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Étude des effets directionnels dans la transmission de protons de 2 MeV à travers un monocristal de silicium

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Academic year: 2021

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(1)

HAL Id: jpa-00206590

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00206590

Submitted on 1 Jan 1967

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Étude des effets directionnels dans la transmission de protons de 2 MeV à travers un monocristal de silicium

J. Remillieux, J.J. Samueli, A. Sarazin

To cite this version:

J. Remillieux, J.J. Samueli, A. Sarazin. Étude des effets directionnels dans la transmission de protons de 2 MeV à travers un monocristal de silicium. Journal de Physique, 1967, 28 (10), pp.832-838.

�10.1051/jphys:019670028010083200�. �jpa-00206590�

(2)

ÉTUDE

DES EFFETS

DIRECTIONNELS

DANS LA

TRANSMISSION

DE PROTONS DE 2 MeV A

TRAVERS

UN

MONOCRISTAL

DE

SILICIUM

Par

J. REMILLIEUX, J. J. SAMUELI,

A.

SARAZIN,

Institut de Physique Nucléaire de Lyon (France).

Résumé. 2014 Ce travail décrit les

phénomènes

de canalisation subis par des

protons

de

2 MeV à travers un monocristal de silicium, orienté

(111).

La canalisation axiale à travers les canaux

[110], [111], [112]

et

[114]

et la canalisation

plane

dans les

plans (110)

et

(111)

ont

été étudiées

expérimentalement.

Nous avons calculé la surintensité mesurée le

long

du canal

[110].

Les résultats sont en bon accord avec la théorie de Lindhard. Nous donnons des résultats

expérimentaux

relatifs à la

composante

à forte

perte d’énergie.

Enfin, une méthode

photogra- phique

a

permis

d’observer la structure étoilée des faisceaux canalisés.

Abstract. 2014 This paper describes

experimental

work on

channeling

of 2 MeV

protons through

a silicon

crystal,

oriented

(111).

Axial

channeling along [110], [111], [112]

and

[114]

axes and

planar channeling along (110)

and

(111) planes

have been studied. The

expérimental

anomalous transmission of the

[110]

axis has been calculated. Results are in

good agreement

with Lindhard’s

theory. Experimental

results on the

high-energy-loss component

are

given.

The so-called "star

patterns"

have also been observed

by

a

photographic

method.

I. Introduction.

Rappel

des

expdriences ddji

rda- lisdes. -

Depuis 1960,

de nombreuses

experiences

faites sur des monocristaux ont pu mettre en evidence les

ph6nom6nes

de focalisation et de canalisation.

Dans des 6tudes de

pulverisation cathodique

de mono-

cristaux,

il a

toujours

ete observe une

ejection pr6f6-

rentielle le

long

des directions

principales

du reseau

due a 1’effet focalisant des

rangees

d’atomes. On constata d’autre

part

la

penetration

anormalement 6lev6e de differents ions canalises dans les directions

cristallographiques

des cibles. Des 6tudes de diffu- sions coulombiennes et diverses reactions nucl6aires r6alis6es avec des cibles monocristallines montr6rent que, dans les directions d’axes et de

plans,

les

ph6-

nomènes mesures

pr6sentaient

des minima.

Enfin,

1’6tude

spatiale

du

rayonnement

6mis par une source mit en evidence une décroissance de I’activit6 le

long

de ses

plans

cristallins.

Ce n’est

qu’en

1964

qu’un

int6r8t tout

particulier

fut

porte

aux 6tudes de transmission de

particules rapides, ayant

des

energies

de l’ordre du

MeV,

a

travers des monocristaux de silicium et

germanium.

Ainsi fut 6tudi6e la canalisation

plane

et axiale de

protons

de 3 a 5

MeV, puis

de 60 a 400

keV,

a travers

du silicium

[1, 2, 3, 4, 5],

et de

protons

de 3 a 11 MeV dans du

germanium [6].

II.

Appareillage.

- Ce travail a ete realise a l’aide de I’acc6l6rateur Van de Graaff de 2 MeV de l’Ins- titut de

Physique

Nucl6aire de

Lyon.

Pour ne pas

d6t6riorer le monocristal 6tudi6 et ne pas creer

d’empi-

lements dans les chaines de

detection,

il était n6ces- saire de

disposer

d’un faisceau de tr6s faible

intensite;

pour

cela,

nous avons diffuse le faisceau

primaire

sur

une mince feuille

d’or,

le faisceau utile 6tant diffuse a 45°

( fig. 1).

