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Effet Raman du monocristal Cr2O7K2 laser He-Ne

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(1)

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Effet Raman du monocristal Cr2O7K2 laser He-Ne

Dang Vinh Luu, Robert Lafont

To cite this version:

Dang Vinh Luu, Robert Lafont. Effet Raman du monocristal Cr2O7K2 laser He-Ne. Journal de

Physique, 1970, 31 (1), pp.85-92. �10.1051/jphys:0197000310108500�. �jpa-00206882�

(2)

EFFET

RAMAN

DU

MONOCRISTAL Cr2O7K2

LASER He-Ne

Par MM. LUU DANG VINH et ROBERT

LAFONT,

Laboratoire de Spectroscopie I, Département de Physique Cristalline, Faculté des Sciences, Montpellier.

(Reçu

le 8

juillet 1969.)

Résumé. 2014 L’étude

complète

de l’ion libre

Cr2O-7-

et du monocristal montre une bonne concordance avec la structure

proposée

par Brandon

[12] :

le dédoublement

systématique

des

fréquences

cristallines du

pont

Cr-O-Cr confirme la

présence

du centre de

symétrie

et fait

admettre le groupe

spatial

P1 ou Ci.

Abstract. 2014 The

complete study

of the free ion

Cr2O--

and of the

single crystal

shows a

good

concordance with the

crystal

structure

proposed by

Brandon

[12] :

the

splitting

observed

of the

crystal frequencies

for the

bridge

Cr-O-Cr corroborate the presence of a symmetry center and

gives

the space group

P1

or Ci.

JOURNAL PHYSIQUE 31, JANVIER

1. Introduction. - Les cristaux de

Cr.07K2,

variété

triclinique

de couleur rouge

orangée,

très stables à la

température ambiante,

sont les

plus

faciles à obtenir

et

peuvent

atteindre des dimensions assez

importantes (5

à 6

cm3) ;

les cristaux de

Cr,07K. présentent

souvent

des défauts de croissance sur la face

(001) :

Shubnikov

et ses collaborateurs

expliquaient

cette anomalie

comme

conséquence

de l’absence de centre de

symé-

trie

[1], [2].

Cette

hypothèse

d’hémiédrie

triclinique

a soulevé de vives

répliques

dans les travaux de Ste-

dehonder, Terpstra [3], Schoep [4], Ellings [5],

Greenwood

[6], Hettich,

Scheleede

[7]

et Schnei-

der

[8]

par étude des

figures d’attaque

et du défaut

de

piézoélectricité;

les résultats de ces travaux militent

en faveur de l’holoédrie

triclinique.

Ce défaut de croissance n’est-il pas dû surtout aux

conditions

expérimentales ?

En

effet, après

avoir étudié l’influence de

pH

de la solution mère sur la

qualité

et la forme extérieure du

cristal,

nous avons obtenu

en

ajustant

le

pH

à environ

2,50

un monocristal de 3 cm3

environ, exempt

de tout défaut

apparent,

la face

(001) paraît

tout à fait normale. Par

conséquent, l’hypothèse

d’un centre de

symétrie

nous

paraît

la

plus

vraisemblable et c’est dans cette

hypothèse

que

nous avons attribué nos résultats

expérimentaux qui

concordent bien avec les

prévisions théoriques [10], [11].

Enfin,

tout

récemment,

Brandon

[12]

étudiant la structure par la diffraction de R. X confirme le groupe

spatial

PI ou Ci de

Cr,07K..

II. Méthode

expérimentale. - a)

DONNÉES CRISTAL-

LOGRAPHIQUES ET OPTIOUES DE

Cr2o7K..

- Les don-

nées

cristallographiques publiées

par Brandon sont les suivantes

[12],

et les données

optiques [13] :

système : triclinique;

groupe

spatial : Pl, Ci;

nombre

de molécules par maille Z = 4.

FIG. 1.

b)

MONTAGE RAMAN. - Le

montage

est un

montage

transversal

classique.

Le faisceau incident vertical fourni par un laser de 3 mW traverse

plusieurs

fois le

cristal

grâce

à un

système optique

de réflexions mul-

tiples.

