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Sur quelques aspects de traces de particules ionisantes dans les émulsions photographiques peu sensibles (suite) [1]

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00236416

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00236416

Submitted on 1 Jan 1961

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Sur quelques aspects de traces de particules ionisantes dans les émulsions photographiques peu sensibles (suite)

[1]

Marie Ader

To cite this version:

Marie Ader. Sur quelques aspects de traces de particules ionisantes dans les émulsions pho-

tographiques peu sensibles (suite) [1]. J. Phys. Radium, 1961, 22 (2), pp.123-124. �10.1051/jphys-

rad:01961002202012301�. �jpa-00236416�

(2)

123

La serie de terme général (_1)I%’I+lal+lrl+1 bpar est

absolument convergente. Contrairement a la 86rie de

Madelung, sa convergence est si rapide qu’il suffit,

pour obtenir une assez bonne approximation de la

somme, de tenir compte d’un nombre raisonnable de termes. Nous avons consid6r6, pour les r6seaux de type NaCl, les 30 premiers termes de la serie, classes

par valeurs croissantes de N jusqu’h N

=

3 B/3. Pour

les r6seaux de type CsCl, ou les nombres p, q, et r d’un groupe ont la meme parite, nous avons consid6r6 les 15 premiers termes jusqu’à N

=

6, mais dans ce

cas R, qui d6signe toujours la distance interatomique

a ete remplace dans la formule (7) par RIV3-.

Les résultats, dans lesquels on a introduit les valeurs ’

des constantes de Madelung, s’expriment de la fagon

suivante :

-

cristal type CINa :

-

cristal type CICs :

11 est int6ressant de noter que les coefficients b sont

de signes opposes dans les deux systemes. Les 6 ions voisins dans les cristaux du type CINa contribuent

pour 98 % au coefficient b, mais dans-les cristaux du type CICs, les 8 voisins ne contribuent -que pour 76 %

a ce coefficient.

Lettre reçue.le 8 decembre 1960.

BIBLIOGRAPHIE

[1] PENNEY (W. G.) et SCHLAPP (R.), Phys. Rev., 1932, 41,

194.

Pour une bibliographie étendue sur ce sujet, voir

D. S. McClure,

«

Electronic-Spectra of molecules and ions in crystals », Solid State Physics, Académie Press, 1959, p. 401.

SUR QUELQUES ASPECTS

DE TRACES DE PARTICULES IONISANTES DANS LES ÉMULSIONS PHOTOGRAPHIQUES

PEU SENSIBLES (suite) [1]

Par Marie ADER

avec Marie-Paule la collaboration HOUARD-CABANNES, technique de

On consid6re des traces de particules oc du Th C’

reques en incidence presque rasante dans les emulsions

photographiques Ilford .K-1 et K-2. Il semblerait que dans ces émulsions tres peu sensibles,

«

il ne subsiste

FIG. 1.

FIG. 2.

FIG. 3.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphysrad:01961002202012301

(3)

124

FIG. 4.

FIG. 5.

FrG. 1-2-3-4-5.

-

Traces de particules

a

du Th C’ montrant 1° les successions de lacunes et de densités diff6rentes de

grains ; des d6viations pr6c6d6es de lacunes.

FIG. 6.

-

Une trace avec deux déviations dans le plan perpendiculaire au plan de l’ émulsion.

que la partie primaire de la trace » [2]. Ces traces pr6-

sentent quelques caracteristiques :

10 Elles ne sont point rectilignes, mais subissent des deviations allant de quelques degr6s a plusieurs

dizaines de degr6s.

20 Ces deviations ne sont pas localis6es uniquement

a rextremite de la trace, on en remarque en un point quelcon que de la trace,

30 Une meme trace peut présenter plusieurs chan- gements de direction.

40 Sur les cliches ci-joints, nous constatons aussi

une succession de variations de densite de grains et

de lacunes paraissant indiquer ici que dans la travers6e de la mati6re dense, comme dans la traversee des gaz [3] une particule a subit des changements successifs

de charge : He++, He + , HeO, apr6s capture et perte

FIG. 7.

-

La particule

a

du Th C’ a 6t6 enregistr6e ici

par une emulsion El, plus sensible que les emulsions K-1 et K-2. Les déviations au niveau des lacunes sont cepen- dant tres visibles.

d’electrons. Et nous faisons la même constatation que

celle faite’ dans la communication precedente : une

déviation de la trace de la particule est dans plus de

70 % des cas, pr6c6d6e d’une lacune apparente.

Lettre reque le 30 d6cembre 1960.

BIBLIOGRAPHIE

[1] Communication parue au J. Physique Rad., 1961, 22, 61.

[2] PFOHL (R.) et LONCHAMP .(J. P.), J. Physique Rad., 1960, 21, 717.

[3] RUTHERFORD, Radiations from Radioactive Substances, Cambridge at the University Press, 1951, Chapitre p.119.

SUR UNE MÉTHODE’

DE DÉTERMINATION DU COEFFICIENT DE DIFFUSIVITÉ THERMIQUE

DES MÉTAUX OU DES SEMI-CONDUCTEURS

Par Jean OUALID,

Laboratoire de Physique P. C. B.,

Faculté des Sciences, Alger.

Le coefficient de diffusivite thermique est un coef-

ficient assez facilement accessible a 1’experimentation.

11 permet de determiner le libre parcours moyen des phonons et par suite il donne des renseignements tr6s

interessants sur les divers processus de diffusion des

phonons. En effet si Kph est la contribution des vibra- tions du r6seau h la diffusivit6 thermique, on montre

que :-

- .- - 1,1

v, 6tant la vitesse de groupe des ondes thermiques ;

l, le libre parcours moyen des phonons ; m, la masse

spécifique du solide consid6r6,

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