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Le probl` eme de Stokes.

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

Oscillations parasites et rem` edes pour le probl` eme de convection-diffusion et le probl` eme de Stokes

Pascal Omnes - Email : pascal.omnes@cea.fr - T´el : 01.69.08.43.57

Introduction

Les ´equations de Navier-Stokes r´egissent le mouvement d’un fluide visqueux.

Nous nous proposons d’´etudier quelques aspects li´es `a la r´esolution num´erique d’un probl`eme simplifi´e, et de r´ealiser la mise en œuvre effective de celle-ci par une m´ethode d’´el´ements finis.

Nous consid´erons un domaine Ω born´e de IR2, de fronti`ere Γ. Les ´equations de Navier-Stokes s’´ecrivent :

∂ρ

∂t +∇·(ρU) = 0. (1)

∂(ρU)

∂t +∇·(ρU⊗U) +∇P − ∇·τ = 0, (2) avec τ =µ(∇U+(∇U)T)− 2

3µ∇·UI . (3)

L’´equation (1) traduit la conservation de la masse et (2) la conservation de la quantit´e de mouvement en l’absence de sources de mati`ere et de forces ext´erieures.

Nous avons d´esign´e par ρ, U P et µrespectivement la densit´e, la vitesse et la pression du fluide. La matrice I d´esigne la matrice identit´e de IR2.

On dit qu’un fluide est incompressible si sa densit´e ne varie ni spatiale- ment ni au cours du temps. Nous supposerons en outre que µest ´egalement une constante.

Question 1 Montrer que pour un fluide incompressible,

∇ ·U= 0 . (4)

En d´eduire que ∇·τ =µ∆U.

Nous posons par la suite p= Pρ etν = µρ qui sont respectivement la pression et la viscosit´e cin´ematiques, et que nous continuerons `a nommer “pression”

et “viscosit´e”.

(2)

Question 2 Montrer que (2) s’´ecrit alors

∂U

∂t +U· ∇U−ν∆U+∇p= 0. (5) Nous n’allons pas ´etudier (4)-(5) qui est un syst`eme non-lin´eaire mais un syst`eme plus simple, ind´ependant du temps :

∇ ·U = 0, (6)

A· ∇U−ν∆U+∇p = 0, (7) o`u A est un vecteur suppos´e donn´e. Les difficult´es num´eriques li´ees `a la r´esolution de (6) et (7) sont de plusieurs types. Afin de mieux les comprendre, nous allons ´etudier, en dimension un, deux syst`emes plus simples.

Un d´ etour par la dimension un.

Un probl` eme de convection diffusion.

Posons u=Ux et consid´erons a∂u

∂x −ν∂2u

∂x2 = 0 , (8)

o`u a etν sont des constantes r´eelles donn´ees.

Question 3 Quelle est la solution g´en´erale de cette ´equation? En d´eduire que cette solution est monotone.

Il est important dans la pratique d’´etablir un sch´ema num´erique pr´eservant cette monotonie.

Consid´erons un d´ecoupage de IR en segments de longueur constante et ´egale

`a ∆x. Consid´erons l’´el´ement fini P1 de Lagrange associ´e aux nœuds de ce d´ecoupage. Pour le moment, nous ne nous pr´eoccupons pas des conditions aux limites sur u.

Nous cherchons donc une solution approch´ee de (8) dans l’espace

Vh ={uh∈ C0(IR) ; ∀Kh ∈Υh , (uh)|Kh ∈P1(Kh)}, (9) o`u Υh d´esigne l’ensemble des segments du d´ecoupage de IR et Kh l’un quel- conque de ces segments. On rappelle qu’une base de Vh est constitu´ee de

(3)

l’ensemble des fonctions θj, avec j ∈ Ih, o`u Ih d´esigne l’ensemble des som- mets des segments de Υh, d´efinies par θj ∈ Vh et ∀(i, j), θj(xi) = δij, o`u xi

d´esigne la coordonn´ee du nœud i∈Ih.

Le probl`eme variationnel discret revient `a chercher une fonctionuh = X

j∈Ih

ujθj

telle que

∀i∈Ih,

Z

IRa∂uh

∂x θidx+

Z

IRν∂uh

∂x

∂θi

∂x dx= 0. (10) Question 4 Montrer que ce probl`eme est ´equivalent `a trouver (ui), i ∈ Ih

v´erifiant

∀i∈Ih, a

2(ui+1−ui−1) +ν −ui+1+ 2ui−ui−1

∆x = 0. (11)

Question 5 Quelle est la solution g´en´erale de cette ´equation? A quelle con- dition liant a, ν et ∆x cette solution est elle monotone?

