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3-Rang et noyau d’une forme quadratique

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Academic year: 2022

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170 : Formes quadratiques sur un espace vectoriel de dimension finie. Orthogonalit´ e, isotropie. Applications

Cadre : Kcorps de caract´eristique diff´erente de 2,EunK - espace vectoriel de dimension finien.

I-Formes bilin´ eaires sym´ etriques et formes quadratiques

1-Formes bilin´ eaires sym´ etriques versus formes quadratiques

D´efinition 1. Une forme bilin´eaire surEest une applicationf:E×E→Klin´eaire en ses deux variables. Un forme bilin´eairefest dite sym´etrique si pour tous

x, y∈E, f(x, y) =f(y, x)

Exemple 2. Le produit scalaire est une forme bilin´eaire.

D´efinition 3. Soitfune forme bilin´eaire surE. L’applicationfy:x∈Eassocie f(x, y)∈Kest une forme lin´eaire surE (De mˆeme pourfx).

D´efinition 4. Une applicationq:E→Kest dite forme quadratique surE s’il existe une forme bilin´eaire sym´etriquef:E×E→Ktelle quef(x, x) =q(x).

Exemple 5. • E=R3,q(x) = 2x21−3x22+ 3x23+ 2x1x2−3x1x3+ 5x2x3 est une forme quadratique.

• L’application d´eterminant : det:M2(R)→Rest une forme quadratique.

• q:Mn(R)→R,A7→T r(tAA)

Proposition 6. R´eciproquement, siq:E→Kune forme quadratique surE, alors il existe une unique forme bilin´eaire sym´etiquef:E×E→Ktelle quef(x, x) =q(x) pour toutx∈E,f est donn´ee par : f(x, y) = 12(q(x+y)−q(x)−q(y)). f est appel´e forme polaire deq.

Exemple 7.

• q1:R2→R, q1(x1, x2) =x21+x22+x1x2admet pour forme polaire f(x, y) =x1y1+x2y2+12x1y2+12x2y1

• q2:Mn(R)→R, A7→T r(tAA) admet pour forme polairef(A, B) =T r(tAB)

2-Expression matricielle

D´efinition 8. Soitfune forme bilin´eaire surE et (ei) une base deE. On appelle matrice def dans la baseB= (ei)ila matrice :

M atB(f) =

f(e1, e1) f(e1, e2) . . . f(e1, en) f(e2, e1) f(e2, e2) . . . f(e2, en)

..

. ... . .. ... f(en, e1) f(en, e2) ... f(en, en)

Remarque 9. f forme bilin´eaire sym´etrique⇔La matrice def (dans une base quelconque) est sym´etrique.

D´efinition 10. Soitf une forme bilin´eaire surE,x,y∈E,B= (ei)i une base deEet A=M atB(f),X=M atB(x),Y =M atB(y). On a : f(x, y) =tXAY.

Remarque 11. On appelle matrice deqla matrice de sa forme polaire.

Exemple 12. Soitq(x, y, z) = 3x2+y2+ 2xy−3xz . Alors :

M at(q) =

3 1 −3/2

1 1 0

−3/2 0 0

Remarque 13. L’application qui `af associe sa matrice dans une base fix´ee deEest un isomorphisme.

D´efinition 14. (matrices congruentes ou ´equivalentes) Deux matrices carr´eesAetB d’ordrensont dites congruentes s’il existeP ∈ GLn(R) telle queA=tP BP.

Proposition 15. (Avec les notations pr´ec´edentes) Deux matrices sont congruentes de rangr⇔Elles repr´esentent la mˆeme forme quadratique dans deux basesBetB0 deE, P matrice de passage deB`aB0,r=rg(q).

D´efinition 16. Soitf une forme bilin´eaire surE. On appelle rang def le rang de la matrice qui repr´esentefdans une base (quelconque) deE.

Remarque 17. f est dite non d´eg´en´er´ee⇔son rang est maximal⇔sa matrice associ´ee est inversible.

Proposition 18. Soitf:E×E→KUne forme bilin´eaire,j:E→E, y7→j(y) =fy, o`ufy:E→K,x7→f(x, y). On a :

• j(y)(x) =fy(x) :=f(x, y)

• fynon d´eg´en´er´ee⇔fy est un isomorphisme

Exemple 19. Sifest un produit scalaire, alorsfyest un isomorphisme d’espaces vectoriels.

3-Rang et noyau d’une forme quadratique

D´efinition 20. On appelle noyau et on noteN(q) (respectivement rang, not´erg(q)) d’une forme quadratiqueqle noyau (respectivement le rang) de la forme polaire associ´ee `aq.

Proposition 21. Soitf la forme bilin´eaire surEassoci´ee `a la forme quadratiqueq.

