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L e s C o n s u l a t s s u i s s e s à l ' é t r a n g e r r e ç o i v e n t l e j o u r n a l . pa

O i - g n i i c tic I » S o c i é t é i i i t e r c m i t o i i f U e β β » IiicluetrleM «lu J u r a . «!<».-» ( Ί ι : ι η ι Ι » · ( > d e c o m m e r c e , «le» ICIII'CSIIIX <Ie c o n t r ô l e

• e t Uem S y m l i o a l s p r o f e s s i o n n e l s .

Exposition nationale suisse

Lc Bureau du Coiiiité du groupe I — Horlogerie — est réuni à Genève, au- jourd'hui même. On espère que cette réunion aura pour effet d'engager le Co-<

mite central de l'Exposition à procéder à l'examen des propositions du Comité du groupe, arrêtées dans sa réunion du 12 septembre 1894, et-auxquelles, jus- qu'ici, il n'a été donné aucune suite.

A ce propos., il esl bon de dire (pie dans les milieux horlogers, on ne peut admettre comme délinilif le délai du 15 avril fixé pour les adhésions définitives de participation à l'Exposition. Tant ([non ne sera pas renseigné sur les points principaux el essentiels de l'organisation du groupe de l'horlogerie, les adhésions éventuelles ne doivent pas être transfor- mées en adhésions définitives. 11 esl donc permis de regretter les retards que le Comité central apporte à se prononcer sur les propositions qui lui ont été trans-

mises, sur sa demande, par le Comité du groupe de l'horlogerie, il y plus de six mois.

— Lc Comité central de l'Exposition a adressé aux personnes dont il sollicite le concours comme collaborateurs au journal olliciel de l'Exposition, une cir- culaire dont nous détachons les passages suivants, qui donnent le programme du journal :

Ce programme se divise comme suit :

1" partie ollieielle et générale : sciences politiques; art militaire;.2° partie indus- trielle, technique el commerciale; 3° par- tie artistique; l·

1

partie agricole: 3° ins- truction ; éducation ; économie sociale : O actualités; feuilletons: nouvelles di- verses.

Il esl assez large el compréhensif pour permettre à tous les écrivains suisses de quelque notorilé dans les divers domai-

nes de la pensée et de la production nationales, de consigner sous forme d'articles ou de mémoires le fruit.de leurs travaux concernant la Suisse el son développement intellectuel, moral el ma- tériel depuis l'Exposition nationale de I88:i.

— Le comité central,, dans sa séance du 15 mars, a décidé de proposer à la com- mission nationale les dispositions sui- vantes :

Mi ce <pu concerne'le système des récompenses : l

u

Cc système sera gra- duel, la graduation sera, du haut en bas, la suivante: a) le diplôme de médaille d'or; b) le diplôme de médaille d'argent:

c) le diplôme de médaille de bronze:

cl) la mention honorable : 2" Les médailles (or, argent et bronze) seront figurées sur les diplômes mentionnés aux lettres a b cl c de l'art. 1°. Chaque bénéficiaire de l'une des trois récompenses supé- rieures pourra se procurer* auprès du comité central, contre remboursement de la valeur, la médaille figurée sur son diplôme.

A propos des ouvriers étrangers

Des -faits récents et regrettables ont de nouveau appelé l'ai lent ion sur cette question. Elle est complexe el l'on com- prend très bien que le gouvernement, comme l'ont prouvé les paroles du pré- sident du Conseil, ne l'envisage pas ex- clusivement au point de vue économique.

En administration, en politique, j'ai eu pour ma part maintes fois l'occasion de le dire, on est obligé de compter quel- quefois avec autre chose qu'avec sa pro- pre opinion : avec l'opinion des autres.

Les intérêts créés, même à torl, les sen- timents, les passions, les erreurs sont des forces que l'on n'est pas maître de négliger.

C'est le milieu dans, lequel on opère.

