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M. CORBINO. — Sui battimenti luminosi e sull' impossibilita di produrli ricorrendo al fenomeno di Zeeman (Sur les battements lumineux et l'impossibitité de les produire en recourant au phénomène de Zeeman). — Rend. Lincei, VIII, 5, 19 février 1899, p. 171

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Academic year: 2021

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HAL Id: jpa-00240387

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00240387

Submitted on 1 Jan 1899

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M. CORBINO. - Sui battimenti luminosi e sull’

impossibilita di produrli ricorrendo al fenomeno di Zeeman (Sur les battements lumineux et l’impossibitité de les produire en recourant au phénomène de Zeeman).

- Rend. Lincei, VIII, 5, 19 février 1899, p. 171

A. Gallotti

To cite this version:

A. Gallotti. M. CORBINO. - Sui battimenti luminosi e sull’ impossibilita di produrli ricorrendo al

fenomeno di Zeeman (Sur les battements lumineux et l’impossibitité de les produire en recourant au

phénomène de Zeeman). - Rend. Lincei, VIII, 5, 19 février 1899, p. 171. J. Phys. Theor. Appl.,

1899, 8 (1), pp.436-437. �10.1051/jphystap:018990080043601�. �jpa-00240387�

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436

vibration du rayon est inférieure à celle de la vapeur absorbante, c’est

le rayon qui tourne dans le sens du courant qui est le plus absorbé

et inversement.

Ceci est conforme aux expériences de Zeeman et Kônig.

Partant de la formule :

où p mesure la rotation du plan de polarisation dans le sens du courant magnétisant, l l’épaisseur du milieu traversé, n son indice de réfrac- tion pour la lumière de longueur d’onde dans le vide h, H l’intensité du champ, et enfin A une constante qui mesure l’effet Zeeman,

M. Corbino démontre que les résultats s’expliquent comme consé-

quence du phénomène de Zeeman, en admettant que la courbe d’ab-

sorption pour un rayon circulaire en fonction du nombre de vibra- tions soit identique à celle des indices de réfraction, à un déplacement parallèle près; ce qui revient à dire que les deux quantités sont

fonction des mêmes paramètres.

S’appuyant ensuite sur l’hypothèse fondamentale de la théorie de la dispersion anomale de Helmholtz (I1.IRCHOrF, Mathematische

Optik, Leipzig, 1891, p. 172), il montre que le phénomène qu’il a

observé doit être symétrique.

Il montre enfin que, si la lumière incidente n’est pas polarisée parallèlement ou normalement aux lignes de force, doivent se mani-

fester les phénomènes de double réfraction signalés par Voigt.

A. GALLOTTI.

M. CORBINO. 2014 Sui battimenti luminosi e sull’ impossibilita di produrli ricor-

rendo al fenomeno di Zeeman (Sur les battements lumineux et l’impossi-

bitité de les produire en recourant au phénomène de Zeeman). 2014 Rend. Lincei, VIII, 5, 19 février 1899, p. 171.

Righi (1) a montré le premier la possibilité de réaliser, par l’inter- férence des rayons lumineux de différentes périodes, un phénomène analogue à celui des battements sonores. M. Corbino montre que

l’expérience du déplacement des franges signalé par Foucault et

Fizeau, quand on déplace parallèlel11ent à lui-même un miroir de Fresnel, peut s’interpréter ainsi.

(1) J. de Phys., ?e série, t. tl, p. £37 ; 1883.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018990080043601

(3)

437 M. Righi a montré qu’on pourrait théoriquement réaliser des bat- tements lumineux en faisant interférer la lumière des deux raies extérieures obtenues dans le phénomène de Zeeman (la raie moyenne étant éteinte par un nicol parallèle aux lignes de force du champ).

M. Corbino montre que pratiquement l’expérience est irréalisable,

parce que le raisonnement suppose la source lumineuse réduite à un

point vibrant unique, alors qu’en réalité, avec les sources pratiques,

les différentes parties donneraient des maxima et des minima qu’il

est impossible de faire coïncider.

A. GALLOTTI.

E. VILLARI. 2014 Sulpotere réfrigérante dei gas attraversati dalle scintille ellettriche

e sul diffondersi del fumo nei medesimi (Sur le pouvoir réfrigérant des gaz traversés par des étincelles électriques et sur la façon dont s’y répand la fumée

-

Acc. Sc. di Bologna, 16 janvier 1898.

M. Villari a déjà signalé (1 ) le fait qu’une spirale de platine rougie

par un courant est visiblement refroidie, si on fait jaillir de fortes

étincelles dans le voisinage. Il a entrepris sur cette expérience des

mesures, en déterminant les variations de résistance produites par la variation de température sur la spirale de platine, placée dans

une cloche de verre où on peut faire jaillir des étincelles au-dessus de la spllère.

Le refroidissement dépend du gaz placé dans la cloche et de l’intensité du courant qui rougit la spirale. La présence d’un demi-

cylindre de verre en dessus ou en dessous de la spirale influe égale-

ment.

M. Villari pense que l’action de l’étincelle est domble; elle peut réchauffer la spirale par rayonnement et elle peut la refroidir par contact, par suite du déplacement brusque des molécules de gaz

qu’elle détermine dans la cloche. C’est, en général, la seconde action

qui est la plus intense, surtout si rien ne sépare la spirale de la région

où se produit l’étincelle.

Le fait du déplacement produit sur le gaz est facile à mettre en évi- dence en introduisant dans la cloche un peu de fumée de tabac ; elle s’y dispose en couche horizontale plus ou moins élevée suivant la

nature du gaz ; mais, quand l’étincelle se produit, elle se répand brus- quement dans toute la cloche.

_-

A. GALLOTTI.

(1) R. Isli di Napoli, 6 août 1896.

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