Pour cette raison, les probl`emes “domin´es par la convection” (i.e. avec aν

“grand”) n´ecessitent des maillages fins et sont donc r´eput´es plus difficiles.

Une parade consiste n´eanmoins `a “d´ecentrer vers l’amont” le terme de con- vection.

Supposons a >0. L’int´egration du terme de convection dans l’´equation (10) fait apparaˆıtre la somme suivante

Z

IRa∂θj

∂xθidx=X

k

Z k∆x

(k−1)∆xa∂θj

∂xθidx . (12)

Pour chaque k, on utilise une formule de quadrature pour ´evaluer l’int´egrale correspondante :

Z k∆x

(k−1)∆xa∂θj

∂xθidx ≈a∆x∂θj

∂x(xk−1i(xk−1). (13) Question 6 Montrer que l’on a alors `a r´esoudre

∀i∈Ih; a(ui−ui−1) +ν −ui+1+ 2ui−ui−1

∆x = 0. (14)

Question 7 Quelle est la solution g´en´erale de cette ´equation? Montrer que celle-ci est toujours monotone pour toute valeur de a, ν et ∆x.

Question 8 Montrer que la formule (14) peut ˆetre obtenue en rempla¸cant dans la formule (11) ν par ν0 que l’on exprimera en focntion de ν, a et ∆x.

On dit que la m´ethode de d´ecentrement amont s’interpr`ete ´egalement comme une m´ethode de “viscosit´e artificielle”.

(4)

Le probl` eme de Stokes.

Nous consid´erons `a pr´esent le probl`eme simplifi´e suivant

∂u

∂x = 0, (15)

−ν∂2u

∂x2 + ∂p

∂x = 0. (16)

Question 9 Quelle est la solution g´en´erale de ce probl`eme?

Il est important d’´etablir un sch´ema num´erique permettant de retrouver cette propri´et´e pour ce probl`eme aussi simple.

Une formulation variationnelle de (15)-(16) est de trouver un couple (u, p) tel que pour tout couple (v, q) :

Z

IR

∂u

∂xq dx = 0, (17)

Z

IRν∂u

∂x

∂v

∂xdx−

Z

IRp∂v

∂xdx = 0. (18)

Pour l’approximation num´erique de ce probl`eme nous cherchons toujours uh ∈Vh.

Dans un premier temps, nous allons ´egalement chercher ph, approximation de pdans Vh et posonsph = X

j∈Ih

pjθj.

Question 10 Montrer que le syst`eme lin´eaire obtenu en rempla¸cant u, p, v et q respectivement par uh, ph, θi et θi dans (17)-(18) est le suivant :

∀i∈Ih; 1

2(ui+1−ui−1) = 0, (19)

∀i∈Ih; ν −ui+1+ 2ui−ui−1

∆x −1

2(pi+1−pi−1) = 0. (20) Question 11 Quelle est la solution g´en´erale de ce syst`eme? Qu’en concluez vous?

Pour rem´edier `a ce type de probl`eme, nous allons chercher ph dans l’espace Lh ={qh , ∀Kh ∈Υh , (qh)|Kh ∈P0(Kh)}. (21)

(5)

Une base de cet espace est constitu´e de la famille des φj avec j ∈Ih d´efinies par φj ∈Lh et∀(i, j), θj(xi+1

2) =δij, o`u xi+1

2 d´esigne la coordonn´ee du point milieu du segment d’extr´emit´es (i, i+ 1), avec i∈Ih.

On cherche alors ph sous la forme ph = X

j∈Ih

pj+1

2φj.

Question 12 Montrer que le syst`eme lin´eaire obtenu en rempla¸cant u, p, v et q respectivement par uh, ph, θi et φi dans (17)-(18) est le suivant :

∀i∈Ih; ui+1−ui = 0, (22)

∀i∈Ih; ν−ui+1+ 2ui−ui−1

∆x −(pi+1

2 −pi−1

2) = 0. (23) Question 13 Quelle est la solution g´en´erale de ce syst`eme? Qu’en concluez vous?

R´ esolution num´ erique du probl` eme de Stokes bidimensionnel.

Soit `a r´esoudre dans le domaine Ω =]0,1[×]0,1[ de fronti`ere Γ,

∇ ·U = 0 dans Ω, (24)

−ν∆U+∇p = 0 dans Ω, (25)

U = U0 donn´e sur Γ. (26)

Question 14 Montrer que U0 doit v´erifier la condition suivante

Z

Γ

U0·ndΓ = 0 , (27)

o`u n est le vecteur normal sortant `aΓ pour que ce probl`eme ait une solution.

