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Corrigé Bac 2015 (Abidi Farid ) -Mathématique: 4 éme Maths

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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

1.a) Soit l’équation z22z 4 0, son discriminant réduit est   

 

1 2   4 3

 

i 3 2.

Les solutions de l’équation z22z 4 0 sont : z1 1 i 3 et z2  1 i 3. b) z1 1 i 3 2 1 i 3 2ei3

2 2

 

      et z2 1 i 3 z1 2e i3

    .

2. Soit B et C les points d’affixes respectives zB 2ei3

 et zC 2e i3

 . Voir figure ci-dessous à la fin de l'exercice.

3. On a : N ON 2 zN 2

Et

   

N

   

N

 

M

 

M

OM, ON 2 arg z 2 arg z arg z 2

3 z 3 3

 

  

         

 

arg z

 

N arg z

 

M

 

2 arg z

 

N arg e

 

i

 

2 arg z

 

N

 

2

3 3 3

 

            

D’où zN 2ei 3



 .

4. a) L’écriture complexe de la rotation r de centre A d’affixe 2 et d’angle 3

 est :

 

i i i

3 3 3

z 2 e z 2 z ' e z 2 2e

        .

b) L’affixe du milieu F du segment [BM] est : zF zB zM ei3 ei 2

   et l’affixe du milieu K du segment [CN] est :

i i

3

C N 3

K

z z

z e e

2



    .

Soit F’= r(F) , zF' e zi3 F 2 2ei3 ei3 ei3 ei 2 2ei3 e2i3 ei 3 2 2ei3



           

 

i i i i

3 3 3 3

K

1 3 1 3

i e 2 1 i 3 i e e e z

2 2 2 2

  

            

Donc r(F) = K.

(2)

c) r(F) = K 

AFAF, AKAK

3

 

2 donc AFK est un triangle équilatéral.

5. a)

2 2 2 i

2 3 i

F A

3 3

AF z z e e 2 cos i sin

2 2

 

            

 

2 2

2 2

3 3

cos sin cos 3cos sin 3 sin 3

2 2

 

 

                

 4

3cos  3 sin

Or 3cos 3 sin r cos

 

avec r = 32 32 2 3 et

 

3 3

cos 2 3 2

donc 2

3 1 6

sin 2 3 2

   

 

    

 

    



par suite : 3cos 3 sin 2 3 cos 6

 

      

 . Ainsi : AF² = 4 2 3 cos

6

 

   .

b) On pose : f

 

4 2 3 cos

6

 

      où   

,

f est dérivable sur

 ,

et pour tout   

,

, f

 

2 3 sin

6

 

     .

 

6

 5 6

6

  5

6

  0  7

6

 sin 6

 

 

 

_ 0 + 0 _

 

f  _ 0 + 0 _

(3)

D’où f admet un maximum en 5 6

  . Il en résulte que AF² admet un maximum en 5 6

et par suite l’affixe

du point M correspondant est

i5

2e 6

Exercice 2 :

1. f est la similitude de centre A qui envoie B sur C.

AB, AC

2

 

2 donc l’angle de f est 2

 et AC tan 3

AB 3

   donc le rapport de f est 3 .

2. g est la similitude indirecte de centre A qui envoie C sur B.

a) AB 1 3

AC 3  3 donc le rapport de g est 3 3 .

(4)

b) A, C et g(C) = B ne sont pas alignés donc  l’axe de g est la bissectrice intérieure de

AC, AB .

c) On sait que g g est l’homothétie de centre A et de rapport

2

3 1

3 3

 

  

 

  . Posons g(B) = B’ , comme g g C

 

g(B)B ' alors AB 1AC AD

 3  donc B’ = D.

D’où g(B) = D.

 

AB AB 3

cot BD, BA 3 3

AD 1AC 3

3

    donc

BD, BA

6

 

2

D’où

BD, BA

 

12 BC, BA 2

 

. Par suite , [BD) est la bissectrice intérieur de l’angle ABC . 3. a) f g est la composée d’une similitude directe de centre A et de rapport 3 et d’une similitude

indirecte de centre A et de rapport 3

3 donc f g est une similitude indirecte de centre A et de rapport 1 d’où f g est un antidéplacement qui fixe A . Par suite, f g est une symétrie axiale d’axe passant par A.

