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J’exprime également ma reconnaissance à l’Université Libre de Bruxelles pour m’avoir permis d’avancer dans mon travail par l’octroi d’une bourse Mini-Arc.

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Academic year: 2021

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I REMERCIEMENTS

Je tiens à exprimer toute ma reconnaissance à Olivier Gosselain pour avoir accepté de diriger cette recherche, ainsi que pour la confiance et le soutien qu’il m’a accordé tout au long de ces années. Merci, sincèrement, pour toutes ces missions communes, ces conseils avisés et l’amusement partagé tout au long de ce travail de recherche.

Je tiens également à remercier Eléonore Wolff pour ses conseils de géographe, et pour m’avoir ouvert les portes de l’IGEAT où l’équipe m’a été d’un grand secours lorsque j’ai dû m’initier aux joies du logiciel Arcview.

Une attention toute particulière va à Doullah Sindy - interprète, chauffeur et collaborateur scientifique - qui m’a accompagné pendant toutes mes missions au Niger. J’espère simplement que ce travail sera à la hauteur de ce qu’il m’a apporté. Cette recherche n’aurait pu être accomplie de cette manière sans ses apports éclairés.

J’exprime également ma reconnaissance à l’Université Libre de Bruxelles pour m’avoir permis d’avancer dans mon travail par l’octroi d’une bourse Mini-Arc.

Je remercie également Renaud Zeebroeck qui s’est toujours montré plein de conseils, que ça soit scientifique ou pratico-pratique. Je remercie évidemment Alexandre Livingstone Smith, toujours enthousiaste et éclairant lorsque je lui parlais de la recherche en cours, ainsi qu’Agnès Vokaer pour son aide lors de la rédaction de mon projet de thèse.

Que toute l’équipe nigérienne de l’IRSH de Niamey soit ici saluée : Oumarou, Dari, Zachari, Abdourahman, Suley. Merci pour les « bonne arrivée » amicales, et l’apprentissage des salutations hausas.

Je rends hommage à Sani - directeur de l’IRSH de Maradi, historien, et traducteur de certains

de mes entretiens (du hausa au français) - qui ne pourra malheureusement plus lire ces lignes

aujourd’hui, ainsi qu’Alhassan avec qui j’ai passé la mission la plus surprenante de ma jeune

carrière. Je leur suis profondément reconnaissante d’avoir été présents à 100% lorsque « le

moustique » a eu raison de mon enthousiasme potologique.

(2)

II Je tiens à faire un clin d’œil à Sabine, Estelle, Els et Anaïs, comparses de certains terrains, avec qui je partage des anecdotes incongrues que je ne me prive en aucun cas de ressasser. Un autre clin d’œil va à Sébastien Lo Sardo, pour le partage des conjonctures de fin de mission. Merci aussi à Céline Bouchat ainsi qu’à Laurent Legrain pour ces discussions toujours passionnantes.

Je pense aussi à Isabelle pour son aide administrative et ses mots toujours agréables.

Un merci tout particulier va bien entendu à mes proches. Julien et tes corrections lorsque mon anglais laissait à désirer. Agathe et Mélanie pour toutes ces relectures et votre soutien. Merci également à mes amis et tout particulièrement à Céline, Justine, Perrine et Sebastian pour avoir réussi à calmer mes doutes. Et merci à Manu sans qui ces pages n’auraient pu être imprimées !

Quant à mes parents, Annie et Luc, merci mille fois pour votre soutien et d’avoir cru en moi sans relâche. De manière générale, puisque j’en ai l’occasion ici, merci pour tout.

Je rends également hommage à toutes ces artisanes, reines de l’argile, qui ont rendu ces petits moments passés dans cet ailleurs qui est le leur aussi agréable et constructif : Gedo, Lahia, Hadi, Tukunti, Samu, Damu, Barrow, Damana, Tunkule, Argade et Amore, ces potières de Kordongo, ainsi que toutes les autres artisanes que j’ai eu le plaisir et le privilège de rencontrer.