Question 15 La pression est elle d´efinie de mani`ere unique?

Il est pratique de chercher une pression `a moyenne nulle sur Ω, c’est-`a-dire

v´erifiant Z

p dΩ = 0. (28)

Afin de prendre en compte cette condition ais´ement lors de la r´esolution num´erique, il est commode, pour garder un syst`eme lin´eaire carr´e et sym´etri- que, d’introduire une inconnue suppl´ementaire constante dans tout le do- maine, que l’on nommera κ∈IR.

(6)

Question 16 Montrer que le syst`eme (24) `a (28) est ´equivalent au syst`eme (25) `a (28) auquel on ajoute

∇ ·U−κ= 0 dans Ω. (29) Nous consid´erons pour l’approximation de ce probl`eme une quadrangulation Υhde Ω form´ee de carr´es r´eguliers de cˆot´eh= N1 avecN ∈IN. Le carr´e dont le centre a pour coordonn´ees le couple xi−1

2 =i−12h, yj−1

2 =j− 12h avec (i, j)∈[1, N]2 est nomm´e Ki−1

2,j−12.

D’autre part, nous consid´erons la famille F1 (respectivement F2) des points de coordonn´ees xi =ih, yj−1

2

(resp. xi−1

2, yj =jh) avec (i, j)∈ [0, N]× [0, N+ 1] (resp. (i, j)∈[0, N+ 1]×[0, N]). Tous ces points sont dans ¯Ω sauf ceux correspondant `a j = 0 et `a j =N + 1 (resp. `a i = 0 et `a i= N + 1).

Nous les avons ajout´es afin de prendre en compte les conditions aux limites sur uh, approximation de Ux (resp. vh approximation de Uy).

Nous construisons K1 (resp. K2) la quadrangulation constitu´ee des carr´es ayant pour sommets les points de F1 (resp. F2). Nous nommerons Ω1 = ]0,1[×]− h2,1 + h2[ (resp. Ω2 =]− h2,1 + h2[×]0,1[) et Ki−1

2,j avec (i, j) ∈ [1, N]×[0, N] (resp. Ki,j−1

2 avec (i, j)∈[0, N]×[1, N]) le carr´e deK1 (resp.

K2) de centre le point de coordonn´ees xi−1

2, yj (resp. xi, yj−1

2

).

Compte tenu de l’exp´erience monodimensionnelle pour le probl`eme de Stokes, nous cherchons ph, approximation de p dans l’espace suivant :

Lh ={qh , ∀Kh ∈Υh , (qh)|Kh ∈P0(Kh)}, (30) et uh etvh respectivement dans les espaces suivants :

Vh1 ={wh ∈ C0( ¯Ω1), ∀Kh ∈K1 , (wh)|Kh ∈Q1(Kh)} (31) et

Vh2 ={wh ∈ C0( ¯Ω2), ∀Kh ∈K2 , (wh)|Kh ∈Q1(Kh)}. (32) Nous rappelons qu’une base deLh est constitu´ee des fonctions qi−1

2,j−12 deLh

avec (i, j)∈[1, N]2 telles que ∀(k, `)∈[1, N]2, qi−1

2,j−12(xk−1

2, y`−1

2) =δikδj`. Une base de Vh1 (resp. Vh2) est constitu´ee des fonctions wi,j−1

2 de Vh1 avec (i, j)∈[0, N]×[0, N+ 1] (resp. wi−1

2,j de Vh2 avec (i, j)∈[0, N+ 1]×[0, N]) telles que∀(k, `)∈[0, N]×[0, N+1],wi,j−1

2(xk, y`−1

2) =δikδj`(resp. ∀(k, `)∈ [0, N + 1]×[0, N], wi−1

2,j(xk−1

2, y`) =δikδj`).

(7)

On ´ecrira donc ph = X

(i,j)∈[1,N]2

pi−1

2,j−12qi−1

2,j−12 et Uh = (uh, vh) avec uh =

X

(i,j)∈[0,N]×[0,N+1]

ui,j−1

2wi,j−1

2 et vh = X

(i,j)∈[0,N+1]×[0,N]

ui−1

2,jwi−1

2,j.

