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Produit scalaire. u = 0 u = 0. 5 u = 5 u ; - 3 u = 3 u ; u =. u. u + v = u + v u et v ont la même direction et le même sens.

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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

Produit scalaire

I/ Définitions, propriétés La norme d’un vecteur Soient u

et v

deux vecteurs.

La norme du vecteur u

est la longueur du vecteur u

se note || u

||.

Propriétés :

|| AB

|| = AB.

|| u

|| = 0  u

=0

|| 5u

|| = 5 || u

|| ; || - 3u

|| = 3 || u

|| ; || u

|| = |  | . || u

||

En général, || u

+ v

||  || u

|| + || v

||

|| u

+ v

|| = || u

|| + || v

||  u

et v

ont la même direction et le même sens.

Propriété : - || u

|| - || v

||  || u

+ v

||  || u

|| + || v

||

1/ Première définition du produit scalaire, avec la projection orthogonale u

et v

sont deux vecteurs non nuls.

O, A et B sont trois points tels que u

= OA

et v

= OB

. H est le projeté orthogonal de B sur ( OA ).

Si OA

et OH

sont de même sens, alors u

.v

= OA . OH.

v

B

u

O H A

Attention, le produit scalaire de deux vecteurs est un réel.

(2)

Si OA

et OH

sont de sens contraires, alors u

.v

= - OA . OH B

v

u

H O A

Si O et H sont confondus, alors u

.v

= 0.

Dans ce cas * les vecteurs u

et v

sont orthogonaux ( on note u

v

) * OH

= 0

.

B v

u

H = O A

On peut examiner quelques cas particuliers : Propriété : si u

et v

ont la même direction et le même sens, alors u

.v

= || u

|| . || v

||.

Propriété : si u

et v

ont la même direction et sont de sens contraires, alors u

.v

= - || u

|| . || v

||.

Démonstration : si u

et v

ont la même direction et le même sens, alors B et H sont confondus, alors OH = OB.

Comme OA

et OH

ont le même sens, u

.v

= OA . OB = || u

|| . || v

||.

v

= OB

u

= OA

O B = H A

Démonstration : si u

et v

ont la même direction et sont de sens contraires, alors B et H sont confondus, alors OH = OB.

Comme OA

et OH

sont de sens contraires, u

.v

= - OA . OB = - || u

|| . || v

||.

(3)

v

= OB

u

= OA

B = H O A

Remarque : dans tous les cas, OA

. OB

= OA

. OH

. Exercice : ABC est isocèle en A. Montrer que B C

. BA

= B C

. AC

. A Soit M le milieu de [ BC ].

M est le projeté orthogonal de A sur [ BC ] donc

B C

. BA

= BC . BM = 1 2 BC

2 B M C

et B C

. AC

= BC . BM = 1 2BC

2.

Finalement, B C

. BA

= B C

. AC

.

Vecteur nul Si v

= 0

, alors O = H, alors OH = 0, alors OA . OH = 0. On dira que u

.0

= 0.

Si u

= 0

, alors O = A, alors OA = 0, alors OA . OH = 0. On dira que 0

.v

= 0.

C’est la moindre des choses pour un produit.

Orthogonalité

Définition : deux vecteurs u

etv

sont orthogonaux si u

.v

= 0.

On note u

v

.

Pour des vecteurs non nuls, cela revient à dire que deux vecteurs sont orthogonaux s’ils forment un angle droit.

Cela revient aussi à dire que le vecteur nul est orthogonal à tout vecteur, car u

.0

= 0.

(4)

L’orthogonalité se rencontre donc dans deux cas : * si cos  = 0, c’est-à-dire si u

et v

forment un angle droit.

v

u

* si u

= 0

ou v

= 0

.

2/ Deuxième définition du produit scalaire, avec le cosinus : u

.v

= || u

|| || v

|| cos 

où  est l’angle formé par les vecteurs u

et v

( on note  = (u

,v

) ).

On démontre que ces deux définitions sont équivalentes. Voir à la fin du fichier.

Remarque : - 1  cos   1 donc - || u

|| . || v

||  u

.v

 || u

|| . || v

||.

Exemple : si || u

|| = 2 et || v

|| = 3, alors - 6  u

.v

 6.

Remarque : (u

,v

) est un angle orienté qui dépend du sens dans lequel on tourne pour aller de u

àv

. Les angles orientés ont un signe : (v

,u

) = - (u

,v

). Pour le produit scalaire, cela n’a pas d’importance car deux angles opposés ont le même cosinus : cos (v

,u

) = cos (u

,v

).

Le produit scalaire est le même dans ces deux cas : v

u

u

v

Propriété :u

.v

=v

.u

.

On dit que le produit scalaire est symétrique.