Enfin, je tiens à saluer l’ensemble des pintades, vaches, bœufs, ânes, chèvres et autres animaux

à quatre pattes dont les cris intempestifs au milieu de la nuit m’ont finalement appris ce que

sont la tolérance et la patience.

(3)

III TABLE DES MATIÈRES

REMERCIEMENTS...I TABLE DES MATIÈRES………III LISTE DES FIGURES………..VIII

INTRODUCTION GÉNÉRALE ...………1

Balbutiements et fondements de cette recherche………..8

Objectifs de recherche………11

Méthodes de recherche………...18

I. CHAPITRE I. CADRE GÉNÉRAL DE L’ÉTUDE : LE NIGER….. ……20

I.1. Limites nationales……….22

I.2. Limites intra-nationales et voies de circulations………...23

I. 3 Géographie et Climat………...24

I.4 Populations du Niger……….25

I.5 Activités économiques………...27

CHAPITRE II. IDENTITÉ ET HISTOIRE ……...……….33

II.1 La langue hausa………...34

II.2 Le pays hausa ou kasar hausa………35

II.3 Histoire de l’Arewa et du Kurfey………...37

II.2.1 L’Arewa………..38

II.2.2 Le Kurfey……….41

II.4. Société contemporaine et recoupement historique………..43

CHAPITRE III. LA CHAÎNE OPÉRATOIRE ……….. 48

III.1 La chaîne opératoire: outil d’analyse et base méthodologique………...53

III.2 Types de récipients fabriqués et utilisés dans l’Arewa et le Kurfey oriental………54

III.2.1 Jarres à eau……….55

III.2.2 Marmites………56

III.3 Description morphologique des jarres à eau de l’Arewa………58

(4)

IV

III.3.1 Division de la zone en fonction de l’aspect extérieur des récipients………...59

III.3.1.1Type de jarre à eau retrouvé dans l’ouest de la zone d’étude (Kurfey).…….………59

III.3.1.2 Type de jarre à eau retrouvé dans le centre de la zone d’étude (Arewa)..………60

III.3.1.3Type de jarre à eau retrouvé dans le nord et à l’est de la zone d’étude (Arewa)...……61

III.3.1.4 Type de jarre à eau retrouvé dans le sud de la zone d’étude (Arewa)..……….61

III.4 Chaîne opératoire de la fabrication des jarres à eau (karihi, randa et tukunia ruwa) de l’Arewa……….62

III.4.1 Extraction de l’argile………...63

III.4.2 Préparation de la pâte………...65

III.4.3 Façonnage………68

III.4.4 Décoration du récipient ………...77

III.4.5 Cuisson………...78

III.4.6. Traitement post-cuisson………...80

III.5 Tableaux des séquences et des opérations suivies par les potières de trois localités..81

CHAPITRE IV. DISTRIBUTION SPATIALE DE CERTAINS ÉLÉMENTS TECHNIQUES OBSERVÉS DANS LA ZONE D’ÉTUDE ………..99

IV.1 Distribution spatiale des recettes de pâtes ………...101

IV.2 Ancienne Distribution spatiale des recettes de pâtes ……….103

IV.3 Distribution spatiale des éléments décoratifs………...104

IV.4 Ancienne distribution spatiale des motifs décoratifs………...108

IV.5 Distribution spatiale actuelle du col haut et du col court………109

IV.6 Ancienne distribution spatiale du col haut et du col court………...110

IV. 7 Agencement des structures de cuisson………...111

IV.8 Rapprochements villageois………112

CHAPITRE V. LES CADRES DE PRATIQUES DE L’ACTIVITÉ POTIÈRE……… 118

V.1 Cadres de pratiques………...120

V.1.1 Le site d’extraction d’argile………120

V.1.2 L’atelier………...122

V.1.3 Le site de cuisson……….122

V.1.4 Le marché………124

(5)

V

ÉCHELLE VILLAGEOISE ………...126

CHAPITRE VI. COMMUNAUTÉ POTIÈRE ET COMMUNAUTÉ DE PRATIQUE ………...127

Introduction………...128

VI. 1 Introduction à la notion de « Communauté de pratique »……….129

VI.2 Mise en application de la notion de communauté de pratique : une révolution managériale ?...131