Cette methode

permit

d’obtenir l’inten-

FIG. 1. - Schema d’ensemble de

1’appareillage

utilise.

site souhait6e tout en conservant un faisceau de bonnes

caractéristiques 6nerg6tiques.

En

effet,

avec

une cible d’or de 150

pg/cm2

et un faisceau

primaire

de

protons

de 2

MeV ±

2

keV,

le faisceau diffuse utile était de

1,98 MeV ± 4,5

keV.

Pour obtenir un faisceau utile de tr6s faible diver- gence

angulaire,

nous avons du fortement

diaphrag-

mer les faisceaux

primaires

et diffuses. On a ainsi obtenu un faisceau utile d’ouverture

angulaire

inf6-

rieure a 5’.

Le monocristal fut centre dans une chambre

gonio- m6trique, permettant

de faire

varier,

d’une

part,

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:019670028010083200

(3)

833

I’angle

d’incidence 0 du faisceau par

rapport

a la cible et, d’autre

part, 1’angle

cp mesurant la rotation de la cible autour de sa normale. L’etude des faisceaux transmis par le monocristal fut realisee par un detec- teur solide de tr6s faible surface

utile,

le cone de detection

ayant

une ouverture de 22’. La resolution

en

energie

de 1’ensemble detecteur et

electronique

associee était de l’ordre de 16 keV. Un circuit moni- teur

permettait

d’arreter

1’exp6rience

pour un nombre

pr6affich6

de

protons

incidents.

L’appareillage

realise est decrit en detail par ailleurs

[7].

III. Rdsultats. - Avec la

géométrie pr6c6demment decrite,

nous avons 6tudi6 les

spectres

de

protons

transmis a travers un monocristal de silicium de 20 03BC,

d’epaisseur.

Du

point

de vue

experimental,

la canali-

sation des

protons

se traduisit par deux

types

d’ano-

malies,

dans l’intensit6 des

spectres

transmis d’une part, et dans la distribution en

energie

de ces

spectres

d’autre

part.

A. INTENSITE DES SPECTRES TRANSMIS. - Le cristal utilise était oriente

(111).

Ainsi 0 était

1’angle

entre

le faisceau incident et l’axe

[111]

du cristal.

Dans une

premiere experience,

nous avons cherche a mettre en evidence le canal le

plus

ouvert du sili-

cium,

soit

[110].

Pour

cela,

nous avons affich6 : 6 == 3502

(angle

entre

[111]

et

[110]).

L’intensite transmise en fonction de p est

representee

sur la

figure

2.

La

symetrie

d’ordre trois de cette

figure

prouve

l’origine cristallographique

du

phénomène

observe.

Dans la direction des canaux cherches

apparait

un

pic

dont la structure

complexe

est

expliquee

par la

figure

4. Cette mesure montre que la surface du cristal n’6tait pas

rigoureusement

une face

(111).

Notons que les canaux du

type [114] qui apparaissent

se trou-

vaient sur la

trajectoire balayee

par le faisceau et que la variation de l’intensit6 du faisceau transmis en

dehors des canaux est due a

l’hétérogénéité

en

6pais-

seur de la cible. Cette

experience

a donc

permis

d’orienter le cristal en 6 et en cp.

Ensuite,

les

plans (111)

et

(110)

du cristal furent mis

en evidence

grace

a leur effet

focalisant,

et ce pour dif- f6rents

angles

d’incidence 0. La

figure

3 montre le lieu

des

pics

de canalisation observes dans le

rep6re (6, cp) .

Les courbes obtenues ont pu etre

rigoureusement

identifi6es avec les traces des

plans (111)

et

(110) cherch6s;

il suffit en effet

d’etudier,

pour

chaque

FIG. 2. - Intensite transmise par le cristal de silicium pour une incidence donnee 0 = 35° 2.

(4)

FIG. 3. - Identification du lieu des

pics

de canalisation observes avec la trace des

plans (110)

et

(111)

dans

le

repere (0, p).

angle 6,

les intersections des

plans

de

type (111)

et

(110)

avec le cone que decrit le faisceau autour de la normale a la cible

quand

on fait varier p : ce cone a

pour sommet le

point

0 de la

figure 3,

pour axe la

direction

[111]

et son

angle

d’ouverture est 6. Nous

avons

figur6

le

point theorique (6min, CPmin)

correspon-

dant au cas limite ou le cone est

tangent

au

plan (111).

Le canal

[110] apparait

pour un

angle

affiché

0 = 360 5. La surface du cristal fait donc un

angle

de 10 3 avec la face

(111).