Le volume illuminé déterminé par le faisceau laser est

parallèle

à la fente du

spectrographe

à

prismes

Huet

type

B

II, réglé

pour 5 900-7 500

À.

Les

spectres

obtenus dans des conditions a

priori

peu favorables

(source

de faible

puissance, spectrographe

peu lumi-

neux, faible sensibilité

chromatique

des

plaques

com-

merciales)

sont

cependant

très intenses. Ces résultats sont obtenus

grâce

au concours de deux circonstances

spéciales : propriété

de la source, car la focalisation du faisceau laser augmente l’intensité

diffusée;

et une

excitation

proche

de la résonance

optique [14], [15~.

Pour l’excitatrice 6 328

Á,

le taux

d’absorption

de

Cr207K2

est de 65

%.

Le maximum

d’absorption 100 %

se trouve vers 5

000 A,

ce

qui explique l’augmentation

sensible de l’intensité des raies

positives.

Le cristal taillé en cube

parallèle

aux axes des

indices, poli,

est fixé sur un

dispositif goniométrique

permettant

d’obtenir les 6 cas d’orientation par

rapport

au trièdre de référence. La lumière diffusée est ensuite

décomposée

en deux composantes 1 et 1 par une bilame de mica

(~

=

0,324 pL)

suivie d’un

analyseur

en

polaroïd

dont

ta polarisation

est orientée

perpendi-

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:0197000310108500

(3)

86

~

PHOTO 2

culaire à l’arête du

prisme.

Les

composantes

1 et

I,

transmises

intégralement

par les

prismes,

sont enre-

gistrées

sur le même

spectre,

dans les mêmes conditions.

Le

dépouillement

de 24

spectres

se fait au micro-

photomètre Chalonge (photos 1,

2 et

3).

III.

Étude

de l’ion libre

Cr,07

- L’ion

peut

être

représenté

par le

pont °3Cr-0-Cr03

formé

par la mise en commun d’un

oxygène

de deux tétra- èdres

Cr04.

Il

appartient

au groupe de

symétrie C2v [9], [10], [16] :

l’axe binaire

C2

suivant

OZ,

deux

plans

am

(XZ)

et 6v

(YZ).

Le dénombrement

( fig. 2)

donne 27 vibrations fonda- mentales :

8A,

+

5A, + 8B, + 6B2;

soit 21 vibrations fondamentales internes :

7B,

-~-

4A2 -~- 6B1

+

4B2,

toutes actives en Raman.

On associe à

chaque

vibration fondamentale une

coordonnée d’un autre

type

que les coordonnées car- tésiennes de

déplacement.

Ces nouvelles coordonnées

seront au nombre de

(3n

-

6),

ou

plus

s’il existe une

redondance

cyclique

ou locale : soit 21 coordonnées internes

qui

sont des variations de liaison ou des variations des

angles valencielles,

soit 21 coordonnées

symétriques qui

sont des combinaisons linéaires des coordonnées internes.

Toutes les coordonnées internes sont

indépendantes,

à

l’exception

des oc et

des ~ qui

sont liés entre eux

par les relations ~ :

^ ^

où A et B

représentent

les

angles OCrO;

et

Oiêroi

au repos.

Soumettons ee aux

opérations

du groupe, leur caractère est

(2020).

Nous voyons

que -q

intro-

PHOTO 3

FiG. 2.

(4)

duit

lAI

et

1B1

en

trop

entre les

fréquences correspondantes

à (x et

~.

D’où on a l’attribution suivante

(tableau 1) :

TABLEAU 1

Les 21 coordonnées

symétriques

définies par :

(où s

= coordonnées

internes;

N = facteur de

normalisation)

sont :

(5)

88

Nous avons

également

élaboré un programme de calcul de

fréquences

par la méthode de

Wilson,

sur

l’ordinateur IBM 360.

L’énergie potentielle

utilisée

est du

type

U.B.

qui

est une fonction des coordonnées internes décrites ci-dessus et des

déplacements sqij

entre

les atomes non liés. La matrice G est déterminée par G = B. M-1

B’,

M-1 est une transformation dia-

gonale

des masses

atomiques réciproques

et B la

transformation des coordonnées cartésiennes en coor-

données internes. Les constantes de force

U.B., qui

ne sont pas connues à

l’avance,

sont évaluées

approxi-

mativement par

comparaison

avec des structures ana-

logues.