Mais, ces. réserves faites, la vérité n'en est pas moins la vérité et les hommes de science n'en sont .pas moins tenus de la rappeler. C'est ce que faisait ces jours-ci le Siècle, en montrant pour la centième fois que les avantages conférés par une protection, ou une préférence quelconque, aux ouvriers, aux entrepre- neurs, aux industriels, aux agriculteurs ou aux capitalistes nationaux, départe- mentaux- ou communaux retombent fa- talement sous forme de charges et d'ac- croissement de dépenses, sur les budgets, c'est-à-dire sur les contribuables ou les consommateurs communaux, départe- mentaux ou nationaux.

Il ajoutait une autre considération : c'est (|ue si certains travaux sont laits de préférence par des étrangers, par des Italiens notamment, c'est que les Fran- çais se refusent, par une raison ou par une autre, par une répugnance crois- sante pour les lâches trop rudes par- exemple, à les accomplir. Je voudrais, à ce sujet, cilcr un l'ait qui prouve que ce n'est pas seulement en France qu'il en est ainsi.

Il y a quelques années, je traversais en bateau à vapeur le lac de Thoirne. A l'une des slations je vis embarquer une bande d'hommes dont le costume el les allures me parurent autres que ceux des gens du pays. J'appris en effet que c'étaient des Italiens, allant travailler à un chemin de fer en construction.

— Et pourquoi des Italiens, dis-je?

n'y a-t-il pas en Suisse assez d'ouvriers pour faire vos travaux?

— Oh, Monsieur, me répondit-on, pas'pour des travaux comme ceux-là.

C'est trop dur; jamais les Suisses ne voudraient s'en charger.

FRÉDÉRIC PASSY.

Extrait du Monde Kconomiqiu>.

(2)

132 XA FÉDÉRATION HORLOGERE SUISSE

Conférence sur l'économie sociale

par M. Wuarin, professeur à .l'Université de Genève

(Suite et fin.)

Initiative privée, intervention de l'.Etat, action combinée des d e u x , tels sont les trois moyens proposés. Auquel des trois donner la préférence? A celui qui, dans la circonstance spéciale, réalise le mieux le but à atteindre.

Dans tel cas. l'initiative privée est évidemment supérieure, dans tel autre Γ intervention de l'Etat. Quoiqu'il en soit, l'Etat a de stricts devoirs vis-à-vis de l'individu, celui de res- pecter sa vie et ses droits inaliénables. On a appelé cette'· tendance interventionniste, le socialisme d'Etat, que certains doctrinaires repoussent comme une nouveauté dangereuse.

L'a chose est très ancicjine et de tout temps les gouvernements en ont fait au détriment des classes laborieuses, tels sont les impôts de consommation qui pèsent dix'fois plus sur le pauvre que sur le riche. L'impôt pr'ogresif tant redouté a été appliqué depuis·longtemps, niais à rebours, il est vrai. Y a-t-il tant de dangers à cette intervention ! Sont-ce des mesures criticables que celle de la limitation de la journée de travail, celle de la réglemen- tation de l'atelier à un point de vue' hygiéni- que '. Ce que les adversaires critiquent surtout, ce sont les charges budgétaires que ces diffé- rentes mesures entraînent.

L'Etat, dit-on, est assez chargé, .cela est assurément vrai, aussi une certaine décentra- lisation est-elle absolument nécessaire, les rouages n'en marcheront que mieux. Le rôle de l ' E t a t se bornera à la surveillance de l'exécution de ses décrets, les hommes admi- nistreront et. selon l'esprit qu'ils apporteront, le résultat sera plus ou moins atteint.

Autant que possible, l'économie sociale doit s'appuyer sur l'expérience et non sur le rai- s o n n e m e n t ; il faut observer les faits et ne point aborder ces problèmes en se plaçant à un point de vue religieux ou politique. Les différences de vues, les divisions politiques, si ridicules, ne doivent point séparer les bonnes volontés. Il faut travailler d'un com- mun accord à faire aboutir la réforme sociale.

