• Aucun résultat trouvé

Paraissait le Jeudi et le Dimanche à la Chaux-de-Foncls.

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Paraissait le Jeudi et le Dimanche à la Chaux-de-Foncls. "

Copied!
4
0
0

Texte intégral

(1)

Les Consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal.

pa

Huitième Année.— N» 91.

P r i x d u n u m é r o 1 0 c e n t i m e s .

Dimanche 11 Novembre 1894.

B u r e a u x : R u e d e l a S e r r e , 2 7 .

ABONNEMENTS

Un ah; Six mois:

Suisse . . . . Fr. 6»— Fr. 3»—

Union postale » 12»— » 6»—

On s'abonne a tous les bureaux de poste.

Paraissait le Jeudi et le Dimanche à la Chaux-de-Foncls.

ANNONSES

Provenant de la Suisse "20 cl. la ligne

» de l'étranger 2o » » Minimum d'une annonce ô'O cent.

Les annonces se paient d'avance.

Oi'g'aiic do I» Soeiéié liitci-cnntonalc d e s Iiidiistrie (lu J u r a , <!<·*. ('1>SIDIBI»I'<>M (le c o i m n c r c e , (IeN Itiii-e»iix d e c o n t r ô l e e t (ICH S y n d i c a t s pi'ofeHwioniielM.

Séance du Comité centrai

de la Société I n t e r c a n t o n a l e des Indus- t r i e s du J u r a , le Mardi (5 Novembre, ή 2

heures et demie après-midi, à Neuçhàtel, hôtel du Faucon.

Tous les membres du comité central' sont présents.

Monsieur Robert Comtesse, conseiller d'E- tat, préside la réunion.

Lie comité discute préliminairement les points mis a l'ordre du jour de l'assemblée générale des sections et sur lesquels il est appelé à donner un préavis ou à faire des propositions.

Le comité décide d'introduire dans les objets rie l'ordre du jour, une proposition nou- velle tendant à ce que la Société intercan- tonale prenne position dans la prochaine vo- lation populaire sur la représentation de la Suisse a l'Etranger, en considération du prin- cipe ([ue la Société a toujours soutenu, d'une extension désirable de notre représentation diplomatique et commerciale et des attribu- tions de nos consuls par l'institution de con- suls de carrière.

En ce qui concerne le tractandum 3 de l'ordre du jour de l'assemblée générale du 14 courant, le comité décide de ne pas pré- senter un budget pour 18Ul, dès que la pé- riode comptable est presque terminée, mais (les comptes de dépenses faites, à rectifier.

La séance a été levée à Ii heures du soir.

Information

Les fabricants d'horlogerie qui rece- vraient des demandes d'échantillons, de prix-courant, ou dos c o m m a n d e s , dos maisons

C. W e i m b e r g e r

« Yokohama Benoit Wahl à Arlon (lielgïytie)

sont invités à prendre des renseigne- ments au secrétariat de la Chambre cantonale du commerce, rue de la Serre 27, à la Chaux-de-Konds.

Secrétariat de la Chambre.

Vive la révolution sociale pacifique

(Suite et fin.)

Ils se cotisèrent et recueillirent 933 Ir.

grâce surtout à la générosité d'un cama- rade plus fortuné qu'eux; c'étaitun teneur d é l i v r e s qui leur fut très utile plus tard.

Ils firent une propagande des plus actives, sollicitant dans toutes les Sociétés Coopératives de Consommation de la région, des capitaux et des acheteurs.

Enfin, ils p u r e n t se procurer, en grande partie à crédit, un matériel pour la tein- turerie cl pour la fabrication de la futaine.

Ils n o m m è r e n t les membres du Conseil d'administration, le directeur de l'entre- p r i s e , celui qu'ils jugèrent le plus capable, M, G r e e n w o o d .

A la lin du semestre ils comptaient 95 m e m b r e s et possédaient 4.775 francs.

Ils tirent, la première année 3025 francs d'affaires.