Par

conséquent,

les racines de

l’équation

séculaire ne seront pas exactement

égales

aux fré-

quences

expérimentales

observées. On cherche une

correction sur les constantes de

force,

de telle sorte

que vo - BJe = 0 en utilisant un raffinement par la théorie des

perturbations

de

premier

ordre. Les détails

de calcul

largement exposés

dans

[17]

et les résultats obtenus concordent bien avec les valeurs

expérimen-

tales et

justifient

l’attribution

précédente.

IV.

Étude

du

monocristal.

- Le cristal

appartient

au

système triclinique

dont le groupe

spatial

est Pl

ou Ci avec Z = 4 par maille

[12].

La structure nous

montre que les atomes sont tous en

position

1

(notation

de

Wyckoff).

Les

groupements

K+ et

Cr,O, possèdent

la

symétrie

de site

CI,

On a : 11 X 4 X 3 - 3 = 129

fréquences

cris-

tallines.

Les

fréquences

internes

provenant

des

couplages

des

vibrations fondamentales de 4 ions sont au

nombre de 21 X 4 =

84, réparties

comme suit :

Seules les

42g

sont actives en Raman. Il reste donc

45 vibrations externes

provenant

des translations des

Cr20i-,

des

K+,

et des

pivotements

des

24g +

21u. Le tableau de caractère du groupe Ci

(tableau II) :

TABLEAU II

Les 45 vibrations Raman externes sont

réparties

en 18 translations et 6

pivotements,

de

type

g. Toutes les vibrations actives en Raman sont de même

type g

dont les éléments du tenseur de

polarisabilité

sont tous

quelconques.

V. Attributions. - Les attributions des

fréquences expérimentales

seront immédiates si l’on considère que la

pyramide 0-CrO,

est la déformation du tétraèdre

Cr04

en tirant l’un des

oxygènes parallèlement

à

l’axe La diminution de

symétrie

provoque l’écla- tement des

fréquences

de

dégénérescence :

les vibra-

tions fondamentales de valence et de déformation de

Cr03 (avec

Cr-0 =

1,63 Á, OCrO = 1060)

pro- venant de celles de

Cr04,

se

groupent respectivement

dans les

régions

900 cm-1 et 360 cm-1.

La forte individualité des

groupements Cr03

se

traduit dans les

spectres

cristallins par des

fréquences

extrêmement intenses. D’autre

part,

les vibrations de valence et de déformation du

pont

Cr-O-Cr

(Cr-0

=

1,79 À,

CrOCr =

124°) correspondent

aux fré-

quences nettement

plus faibles,

vers 500-700 cm-’ et

220 cm-1.

(6)

Dans la maille

élémentaire,

les quatre « molécules » identifiées aux

quatre

ions

Cr20i- [1], [2], [3]

et

[4J

sont

couplées

deux à deux :

- les

groupements [1]

et

[3]

par le centre i de coordonnées

(0, 1/2, 1/2) possèdent

un même

tenseur,

- les

groupements [2]

et

[4]

par le centre i

(1~2, 1/2, 1/2)

ont un autre tenseur,

en

prenant

OXYZ

parallèles

aux axes de

l’ellipsoïde

des indices OZ

Il np.

Les

systèmes

d’axes o, u, v, w liés aux molécules sont définis par :

Les formules de

changement

d’axe :

nous donnent successivement :

A ,n

.

d’où les tableaux d’intensité

correspondants :

(7)

90

a)

VIBRATIONS INTERNES. - Les vibrations internes cristallines

provenant

des

couplages

entre deux oscil-

lations fondamentales de même

fréquence

des ions

Cr207 - peuvent

être attribuées

systématiquement

par la

comparaison

des tableaux d’intensité

expérimentaux

avec ceux

prévus

ci-dessus.

Pour le

pont

Gr- 0-Gr. - Les vibrations

symétriques

de valence Cr-0

provenant

de l’oscillation fondamen- tale de

type AI

se dédoublent en deux

fréquences

internes actives en Raman de

type

g.

