• Aucun résultat trouvé

Fall, A.K. Ndoye, M. Ba Thiam, S.T. Faye, O. Sow, A. Traoré, B. Diao,P.A. Fall , C. Zeondo, Y. Sow., A. Sarr, B. Sine,A. B. of anastomotic Results urethroplasty for male urethral stricture disease rétrécissement de l’urètre masculin Résultats de l’urétrop

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Fall, A.K. Ndoye, M. Ba Thiam, S.T. Faye, O. Sow, A. Traoré, B. Diao,P.A. Fall , C. Zeondo, Y. Sow., A. Sarr, B. Sine,A. B. of anastomotic Results urethroplasty for male urethral stricture disease rétrécissement de l’urètre masculin Résultats de l’urétrop"

Copied!
5
0
0

Texte intégral

(1)

Disponibleenlignesur

ScienceDirect

www.sciencedirect.com

ARTICLE ORIGINAL

Résultats de l’urétroplastie anastomotique pour rétrécissement de l’urètre masculin

Results of anastomotic urethroplasty for male urethral stricture disease

B. Fall

, C. Zeondo , Y. Sow. , A. Sarr , B. Sine , A. Thiam , S.T. Faye , O. Sow , A. Traoré , B. Diao , P.A. Fall , A.K. Ndoye , M. Ba

Serviceurologie—andrologie,CHUAristide-Le-Dantec,Dakar,Sénégal

Rec¸ule14septembre2017 ;acceptéle16mars2018 DisponiblesurInternetle5avril2018

MOTSCLÉS Rétrécissement urétral; Post-infectieux; Urétroplastie anastomotique; Résultats

Résumé

Buts.—Évaluerlesrésultatsetidentifierlesfacteursdéterminantslaréussitedel’urétroplastie anastomotique(UA)pourrétrécissementurétral(RU)dansnotreinstitution.

Patientsetméthodes.—Nousavonseffectuéuneétuderétrospectivesurunepériodede4ans et6mois(juillet2012àdécembre2016).Toutrecoursultérieuràuneurétrotomieendoscopique ouàunenouvelleurétroplastieaétéconsidérécommeunéchec.

Résultats.—Quarante-huit cas ont été retenus. L’âge moyen des patients était de 53,5±17,3ans(23—87ans).Larétentioncomplèted’urineétaitlemotifdeconsultationdans 42cas(87,5%).L’urètrebulbaireétaitlesiègepréférentielduRU(n=45).Lalongueurmoyenne durétrécissementétaitde1,23±0,62cm(0,5à3cm)avecunemédianede1cm.L’étiologie étaitpost-infectieusedans56,3%descas.Plusdelamoitié(58,3%)despatientsavaientdéjà subiaumoinsunemanipulationurétrale.Aprèsunsuivimoyende21,1±12,6mois(1à52mois), letauxglobalderéussiteétaitde77,1%.Enanalyseunivariée,lalongueurdurétrécissement, l’âgedupatient,lescirconstancesdedécouvertedurétrécissement,lacauseetlesiègedu rétrécissement,lesantécédentsdemanipulationurétralepréalableetl’expérienceduchirur- gienn’avaientpassignificativementd’impactsurlaréussitedel’urétroplastieanastomotique àunanetàdeuxans.

Conclusion.—L’UAavaitdonnédebonsrésultatsdansnotrepratique.L’origineinfectieusedu rétrécissementetlamanipulationurétralepréalablen’avaientpassignificativementinfluésur lerésultatdecettetechniqueopératoire.

Niveaudepreuve.— 4.

©2018ElsevierMassonSAS.Tousdroitsr´eserv´es.

Auteurcorrespondant.Urology—andrology,CADuniversity,BP35354Colobane,Dakar,Sénégal.

Adressee-mail:bbcrfall@yahoo.fr(B.Fall).

https://doi.org/10.1016/j.purol.2018.03.004

1166-7087/©2018ElsevierMassonSAS.Tousdroitseserv´es.

(2)

KEYWORDS Urethralstricture;

Post-infectious;

Anastomotic uretroplasty;

Results

Objective.—Toreportourexperiencewithanastomoticuretroplasty(AU)duetomaleurethral stricturedisease(USD)andtoidentifyfactorsaffectingtheresults.