Que l'on laisse chacun libre de croire à la société de l'avenir qui lui plail, et que l'on prenne l'engagement moral de ne pas se re- fuser à un progrès social. Mais il faut se défier de tout progrés qui irait à !'encontre du bien-être g é n é r a l , comme par exemple les syndicats obligatoires, qui serait un retour au passé et par conséquent contraire au progrès général.

P o u r connaître les questions sociales, il faut rester en contact avec la démocratie et le peuple. Il ne faut point s'isoler, le commerce avec le peuple corrige bien des préjugés. Pour apprécier sainement les choses, i! faut voir de près les difficultés si nombreuses de la vie d'une famille ouvrière. Du momenl qu'il ex- iste des questions sociales, il y a aussi un devoir social. Beaucoupde personnes, égoïstes et aveugles, ne veulent pas le comprendre.

11 v a «l'inertie des satisfaits», self η l'éner- gique expression de M. Clemenceau, qui est toujours là. brutale, roc immobile, qui s'op- pose à toute réforme et arrête tous les élans.

Il y a bien des manières de pratiquer ce devoir social, les uns vont vers les questions pratiques, d'autres préfèrent l'étude théorique de ces mêmes questions. Mais il est un pro- cédé qu'il faut recommander, celui de placer de l'argent d a n s des entreprises sociales, tels que par exemple la construction de nitiisons ouvrières. Les Anglais appellent cela place- ment de philanthropie commerciale. Ne l'ou- blions pas, l'argent étant une force, quiconque en possède, doit veiller à son emploi et nous avons chacun un devoir social à remplir selon la situation que nous occupons dans la société.

Pour développer le commerce français au Mexique

Le Consul de France à Yera-Cruz fait les recommandations suivantes dont nos exporta- teurs pourront profiter.

Il insiste de nouveau s u r les indications précédemment fournies à notre Commerce d'exportation, en ce qui concerne les condi- tions de la lutte avec la concurrence étrangère et notamment sur la nécessité: 1° de produire' à bon marché en se pliant au goût et même a u x exigences des i m p o r t a t e u r s ; 2" d'envoyer de5 marchandises par 1 ' intermédiaire des commis voyageurs qui les feront valoir et recueilleront en même temps des informations et des échantillons pouvant servir à la fabri- cation des articles de vente courante ; 3°,d'ac- corder à.l'acheteur, qui offre des garanties de solvabilité, un crédit aussi long que celui que lui donne la concurrence étrangère.

M. Sempé fait connaître, à cette occasion, les procédés employés depuis quelque temps par les Belges et par les Allemands pour la création de musées commerciaux. · • Le syndical qui se forme en vue d'établir un musée commercial choisit, pour chaque contrée lointaine sur laquelle il veut obtenir, toutes les informations utiles pour favoriser le développement de son commerce et l'écou- lement de ses produits, un agent spécial avec mission de faire tous les efforts possibles pour réunir les renseignements les plus complets et les plus précis sur les produits similaires des autres p a y s , l e u r prix et le nom de l'industriel qui les a créés.

Un livre original

est celui que la librairie Delagravc vient de mettre en vente sous ce titre : IiA PROPRIÉTÉ, origine et évolution. Thèse Communiste.

par Paul Lafargue : Réfutation , par Yves Guyot. — Ce livre, en partie double, comme on le voit, est précédé de la note explicative suivante :

Avertissement (le l'éditeur.

On s'étonnera peut-être de rencontrer dans ce volume deux éludes contradictoires sur une même question. Je dois au public l'explication de celte anomalie.