E n 1873, les affaires s'élevèrent à 171.000 francs et les bénéfices à 10.GSO francs.

En 1874, 52 Sociétés Coopératives de Consommation étaient actionnaires de l'Association.

Il serait fastidieux de donner les ré- sultats commerciaux de chaque année qui, sauf une année de crise, ont toujours été en progressant. Qu'il nous suffise de dire qu'en 1877 l'association avait rem- boursé tout ce qu'elle devait.

E n 1879, les ouvriers associés organi- sèrent une exposition de leurs produits qui fut visitée par plus de mille p e r s o n n e s parmi lesquelles il faut signaler les principaux chefs de la coopération an- glaise : G r e e n i n g , Yansittart Neale, Hugnes, Holyoake, etc.

C'était une excellente manière de mieux faire connaître leur œuvre coopérative.

E n 1880, l'association toujours de plus en p l u s p r o s p è r e , p u t renouveler com-

plètement son matériel et son outillage, agrandir ses ateliers dans lesquels elle installa deux grandes machines à vapeur.

En 1882, l'association fut représentée au Congrès des Sociétés Coopératives de Consommation à Oxford, et ses délégués invitèrent Aclaml, le président du Comité de l'instruction, à venir à H e b d e n Bridge faire une conférence. On profita de cette visite p o u r organiser des cours d'Econo- mie politique, d'histoire et de littérature qui sont suivis depuis lors avec la plus grande régularité, non seulement par les coppérateurs de la localité, mais encore par les m e m b r e s des syndicats ouvriers.

L'association Hebden B r i d g e a fait ses p r e u v e s ; elle venait d'atteindre sa ma- jorité q u a n d M. Charles R o b e r t cL moi l'avons visitée il y a deux mois.

Dans la salle où l'on nous a reçus sont placées visiblement deux photographies:

l'une représentant la masure où ces ou- vriers pleins de foi, d'énergie et de confiance commencèrent leur tentative d'émancipation sociale; l'autre représen- tant l'industrie actuelle, avec ses immen- ses bâtiments, ses hautes et imposantes cheminées. Quel contraste réconfortant p o u r des coopérateurs !

M. Greenwood et ses co-associés n o u s mirent bien vite au courant de leur si- tuation financière : leurs fonds de réserve s'élève à plus de 80.000 francs : les 261 ouvriers de l'association possèdent u n capital-action de 200.000 francs: leurs salaires s'élèvent à 291.750 francs; leur chiffre d'affaires a dépassé en 1891 un million sur lequel ils ont recueilli 85.250 francs de bénéfices.

Chaque associé appartient selon ses aptitudes, à un des comités de l'instruc- tion, de propagande, d'administration, etc.

Croit-on q u ' u n pareil succès aurait été obtenu si le directeur, n o m m é par le suffrage libre de ses camarades, eut été

(2)

434 LA F E D E R A T I O N H O R L O G È R E S U I S S E remplacé chaque année sous prétexte

d'égalité et n'eut p u acquérir les con- naissances nécessaires p o u r diriger une pareille entreprise?

Dans le Conseil d'administration un seul m e m b r e du bureau a été changéj c'est le secrétaire J.-C. Gray et cela parce qu'il a été appelé par le Comité Central de l'Union Coopérative aux !'onctions de secrétaire adjoint. C'est aujourd'hui Ie successeur de Yansiltarl Neale au poste de secrétaire^général du Comité Contial.

II serait à désirer qu'il y eut dans le m o n d e beaucoup d'ouvriers aussi éner- giques, aussi intelligents et aussi sensés que ceux de l'Association Coopérative de production de Hebden B r i d g e : ils sauraient se relever de la situation de salariés où ils se trouvent et acquérir le capital dont ils auraient l'usage gra- tuit. Ils se prépareraient, par l'instruction mutuelle et aussi p a r l'éducation que donne la pratique des affaires dirigées coopéralivement, à régénérer la société dans le sens le plus élevé : et on peut s'imaginer ce que serait une société dirigée par des hommes de celle trempe ! Aussi crierais-je volontiers avec eux :

«Vive la Révolution Sociale pacifique.»