VI.2.1. Histoire et contexte (de l’organisation en entreprise)………..132

VI.2.2 Opérationnalisation en entreprise………...133

VI.2.3 Pourquoi un tel engouement ?...134

VI.2. 4 Les dérives de l’opérationnalisation……….135

VI.3 La communauté de pratique à l’usage de l’Anthropologie et de l’Archéologie……138

CHAPITRE VII. APPRENTISSAGE DE LA POTERIE AU NIGER ………..………142

Introduction………...143

VII.1 Apprentissage pendant l’enfance………...143

VII.1.1. L’observation ………..144

VII.1.2 L’aide et le jeu………..145

VII.1.2.1 L’aide………...145

VII.1.2.2 Le jeu………...148

VII.1.3 De Dan Koyo à Goni.………...148

VII.1.4 Héritage : outils………152

VII.1.5 Interruption de l’activité après le mariage………...154

VII.1.6 L’apprentissage situé au sein des cadres de pratiques de l’activité potière…………155

VII.2 Apprentissage après le mariage………...160

VII.3 Apprentissage avant le mariage mais adaptation au nouveau cadre de pratique...161

VII.4 Schéma d’apprentissage et statuts des artisanes liés au type d’apprentissage reçu………164

VII.5 « Tension dynamique » (transformation du groupe et des participants)………….167

VII.6 Caractérisation de l’apprentissage au Niger………...168

VII.6.1 Apprentissage par la pratique………..169

VII.6.2 La participation………170

(6)

VI

VII.6. 3 Le caractère situé ………172

CHAPITRE VIII. FONCTIONNEMENT D’UNE COMMUNAUTÉ DE POTIÈRES À L’ÉCHELLE VILLAGOISE : KORDONGO, AREWA …...176

VIII.1. Cadre d’étude ………179

VIII.1.1 Formation du village………...182

VIII.1.2 Évolution spatiale des concessions et circulation au sein du village………...183

VIII.1.3 Constructions communes……….184

VIII.1.4 L’étranger à Kordongo………185

VIII.1.5 Activités artisanales à Kordongo.………...186

VIII.2 Activité potière à Kordongo………187

VIII.2.1 Origine et propagation de l’activité potière à Kordongo………..189

VIII.2.2 « On fait toutes pareil » mais « chacune a sa main »………...192

VIII.2.3 Distinguer les différences individuelle ou familiale d’une appartenance à un groupe de pratique………193

VIII.3 Techniques des potières de Kordongo………..195

VIII.4 Standardisation VS. idiosyncrasie………...205

VIII.5 Dimensions spatiale et sociale de l’atelier et du site de cuisson.………….……….209

VIII.5.1 L’atelier………..210

VIII.5.2 Le site de cuisson………213

VIII.5.2.1 Emplacement du site de cuisson………...…215

VIII.5.2.2 Modalités de cuisson à Kordongo………...216

VIII.5.2.3 Concession et site de cuisson : promiscuité sociale et géographique…...218

VIII.5.2.4 Hiérarchie au sein du groupe de cuisson………...222

VIII.5.2.5 Que signifie cuire ou ne pas cuire ensemble?...225

VIII.5.2.6 Fonctionnement d’une communauté de pratique : lecture par échelle …………...226

VIII.6 Modalités et gestions de cuisson au sein de la localité d’Attari………...227

ÉCHELLE EXTRA VILLAGEOISE ………...236

CHAPITRE IX. NIVEAU EXTRA VILLAGEOIS : DISTRIBUTION DES TECHNIQUES AU SEIN DE LA ZONE D’ÉTUDE ET EFFET DES CADRES DE PRATIQUES EXTRA VILLAGEOIS ………237

IX.1 Le site d’extraction………...238

(7)

VII

IX.1.1 Les actrices/acteurs de l’extraction………...239

IX.1.2 Permanence ou changement de site ………..243

IX.2 Le marché………247

IX.2.1 Dimension sociale du marché………...……...……...247

IX.2.2 Organisation spatiale du marché...………253

IX.3 Effet des cadres de pratiques sur la distribution spatiale des recettes de pâtes…....257