Les mesures d’intensité sur

plaques photographiques

sont assez

imprécises,

ainsi nous

préférons

mentionner

l’ordre de

grandeur

par les lettres : FF

(très forte,

d =

Log (Et)

de la raie >

2,50), F (forte 2,50), f (faible d 1), ff (d « 1).

La vibration

antisymétrique

de valence

Cr-0, B1

donne deux

fréquences

internes

rapportées

aux

molécules

[1, 3]

et

[2, 4] :

La vibration de déformation du

Cr-O-Cr, Ai

se

dédouble en deux

fréquences :

Pour les

groupements Cr03’

- Les vibrations

symé- triques

de valence Cr-0

provenant

de -~-

1BI

donneront 4

fréquences

cristallines suivantes :

891 cm-1 très faible

épaulement

sur 916.

Les vibrations

antisymétriques

de valence Cr-0 :

1A1 + 1A2 --~- 1B1 + 1B2

se dédoublent en 8 vibra-

tions 9 :

Les vibrations de déformation

symétrique lAI + 1BI

donnent 4

fréquences ;

deux seulement sont identifiées

vu la faible

dispersion

du

spectrographe :

(8)

Les vibrations de déformation

antisymétrique

donne deux vibrations g. L’identification par le tableau

lAi

--(-

lA2

-~-

~B2

donnent 8

fréquences; 4

sont d’intensités nous

permet

les attributions à :

identifiées :

Pivotement autour de 0 W :

Les vibrations de balancement

parallèles

et perpen- diculaires au

plan

am, de

Cr03 provenant

de

1 Ai + lA2

-~- -~- 1B2

devront donner 8

fréquences.

Sur les

spectres,

on n’observe pas des raies bien définies mais

plutôt

une «

pléiade »

de raies dont les maxima sont :

280-290-302-320-335 et 340 dans les six cas d’orien- tation du cristal. Par contre, les vibrations de torsion de

Cr03 provenant

de

1A2

et

1B2

se dédoublent

en 4

fréquences :

b)

VIBRATIONS EXTERNES. - Les vibrations externes

s’obtiennent en associant les mouvements d’ensemble des ions

Cr,O- -

et K+ soit

symétriquement

par

rapport

au centre de

symétrie,

soit

antisymétriquement.

Elles

sont au nombre de 24 de

type g

actives en Raman.

Ces mouvements se

décomposent

en des

pivotements

des

groupements polyatomiques

autour de

leurs axes et en des translations de centre de

gravité.

En

général,

les

pivotements

donnent des raies

plus intenses,

car les forces mises en

jeu

sont d’un autre

ordre de

grandeur

que celles intervenant dans les mouvements de

translation,

d’où les attributions sui- vantes : le dénombrement

prévoit

6

fréquences

de

pivotement provenant

des torsions de faible

amplitude

des

Cr20i-

autour de leurs axes et 18

fréquences

de

translation des ions.

Le

pivotement

autour de OW provenant de

1 A,

Pivotement autour de 0 v :

Pivotement autour de OU :

En ce

qui

concerne les vibrations externes de trans-

lation,

il a été

prévu

18

fréquences,

6 seulement ont

pu être

identifiées;

vu la faible

dispersion

du

spectro-

graphe,

l’identification de 18

fréquences

dans un do-

maine restreint du

spectre

devient aléatoire.

Translation

parallèle

à 0 W :

Translation

parallèle

à 0 V :

1 1

Translation

parallèle

à OU :

d’où le tableau

synoptique.

(9)

92

TABLEAU

SYNOPTIQUE

Conclusion.

- Les dédoublements

systématiques

des

fréquences

observées sont en bonne concordance

avec les

prévisions théoriques

basées sur la structure

donnée par Brandon

[12] :

la

présence

d’un centre

de

symétrie

est donc indiscutable comme nous l’avons

proposée [11].

Les résultats

expérimentaux

révèlent

que les

groupements CrO 3conservent

une forte indi- vidualité et que le

pont

Cr-O-Cr

possède

bien la

symétrie C2V.

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