Patientsandmethods.—Weconductedaretrospectivestudyoveraperiodof4yearsand6 months(July2012toDecember2016).Anysubsequentuseofendoscopicurethrotomyornew urethroplastywasconsideredafailure.

Results.—Forty-eight caseswereincluded. Themeanage ofpatients was53.5±17.3years (23—87years). Urinaryretention was thereason for consultation in 42 cases (87.5%). The mostcommonlocalization ofUSDwas thebulbar urethra (n=45).The meanlength ofUSD was1.23±0.62cm(0.5—3cm)withamedianlengthof1cm.Theetiologywaspost-infectious in56.3%ofcases.Morethanhalf(58.3%)ofpatientshadalreadyundergoneatleastoneurethral manipulation.Afteranaveragefollow-upof21.1±12.6months(1to52months),theoverall successratewas77.1%.Inunivariateanalysis,length,causeandlocationofthestricture,ageof patient,thepresentingsymptomsofthestricture,previousurethralmanipulationandsurgeon experiencedidnotsignificantlyimpactonthesuccessrateofanastomoticurethroplastyatone andtwoyearsfollow-up.

Conclusion.—The AUhadprovidedgoodresultsinourpractice.Theinfectiousoriginofthe stricture andprevious urethral manipulation did notsignificantly impact the resultof this surgicaltechnique.

Levelofevidence.—4.

©2018ElsevierMassonSAS.Allrightsreserved.

Introduction

Lerétrécissementdel’urètre(RU)masculinestunediminu- tiondecalibreducanaldel’urètreentraînantunobstacle plusoumoinscompletàl’écoulementdesurineslorsdela miction.Cette affectionfréquentedans nosrégions, peut avoirdescomplicationsgraves[1].

Danslespaysdéveloppés,lesrétrécissementsd’origine infectieusesontennetterégressionetlesrétrécissements traumatiquespersistent[2].Danslespaysenvoiededéve- loppementles rétrécissements del’urètre sont l’apanage des causes infectieuses [3]. Au Sénégal, une étude [4] a montrélaprédominancedescausesinfectieusessuiviesdes causestraumatiques.

En dépit des progrès accomplis, le traitement de RU demeure délicat avec des résultats à distance souvent décevants[5]. Cetraitement utiliseplusieurs moyenschi- rurgicauxcommel’urétroplastieanastomotiquequiconsiste àfairel’exérèsedelaportionsténoséeetdestissusfibreux environnants suivie d’une anastomose termino-terminale [6].C’estl’unedestechniqueslesplusutiliséesauSénégal etelleyaétérarementévaluée.

L’objectif de notre étude était d’évaluer les résultats etd’identifierlesfacteursdéterminantslaréussitedel’UA dansnotrepratique.

Patients et méthodes

Nousavonseffectuéuneétuderétrospectivesurunepériode de4anset6mois(juillet2012àdécembre2016).Soixante etun patients ayant eu une UA ont été enregistrés mais treized’entreeuxontétéexclusdecetteétude(7patients perdus de vue, 3 évaluations incomplètes du résultat, 3décèsdecauseinconnue).

L’UA consistait à faire une exérèse complète de la zoneurétralesténoséeetdelaspongiofibrosesuivied’une anastomose termino-terminalesans tensionet large (spa- tulation des extrémitésurétraux). Lesparamètresétudiés étaientl’âgedespatients,lescirconstancesdedécouverte du RU, le siège, la longueur et l’étiologie du rétrécisse- ment,lesantécédentsdemanipulationurétralepréalable, l’expérienceduchirurgien(moinsde5ansdepratiqueou plus),lescomplicationspostopératoiresrapportéesselonla classificationdeClavien—Dindo[7].

L’évaluationdurésultatdel’UAaétécliniqueetradio- logique.Ainsicerésultataétéconsidérécomme:

• une réussite : le patient n’avait pas de dysurie ni de résidu post-mictionnel significatif à l’échographie sus-pubienneoul’urétrocystographierétrogradeetmic- tionnelle(UCRM) montraituncanalurétral dediamètre normal. Aucun nouveau geste (urétrotomie ou urétro- plastie) n’a été nécessaire. Lorsqu’une seule dilatation urétraleavaitpermisdemaintenirl’urètreperméable,le résultatétaitconsidérécommeuneréussite;

• unéchec:encasderéapparitiond’unedysurieoudesur- venued’unerétentiond’urineaprèsablationdelasonde urétrale.Enprésenced’unrésidupost-mictionnelsignifi- catif(plusde100cc)àl’échographiesus-pubienneoude lapersistanced’unesténoseurétraleàl’UCRM.Encasde nécessitépourmaintenirl’urètreperméabled’utiliserla dilatationurétraleplus d’unefois, d’effectueruneuré- trotomieouunenouvelleurétroplastie.