Mais, quelle chute si je songe à la société que pourraient fonder certains journalistes qui vivent de scandale ou certains orateurs de réunions publiques qui n ' o n t que des paroles de haine à la bouche et un l'orl poil dans la main !

C'est cependant ceux-ci qui veulent détruire la société de fond en comble p o u r en construire une autre en un jour ! M T B O Y V K . '

Les Ecoles de bijouterie de Pforzheim, Hanau, et Vienne

(Suite et fin.)

Après avoir d o n n é les renseignements qui précèdent, MM. Leturcq et Mural énoncent p o u r quelles raisons l'Ecole de dessin de leur Chambre syndicale n'a pas donné les résultats qu'on ,attendait d'elle. A cet insuccès, on a d o n n é les causes suivantes : T r o p peu de temps consacré à l'élude du dessin (2 heures par j o u r pendant 4 ans) : état de fatigue des élèves pris toute la journée par d'autres besognes; peu de développement d o n n é à la culture intellectuelle. MM.

Leturcq et Mural estiment le premier argument peu fondé. Ils en pensent autant du second pour la raison que le travail de l'école est très différent de celui de la journée et que, de plus, il est attrayant. Au troisième, ils répondent que l'on pourrait exiger le certificat d'études.

Ils rejettent la faute surtout sur l'in- sulfisance et le mauvais aménagement des locaux, la décentralisation des habitations occupées par les ouvriers des industries s'occupanl des métaux pré- cieux, sur le grand nombre d'écoles de

dessin du quartier. MM. Leturcq et Murât pensent que ces écoles ne suffisent pas à assurer de bons dessinateurs pour l'avenir.

Malgré tout, l'Ecole de dessin de la Chambre syndicale a r e n d u de grands services.

Voici ensuite comment' s'expriment les délégués :

Si les programmes de ISLiO ot 1877 ont faibli à leurs promesses, malgré le dévoue- ment des hommes qui les avaient composés, la cause en est surtout au manque d'unité, de direction.

La nomination d'un directeur responsable s'impose, si l'on veut donnera l'enseignement, l'unité qui est la condition et le gage de l'avenir.

La Chambre Syndicale est par son essence même peu propre à assurer cette unité; ses statuts lui imposent le renouvellement pério- dique d'une partie de ses membres: c'est peut-être un principe excellent au point de vue syndical, c'est la certitude d'un continuel rajeunissement, mais souvent aussi c'est la cause d'un trouble profond, ou tout au moins un temps d'arrêt dans la marche des travaux.

Les éléments nouveaux qui entrent clans les commissions sont parfois peu au courant des études en voie de préparation ou d'achèvement entreprises par leurs prédécesseurs, souvent môme s'ils n'arrivent pas avec des idées préconçues, des théories échafaudées de toutes pièces et auxquelles manque la consécration de l'expérience, ils ne peuvent avoir une notion assez précise, assez exacte de l'infinie variété des détails, de la multiplicité des questions que soulève la .direction d'une école. Ge sont alors les discussions qui commencent, le temps qui se perd, la période des essais et des tâtonnements <|ui se perpétue, le progrès qui s'arrête, en un mot, ce sont tous les inconvé- nients que la stabilité dans la direction d'un programme scolaire ferait disparaître.

Le directeur, délivré de toute autre préoccu- pation, aura sans cesse les yeux fixés vers le but à atteindre. Vivant de la vie de l'école, au courant de ses besoins et de ses ressources, il percevra mieux et plus vite les imperfections du détail et pourra y porter remède ; il sera sans cesse à l'affût des progrès, prêt à les réaliser sur l'heure et à opérer, sauf appro- bation, les modifications, impressions et aug- mentations qui lui paraîtront nécessaires.