1. Le rang deqest le rang de l’applicationj:E→E,y7→f(., y) =fy. 2. Le noyau de qest le noyau de l’applicationj, c’est-`a-dire

N(q) :={y∈E|f(x, y) = 0,∀x∈E}

(2)

3. qest dite non d´eg´en´er´ee sijest injective, c’est-`a-dire siN(q) ={0}, ou encore si f(x, y) = 0,∀x∈E⇒y= 0.

D´efinition 22. Soitqune forme quadratique `a valeurs r´eelles. qest dite positive si q(x)≥0 pour toutx.

qest dite d´efinie positive si elle est positive et siq(x) = 0⇔x= 0.

Proposition 23. Une forme quadratique d´efinie est non d´eg´en´er´eee.

Exemple 24. pourx∈R3,q(x) = 4x21+ 3x22+ 5x1x2−3x1x3+ 8x2x3 est non d´efinie et non d´eg´en´er´ee.

Proposition 25. dim(E) = dim(N(q)) +rg(q)

II-Orthogonalit´ e et isotropie

1-Orthogonalit´ e

Soitq une forme quadratique etbsa forme polaire associ´ee.

D´efinition 26. • Deux vecteursxetysont dits orthogonaux selonq(ou selonb) sib(x, y) = 0.

• SoitA⊂E. On appelle orthogonal deAselonq(ou selonb) l’ensemble A={y∈E|∀x∈A, b(x, y) = 0}.

• Deux sous-ensemblesAetBdeEsont dit orthogonaux selonq (ou selonb) si

∀x∈A,∀y∈B,b(x, y) = 0. On note alorsA⊥B.

Proposition 27.

• Aest un sev deE.

• {0}=E

• E=N(q)

• ∀A⊂E:N(q)⊂A

Proposition 28. SoitF un sev deEalors

• dim(E) =dim(F) +dim(F)−dim(F∩N(q))

• F⊥⊥=F+N(q)

Remarque 29. En particulier siqest non d´eg´en´er´ee alors :

• dim(E) =dim(F) +dim(F)

• F⊥⊥=F

Contre-exemple 30. E=R2,q(x) =x21−x22. F=V ect 1

1

. AlorsF =F. q est non d´eg´en´er´ee, maisE6=F⊕F.

2-Isotropie

D´efinition 31. Un vecteurx∈E est dit isotrope pourq ( ou pourb) sib(x, x) = 0 (autrement dit siq(x) = 0).

D´efinition 32. On appelle cˆone isotrope l’ensembleI(q) ={x∈E|q(x) = 0}

Remarque 33. I(q) n’est pas un espace vectoriel mais un sous-ensemble de vecteurs V, avecV={x∈ V|∀λ∈K,λx∈ V}.

Exemple 34.

• SiE=R2 etq(x) =x21−x22, on aI(q) ={(x1, x2)∈R2|x1=±x2}(voir figure 1)

• SiE=R3etq(x) =x21+x22−x23, on a I(q) ={(x1, x2, x3)∈R3|x3=±p

x21+x22}(voir figure 2) Proposition 35. N(q)⊂ I(q)

Contre-exemple 36. Dans les exemples pr´ec´edents,N(q)6={0}donc on n’a pas l’inclusion r´eciproque.

D´efinition 37. Un sous-espace vectorielF deEest dit isotrope si : F∩F6={0}

Remarque 38. Eadmet des sous espaces isotropes⇔ I(q)6={0}

Proposition 39. SoitF un sous-espace vectoriel deE alors : E=F⊕F⇐⇒F est non isotrope (i.e. F∩F={0}).

Exemple 40. q:R4 →R,q(x) =x21+ 2x1x2+ 2x1x3+ 2x1x4+ 4x2x3+ 4x3x4. Tout hyperplan d’´equationax1+x2+bx3+x4= 0 est isotrope.

Exemple 41. q:M2(R)→R,A7→det(A). F={A∈ M2(R|T r(A) = 0}

F={A∈ M2(R)|A= a 0

0 a

,a∈R}. F est non isotrope etM2(R) =F⊕F.

3-Groupe orthogonal

Proposition 42. Soitqune forme quadratique non deg´en´er´ee surEetf ∈End(E).

Soitfl’unique endomorphisme deE tel que∀(x, y)∈E2,b(f(x), y) =b(x, f(y)). Les propri´et´es suivantes sont ´equivalentes :

1. q(f(x)) =q(x) ∀x∈E

2. b(f(x), f(y)) =b(x, y) ∀x, y∈E

3. f◦f=Id(ou de mani`ere ´equivalentef◦f=Id).

Un tel endomorphisme est dit orthogonal relativement `aq. On note

O(q) ={f∈End(E)|f◦q=f}. O(q) est un groupe, appel´e groupe orthogonal deq.