Cetteévaluationaétéfaiteà3mois,6mois,12mois, puisannuellement.L’analysedesdonnéesontétéeffectuée grâceau logicielSPSS20. Lesgraphiques ontétéélaborés sousExcel2013.Lacomparaisonaétéfaiteavecletestde Student etde Chi2 etles différences ontété considérées commesignificativessip<0,05.

(3)

Figure1. Répartitiondespatientspartranched’âge.

Tableau1 Circonstances de découverte du rétrécissement.

Circonstancesde découverte

Nombredecas Pourcentage (%)

Dysurie 6 12,5

Rétentioncomplète d’urine

42 87,5

Fistuleurétro-cutanée 2 4,2 Gangrènedesorganes

génitauxexternes

2 4,2

Figure2. Localisationsdurétrécissementurétral.

Résultats

Ainsi48casontétéinclus.L’âgemédiandespatientsétaitde 57ansavecunâgemoyende53,5±17,3ans(23—87ans).La tranched’âgelaplusreprésentéeétaitcellede60à70ans (14cas)(Fig.1).Larétentioncomplèted’urine(RCU)étaitle motifdeconsultationleplusfréquent(87,5%),suiviedela dysurie(12,5%)(Tableau1).Ledélaimoyendeconsultation étaitde16,7±22,6mois(1à120mois).L’urètrebulbaire étaitlesiègepréférentielduRUavec45cas(Fig.2et3).

La longueur médiane du rétrécissement était de 1cm et la moyenne de1,23±0,62cm (0,5—3cm).La longueurdu rétrécissement était inférieure à 1cm chez 10 patients, comprise entre 1 et 2cm chez 30 patients (62,5 %) et comprise entre 2 et 3cm chez 8 patients. Le rétrécisse- mentétaitd’origineinfectieuse(scléro-inflammatoire)dans 56,3%descasetd’originetraumatiquedans14,6%descas.

(Fig.4).Lesrétrécissementsd’origineinfectieusesiégeaient

Figure3. Rétrécissementdel’urètrebulbaire.

Figure4. Causesdurétrécissementurétral.

exclusivementauniveaubulbaire.Lamajoritédespatients (58,3%)avaientdéjàeuaumoinsunemanipulationurétrale préalable(urétrotomieendoscopique,dilatationurétraleou urétroplastie).L’UAaétéfaitepardeschirurgiensexerc¸ant depuismoinsde5ansdans64,6%descas.Descomplications postopératoiresontéténotéesdans31,2%descas.Lasup- purationdelaplaieopératoire(gradeII)étaitobservéedans 14,6% des cas. L’orchiépididymite aiguë (gradeII) venait endeuxièmeposition(8,4%)suiviedulâchagedesfilsdes sutures cutanées et urétrales (grade IIIb) dans 2,1 % des cas etde l’infiltration œdémateuse (grade I)des bourses (2,1%). Lescomplicationstardives étaientfaites dedeux casdecouduredelaverge(4,2%).

Aprèsunsuivimoyende21,1±12,6mois(1à52mois), lerésultatdel’urétroplastieétaituneréussitedans77,1% descas(Fig.5).Enanalyseunivariée,lalongueurdurétré- cissement (jusqu’à 1cm contre supérieure à 1cm), l’âge dupatient(jusqu’à 60ans contreplusde60 ans),lescir- constances de découverte du rétrécissement (découverte austadedysurie contre stadedecomplications), lacause et le siège du rétrécissement, les antécédents de mani- pulation urétrale préalable et l’expérience du chirurgien n’avaientpassignificativementd’impactsurlaréussitede l’urétroplastieanastomotiqueàunanetàdeuxans.

(4)

Figure5. Courbed’évolutiondutauxderéussite.