La Chambre Syndicale a compris la néces- sité de cette direction puisqu'elle a nommé un conseil de perfectionnement non soumis aux mêmes lois du renouvellement, Mais là ne se bornèrentpassesrfforts. Touten reconnaissant qu'il était indispensable de former à bref délai des dessinateurs habiles et, s'il était possible, des artistes, elle s'est demandé si l'avenir de nos corporations serait suffisamment assuré par la transformation de son école. Il lui a paru impossible de se désintéresser du sort réservé à ses élèves dans les ateliers particu- liers. La question de l'apprentissage fut alors l'objet de ses études qui aboutirent à la créa- tion d'une école professionnelle technique et préparatoire à l'apprentissage. Plusieurs pro- jets lui furent présentés, mais avant de fixer son choix, elle eut la grande prévoyance de vouloir se renseigner sur les résultats obtenus dans les écoles similaires des autres pays.

Les ouvriers complets ne peuvent être formés qu'à l'atelier, ce n'est que là en effet que l'apprenti peut acquérir les connaissances infiniment diverses, surtout pratiques qui constituent l'ouvrier. Ge n'est que là, par le contact constant, l'enseignement mutuel qu'il

S

eut se perfectionner dans les mille et un.

étails du métier. Est-il besoin d'insister sur ce point '. D'autres plus autorisés que nous ont étudié cette question, l'ont approfondie et

leurs conclusions ont été radicales, l'appren- tissage doit se faire à l'atelier.

Mais si l'apprentissage doit se l'aire à l'atelier, ne convient-il pas de rechercher .s'il n'est pas possible de préparer l'apprentissage ! Ne serait-il pas au contraire nécessaire d'exa- miner si des apprentis placés dans certaines conditions préparatoires d'éducation et d'ins- truction théorique et pratique, ne se trouve- raient pas dans des conditions plus favorables et s'ils ne formeraient pas rapidement un noyau excellent pour le recrutement de nos futurs ouvriers l

Cela, nous le pensons.

Nous estimons qu'une école préparatoire d'apprentissage rendrait les plus grands ser- vices et nous croyons que son établissement est facile et peut-être elfectué en peu de temps,

Dans cette école, les enfants se destinant à la bijouterie-joaillerie, y passeraient une année entière, travaillant chaque jour à raison de neuf heures par jour.

L'instruction divisée en trois parties bien distinctes, dessin, technologie, pratique du métier, serait donnée simultanément. Elle aurait pour but d'apprendre aux jeunes gens, non seulement la théorie et la pratique, les premières notions du dessin, mais elle con- tinuerait l'école primaire en enseignant les matières qui rentrent plus spécialement dans la connaissance de nos industries et donnerait le plus de notions possibles sur une foule de points généraux ignorés et pourtant, indis- pensables.

MM. Mural et Leturcq pensent qu'il faut n o m m e r une commission pour faire fonctionner l'Ecole professionnelle.

Cette commission sera composée d'au- lanl de fois deux m e m b r e s qu'il y a de sujets différents à traiter.

MM. Leturcq cl Mural proposenl de diviser l'Ecole professionnelle en trois parties :

Ecole de dessin.

Ecole préparatoire à l'apprentissage.

Ecole de perfectionnement.

Après les cinq années de cours de dessin et d'enseignement professionnel disent-ils, il nous paraît indispensable comme couronne- ment, de donner la facilité aux jeunes ou- vriers de se parfaire plus complètement dans leur art et de mettre à leur disposition des cours supérieurs où ils pourrraient trouver les conseils qui leur seraient nécessaires.

Dans ce cours les élèves exécuteront en métal les compositions qu'ils auront dessi- nées.

MM. Leturcq et Mural terminent leur rapport en émettant le vœu que le gouvernement oblige par une loi les pa- trons à envoyer leurs apprentis aux cours professionnels au moins durant six heures par semaine.

Il nous a paru utile de mettre nos lecteurs au courant de ce que l'on pense, en France, de la question des apprentissages et plus par- ticulièrement de la possibilité d'y ramener l'industrie de la bijouterie, qui a pris en Allemagne un si grand développement. Il y a là des idées dont nous pointons faire notre profit en Suisse.

Gardez votre argent !