Question 17 Soit (i, j)∈[1, N]2. Montrer que ∀(k, `)∈[0, N]×[0, N+ 1],

Z

∂wk,`−1

2

∂x qi−1

2,j−12 dx dy= (δikik+1)h

Z yj

yj1

∂wk,`−1

2

∂x (y)dy (33) et que ∀(k, `)∈[0, N + 1]×[0, N],

Z

∂wk−1

2,`

∂y qi−1

2,j−12 dx dy= (δjljl+1)h

Z xi

xi1

∂wk−1

2,`

∂y (x)dx . (34) Question 18 En utilisant la formule de quadrature suivante :

Z b

a f(s)ds≈(b−a)f a+b 2

!

, (35)

montrer que ∀(i, j)∈[1, N]2,

Z

(∇ ·Uh−κ)qi−1

2,j−12 dΩ (36)

se r´eduit `a

h(ui,j−1

2 −ui−1,j−1

2) +h(vi−1

2,j−vi−1

2,j−1)−h2κ (37)

Question 19 Soit (i, j)∈[1, N−1]×[1, N]. Montrer que ∀(k, `)∈[0, N]× [0, N + 1],

Z

1

∂wk,`−1

2

∂x

∂wi,j−1

2

∂x +∂wk,`−1

2

∂y

∂wi,j−1

2

∂y

!

dx dy = (38)

h

Z yj+ 1

2

yj

3 2

∂wk,`−1

2

∂x

∂wi,j−1

2

∂x (xi−1

2, y)dy+

Z yj+ 1

2

yj

3 2

∂wk,`−1

2

∂x

∂wi,j−1

2

∂x (xi+1

2, y)dy

+ h

Z xi+1

xi−1

∂wk,`−1

2

∂y

∂wi,j−1

2

∂y (x, yj−1)dx+

Z xi+1

xi−1

∂wk,`−1

2

∂y

∂wi,j−1

2

∂y (x, yj)dx

!

(8)

Question 20 En utilisant la formule de quadrature suivante :

Z b

a f(s)ds≈ (b−a) 4

"

f(a) + 2f a+b 2

!

+f(b)

#

, (39)

montrer que ∀(i, j)∈[1, N−1]×[1, N] ν

Z

1∇uh· ∇wi,j−1

2 dΩ−

Z

1ph

∂wi,j−1

2

∂x dΩ (40)

se r´eduit `a ν(−ui−1,j−1

2 + 2ui,j−1

2 −ui+1,j−1

2) + ν(−ui,j−3

2 + 2ui,j−1

2 −ui,j+1

2) + h(pi+1

2,j−12 −pi−1

2,j−12). (41) Question 21 Montrer de mˆeme que des formules de quadrature ad´equates permettent d’´ecrire que ∀(i, j)∈[1, N]×[1, N −1]

ν

Z

2∇vh· ∇wi−1

2,jdΩ−

Z

2ph∂wi−1

2,j

∂y dΩ (42)

se r´eduit `a ν(−vi−3

2,j+ 2vi−1

2,j−vi+1

2,j) + ν(−vi−1

2,j−1+ 2vi−1

2,j−vi−1

2,j+1) + h(pi−1

2,j+21 −pi−1

2,j−21). (43)

Question 22 Comment discr´etisez vous l’´equation (28)?

Pour prendre en compte les conditions aux limites, nous ´ecrivons :

• pour x= 0 : u0,j−1

2 =U0x(0, yj−1

2) et v1

2,j = 2U0y(0, yj)−v1

2,j.

• pour x= 1 : u1,j−1

2 =U0x(1, yj−1

2) et vN+1

2,j = 2U0y(1, yj)−vN1

2,j.

• pour y= 0 : ui,−1

2 = 2U0x(xi,0)−ui,1

2 etvi−1

2,0 =U0y(xi−1

2,0).

• pour y= 1 : ui,N+1

2 = 2U0x(xi,1)−ui,N−1

2 et vi−1

2,1 =U0y(xi−1

2,1).

(9)

Question 23 Montrer que le syst`eme lin´eaire `a r´esoudre peut se mettre sous la forme

Ax 0 Gx 0 0 Ay Gy 0 GTx GTy 0 L

0 0 LT 0

u v p κ

= b , (44)

o`u les matrices Ax, Ay, Gx, Gy et L et les vecteurs u, v et p et le second membre b seront explicit´es.

Question 24 Quelle est la solution analytique pourUetplorsqueU0,x(0, y) = U0,x(1, y) = y(1−y), U0,y(0, y) = U0,y(1, y) = 0, U0,x(x,0) = U0,x(x,1) = 0, U0,y(x,0) =U0,y(x,1) = 0?

Comparez la solution analytique et la solution num´erique obtenue en r´esolvant le systme (44) par la m´ethode de votre choix, pour diff´erentes valeurs de ν et diff´erentes valeurs de N.

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