Discussion

Nous avonsinclus 48 cas d’urétroplasties anastomotiques (UA).Dansnotresous-régioncettetechniqued’urétroplastie estlaplusutilisée dansle traitementdesrétrécissements del’urètre(RU) [8]du faitqu’elle est adaptéeau traite- mentdesRUcourtsetpermetd’obtenirdebonsrésultats fonctionnels[9].

En Afrique subsaharienne, le RU est une affection qui concerne surtout l’adulte de moins de 60 ans [3,4,10] à causedelaprédominancedes causesinfectieusesettrau- matiques.Eneffet,lesurétritesaiguësrépétéeset/oumal traitées contractées plus tôt peuvent se compliquer plu- sieursannées aprèsparunRU. Parailleurs, cettetranche estlaplusprofessionnellementactiveetdoncplusexposée auxaccidents de lavoie publique oudetravail. Plusieurs étudesfaitesdansdespaysdéveloppésconcernaientmajo- ritairementdespatientsâgésdeplusde60ans[11].Eneffet danscespays,lerétrécissementdel’urètreestsouventune complication de la chirurgie endoscopique trans-urétrale [2,12], alors que les causes infectieuses ysont devenues rares[2,13].

Dans notre étude, le RU siégeait au niveau bulbaire dans 93,8 % des cas. Plusieurs auteurs ont constaté que l’urètre bulbaire est le siège préférentiel des rétrécisse- mentsd’origine infectieuse [3,4,14].Cette prédominance s’expliqueparlefaitqu’aucoursdecesurétritesaiguësà répétitionoumaltraitées,ils’installeuneréactioninflam- matoirechroniqueauniveaudelamuqueuseurétrale.Cette inflammation s’étend au tissu spongieux riche en glandes péri-urétrales.Lessegmentsurétrauxrétroméatiqueetbul- baire sont plus riches en glandes péri-urétrales d’où la prédominance des réactions inflammatoires et donc des rétrécissementsséquellairesauniveaudecessegments.

Nousn’avons pas trouvé decorrélation entre le siège, l’étiologiedurétrécissement etlerésultat etlacausedu rétrécissement.Roehrborn etMcConnell ontrapporté que lesrésultatsétaientdépendantsdusiègedelasténosequi était à son tour dépendant de l’étiologie [15]. Selon Suh etal.[16],lesrésultatsdutraitementdesrétrécissements post-traumatiquessontmeilleursparrapportauxrétrécis- sementsdecausesnontraumatiques.Àleuravis,dans les RUpost-traumatiques,laspongiofibrosesedéveloppepro- bablement de l’extérieur vers l’intérieur. Ce qui permet d’identifierplusfacilementl’étendue durétrécissementà

n’ontpastrouvédecorrélationsignificativeentrelacause du rétrécissement et le résultat de l’urétroplastie [12].

L’influencedel’étiologiesurlesrésultatsdel’urétroplastie anastomotique est donc controversée. Il enest de même del’impact des manipulationsurétrales préalables surles résultatsdel’UA[6,15,17].Dansl’étudedeBarbaglietal., le faitque59 %des patientsavaienteuunemanipulation urétralepréalablen’apasempêchéd’obtenir90,8%debons résultatsaprèsunsuivimoyende68mois[13].

Nousn’avonspastrouvédedifférencesignificativeentre lesrésultatsdesrétrécissementsdemoinsd’uncmdelong etceuxdesRUlongsde2à3cm.Lalongueurdurétrécis- sementurétraladaptéeàl’UAestunsujetdecontroverses.

Michelietal.danssonétudesur74rétrécissementsurétraux longsde0,5à3cmavaientobtenudebonsrésultatsdans 93 % des cas [18]. Morey et Kizer ont comparé les résul- tats des UApour des RU bulbaires inférieurs à 2,5cm de longetàceuxdesRUbulbairessupérieursà2,5cmdelong.

Ilsontobtenudesrésultatscomparablesetontconcluque dessujetsjeunesdesRUbulbairesdejusqu’à5cmdelong peuventêtretraitésparUA[19].Cettetechniqueestdonc adaptéeau traitementdesRUcourtsavecpossibilité pour l’urètrebulbaire,dufaitdesesparticularitésanatomiques, detraiteravecsuccèsdesrétrécissementslongs.