L'avertissement que nous avons donné sous ce titre, dans notre numéro du 4 courant, nous a valu la lettre suivante de l'un de nos abonnés. Vérification faite des pièces qui y

(3)

. .

LA FEDERATION H O R L O G E R E SUISSE 435

•étaient jointes, nous avons constaté qu'il s'a- gissait d'une entreprise de vol exactement semblable à celle ijue nous avons signalée.

Encore une fois : Gardez votre argent ! Monsieur le rédacteur,

L'article paru dans la Fédération Itorlo- g-ère du d i m a n c h e 4 c o u r a n t et intitulé «Gar- dez votre a r g e n t » m ' a remis en mémoire les procédés qu'avait employé un certain filou du nom de Braiulle pour escroquer à ma fille, la somme de fr. 2(5.50, envoyée par -mandat à P a r i s .

P a r les lettres ci-incluses et que vous vou- drez bien me retourner, vous verrez que ma fille avait échangé une correspondance avec

•ce soi-disant peintre-artiste qui tenait un petit magasin à Genève (les renseignements pris

•constatent que le magasin existait réellement).

De plus les lettres écrites à la main, ne pouvaient guère faire supposer qu'elles prove- naient d'un escroc, d'autant plus que celui-ci avait magasin ouvert en Suisse.

Bref, le mandat fut expédié mais la boite

•de couleur n'a jamais été envoyée. J'ai écrit à G e n è v e , puis à P a r i s mais inutilement, l'individu avait jugé bon de mettre la fron- tière entre ses dupes et lui.

La question des anneaux

d e s b o î t e s d e m o n t r e s à d e s t i n a t i o n d e l ' A l l e m a g n e

Le comité central de l'Association des hor- logers allemands, a adressé une pétition au

Reichstag, tendant à obtenir que l'anneau ne soit pas considéré, comme partie intégrante de la boite.

On peut donc espérer que la question de l'anneau sera prochainement et définitive- ment résolue.

Certificats d'origine pour les envois transportés par la poste

11 a été constaté que les envois de m a r c h a n - dises, transportés par la poste, ceux surtout venant d'Allemagne, sont rarement, alors même qu'ils pèsent plus de 5 kg. accompagnés de certificats d'origine, les expéditeurs et di- vers bureaux postaux d'Allemagne paraissant croire, que les certificats d'origine ne sont pas nécessaires pour les envois transportés par la poste.

11 en résulte que lorsqu'un envoi postal pesant plus de 5 kg. contient des marchan- dises frappées, si elles viennent de France, d'un droit différentiel, il est acquitté comme provenance française et que le destinataire doit ensuite se procurer un certificat d'origine s'il veut obtenir le remboursement de la diffé- rence entre le taux du tarif conventionnel et celui du tarif différentiel.. De là des complica- tions pour le. négociant, et pour le bureau de douanes un surcroît tle travail qui aurait pu être évité.

Nous nous voyons donc obligé de rappeler l'avis du 14 avril 1893, d'après lequel les seuls envois postaux pour lesquels un certificat d'origine n'est pas nécessaire, sont ceux dont le poids ne dépasse pas 3 ou 5 kg. (colis pos- taux), à l'exception toutefois des colis d'hor- logerie, ainsi que dés envois venant d'uir

entrepôt situé à l'étranger qui doivent toujours être accompagnés d'un certificat d'origine.

P o u r les envois par la poste dont le poids dépasse 5 kg. ce sont donc, comme p a r le passé, les dispositions générales sur la pro- duction des certificats d'origine qui sbnt applicables.

B e r n e , le 5 novembre 18SJ4.

Direction générale des douanes suisses.

Nouvelles diverses

F r a n c e . — Le rendement des impôts indi- rects en octobre 1894 donne une moins-value de 800,000 francs sur octobre 1893.

La moins-value. des douanes en octobre 1894 sur octobre 1893 atteint 4 '/2 millions.