Apr6s

avoir localise les

plans (111)

et

(110),

nous

avons pu etudier en detail leur transmission normalisee

( fig. 4).

Sur la

figure,

le

plan

de base est a la cote

« 10 000

protons

transmis »

qui represente

la transmis- sion « normale » du monocristal

quand

il

n’y

a pas de

ph6nom6ne

de canalisation. Ainsi

représentée,

la

canalisation dans le canal

[110] apparait

comme la

somme des

composantes

canalisees dues aux

plans (111)

et

(110).

Les intensites ont du etre normalisees pour compenser les variations

d’6paisseur

de la cible

(ob-

serv6es sur la

figure 2).

Nous avons alors 6tudi6 les variations de l’intensit6 transmise le

long

des

plans. L’importance

de la cana-

lisation a ete caracterisee par le

rapport :

AC :

: intensite normalis6e transmise au sommet du

pic

de

canalisation,

ANC :

intensite normalisee transmise

quand

il

n’y

a

pas de canalisation

(cote

du

plan

de base de la

figure 4).

La

figure

5 montre par

exemple

1’evolution de ce

rapport

le

long

du

plan (111).

Pour

pr6voir

ces

variations,

nous

reproduisons

sur la

figure

6 la trace

de tous les

plans

du silicium d’indices

(p, q, r)

3.

Les zones

qui

ont ete 6tudi6es dans les

plans (111)

et

(110) correspondent

sur ce

diagramme

aux seg-

FIG. 5. - Variation du facteur de canalisation dans le

plan (111) permettant

d’identifier trois canaux im-

portants.

(5)

835

FIG. 4. - Intensite normalisee transmise dans les

plans (110)

et

(111).

ments BH et BA. Les

principales

intersections de

plans

se

produisant

sur ces segments ont pu etre identifi6es

experimentalement.

Pour rendre

compte

des surintensit6s mesurees en

présence

de

canalisation,

nous avons calcul6

l’impor-

tance des processus de diffusions

multiples.

En dehors

des directions de

canalisation,

les diffusions

multiples

sont aleatoires et conduisent a une

dispersion angulaire

du faisceau

qui

est ici

responsable

de la

perte

de 84

%

du faisceau incident

(compte

tenu de notre tres

petit angle

solide de

detection). Mais,

en

presence

de

canalisation,

les diffusions

multiples

sont essentielle-

ment corr6l6es entre elles et conduisent a des

disper-

sions

angulaires beaucoup plus

faibles. Nous avons

pu calculer que, dans notre cas, ces seules consid6ra- tions de diffusions

multiples,

corr6l6es ou non, suffi-

saient a rendre

compte

du facteur 8 de surintensite mesure au niveau du canal

[110].

(6)

FIG. 6. - Trace des

plans

d’indices

(P,

q,

r)

3

du reseau du silicium dans le

plan

AFG de la

figure

3.

B. DISTRIBUTION EN ENERGIE DES SPECTRES TRANSMIS.

- Sur la

figure

7 sont

representes

deux

spectres

en

energie, caracteristiques

de la canalisation

plane :

pour un meme

angle,

0 =

250,

cp = 1640

spectre

« normal » de

reference,

(p = 1950

plan ( 110)

et p = 1 72°

plan (111).

En

presence

de canalisation

apparaissent

trois

composantes :

une «

normale »,

une

« canalisee » et une a « forte perte

d’energie

». Les

deux

premi6res

composantes sont conformes a la theorie de la canalisation formulee par Lindhard

en 1965

[8].

La derni6re

composante

n’est pas

prevue

par cette theorie.

Dans les canaux, 1’effet est encore

plus marque :

la

figure

8

represente

Ie

spectre

transmis par Ie canal

[110] compare

au

spectre

non canalis6 d’une

part,

et au faisceau incident d’autre

part.

Nous trou-

FIG. 8. -

Spectre

en

energie

des

protons

transmis par le canal

[110] compare

a un

spectre

non canalise (cp =

191°)

et au faisceau incident.

FIG. 7. -

Spectres

en

energie

des faisceaux transmis par les

plans (111)

et

(110)

compares

au

spectre

d’un faisceau non canalise

(cp

=

164°).

(7)

837

vons que la perte

d’6nergie

moyenne de la compo-

sante canalisee est environ deux fois

plus

faible que la

perte

« normale », ce

qui

est en bon accord avec la theorie de Lindhard.

Cependant,

le fait que certaines

particules

canalis6es subissent une

perte d’energie

tr6s

faible

permet

de penser que m6me les processus resonnants de perte

electronique

ne sont pas les memes pour une

particule

« normale » et une

particule

canalisee.