IX.4 Effet des cadres de pratiques sur la distribution spatiale des décors………...……..264

CONCLUSION ………...270

BIBLIOGRAPHIE ……….278

(8)

VIII LISTE DES FIGURES

Fig.1 Carte générale du Niger. (P.23)

Fig.2 Carte du Niger et zone d’étude. (P.38)

Fig.3 Carte des localités d’enquêtes. (P.81)

Fig. 4 Recettes utilisées pour la préparation de la pâte au sein de la zone d’étude et distribution de leurs occurrences. (P.101)

Fig.5 Recettes anciennement utilisées pour la préparation de la pâte au sein de la zone d’étude et distribution de leurs occurrences. (P.103)

Fig.6 Éléments décoratifs répertoriés au sein de la zone d’étude et distribution de leurs occurrences. (P.104)

Fig.7 Distribution actuelle de l’usage du cordon d’argile pressé. (P. 105)

Fig.8 Distribution actuelle de l’impression à la corde et à l’épi de Blepharis linariifolia. (P.106)

Fig.9 Distribution actuelle de motifs peints à la peinture minérale. (P.107)

Fig.10 Ancienne distribution spatiale des motifs décoratifs. (P.108)

Fig.11 Distribution spatiale des occurrences de cols courts et de cols hauts au sein de la zone d’étude. (P.109)

Fig.12 Ancienne distribution spatiale des cols courts et des cols hauts au sein de la zone d’étude. (P.110)

Fig.13 Modes d’agencement des structures de cuisson et distribution spatiale de leurs

occurrences au sein de la zone d’étude. (P.111)

(9)

IX Fig. 14 Gestion des sites de cuisson au sein de la zone d’étude. (P.157)

Fig.15 Schéma général d’apprentissage. (P.164)

Fig.16 Potières encore actives dans la localité de Kordongo. Y sont indiqués l’âge,

l’appartenance à la « fraction » hausa, le lieu de naissance, le lieu d’apprentissage ainsi que les raisons de l’arrivée à Kordongo de certaines potières natives d’autres localités. (P.187)

Fig. 17 Généalogie des premières potières de Kordongo. (P.189)

Fig.18 Apprentissage avant ou après le mariage des potières ayant appris à Kordongo. Les potières en encadrés gris et vert sont les artisanes actuelles de Kordongo. Les deux potières dans les encadrés blancs sont celles qui ne sont plus actives. (P.190)

Fig. 19 Relations d’apprentissage de trois potières originaires du village de Merina, localité située à moins de 10km au nord-ouest de Kordongo. (P.191)

Fig. 20 Trajectoire individuelle de trois artisanes de la localité de Kordongo. (P.207)

Fig. 21 Localisation des concessions des potières de Kordongo et indication des collaborations entre les artisanes. (P.211)

Fig. 22 Schéma présentant les concessions des potières de Kordongo et les liens familiaux, avant ou après le mariage, les unissant. (P.211)

Fig. 23 Localisation des concessions des artisanes et des sites de cuisson qu’elles fréquentent.

(P.219)

Fig.24 Schéma des concessions et des sites de cuisson des potières de la localité d’Attari.

(P.228)

Fig.25 Recettes utilisées pour la préparation de la pâte au sein de la zone d’étude et distribution

de leurs occurrences (P. 257).

(10)

X Fig.26 Marchés fréquentés par les artisanes. (P.258)

Fig.27 Fréquentation d’un site d’extraction commun. (P.259)

Fig.28 Recettes anciennement utilisées pour la préparation de la pâte au sein de la zone d’étude et distribution de leurs occurrences. (P.260)

Fig.29 Éléments décoratifs répertoriés au sein de la zone d’étude et distribution spatiale de leurs occurences. (P.264)

Fig. 30

Éléments décoratifs anciennement répertoriés au sein de la zone d’étude et distribution

spatiale de leurs occurrences. (P.264)

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