E t a t s - U n i s d ' A m é r i q u e . — U n journal suisse qui se publie a u x Ellats-Unis, Die Amerïk. Schweizer-Zettnng; annonce que les affaires prennent une meilleure allure de- puis quelque temps, principalement dans l'in- dustrie métallurgique. Le nombre des ouvriers inoccupés diminue de semaine on semaine et la situation générale ne serait plus que de 25°/» au-dessous de ce qu'elle était dans la meilleure période de l'année dernière. Dans quelques mois, dit le journal précité, la si- tuation générale sera absolument normale.

Cote d e l ' a r g e n t

du io Xovembre i8g4

Argent fin en grenailles . . fr. 110.50 le kilo.

fabrique d'Horlogerie PAlIL DITISHEIM, GHAUXDEPONDS Rue de Ia Paix, i l

Montres 10, 12 et 13 lignes ancre, calibres à Ponts et Glashutte.

532(

Mouvements à vendre

Environ 300 douzaines d e Iinissages Remontoirs cylindre et ancre avec et sans échappements.

Grandeurs assorties en bonne

•qualité courante. 2870 Demander la liste détaillée chez:

Rodolphe Uhlmann,

•21. rue Daniel JeanRiehard, 21 C h a u x - d e - F o n d s .

On demande

"quelques bons tourneurs pour boîtes argent.

S'adresser au b u r e a u

«du Journal. -2874

Commis

Une maison d'horlogerie de

• C h a u x - d e - F o n d s demande un

!bon commis pour lu fabrication.

S'adresser au bureau. 2803

Remonteurs

sur petites pièces trouveront de l'occupation suivie et rétribuée a

la Société d'horlogerie de

Langendorf. 2804

R A V E U R S

^ i M l o s s l e r & l ^ EDURUSSEL

FRAPPE DE BOITES DEMONTRES POINÇONS E N T O U S GENRES

M a r q u e s de F a b r i q u e

ENREGISTREMENTAU BUREAU FEDERAL

MÉDAILLES JNSIGNE S JETONS

Associé-Commandit re

U n f a b r i c a n t d ' h o r l o g e r i e d e s M o n t a g n e s n e u c h à t c l o i s e s d e m a n d e u n a s s o c i é - c o m m a n - d i t a i r e p o u v a n t s ' o c c u p e r d e s v o y a g e s e t a y a n t , si p o s s i b l e , d e b o n n e s c o n n a i s s a n c e s c o m - m e r c i a l e s e t h o r l o g è r e s .

P o u r t o u s r e n s e i g n e m e n t s s ' a d r e s s e r à M . H. A. Richardet.

fabr. d'aiguilles, 60, rue du Parc, à la Chaux-de-Fonds. 2866

M O N T R E S

On demande 18 a 24 cartons Rem. ancre, I1J lig. gai. cuv. met.

et cuv. a r g e n t . — Offres sous K . F . au bureau du J o u r n a 2872

U n b o n 2875

joigneup

d'assortiments

g a l o n n é el a r g e n t , t r o u v e r a i t d e s u i t e p l a c e a v a n t a g e u s e .

S ' a d r e s s e r a u b u r e a u .

BREVETS, MARdUES, DESSINS,MODÈLES

Ed.v.Waldkirch B e r n e

* CONTENTIEUX INDUSTRIEL *

OXYDATION

de boîtes acier ï

Seul oxydage basé sur un procédé sérieux garantis- sant la solidité absolue et la

belle couleur. 2850'

' N o u v e a u x d e r n i e r s p r i x . Echan- tillons à disposition.

-Henri RYCHNERi

Fabrique d'amies de précision, A a r a u (Suisse)

Diamantine nouvelle

l a m e i l l e u r e p o u d r e p o u r p o - l i s s a g e s p r o m p t s e t s o i g n é s d ' a c i e r s e t m é t a u x .

E. FREITAG

BIENNE (Suisse)

V e n t e e n flacons d a n s l e s p r i n c i p a u x m a g a s i n s d e f o u r -

n i t u r e s . 2462

E x p o r t a t i o n .

