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K. OLZEWSKI. — Ueber die Dichte des flüssigen Methans sowie des verflüsigten Sauerstoffs und Stickstoffs (Sur la densité du formène, de l'oxygène et de l'azote liquides) ; Wied. Ann., t. XXXI, p. 58; 1887

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HAL Id: jpa-00238908

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00238908

Submitted on 1 Jan 1888

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K. OLZEWSKI. - Ueber die Dichte des flüssigen Methans sowie des verflüsigten Sauerstoffs und

Stickstoffs (Sur la densité du formène, de l’oxygène et de l’azote liquides) ; Wied. Ann., t. XXXI, p. 58; 1887

E. Bouty

To cite this version:

E. Bouty. K. OLZEWSKI. - Ueber die Dichte des flüssigen Methans sowie des verflüsigten Sauerstoffs und Stickstoffs (Sur la densité du formène, de l’oxygène et de l’azote liquides) ; Wied. Ann., t. XXXI, p. 58; 1887. J. Phys. Theor. Appl., 1888, 7 (1), pp.572-575. �10.1051/jphystap:018880070057201�.

�jpa-00238908�

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séparés par des nappes horizontales, le dédoublement étant pré-

cédé d’une én111lsion blanc/uître dans toute la masse du liquide;

1VI. Bl~imcl~-e déclare à plusieurs reprises n’avoir janlais observé

cette émulsion.

M. Blüincke a repris à son tour la mesure des tensions du

liquide Pictet; ses expériences, étendues de à 100° environ,

ont toujours donné des pressions plus grandes que celles de l’acide sulfureux pur, c’est-à-dire confirmant les expériences de

M. Rilliet. Il n’y a donc pas, comme M. Pictet l’avait annoncé, de point d’intersection entre la courbe des pressions du liquide

Pictet et celle de l’acide sulfureux.

En outre, l’auteur a mesuré les tensions de vapeur pour une

vingtaine de mélanges contenant de o, pour 10o à c¿g,6 pour i o0 d’acide carbonique. Ces expériences ont conduit 31. 131iÜncke à reprendre la mesure de la tension maximum de l’acide sulfureux de - 20° à --~- 98°,2. Les nombres qu’il donne sont d’accord avec

ceux de Regnault de - 20° à 0°, et plus grands au-dessus de zéro;

ils sont n1ên1e plus grands que ceux de Sajotchewsky aux tempé-

ratures de 65°,0 et de 38~2.

Enfin, l’auteur donne quatre nouvelles mesures de la tension de

l’ammoniaque liquide entre - 18°, 5 et + 63°, ~ et une valeur

pour l’éther à )’0°.

En présence de la différence surprenante entre les resultats de MM. Pictet et Corsepius, d’une part, et ceux de M. Rilliet et de

l’auteur, de l’autre, celui-ci exprime le désir de voir de nouvelles recherches se faire sur le même sujet, bien qu’il n’ait pas lieu de

(louter de Inexactitude de ses résultats. E. MATHIAS.

K. OLZEWSKI. 2014 Ueber die Dichte des flüssigen Methans sowie des verflüsig-

ten Sauerstoffs und Stickstoffs (Sur la densité du formène, de l’oxygène et de

l’azote liquides) ; Wied. Ann., t. XXXI, p. 58; I887.

M. 4lze~wsl~i décrit en détail les procédés qu’il emploie pour obtenir les gaz liquides sous la pression atn10sphérique. On sait qu’il produit d’abord un abaissement de température de - I JO~’

à l’aide d’éthylène liquide, au-dessus duquel il fait le vide à raidie d’une puissante machine pneumatique mise en oeuvre par un mo-

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018880070057201

(3)

teur à gaz. A cette température de 2013i5o~ tous les gaz connus,

sauf l’hydrogène, se liquéfient sous une pression de 40 à 5o aumo- sphères. Il suffit donc de mettre un tube mince cz, contenu dans le tube à éthylène b, en relation avec un gros réservoir contenant le gaz sous une forte pression. Le gaz liquéfié apparaît dans le tube a.

On peut employer deux tubes concentriques cc, a’, qui se rem- plissent tous deux de gaz liquéfié. Si l’on fait alors le vide au- dessus de l’ensemble de ces deux tubes, l’évaporation est plus ra- pide dans le tube extérieur c~ dont la paroi externe est maintenue à 150° par l’éuhylène : quand le liquide a disparu de a, il 3~ a

_

encore une certaine quantité de liquide en ~z’, protégée contre le

réchauiffemenu par la couche très peu conductrice du gaz qui rem- plit l’espace annulaire a. Le froid produit est suffisant pour que le liquide de a’ bouille doucement sous la pression atmosphérique.