Démonstration : u

.v

= || u

|| || v

|| cos (u

,v

) = || v

|| || u

|| cos ( v

,u

) = v

.u

. En effet, les angles (u

;v

) et ( v

;u

) ont le même cosinus car ils sont opposés.

(5)

Si 0 <  < 

2 , alors cos  > 0 et u

.v

 0.

v

u

Si 

2 <  < , alors cos  < 0 et u

.v

 0.

v

u

Si u

et v

sont colinéaires et de même sens, alors  = 0 donc cos  = 1 donc u

.v

= || u

|| . || v

||.

Si u

et v

sont colinéaires et de sens contraires, alors  =  donc cos  = - 1

donc u

.v

= - || u

|| . || v

||.

Orthogonalité

Avec cette définition, on peut aussi dire que u

et v

sont orthogonaux si u

.v

= 0.

Appliquons la règle du produit nul : u

.v

= 0  u

= 0

ou v

= 0

ou cos  = 0.

On peut encore dire que u

v

u

= 0

ou v

= 0

ou u

et v

forment un angle droit.

3/ Propriétés On a vu que u

.v

= v

. u

. Le produit scalaire est symétrique.

Propriété : - 1  cos   1 donc - || u

|| . || v

||  u

.v

 || u

|| . || v

||

Propriété : ( 3 u

) .v

= 3 (u

.v

), on note 3 u

.v

. Démonstration : ( 3 u

) .v

= || 3u

|| . || v

|| cos ( 3 u

,v

)

(6)

= 3 || u

|| . || v

|| cos (u

.v

) = 3 u

.v

. Propriété : ( - 3 u

) .v

= - 3 (u

.v

), on note - 3 u

.v

. Démonstration : ( - 3 u

) .v

= || - 3u

|| . || v

|| cos ( - 3 u

,v

) = 3 || u

|| . || v

|| cos ( (u

,v

) +  )

= - 3 || u

|| . || v

|| cos (u

,v

) = - 3 u

.v

. On montre de même que (  u

) .v

=  ( u

.v

) et que u

. (  v

) =  ( u

.v

).

Propriétés : (u

+v

) . w

= u

. w

+ v

. w

u

. ( v

+ w

) = u

.v

+ u

. w

L’ensemble de ces trois propriétés porte un nom : on dit que le produit scalaire est bilinéaire.

Démonstration : plus tard.

Question: est ce que (u

.v

) . w

= (u

.w

) .v

? Question : u

,v

et w

sont trois vecteurs non nuls. Est-ce que u

.v

= u

.w

v

= w

? Définition : carré scalaire d’un vecteur : u

2 = u

.u

= || u

|| 2. Propriété : AB

2

= AB 2.

Exercice : ABCD est un carré. I est le milieu de [ AB ] et J est le milieu de [ BC ].

Montrer que ( AJ )  ( DI ).

A D

I

B C J

(7)

AJ

. DI

= ( AB

+ BJ

) . ( DA

+ AI

) = AB

. DA

+ AB

. AI

+ BJ

. DA

+ BJ

. AI

. AB

. DA

= 0 car AB

 DA

. AB

. AI

= AB . AI = 1 × 1 2 =

1

2 car AB

et AI

ont la même direction et le même sens.

BJ

. DA

= - 1

2 × 1 = - 1

2 car BJ

et DA

ont la même direction et le sens contraire.

BJ

. AI

= 0 car BJ

 AI

. Finalement AJ

. DI

= 0 + 1 2 -

1

2 + 0 = 0 donc ( AJ )  ( DI ).

Exercice : ABC est isocèle en A. Montrer que BA

. B C

= AC

. B C

. A Soit M le milieu de [ BC ].

BA

. B C

= ( BM

+ MA

) . B C

= BM

. B C

+ MA

. B C

= BM

. B C

car MA

 B C

. B M C AC

. B C

= ( AM

+ MC

) . B C

= AM

. B C

+ MC

. B C

= MC

. B C

car AM

 B C

= BM

. B C

car BM

= MC

car M est le milieu de [ BC ].

Finalement, BA

. B C

= AC

. B C

.

Les trois identités : Propriété : || u

+ v

|| 2 = ||u

|| 2 + 2 u

.v

+ ||v

|| 2 Démonstration : || u

+ v

|| 2 = ( u

+ v

) . ( u

+ v

) = u

2

+ 2 u

.v

+ v

2

= ||u

|| 2 + 2 u

.v

+ ||v

|| 2 On montre de même que

|| u

- v

|| 2 = ||u

|| 2 - 2 u

.v

+ ||v

|| 2 et que ( u

+ v

) . ( u

- v

) = u

2 - v

2.