P montres Boston

Fabrique de Croissants par des procédés nouveaux et a u x

prix les plus bas. 2629 Echantillons sur demande.

Emile Lambert

Chez-le-Bart. Ct. Neuchâtel.

Découpages à Ia main

C h i f f r e s o r , a r g e n t e t m é t a l , p l a t i n e s , c o q s , e t c . 2378

• S C H O R P P - V A U C H E R

Doubs, 107, La Chaux-de-Fonds.

(4)

436 LA FEDERATION HORLOGÈRE SUISSE

• ·

The

rnsnrance Company, Limited

Compag. d'assurance contre les risques de transport

F o n d é e à L o n d r e s e n 1 8 3 β .

Capital fr. 25,000,000 — Réserve fr.12,500,000

A s s u r a n c e s d u t r a n s p o r t d e v a l e u r s e t d e m a r c h a n d i s e s , p a r t e r r e e t p a r e a u , p a r p o l i c e s s p é c i a l e s , d ' a b o n n e - m e n t e t e n b l o c . — A s s u r a n c e s d e c o r p s d e b a t e a u x à v a p e u r . — A s s u r a n c e s d e v o y a g e s .

Sécurités de premier ordre. Conditions avantageuses.

Prière de s'adresser pour tous renseignements au direo- teur, fondé de pouvoirs pour la Suisse, M. Alfred Bourquin, à Neuchâtel, ou bien à M. James Perrenoud, agent général, à la

Chaux-de-Fonds. 2451

Fabrique mécanique de boites acier

en tous genres

• •ROBERT GYGAX *

ST-IMIER

Spécialité de boîtes fantaisie acier et argent :

Feuillages. Boules. Cœurs. Carrées. Coquilles, etc., etc.

E c h a n t i l l o n s à d i s p o s i t i o n .

T é l é p h o n e 2516

Fabrique de Gtironograpiies

en tous genres

Nouvelle organisation. Prix sans concurrence.

Montres garanties. 2418

G h r o n o g r a p h e s avec e t s a n s C o m p t e u r s d e m i n u t e s . R A T T R A P A N T E S

Compteurs de Sport (brevetés). Se méfier des contrefaçons.

LÉON BREITLING, Chaux-de-Fonds

S u c c u r s a l e à B E S A N Ç O N , 1 1 , R u e U o n c e y , 1 1

FaMpB de galonné, pendants, cunmH et anneaux

Canons olives or, plaqué' or, argent, acier et métal en tous genres et par procédés mécaniques les plus nouveaux

Jules Bourquin

MADRETSCH (Suisse)

Spécialité d'assortiments Louis XV acier et métal soignés depuis

*· 9 à 40 lignes, garantis comme qualité et bienfacture 2381 PEHDAHTS BOSIIS ABoEIT GREDI SAIS SODIIIIRE

C o u r o n n é s p o u s s e t t e s i n d é p e n d a n t e s T É L É P H O N E E x é c u t i o n t r è s r a p i d e 1 . T É L É P H O N E

H

OU

U n T e c h n i c i e n p o s s é d a n t u n e l o n g u e e x p é r i e n c e , d e s c o n n a i s s a n c e s é t e n d u e s et, p r a t i q u e s et q u i a d i r i g é p e n d a n t d e n o m b r e u s e s a n n é e s p l u s i e u r s f a b r i q u e s i m p o r t a n t e s , d é - s i r e r a i t c h a n g e r d e p l a c e .

A d r e s s e r offres s o u s , , c h i l f r e I . T . 1 1 " a u b u r e a u

d u j o u r n a l -2ST(I

Fabrique Paul-Emile Jaccottet

B L A M C & C ie , à T r a v e r s (Suisse)

Fabrique d'ébauches et finissages R e m o n t o i r s e t à clef de 10 à 28 lig. tous genres. Assortiments à ancre levées visibles cl cou-

vertes. — Balanciers compensés et façon compensé. 2877 Outillage, perfectionné. — Bienfacture et prix modérés.