Quand M. Paul Lafargue est venu m'offrir le manuscrit de son o u v r a g e : « J e ne partage aucunement-vos idées, lui ai-je r é p o n d u : je me ferais un réel scrupule de les répandre. »

Et comme il insistait avec une obligeance flatteuse et semblait tenir à m'avoir pour édi- teur: «M'autorisez-vous alors à demander à M. Yves Guyot une réfutation qui accompa- gnerait l'exposition de vos doctrines? — Par- faitement. — Eh bien, je garde votre m a n u s - crit. »

M. Yves Guyot a écrit celle réfutation.

Le présent volume renferme doue la thèse et l'antithèse. Et le public a sous les yeux les pièces essentielles du procès.

C l I . I)KLAGRAVK.

D'autre part, la préface de M. Yves Guyot se termine par ces mots :

Quand j ' a i affirmé que les socialistes n'é- taient que des régrossistes, quelques-uns de mes lecteurs trouvaient que j'allais peut-être un peu loin dans mon affirmation. L'étude de M. Paul Lafargue leur prouvera que je res- tais eu deçà de la vérité. On ne pourra pas m'aecuser de tronquer telle ou telle citation pour les besoins de la cause : les lecteurs ont l'ouvrage complet sous les yeux.

Nouvelles diverses

L é g a t i o n s é t r a n g è r e s . - — M. Ie Dr. Al- bert Nin, envoyé extraordinaire et ministre plénipotentiaire de la république orientale de l'Uruguay près la Confédération suisse, a re- mis le 11 de ce mois ses lettres de créance au président de la Confédération. · ·,

Le G u i e t l e C o n g o , brochure de M. Cau- delier, établit que les indigènes sont plus dé- cimés par l'alcool que par les guerres, par le climat, par les incendies et autres fléaux.

Dans l'année 1893, il a été importé 1,400,0-Vt litres de « s c h n a p s » , c'est-à-dire d'alcool brut de pommes de terre, de mélasses, etc., conte- n a n t toutes so'rles d'impuretés et qui se vend à Borna à 40 centimes le litre.' -Son usage abrutit rapidement et cause de graves-mala- dies, suivies de délire -et de .mort. Les indi- gènes ont très peu de besoins, ils trouvent fa- cilement leur n o u r r i t u r e - e t se passent aisé- ment de maisons et de vêtements; .le moyen de les faire travailler c'est le « s c h n a p s » . On le l é u r d o n n o . ils s'y accoutument : on les paie en « schnaps >> et d'après leur travail, on leur en, donne jusqu'à 2, 3 , 4 bouteilles par jour.

Si on les paie en argent c'est le marchand de vin qui en profite.

Le « s c h n a p s » est. Ie seul produit qui se vende bien. Ceux qui ont vu Ces indigènes ont constaté le résultat funeste de cet étal de cho- ses. Tous les rapports sont d'accord pour si- gnaler que 3,000 indigènes ont été ainsi sacri- fiés, pour la construction des OO kilomètres du cliemin de fer du Congo.

En B o h è m e , un grand nombre d'établis- sements nouveaux se rapportant à l'industrie textile, viennent de se fonder. Une fabrique de cotons imprimés vient de se c o n s t r u i r e : plusieurs tissages, plusieurs manufactures de drap, de peluche et de chenille ont porté l'é- tendue de leurs ateliers au double de ce qu'elle était dans le principe. Des brasseries, des fa- briques de malt ont été fondées: et, m a l g r é la crise actuelle des sucres, une nouvelle ma- nufacture vient de commencer son travail.

On a aussi établit des moulins à farine, des scieries mécaniques et des manufactures de verreries, de brosses et de g a n t s . De nouvelles mines de charbon ont été découvertes dans les parties des territoires ou l'on soupçonnait leur existence, entre Horowitz et Zebralc. Λ Konigshof, une usine pour la fabrication de l'acier a été ouverte.