Proposition 43. SoitBune base deE,S=M atB(q) etA=M atB(f), on a : f∈O(q)⇐⇒tASA=A

Exemple 44. Soitq:R2→Rd´efinie dans la base canonique parq(x) = 2x1x2. On a O(q) =

a 0 0 1/a

, a∈R\{0}

0 b 1/b 0

, b∈R\{0}

(3)

4-Bases orthogonales et r´ eduction simultan´ ee

D´efinition 45. Une baseB={ei}deEest dite orthogonale pour la forme bilin´eaire sym´etriquebouq-orthogonale si∀j6=i,b(ei, ej) = 0. Elle est dite orthonormale si b(ei, ej) =δei,ej.

Proposition 46. SoitE6={0}. Il existeB= (e1, ..en) base deE telle que∀x∈Kn, si x=Pn

i=1xiei, q(x) =Pr

i=1aix2i, avecai∈K, etr=rg(q). La baseB est dite q-orthogonale.

Remarque 47. Chercher une base orthogonale revient donc `a chercher une base dans laquelle la matrice deqest diagonale.

Th´eor`eme 48. (M´ethode de Gauss) Pour toute forme quadratiqueq il exister=rg(q) formes lin´eaires ind´ependantesl1, .., lr telles queq(x) =P

λili(x)2i∈K.

Exemple 49. SiE=R3 etq(x) = 5x1x2+ 6x1x3+ 3x2x3la m´ethode de Gauss nous donne (q) =201(5x1+ 5x2+ 9x3)2201(5x1+ 5x2−3x3)2185x23.

Th´eor`eme 50. Soit (E, <, >) un espace euclidien etqune forme quadratique surE alors il existe des bases qui sont orthogonales pour<, >etq.

Application 51. (Convexit´e logarithmique du d´eterminant) SoientA,Bdans Sn++(R) ={matrices sym´etriques d´efinies positives}etα,β∈Rtels queα+β= 1.

Alors det(αA+βB)>(det(A))α(det(B))β.

Application 52. (Ellipso¨ıde de John Loewner) SoitKun compact non vide deRn. Alors il existe un unique ellipso¨ıde centr´e en 0 de volume minimal qui contientK.

III-Classification des formes quadratiques

D´efinition 53. Soientbetb0deux formes bilin´eaires sym´etriques surE. On dit queb etb0 sont ´equivalentes s’il existeu∈GLn(E) tel que∀x,y∈E,b0(x, y) =b(u(x), u(y)).

Autrement dit si∃P ∈ GLn(K) telle queM atB(q0) =tP(M atB(q0))P

1-Sur un espace vectoriel complexe

Dans cette partieE designe unC-ev de dimensionn(E est donc isomorphe `aCn moyennant le choix d’une base),qforme quadratique surE .

Th´eor`eme 54. Il existe une base (ei)ideEtelle que six=P xiei, q(x) =x21+...+x2r o`ur=rg(q), c’est-`a-dire : M atei(q) =

Ir 0

0 0

Corollaire 55. Il existe une base q-orthonorm´ee⇔rg(q) =n⇔qest non d´eg´en´er´ee.

Proposition 56. Il existe une unique classe d’´equivalence des formes quadratiques non d´eg´en´er´ees.

2-Sur un espace vectoriel r´ eel

Dans cette partieE designe unR-ev de dimensionn(Eest donc isomorphe `aRn moyennant le choix d’une base),q forme quadratique surE.

Th´eor`eme 57. (Sylvester) Soitqune forme quadratique surE. Il existe une base (ei)i

deEtelle que six=P

xieion a : q(x) =x21+...+x2p−x2p+1−...−x2r o`ur=rg(q) et pun entier qui ne d´epend que deq(et non pas de la base). On a donc : , c’est-`a-dire : M atei(q) =

Ip 0 0

0 −Ir−p 0

0 0 0

Le couple (p, r−p) not´esgn(q) est appel´e signature deq.

Remarque 58. On peut d´eterminer la signature d’une forme quadratiqueq `a l’aide des valeurs propres de sa matrice associ´eeA. Son rang est ´egal aux nombre de valeurs propres non nulles etr−pest le nombre de valeurs propres deAstrictement n´egatives.

Exemple 59. SurM2(R) le d´eterminant est une forme quadratique de signature (2,2).

Exemple 60. SurR3, par la m´ethode de Gauss, on trouve que la signature de q(x) =x21+ 2x22+ 15x23−4x1x2+ 6x1x3−8x2x3 est (2,1)

Corollaire 61. Soitqune forme quadratique surE alors :

• q definie positive (ieEeuclidien)⇐⇒sgn(q) = (n,0)⇐⇒il existe des bases orthonorm´ees.

• q d´efinie n´egative⇐⇒sgn(q) = (0, n)

• q est non d´eg´en´er´ee (ieN(q) ={0})⇐⇒sgn(q) = (p, n−p)

Proposition 62. Il y an+ 1 classes d’´equivalence de formes quadratiques non d´eg´en´er´ees.