La maison se charge de calibres particuliers: elle fournil les m o u v e m e n t s pour les montres soignées du tir fédéral de 181)5.

Nombreuses récompenses. L'établissement date de 1842

Dès ce jour

le bureau E. MEYER & Oie transféré est

37, pue Léopold Robert, 37 ACHAT & V E N T E

Sommes acheteurs au comptant de tous lois de 2855-

M O N T R S S o r , a r g e n t e t m é t a l .

Moteur i n d u s t r i e l

Le moteur industriel le plus perfectionné est

le moteur à pétrole

I n v e n t i o n e t c o n s t r u c t i o n s u i s s e

a y a n t o b t e n u l e s p l u s h a u t e s r e c o m p e n s e s . Catalogues et dessins envoyées gratis et franco, par

GILLIÉRON & AMREIN

Constructeurs-mécaniciens, à VEVEY. 2018 Seuls concessionnaires du système pour la Suisse romande et la France.

Fabrication de PÉDOMÈTRES (Compte-pas)

simples et compliques, nier divisions en mesures pour tous para

Brevet ψ 3939. 2RW

PENDULES ,,Veilleuses",

cadres sculptés, avec beaux cadrans lumineux, clairanl toute la nuit Spécialité de montres à clef, à cadrans lumineux, pour la Chine.

P. A. JOANHOT, fabr. d'horlogerie, S, rue des Alpes, GENÈVE

Liquidation d'Horlogerie Exceptionnelle

d'environ t r o i s m i l l e mouvements MOntOiT 19'", ancre, ligne droite, levées visibles, finis s a n s , ou avec boites acier, argent et or au g r é des a m a t e u r s , par grande et petite quantité, même égrenées ! — Ces mouvements pour pièces à verre et savonnettes en nickel cl laiton doré, sont divisés en 4 qualités toutes extra soignées, avec marche de précision, d'une intercbangeabihté absolue de toutes les pièces, par un outillage unique en sa perfection et des plus récentes inven- tions. H 4736 S-I 26(36

Les 2 premières qualités sont réglées pour des bulletins de l'ob- servatoire, avec ressort de réglage. Échappement non magnétique, spiral brevet Paillard Genève, chatons américains dessus et dessous, pignon de sûreté à grand'moyenne, mise à l'heure intérieure, toutes à secondes, cadrans romains et arabes.

Livraison sans boites immédiate et avec boites dans un très court délai.

Egrenées pour étrennes avec m o n o g r a m m e s dans la huitaine»

Paiement à terme et au comptant sous 3U/» d'escompte.

Le Liquidateur :

H e n r i T h a l m a n n , Fabricant d'horlogerie à B i e n n e .

Références

Documents relatifs

Il ne saurait absolument pas être question, dans l'espèce, d'une intention consciente quel- conque de frauder ou contourner la loi, car le nombre des montres en or, dont les anneaux

L'histoire montre que de pareilles organisations peuvent rendre des services signalés : elle enseigne, avec non moins de force, que loul système de banque d'Etal esl dangereux

Le rapport mentionne enlr'autres le chiffre exact d e s exposants cpii est de 65,422, représentant250,000 expositions, (un même exposant ayant souvent exposé dans

Cette baguette est embrassée par la fourchette g fixée au ressort de torsion F (fig. 1) ; elle établit, comme on le voit, la communication du mouvement et du pendule. Le

Les transports, surabondants comme tout le reste, vont niveler de plus en plus le prix des choses dans le m o n d e : il n'y aura bientôt pour un grand nombre de denrées qu'un seul

Avis de l'administration des douanes Avec l'autorisation du département fédéral des douanes et d'entente avec l'administration fédérale des postes, on pourra dès le 1 er octo-

Elle est composée de 18 membres, nommés par le conseil exécutif pour quatre ans, sur les propositions faites, pour les deux tiers, par l'Union du commerce et de l'industrie,

Celte boite à vis se livre à tous les fabricants d'horlogerie qui en font la demande, en or, argent, acier et plaqué or tous titres, en toutes grandeurs et tous genres de