Comme f g C

 

f (B)C alors f gest la symétrie axiale d’axe (AC).

b) On pose D’ = f(D) , D’ = f(D) = f(g(B)) = f g B

 

S AC

 

B .

Or les droites (AB) et (AC) sont perpendiculaires en A, donc D’ est le symétrique de B para rapport à A.

4. I est le centre du cercle inscrit dans le triangle ABC donc I est le point de concours des bissectrices intérieures des angles ABC et BAC .

Posons I’ = f(I) ,

[AI) est la bissectrice intérieure de BAC donc f([AI)) = [AI’) est la bissectrice intérieure de l’angle f(

BAC ) = CAD' donc I’ appartient à [AJ).

I appartient à (BD) donc I’ appartient à f((BD)) = (CD’).

Or [AJ) coupe (BD’) en J , donc f(I) = J.

Exercice 3 :

1. a) 47.(-9) +53.8= -423 + 424 = 1 donc (-9, 8) est une solution de l’équation (E) : 47x + 53y= 1.

b) On a : 47x53y 1 47x53y47.

 

 9 53.847 x

 9

53 y 8

0 47 x

9

 53 y 8

.

47  53 = 1 et 53 divise 74(x + 9) donc 53 divise x + 9 d’où il existe un entier relatif k tel que x + 9 = 53k ou encore x = 53k – 9.

(5)

   

47 x9  53 y 8 devient 47.53k 53 y 8

d’où y 8  47k ou encore y 47k 8 . Ainsi : si 47x53y1 alors

x, y

 

53k 9, 47k8

où k .

Réciproquement :

Si

x, y

 

53k 9, 47k8

k , alors

   

47x53y47 53k 9 53 47k 8 47.53k47( 9) 53.47k  53( 8) 1. Donc l’ensemble des solutions de (E) est

 

53k 9, 47k8 , k

.

c) 47x1 mod 53

 

47x 1 53p , p 47x53p1, p

47x53

 

 p 1, p

D’où x53k9 où k .

Donc l’ensemble des inverses de 74 modulo 53 est

53k9, k

.

d) 53k 9 0 k 9

   53 d’où k1.

Ainsi, le plus petit inverse de 47 modulo 53 est : 53.1 9 53 9 44.

2. a) 53 est un nombre premier ne divisant pas 45 donc 4553 1 1 mod 53

 

d’où 4552 1 mod 53

 

.

b)

 

4552 2 1 mod 53

donc 45104 1 mod 53

.

Or 452 38 53 11  donc 45211 mod 53

 

.

D’où 45104452 11 mod 53

 

donc 45106 11 mod 53

 

.

3. a) N =

106 106

2 105 1 45 45 1

1 45 45 ... 45

1 45 44

 

     

 d’où 44N = 451061. Comme 4510611 mod 53

 

, alors 45106 1 10 mod 53

 

.

Par suite : 44N10 mod 53

 

.

b) Un inverse de 44 modulo 53 est 47 donc 44N10 mod 53

 

donne N10 47 mod 53

 

. Or 10 47 47053 8 46 donc 10 47 46 mod 53

 

.

Ainsi : N46 mod 53

 

et par suite le reste de N modulo 53 est 46.

Exercice 4 :

I- Soit f la fonction définie sur

 

0,par f x

 

esin x.

(6)

1. a) f est dérivable sur

 

0, et pour x de 0,

 

 , f

 

x cos x.esin x. x 0

2

 

cos x + 0 - f’(x) + 0 - f(x)

e

1 1

b) x

 

0, 0 x x 0 0 x 0 2 x

 

0,

2

  

                   

et f

x

esinx esinxf x

 

.

Donc la droite : x 2

  est un axe de symétrie de la courbe (Cf).

c) Une équation de la tangente (T) à (Cf) au point d’abscisse 0 est : yf 0 x

 

f 0

 

 x 1.

2. On considère la fonction g définie sur [0, 1] par g x

 

ex 1 x 2 1.

g n’est pas dérivable à gauche en 1 et dérivable à droite en 0 par conséquent le tableau de variation donné est faux.

