dénition 6.

Don, onne onserve quelessolutions permettant de

résoudre au mieux les onits (au sens de la déni-

tion6).

Exemple2(suite) Dansl'exemple2,seulesS

1 ,S

2

et S

3

sontéli-préférées.

Touteslesdénitionsdonnéesiisontreprisesdansle

tableau1avelesprinipesrespetés.

3 Calul des solutions minimales

Unepropriétéintéressantedessolutionsminimalespré-

féréestellesqu'ellesontétédéniesdanslasetionpré-

édente est que leur alul se ramèneà unproblème

bien onnu en IntelligeneArtiielle: le alul d'en-

semblesintersetantsd'unensembled'ensembles.

Dénition 8 Unensembleintersetantd'unensemble

d'ensembles C est une partie de l'union des éléments

de C dontl'intersetion avehaque élémentde Cest

non vide.

Proposition1 Soit C =f

i

gun ensemble d'ensem-

bles, etsoit f une fontionqui assoieàtoutélément

i

de C une partie non vide de

i

. Soit N

min

l'union

des f(

i

), alors S est une solution minimale préférée

(au sens de la dénition 3) du problème de onits

dénipar Cetf sietseulement siS estunensemble

intersetantminimal (pour l'inlusion) de C 0

=f

i

\

N g.

Solutionsproposées respetés

Minimalité Parimonie Respetpréférenes

Sol.(debase)(déf.1)

Sol.minimale(déf.2) X

Sol.minimalepréférée(déf.3) X X

Sol.parimonieuse(déf.4) X X

Sol.ard-minpréférée(déf.5) X X

Sol.éli-préférée(déf.7) X X

Tab.1Tableauréapitulatif desprinipes etdesso-

lutions(leX signiequela solution proposée respete

leprinipedonné)

Danslasuite,nousnousintéressonsaualul desen-

sembles intersetants minimaux d'un ensemble d'en-

sembles C =f

i

g,et nous noteronsN l'uniondes

i .

Plusieurs algorithmes de alul d'ensembles interse-

tantsontétéproposésenIntelligeneArtiielle,dans

leadredudiagnosti[17℄,deladédutionenlogique

propositionnelle[5,6℄,ouenoredel'étudedelogiques

nonmonotones[11,13,14,15℄entreautres.Nouspré-

sentonsbrièvementdanslasuitelesprinipalesara-

téristiquesdeesalgorithmes.

L'algorithmede[17℄,orrigépar[10℄etgénéralisépar

[13℄,examinel'unaprèsl'autrelesélémentsdeC:pour

haque nouvel ensemble

i

de C examiné, on séle-

tionne un élément de

i

, à moins qu'on ait déjà sé-

letionné unélément de

i

lorsde l'examen d'un en-

semble préédent. Comme il y aplusieurs hoix pos-

sibles lors de la séletion d'un élément de

i

, l'algo-

rithmeexploreunarbredontlesn÷udssontétiquetés

pardesensemblesdeC,et lesarsparleurséléments.

L'étiquetted'un n÷udnest unensemble

i

dontau-

unélémentn'apparaîtommeétiquettedes arsau-

dessusden;siauun

i

nevérieettepropriété,alors

nest unefeuilleet l'ensembleintersetantorrespon-

dantest l'ensemble des étiquettesdes ars au-dessus

den.Àhaqueélémentxdel'étiquette

i

d'unn÷udn

orrespondunsous-arbredontlaraineestunlsden,

etdanslequeltouslesensemblesintersetantsalulés

ontiennent x; e sous-arbre orrespond au hoix de

xpourinterseter l'ensemble

i

.Unexemplesimple

dealuld'ensemblesintersetantsaveetalgorithme

estreprésentésurlagure1.

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