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Aliments achetés

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Academic year: 2022

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En GTE, on distingue l’aliment complet

acheté de l’aliment fabriqué à la ferme (FAF) : l’aliment acheté (code 50/55 – 60/65 – 70/75) constitue l’intégralité de la ration distribuée aux animaux à ce stade. A contrario, tous les composants d’un mélange réalisé avant distribution sont à enregistrer avec un code «aliment fabriqué» (code 51/56 – 61/66 – 71/76). C’est le cas en particulier pour les complé- mentaires distribués avec le maïs humide ou avec différents co-produits.

Les aliments sont distingués selon le type d’animaux :

Par convention, l’aliment consommé par les porcelets en maternité est enregistré en aliment post-sevrage.

Tout savoir sur les outils de gestion GTTT – GTE – Tableau de Bord

Aliments achetés

Fiche n° 16 – Mars 2010

DÉF IN IT IONS

La moitié des élevages bretons a payé en 2008 son aliment engraissement entre 240 et 250 euros/tonne. La variabilité des prix payés entre élevages reste forte.

La part des charges alimentaires dans le coût de revient est passée de 74% en 19 8 0 à 57% en 20 0 4 puis 67% en 20 0 8. L’envolée du prix des matières premières a entraîné une hausse très importante du coût de revient du porc entre 2007 et 2008 : une progression de 45% du prix de l’aliment de 2006 à 2008 s’est traduite par une augmentation de 0.31

du coût de revient du kg de carcasse.

Type d’animaux Catégorie d’aliment

Truies et verrats Aliment reproducteur

Porcelets avant et après sevrage, jusqu’à la mise à l’engrais Aliment post-sevrage Porcs charcutiers après la mise à l’engrais, futurs reproducteurs

jusqu’à l’entrée en reproduction Aliment engraissement

• L a répar tition entre catégories d’aliment doit correspondre au changement de stade : par exemple, les quantités d’aliment engraissement distribuées en fi n de post-sevrage doivent être enregistrées en aliment post-sevrage. En cas de récupération automatique des factures d’aliment (listing papier ou fi chier), il faut modifi er si nécessaire les données mises à jour auto-

matiquement

• L’objectif est de calculer les quantités d’aliment consommé par catégorie d’animaux. Il faut enregistrer les quantités et valeurs des aliments en stock début et fi n de la période GTE par catégorie d’aliment

• Les produits complémentaires de l’aliment (vitamines orales, probiotiques, poudre de lait, colostrum, acidi- fi ants, …) sont enregistrés en aliment acheté s’ils ne rentrent pas dans un mélange, ou s’ils sont ajoutées au mélange chez le fabriquant et notés à part sur la facture (kaolin, probiotiques…). Ils s’ajoutent à l’ali- ment selon la catégorie d’animaux destinataires

• Le coût des supplémentations doit être retiré du montant de la facture aliment et enregistré en dépenses de santé

• Les agios portés sur la facture doivent être retirés du montant de la facture et enregistrés en ‘frais fi nan- ciers’ pour les élevages suivis en Tableau de Bord

• En cas d’échanges céréales/aliment, l’aliment distribué est assimilé à un aliment acheté

• Par souci de simplifi cation, il est possible, sans conséquences sur le résultat, d’enregistrer les quan- tités totales d’aliment consommées ou livrées par période. Cependant, pour permettre d’observer les évolutions du prix de l’aliment payé par les éleveurs,

il est préférable d’enregistrer les livraisons cumulées par mois

1-base des références GTTT / GTE Bretagne 2008 et critères économiques 2004-2008

I

In nc cid de e ence e e éc co on n no om m miq qu u ue e

1

Une variation de 10 euros / tonne d’aliment correspond à un écart de marge sur coût alimentaire de 76 € /truie présente/an, soit 4.0 centimes d’euro/kg de carcasse.

Prix moyen de l’aliment engraissement

Année

% élevagesPrix de l’aliment engraissement (/tonne)

Distribution du prix moyen de l’aliment engraissement acheté

(GTE NE Bretagne 2008)

Evolution du prix de l’aliment engraissement dans les élevages achetant plus de 80% de l’aliment consommé

(GTE NE Bretagne) 30

25 20 15 10 5 0

260 240 220 200 180 160 140

<230 235-240 240-245 245-250 250-255 255-260 260-265 >265

98 99 00 01 02 03 04 05 06 07 08

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