Je donne le tableau de variation de g :

x 0 1 5 2

  1

g’(x) + 0 -

||

g(x)

g 1 5 2

  

 

 

 

0 -1

a) Remarquons que g(0) = 0 et g est continue et strictement croissante sur 0, 1 5 2

   

 

  donc pour

tout x de 0, 1 5 2

   

 

 , g(x) > 0 .

D’autre part : g est continue et strictement décroissante sur 1 5,1 2

  

 

 .

(7)

1 5

g 0

2

  

 

 

  et g(1) = -1 donc g 1 5 g 1

 

0

2

  

 

 

 

  .

Par suite , l’équation g(x) = 0 admet une unique solution  sur 1 5,1 2

  

 

 .

D’où l’équation g(x) = 0 admet une unique solution  sur

 

0,1 .

b) On a : g(0) = 0 et pour tout x de 0, 1 5 2

   

 

 , g(x) > 0 . D’autre part :

g

 

 0 ,

si 1 5 x

2

     alors g x

 

g

 

donc g(x) > 0.

si x  alors g x

 

g

 

donc g(x) < 0.

D’où :

x 0  1 g(x) 0 + 0 -

3. Soit la fonction f définie sur 0, 2

 

 

  par h(x)esinx (x 1). a) On a d’une part : pour tout x de 0,

2

 

 

 , h (x) cos x.esinx1 Et d’autre part : pour tout x de 0,

2

 

 

 , sin x

 

0,1

et g sin x

 

esin x 1 sin x 12  esinx cos x 12  esin x.cos x 1 . Ainsi , pour tout x de 0,

2

 

 

 , h (x) g sin x

 

.

b) La fonction u :x sin x est continue et strictement croissante sur 0, 2

 

 

  donc u réalise une bijection de 0,

2

 

 

  sur u 0,

 

0,1

2

   

 

  .

Comme  

 

0,1 , alors il existe un unique réel  dans 0, 2

 

 

  tel que sin  . c) sin 0,

  

 

  

0, et sin ,

 

0,1

2

   

 

  .

d) Le tableau de signe de h’(x) :

(8)

x 0  2

 g(sin x) 0 + g(sin) = g( )= 0 -

D’où le tableau de variation de h :

x 0  2

 h’(x) + 0 -

h(x)

  

1

0 e 1 2

 

  

e) h est strictement sur [0, ] donc pour tout x de

 

0, , h(x)h 0

 

donc h(x)0 h est strictement décroissante sur ,

2

 

 

  donc pour tout x de , 2

 

 

 , h(x) h 2

 

    et

h e 1 0,14

2 2

 

    

   

    donc h(x) > 0.

D’où pour tout x de 0, 2

 

 

 , h(x)0. Par suite , pour tout x de 0,

2

 

 

 , f(x)

x 1  

0 f x

 

 x 1. Donc (Cf) est au-dessus de sa tangente (T) au point d’abscisse 0 sur 0,

2

 

 

 . II- 1.a) Pour tout t de 0,

2

 

 

 , cos(x) 1 donc pour tout x de 0, 2

 

 

 ,

 

x x

x 0

0 0

cos t dt dt sin x  x sin xx

 

.

b) Pour tout x de 0, 2

 

 

 , sin xx donc esin x ex d 'où f x

 

ex.

c) (annexe)

e

(9)

2.a) Pour tout x de 0, 2

 

 

 , f x

 

ex donc

     

1 1 1 1

x x 1

0

0 0 0 0

f x dx e dx f x dx  e  f x dx e 1

   

.

Pour tout x de 0, 2

 

 

 , f x

 

e donc 2

 

2 2

 

1 1 1

f x dx e dx f x dx e 1

2

 

     

 

  

.

b)

 

2

   

0 0 0 0

f x dx 2 f (x)dx donc f x dx 2e 1 f x dx e 2 2

 

       

 

   

Pour tout x de 0, 2

 

 

 , f x

 

 x 1 donc

       

2

2 2 2 2 2

2 0

0 0 0 0

f x dx x 1 dx f x dx 1x x f x dx

2 8 2

 

 

        

   

Donc 2

   

2

 

2

 

2

0 0 0 0

f x dx x 1 dx 2 f x dx donc f x dx 4

      

   

.

Or A f x dx

 

2f x dx

 

f x dx

 

, il en résulte :

2

A e 2

4

     .

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