(8)

Exercice : i

2 = ? Question: est ce que (u

.v

) 2 = u

2

.v

2

? Remarques : pour tout vecteur u

, ( - u

) 2 = u

2

u

2  0

u

2 = 0  u

= 0

. Exercice : que peut-on dire si u

2

= v

2

?

Troisième définition du produit scalaire : avec la norme u

.v

= 1 2 ( || u

+ v

|| 2 - || u

|| 2 - || v

|| 2 )

Démonstration : c’est une conséquence immédiate de || u

+ v

|| 2 = ||u

|| 2 + 2 u

.v

+ ||v

|| 2.

3/ Quatrième définition du produit scalaire : avec les coordonnées dans un repère orthonormé Dans le plan

On donne les coordonnées de deux vecteurs : u

u u

1 2

 

 et v

v v

1 2

 



Cela signifie que u

= u 1 i

+ u 2 j

et v

= v 1 i

+ v 2 j

. u

.v

= ( u 1 i

+ u 2 j

) . ( v 1 i

+ v 2 j

) = ( u 1i

) ( v 1i

) + ( u 1i

) ( v 2 j

) + ( u 2 j

) ( v 1i

) + ( u 2 j

) ( v 2 j

) = u 1 v 1 i

2 + u 1 v 2 i

. j

+ u 2 v 1 i

. j

+ u 2 v 2 j

2

= u 1 v 1 + u 2 v 2 car i

2 = j

2 = 1 et car i

. j

= 0.

(9)

Quatrième définition du produit scalaire : dans un repère orthonormé, u

.v

= u 1 v 1 + u 2 v 2 . On en déduit que || u

|| 2 = u

.u

= u 1 2 + u 2

2 puis que || u

|| = u12u22 . Cette troisième définition permet d’achever la démonstration de la bilinéarité :

(u

+v

) . w

= ( u 1 + v 1 ) . w 1 + ( u 2 + v 2 ) . w 2. = u 1 w 1 + v 1 w 1 + u 2 w 2 + v 2 w 2.

u

. w

+ v

. w

= u 1 w 1 + u 2 w 2 + v 1 w 1 + v 2 w 2. donc (u

+v

) . w

= u

. w

+ v

. w

. On démontre de la même façon que u

. ( v

+ w

) = u

.v

+ u

. w

.

Exercice : dans un repère orthonormé, on donneu

5 7

 

 et v



 

 21 15 . u

et v

sont-ils orthogonaux ?

u

.v

= 5 × ( - 21 ) + 7 × 15 = - 105 + 105 = 0 donc u

et v

sont orthogonaux.

Exercice : ABCD est un carré. I est le milieu de [ AB ] et J est le milieu de [ BC ].

Montrer que ( AJ )  ( DI ).

A D

I

B C J

Travaillons dans le repère ( B ; BA

; BC

).

Ce repère est orthonormé car ABCD est un carré.

Dans ce repère donnons les coordonnée des point utiles : A ( 0 ; 1 ) ; B ( 0 ; 0 ) ; I ( 0 ; 1 2 ) ; J (

1 2 ; 0 ).

(10)

On en déduit que AJ

1 2

1



 et que DI



 1

1 2

donc AJ

. DI

= - 1 2 +

1 2 = 0 donc ( AJ )  ( DI ).

Dans l’espace

Si u

u u u

1 2 3





et v

v v v

1 2 3





, alors u

.v

= u 1 v 1 + u 2 v 2 + u 3 v 3 .

On en déduit que || u

|| = u12u22u32

Exercice : donner la longueur de la diagonale d’un cube de côté 1.

G H

D C

E F

A B

Cherchons la longueur de la diagonale [ AH ].

Travaillons dans le repère ( A ; AB

; AD

; AE

).

Ce repère est orthonormé car ABCDEFGH est un cube.

Dans ce repère A ( 0 ; 0 ; 0 ) et H ( 1 ; 1 ; 1 ) donc AH

1 1 1





 donc AH = 12 12 12 = 3.

Remarque : on trouve le même résultat en appliquant le théorème de Pythagore dans les triangles ABF puis AFH.

(11)

Exercice : donner la longueur de la diagonale d’un pavé de dimensions 1, 2 et 3.

On trouve 12 22 32 = 14.

II/ Applications du produit scalaire 1/ La formule d’Al-Kashi

Soit ABC un triangle de côtés a, b et c.  est l’angle opposé au côté de longueur a.

BC

2

= ( BA

+ AC

) 2 = AB

2 + AC

2 - 2 AB

. AC

= AB 2 + AC 2 - 2 AB . AC . cos .

Formule d’Al-Kashi : dans un triangle de côtés a, b et c, tel que  est l’angle opposé au coté a, a 2 = b 2 + c 2 - 2 b c cos .