En 6tudiant la seule

composante

canalisee des spectres

transmis,

nous avons pu determiner

l’angle d’acceptance

du canal

[110].

Sur la

figure 9,

nous

FIG. 9. -

Angle d’acceptance

du canal

[110]

du silicium pour des

protons

de 2 MeV.

avons

compare

la courbe obtenue a

1’angle theorique

limite

03C81

de la theorie de Lindhard

[8]. Rappelons

que :

avec :

Zl, Z2 : charge

du noyau incident et du noyau

cible,

E :

energie

de la

particule incidente,

d : distance

interatomique

des

rangees

constituant les « murs » du canal.

Nous avons enfin etudie la composante a forte

perte d’energie qui

avait

deja

ete mise en

evidence,

pour

des

protons

de 5

MeV,

par Gibson et al. en 1965

[2].

Sur la

figure 10,

on voit que cette composante passe par un maximum

quand

le faisceau incident fait un

certain

angle (valant

de 2 a 4

03C81)

avec la direction du

plan

ou canal.

Remarquons

que les

angles auxquels

surviennent ces maxima different sensiblement de

ceux cites en reference

[2].

C.

ETUDE

PHOTOGRAPHIQUE DE LA TRANSMISSION. -

Dans le but de determiner 1’allure de la distribution

FIG. 10. -

tvolution

de la

composante

a forte

perte d’énergie

dans les faisceaux transmis autour de 1’age

[110]

et des

plans (110)

et

(111).

spatiale

des

particules ayant

subi des diffusions mul-

tiples,

nous avons utilise comme detecteur sous

grand angle

solide un film

photographique.

Un film

classique

de 65 ASA fut

place

sous vide et dans l’obscurit6 derri6re le monocristal. Nous avons ainsi pu etudier successivement la transmission d’un faisceau de tr6s

faible, puis

tres forte

divergence angulaire.

Avec un

faisceau d’ouverture

5’, dirige

dans la direction

[110],

nous avons obtenu un

cliche, irreproductible ici, qui

FIG. 11. -

Photographie

montrant l’allure 6tofl6e d’un faisceau transmis par le canal

[111]

d’un cristal de silicium.

(8)

laissait

apparaitre

une « etoile » a

longues branches,

les branches furent identifi6es aux

plans (110)

et

(111).

Avec un faisceau de

divergence angulaire

100

p6n6-

trant le

long

de l’axe

[111],

nous avons obtenu le

cliche de la

figure

11. La trace des

plans principaux

est encore visible

ici,

un defaut

d’alignement

6tant

responsable

de la

dissym6trie

observee.

De tr6s r6cents travaux

[9]

semblent

pouvoir

inter-

pr6ter

ces resultats

photographiques

en considerant

non

plus 1’aspect classique

mais

1’aspect

ondulatoire du

proton

en mouvement dans le cristal.

Conclusion. - Le travail que nous venons de decrire

presentait

certains resultats

experimentaux

relatifs a la canalisation de

protons

de 2 MeV par un monocristal de silicium.

Nous avons

particulièrement

etudie le role des diffusions

multiples

et les

caractéristiques

de la compo-

sante transmise avec une

perte d’energie

anormale-

ment 6lev6e.

Au stade actuel de la connaissance de la canalisa-

tion,

il

apparait deja

que, si elle se manifeste souvent

comme un effet

parasite,

elle peut au contraire avoir

de nombreuses

applications

interessantes.

En

effet,

dès que l’on utilise des sources ou cibles

monocristallines,

il se

peut

que diverses

grandeurs physiques prennent

des valeurs

anormales,

telles que les

pertes d’energie,

les parcours, les

productions

de

charges,

les diffusions sous

petits

et

grands angles

et les

sections efficaces de reactions nucl6aires.

Remarquons

que, meme avec des

polycristaux,

une

grande

pru- dence est

n6cessaire,

car souvent le mode meme de fabrication du

polycristal produit

un certain

degr6 d’alignement

des microcristaux. Dans certains cas

meme,

des cibles

polycristallines

soumises a des fais-

ceaux intenses sont dans des conditions tres favorables a la recristallisation locale sous

l’impact

du faisceau.

Par

ailleurs,

des

techniques d’implantation

d’ions

dans des semiconducteurs utilisent

deja syst6mati-

quement les directions de canalisation : les ions

injectes

dans les canaux se localisent a des

profondeurs

bien

d6termin6es et forment ainsi une zone

dopee

de faible

epaisseur.

Manuscrit requ le 20

janvier

1967.

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