Le total du papier-monnaie italien en

c i r c u l a t i o n , en y comprenant les billets de banque et les billets d'Etat de toutes coupures et valeurs, a diminué de 44.750,000 francs en 1894. P a r contre, le stock métal liqueaccumulé, soit dans les caisses du Trésor, soit dans celles des banques, en y comprenant l'or, les écus d'argent et la monnaie divisionnaire, a a u g - menté de 125,200.001) francs. Dans la somme totale du stock métallique, l'or était représenté au 31 janvier 1895 par 509,721,000 francs contre 408,034,0(K) francs à la même date de

1894, de sorte que le stock d'or aurait aug- menté de 41 millions et demi. Nous avons toujours approuvé la récente politique moné- taire de l'Italie: l'emploi de l'or des banques, autrefois capital mort, est plus fait pour attirer de l'or que pour en diminuer la réserve.

L e s p e r t e s c o n s t a t é e s s u r le C r é d i t M o b i l i e r I t a l i e n , au 31 décembre 1893.

s'élevaient à 29,400,000 francs. Elles se sont accrues au cours de l'année 1894. de 24 mil- lions 300,000 francs de sorte que les perles totales établies à la fin de 1894, s'élèvent à la somme de 53,700,000 francs. Avant sa décon- fiture, cette banque fonctionnait avec un capital nominal de 50 millions dont 40 millions ver- sés. Le chiffre des pertes donne l'explication des échecs successifs des projets de reconsti- tution.

(3)

,._.Ç£HHfG8 ;

LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE

• /

133

L e s z o n e s . — Le Conseil fédéral propose fi l'Assemblée fédérale d'approuver le décret .du "-23 février ISS)S eh application dé l'article 35 de la loi s u r les douanes et relatif aux impo.r- tations-en Suisse des produits des zones fran- ches de la Haute-Savoie et du pays de Gex.

Il demande à l'assemblée fédérale de donner son approbation a c e décret et d'en approuver l'exécution. · ; ·'· •

S u r G u i l l a u m e T e l l . — Le Tagblatl, de Lucerne, apporte un renseignement précieux au dossier de la question, toujours ouverte,

<le l'existence réelle de Guillaume Tell.

M. Karl Lindau viendrait de découvrir a Vienne, dans la bibliothèque xlu, château im- périal, un manuscrit <fun poète autrichien du moyeu â g e , ' P e t e r Suchenwirt, qui' raconte son » Voyage de Vienne à Herténstein s u r le lac des Quatrc-ciintons». Dans cette relation, S u c h e n w i r t parle de contemporains·de 'Guil- laume Tell et donne des indications qui per- nu'ltenl de conclure q u e , · v é r i t a b l e m e n t , le héros suisse n'est pas une création légendaire, mais bien uri personnage réel.

C o n f l i t o u v r i e r . — - L ' a s s o c i a t i o n des maîtres menuisiers de Zurich a décidé, lundi soir.'de ne pas entrer en négociations avec les ouvriers au sujet .de leur demande de fixation d'un taux minimum de salaire et de l'adoption de !ajournée de neuf heures. Elle a décidé en outre d'attirer l'attention des ou- ' .v ri ers 'sur les conséquences qu'aurait pour

eux une g r è v e : l'exclusion des alcliprs .pro- noncée contre ceux qui y prendraient part.

A n a r c h i s t e s . — Il ressort du rapport et de l'enquête faite par le Département de justice et dé police du canton de Neuchàtel que Henri.

Edouard Droz, actuellement détenu darrs cette ville, a affiché, dans la nuit du 2!S février au

1" m a r s , , et dans différentes localités, des placards anarchistes rédigés et écrits p a r lui, faits qualifiés de crimes dans le sens de l'ar- ticle 4 de la loi'fédérale s u r le code pénal fédéral.'L'instruction et le jugement de celte affaire pont confiés aux tribunaux du cariton de 'Neucliatel.