Nousn’avonstrouvédifférencesignificativedestauxde réussite enfonction de l’expérience des chirurgiens dans la pratique de la chirurgie urétrale. Barbagli et al. ont évalué lesrésultats de 165 urétroplastiesanastomotiques effectuéesen19ansetn’onttrouvéaucunedifférencesigni- ficativesurlelongtermeentrelesrésultatsdes25premiers casqu’ils onttraitéau débutdeleurapprentissageetles 25 derniers cas traités. Ils ont conclu que l’urétroplastie anastomotique est une procédure simple qui ne requiert pas une trop grande expertise chirurgicale [14]. Elle per- metd’obtenir de bonsrésultats. Cependant,le succèsde cette technique dépend de sa bonne exécution (excision complètedelafibroseurétraleetdestissusenvironnants, suture large, sans tension et extrémité à extrémité de l’urètre).Nousavonseudeux casd’échecs précocesdans les trois premiers mois postopératoires. Habituellement, l’échecprécocereprésenteunproblèmetechnique.Saprin- cipalecauseestuneexcisioninsuffisantedurétrécissement urétral, une mobilisation incomplète de l’urètre et une suture sous tension[20,21].La dégradation rapidede nos résultatsentreladeuxièmeetlacinquièmeannéedesuivi (Fig.5)doitnousameneràessayerd’autrestechniqueschi- rurgicalesutiliséesdansletraitementdessténosescourtes de l’urètreavecde bonsrésultats à long terme. Eneffet l’urétroplastiesanstranssectionducorpsspongieuxdonne de bons résultats dans les sténoses non traumatiques de l’urètre bulbaire [22]. Ilen est de même des urétroplas- tiesaugmentéesutilisant ungreffondemuqueusebuccale qui donne de meilleurs résultats que le greffon de peau pénienne[23].

Conclusion

L’urétroplastie anastomotique donne des résultats satis- faisants dans notre pratique. L’étiologie infectieuse du

(5)

RU,lesantécédentsdemanipulationurétralepréalableet l’expérienceduchirurgienn’ont pasété significativement déterminantsdansl’obtentiond’unbonrésultat.

Déclaration de liens d’intérêt

Lesauteursdéclarentnepasavoirdeliensd’intérêts.

Références

[1]FallB,DiaoB,FallPA,DialloY,SowY,OndongoAAM,etal.

Lesurgencesurologiquesenmilieuhospitalieruniversitairesà Dakar:aspectsépidémiologiques,cliniquesetthérapeutiques.

ProgUrol2008;18:650—3.

[2]Fenton AS, Morey AF, Aviles R, Garcia CR. Anterior urethral strictures: etiology and characteristics. Urology 2005;65:1055—8.

[3]HeynsCF,VanderMerweJ,BassonJ,VanderMerweA.Etiology ofmaleurethralstricturesevaluationoftemporalchanges ata single center,and review of theliterature. Afr JUrol 2012;18:4—9.

[4]FallB,SowY,MansouriI,SarrA,ThiamA,DiaoB,etal.Etiology andcurrentclinicalcharacteristicsofmaleurethralstricture disease:experiencefromapublicteachinghospitalinSenegal.

IntUrolNephrol2011;43:969—74.

[5]Steenkamp JW, Heyns CF, de Kock ML. Internal ure- throtomy versus dilation as treatment for male urethral strictures: a prospective, randomized comparison. J Urol 1997;157(1):98—101.

[6]Culty T, Ravery V, Boccon-Gibod L. Les sténoses post- traumatiques de l’urètre : à propos de 105 cas. Prog Urol 2007;17:83—91.

[7]MitropoulosD,ArtibaniW, GraefenM,RemziM,Rouprêt M, TrussM.Reportingandgradingofcomplicationsafterurologic surgicalprocedures:anadhocEAUguidelinespanelassessment andrecommendations.EurUrol2012;61:341—9.

[8]SikpaKH,KpatchaTM,TengueKK,Sewa EV,BotchoG, Sou- manou F, et al. L’urétroplastie par résection anastomose terminoterminale pour rétrécissement de l’urètre masculin au CHU Sylvanus Olympio de Lomé au Togo. Afr J Urol 2016;22:273—8.

[9]Morey AF, Watkin N, Shenfeld O, Eltahawy E, Giudice C.

SIU/ICUDconsultationonurethralstrictures:anteriorurethra primaryanastomosis.Urology2014;83:S23—6.

[10]GuirassyS,SimankaNF,SowKB,BaldeS,BahI,DiabateI,etal.