Voici les températures d’ébullition, données par un thermomètre à hydrogène :

En faisant le vide d’une manière active et prolongée dans l’es-

pace cca‘, on a pu congeler l’oxyde de carbone à

-

2070, sous la pression de 1 oolllm, le formène à

-

i 8~°, 8 sous la pression de 80111111

et le bioxyde d’azote à

-

i 6~° sous la pression de 138mm de rner-

cure. La plus basse température indiquée par le thermomètre à

hydrogène a été de - 225°.

1~~I. Olzeivski a compare des thermomètres à hydrogène, à azote

et à oxygène et trouvé, dans une première et dans une seconde

série de mesures, les résultats suivants :

(4)

Il y a lieu de remarquer que le point critique de l’azote est à

1460 et qu’au voisinage iminédiat de cette température l’erreur du

thermomètre à azote par rapport au thermomètre à hydrogène n’est

encore que de -00,7; à 90 au-dessous du point critique (-g3°, 5)

l’erreur du thermomètre à bioxyde d’azote est de 2013o~,5. Si l’on

admet que, dans ces limites de température, le thermomètre à

hydrogène fournit avec rigueur la température absolue (définie par le principe de Carnot), on doit en induire par analogie que, jusque

vers la température de - 220°, qui parait être à peu près la tem- pérature critique de l’hydrogène, le thermomètre fondé sur la dila- tation de ce gaz doit donner des résultats exacts à 1 ° ou 2° près.

M. Olzewski termine son Mémoire par l’étude de la densité des gaz liquéfiés. Sa méthode consiste essentiellement à recueillir sur

l’eau, dans une cloche, le gaz fourni par 1‘’évaporation d’un volume

connu de gaz liquéfié. Ce dernier volume est mesuré dans le

tube a’ des expériences précédentes et à la température normale

d’ébullition. Voici les résultats :

R. EMDEN. - Ueber die Dampfspannungen von Salzlüsungen (Sur les tensions de vapeur des dissolutions salines); ivied. Ann., t. XXXI, p. 1$5 ; 1887.

L’atlteilr mesure par la méthode de Konowalow (’ ) les tensions

de vapeur d’un grand nombre de dissolutions salines entre 20° et

g5°. Il trouve que, quelle que soit la nature du sel dissous, la force élastique de la vapeur est représentée parla formule

Pour l’eau pure, on a

(1) KONO’VALOW, Wied. Ann., t. XIV, p. 3!~ ; 1881. Journal de Physique,

2e série, t. l, p. 188.

(5)

La diminution de a par l’addition de sel à l’eau pure varie avec la concentration, mais pas proportionnellement au poids de sel dis- sous ; tantôt la variation est plus lente (sulfate de potasse, azotate

de potasse, azotate de soude); tantôt elle est plus rapide ( chlorure

de sodium). Ces résultats sont conformes à ce que l’on savait déjà d’après les recherches d’un grand nombre d’expérimentateurs, et

en particulier de Tammann ( ~ ).

La formule (i) exprime que la force élastique d’une dissolu- tion reste toujoLCns~~°o,pontionnelle el celle de l’eau pure, quelle

que soit la tem~érccture. C’est une loi qui a d’abord été énoncée par Prinsep ( 2 ), puis par von Babo (3) dont elle porte le nom.

Cette même formule permet encore de calculer les températures

d’ébullition des dissolutions salines, mais à la condition d’admettre qu’elle s’applique jusque-là, ce que l’auteur n’a pu vérifier direc-

temen t.

Toutefois les nombres qu’il calcule ainsi sont sensiblement iden-

tiques à ceux qui ont été publiés par Legrand (4). C’est une véri-

fication a posteriori. E. BOUTY.

F. BRAUN. 2014 Untersuchungen über die Löslichkeit fester Körper und die den Vorgang der Lösung begleitenden Volumen und Energieänderungen (Recherches

sur la solubilité des corps solides et sur les variations de volume et d’énergie accompagnant la dissolution); Wied. Ann., t. XXX, p. 250; I887.

La pression modifie, comme on sait, la température de fusion

des corps. D’autre part, la fusion et la dissolution sont des phé-

nornénes analogues. On doit s’attendre à ce que la pression change

la température à laquelle une dissolution d’un sel se trouve saturée.

C’est, en effet, ce que M. Sorby (5) a découvert et M. Braun con-

firmé par les expériences dont nous allons rendre compte.

(’ ) TAMMANN, 1~’ied. Ann., t. XXIV, p. 523; 1885; Journal de Physique, 2e série, t. V, p. 489.

( 2 ) PRINSEP, voir WULL~NER, Pogg. Aniz., t. CIII, p. 529.

( 3 ) V oN BABo, Ber. der Gesellschaft ~ur Beford. der Naturwiss. Freiburg-

i-B. 17-18; 1857.

(~) LEGRAND, Ann. de Chim. et de Phys., 28 série, t. LIII, p. 4)~3; 1835.

(5) SORBY, Proceed. of tlae Royal Society, t. XII, p. 538; 1863.

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