Remarque : si  est un angle droit, le triangle est rectangle et on retrouve le théorème de Pythagore.

Exemple : a = 4 ; b = 5 ; c = 6. Donner .

a 2 = b 2 + c 2 - 2 b c cos  donc 4 2 = 5 2 + 6 2 - 2 × 5 × 6 cos  donc 30 cos  = 45 donc cos  = 2

3 donc il y a deux solutions :   0,841 ou   - 0,841.

En degré, cela fait   48,2 ° ou   - 48,2 °.

En fait, on obtient deux triangles semblables :

b = 5

  48,2 ° a = 4

a = 4 c = 6 c = 6   48,2 °

b = 5

(12)

Exemple : a = 4 ; b = 7 ;  = 20°. Donner c.

a 2 = b 2 + c 2 - 2 b c cos  donc 4 2 = 7 2 + c 2 - 2 × 7 × c cos 20°

donc c 2 - 14 c cos 20° + 33 = 0.

Cette équation du second degré admet deux solutions : c  9,78 ou c  3,37 (   41,07 ).

c  9,8

a = 4 c  3,4 a = 4  = 20°  = 20°

b = 7 b = 7

2/ Transformation de l’expression MA

. MB

. Soit I le milieu de [ AB ].

MA

. MB

= ( M I

+ IA

) ( M I

+ IB

) = M I

2

+ M I

. IB

+ M I

. IA

+ IA

. IB

= M I

2

+ M I

. ( IA

+ IB

) + IA

. ( - IA

) = M I

2

+ M I

.0

- IA

2

= M I

2 - AB

2

2

 

 .

Propriété : l’ensemble des points M tels que MA

. MB

= 0 est le cercle de diamètre [ AB ].

Autrement dit : MA

. MB

= 0  M appartient au cercle de diamètre [ AB ].

Démonstration : Soit O le milieu de [ AB ]. O est aussi le centre du cercle de diamètre [ AB ]. Le rayon de ce cercle est AB

2 .

D’après la propriété précédente, MA

. MB

= 0  MO 2 - AB 2

2

 

 = 0  MO 2 = AB

2

2

 

  OM = R

 M appartient au cercle de centre O et de rayon R

 M appartient au cercle de diamètre [ AB ].

(13)

Cette propriété a été vue au collège : si ABM est rectangle en M, alors M appartient au cercle de diamètre [ AB ].

M

A B

Et la réciproque ? si M appartient au cercle de diamètre [ AB ], alors le triangle ABM est rectangle en M.

Au collège, cette réciproque est fausse. Enfin, elle est vraie pour tous les points du cercle sauf si M = A ou si M = B car dans un triangle, les sommets doivent être distincts.

Au collège, on dit « ( AM )  ( BM ) » ou « le triangle ABM est rectangle en M », ce qui n’a pas de sens si M = A ou M = B. En première, on peut dire « MA

. MB

= 0 », ce qui est vrai même si M = A ou M = B.

Montrons que les deux premières définitions du produit scalaire sont équivalentes Si u

= 0

ou v

= 0

, il est évident que les deux définitions donnent u

.v

= 0.

La suite concerne deux vecteurs u

etv

non nuls.

(14)

Premier cas : 0 <  < 

2 . Dans ce cas, OA

et OH

sont de même sens.

v

B

u

O H A

La première définition donne u

.v

= OA . OH.

La deuxième définition donne u

.v

= || u

|| || v

|| cos .

Dans le triangle rectangle OBH, cos  = OH OB . Remarquons aussi que || u

|| = OA et que || v

|| = OB.

On en déduit que

|| u

|| || v

|| cos  = OA . OB . OH

OB = OA . OH.

Les deux définitions du produit scalaire donnent bien le même nombre.

Deuxième cas Premier cas : 

2 <  <  . Dans ce cas, OA

et OH

sont de sens contraires.

B v

 -   u

H O A

OA

et OH

sont de sens contraires donc la première définition donne u

.v

= - OA . OH.

La deuxième définition donne u

.v

= || u

|| || v

|| cos .

Dans le triangle rectangle OBH, cos (  -  ) = OH

OB donc cos  = - OH OB . Remarquons aussi que || u

|| = OA et que || v

|| = OB.

On en déduit que

(15)

|| u

|| || v

|| cos  = OA . OB . ( - OH

OB ) = - OA . OH.

Les deux définitions du produit scalaire donnent bien le même nombre.

Troisième cas :  =  2 . cos  = 0 donc || u

|| || v

|| cos  donc la première définition donne u

.v

= 0.

O et H sont confondus donc OH = 0 donc OA . OH = 0 donc la deuxième définition donne u

.v

= 0.

Les deux définitions du produit scalaire donnent bien le même nombre.

B v

u

H = O A

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