L’urétrotomieinterneendoscopiquedansletraitementdessté- nosesdel’urètremasculinauserviced’urologieduCHUIgnace Deen.AnnUrol2001;35:167—71.

[11]SantucciRA,MacAninchJW,MarioLA,RajpurkarA,ChopraAK, MillerKS,etal.Urethroplastyinpatientsolderthan65years:

indications,results,outcomesandsuggestedtreatmentmodi- fications.JUrol2004;172:201—3.

[12]Jarry L, Ravery V,DachéA, Hermieu JF, Egrot C,OuzaidI.

L’urétroplastieparrésection-anastomoseenuntemps:impact dumécanismelésionnelsurlapriseenchargeetlesrésultats.

ProgUrol2017;27:184—9.

[13]BarbagliG, DeAngelis M,Romano G, Lazzeri M. Long-term followup ofbulbarend-to-endanastomosis:a retrospective analysisof153patientsinasinglecenterexperience.JUrol 2007;178:2470—3.

[14]Dje K, Coulibaly A, Coulibaly N, Sangare IS. L’uretrotomie interneendoscopiquedansletraitementdesrétrécissements del’urètreacquisdunoirafricain:àproposde140cas.Med AfrNoire1999;46(1):56—61.

[15]RoehrbornCG,McConnellJD.Analysisoffactorscontributing tosuccessorfailureof1-stageurethroplastyforurethralstric- turedisease.JUrol1994;151:869—74.

[16]SuhJG,ChoiWS,PaickJS,KimSW.Surgicaloutcomeofexci- sionandend-to-endanastomosisforbulbarurethralstricture.

KoreanJUrol2013;54(7):442—7.

[17]Lumen N, Hoebeke P, De Troyer B, Ysebaert B, Ooster- linckW.Perinealanastomoticurethroplastyforposttraumatic urethralstricturewithorwithoutpreviousurethralmanipula- tions:a reviewof61caseswithlong-termfollow-up.JUrol 2009;181:1196—200.

[18]MicheliE,RanieriA,PeracchiaG, LemboA.End-to-endure- throplasty:long-termresults.BJUInt2002;90:68—71.

[19]MoreyAF,KizerWS.Proximalbulbarurethroplastyviaexten- ded anastomotic approach what are the limits? J Urol 2006;175:2145—9.

[20]Jezior JR, Schlossberg SM. Excision and primary anasto- mosis for anterior urethral stricture. Urol Clin North Am 2002;29(2):373—80.

[21]Mundy AR.Surgical atlasanastomotic urethroplasty.BJU Int 2005;96:921—44.

[22]BugejaS,AndrichDE,MundyAR.Non-transectingbulbarure- throplasty.TranslAndrolUrol2015;4(1):41—50.

[23]Barbagli G, Lazzeri M. Surgical treatmentof anterior stric- ture diseases: brief overview. Int Braz J Urol 2007;33:

461—9.

Références

Documents relatifs

QUET ( LES LONGUEURS NE SONT HELAS PAS RESPECTEES ) E XERCICE 1 : Dans chaque cas, on donne les deux extrémités A et B de l’arc.. -

Si la valvulopathie est asymptomatique et que la chirurgie non cardiaque est à risque faible ou intermédiaire, le patient peut être pris en charge à condition d’un monitorage

Le rétrécissement aortique (RA) est la valvulopathie la plus fréquente des pays développés : il se définit comme un obstacle à l’éjection du ventricule gauche localisée le

dacryocystite suppurée de l'œil droit datant de deux ou trois jours mais consécutive à une imperforation des voies lacrymales car l'enfant larmoie depuis peu de jours après

Comme nous le voyons, la coexistence de rétrécissement et de corps étranger dans l'œsophage, tout en participant aux carac¬. tères de l'un et de l'autre phénomène, amène au

Au niveau de notre structure hospitalière, les hernies étranglées étaient prises en charge, chez l’adulte, par le service de chirurgie générale [15] et chez l’enfant par le

Nous étudierons simplement l'opération elle même, puis nous indiquerons les cas où elle a été pratiquée pour les cancers du cardia et les résultats qu'elle a donnés.. C'est

La conscience religieuse moderne est caractérisée par un rétrécissement radi- cal de l’étendue de la transcendance. Les reconstructions intersubjectives et les constructions