3-Sur un corps fini

Dans ce paragrapheK=Fq est un corps fini de caract´eristique diff´erente de 2 etE est unK-espace vectoriel de dimensionn.

Th´eor`eme 63. Soitα∈Fq,α /∈Fq∗2. Il y a deux classes d’´equivalences de formes quadratiques non d´eg´en´er´ees surE, de matrices,

q1=

1 0

. ..

0 1

 ouq2=

1 0

. .. 1

0 α

Une forme quadratiqueqest de l’un ou l’autre type selon son d´eterminant modulo les carr´es du corps de base.

Lemme 64. L’´equation enx, y,ax2+by2= 1, aveca, b∈Fq, a des solutions dansFq.

(4)

Application 65. (Loi de r´eciprocit´e quadratique) On d´efinit le symbole de Legendre par pour toutn∈Fp(np) =

1 si n est un carr´e modulop 0 si p divise n

−1 sinon Soitp, q deux nombres premiers impairs alors :

p q

= q

p

(−1)(p−1)(q−1)/4

IV-Applications

1-Recherche de minimum

Th´eor`eme 66. Soitf:U ⊂Rn→Rune fonction de classeC2 telle quedfa= 0 pour una∈U de sorte quef(a+h) =f(a) +12q(h) +◦(||h||2), o`uqest la forme quadratique d´efinie parq(h) =P

i

h2i2f

∂x2i(a) + 2P

i<j

hihj 2f

∂xi∂xj(a) alors :

1. Sif admet un minimun (resp. maximum) relatif enaalorsqest une forme quadratique positive (resp. n´egative).

2. Siqest une forme quadratique d´efinie positive (resp. d´efinie n´egative) alorsf admet un minimum (resp. maximum) relatif ena.

Exemple 67. (en dimension 2) Soitf:U ⊂R2→Rde classeC2 telle quedfa= 0 poura∈U. On noter=∂x2f2(a),s=∂x∂y2f (a) ett=∂y2f2(a) alors :

• sirt−s2>0 etr >0,f admet un minimum relatif ena.

• sirt−s2>0 etr <0,f admet un maximum relatif ena.

• sirt−s2<0,f n’admet pas d’extremum ena.

• sirt−s2= 0, on ne peut pas conclure.

2-Racines distinctes d’un polynˆ ome

Application 68. (Comptage des racines d’un polynˆome par les formes quadratiques.) SoitP ∈R[X] de degr´eneta1, ..., anles racines deP ( dansC) compt´ees avec multiplicit´e. Pouri∈N, on notesi=Pn

k=1aik, lai-`eme somme de Newton. Soitq la forme quadratique r´eelle d´efinie surRn par :

q(x) =q(x0, ..., xn−1) = X

0≤i,j≤n−1

si+jxixj

Notons (s, t) la signature deq, on a :

1. le nombre de racines complexes distinctes deP ests+t=rg(q) 2. le nombre de racines r´eelles distinctes deP ests−t

3-Classification des coniques

D´efinition 69. Soientq une forme quadratique non nulle etϕune forme lin´eaire sur l’espace euclidien (R2, <, >). On appelle conique l’ensemble :

C={v∈R2|q(v) +ϕ(v) =k}o`uk∈R.

Exemple 70. L’´equationx2+y2−1 = 0 d´ecrit une conique constitu´ee du cercle de centre 0 et de rayon 1.

Th´eor`eme 71. (voir figure 3) SoitC une conique d´efinie comme pr´ec´edemment. On supposeC 6= 0 et non r´eduit `a un point.

1. Si sgn(q) = (2,0) : Cest une ellipse.

2. Si sgn(q) = (1,1) : Cest une hyperbole qui eventuellement d´eg´en`ere en deux droites non parall`eles.

3. Si sgn(q) = (1,0) : Cest une parabole, qui d´eg´en`ere en une droite, ou en deux droites parall`eles si la direction principale isotrope est contenu dansKer(ϕ).

Proposition 72. Par cinq points distinctsA, B, C, DetE d’un plan affine r´eel passe une conique. Elle est unique ssi 4 points quelconques parmis ces 5 sont non align´es. Elle est non d´eg´enr´ee ssi 3 points quelconques parmis ces 5 sont non align´es.

D´ eveloppements possibles

• Classification des formes quadratiques surFq.

• Comptage des racines d’un polynˆome via les formes quadratiques.

• Loi de r´eciprocit´e quadratique.

• Ellipsoide de John Loewner.

• Lemme de Morse.

• Par 5 points distincts passe une connique

R´ ef´ erences

• Grifone

• Gourdon

• Perrin

(5)

ANNEXES :

Figure 3

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