Les colonies allemandes devant le

R e i c h s t a g . — A l'occasion de la discussion du budget des colonies, M. de Kayser décli.rc que les transactions commerciales a u x colo- nies sont en progrès considérablej ci que le trafic actuel est de 15 millions. L'Allemagne a besoin dé troupes bien disciplinées pour ses colonies, et ne' saurait non plus se passer de l'appui de la marinç. M. de Kayser apprécie la collaboration des missionnaires et ajoute que le commerce dos esclaves qui se faisait dans la région du lac Victoria est maintenant presque complètement détruit, L'Allemagne ne "consentira j a m a i s à l'annexion de WiIu au territoire de Zanzibar par un acte unilaté- ral et.sans u n e entente préniable entre l'An- gleterre et l'Allemagne.

Au cours des débats, MM. Richtei* et VoI- mar (socialiste) ont attaqué la politique colo- niale dans son ensemble, attendu qu'elle est sous l'influence du militarisme et de la b u - reaucratie. ·

Procédés industriels

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Beaucoup d'articles d'ornementation en fonte sont très minces et conséquemment très fragiles. P a r suite de la faible affinité entre Ia fonte et l'étain, il est difficile de trouver une soudure simple et efficace: la méthode sui-

vante peut être recommandée : après avoir bien nettoyé les faces des parties à joindre, on les [frotte avec une brosse en fil de laiton, jusqu'à ce qu'elles deviennent complètement j a u n e s , ou pour ainsi dire plaquées à sec do

•laiton, résultat auquel on arrive très-vite. Ces surfaces enduites de laiton peuvent alors être jointes au moyen de la soudure en élain ordi- naire aussi bien que si les doux fragments étaient en laiton.

Colle pour fixer le caoutchouc sur le bois et le métal.

Les joints faits avec du caoutchouc fuient souvent parce que le caoutchouc n'adhère pas suffisamment a u x surfaces entre lesquelles on le pose. · ·

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1. A. Blanchard, ^faller ay.

2. Bon & C

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, Routier.

3. Buëche & Boillat, Œ(econvillier.

4. Charles Emonot, §on>ilier.

5. F a b r i q u e d'Ebauches, §oncebo^.

6. F l u r y F r è r e s , tienne.

7. F r ê n e & G a r r a u x , Œ(econvillier.

8. J u i l l a r d frères, Gortéberl.

9. Kocher, H â n n i & Kunzli, Court.

10. K u h n & Tièche, Œ^econvillier.

11. Ed. K u m m e r , Œelllach.

12. Manzoni fils & C

ie

, «£rogno.

13. E. Manche & G

ie

, Zoveresse.

14. P . Obrecht & G

ie

, granges.

15. P a r r e n i n & Marguet, Villers-le-ÇLac.

16. Société coopérative d'horlogerie, Tontenet.

17. Société d'horlogerie, %angendorf.

18. Société industrielle, Routier.

19. A. Schlâfli, féfyâcK,

20. Jean S c h w a r z e n t r u b , granges.

21. L . - P . J a p y & C

ie

, Berne p a r §eloncourl.

22. Simon Burger & Gressot, Torrentruy.

23. Virgile Cupillard, Vi/lers-le-Zac.

Le comptoir fournira, aux acheteurs d'ébauches et finissages, les produits de leur choix, soit les produits des fabriques qu'ils entendent spécialement utiliser. Il ne sera introduit d'autre changement dans les relations telles qu'elles étaient antérieurement pratiquées, que celui résultant de la réception et de l'exécution de tous les ordres des clients par l'entremise du Comptoir central ou de ses dépôts et des règlements de compte qui seront effectués de même aux dits organes.

Le Comptoir est donc substitué aux fabriques dans tous les cas où il s'agit de leurs relations commerciales avec les tiers.

Ceux-ci trouvent dans la nouvelle organisation un avantage marqué, puisque le Comptoir pourra livrer tous les genres quelconques et dans les meilleures qua- lités, et qul&ji'auront plus ainsi, qu'un seul fournisseur et un seul correspondant.

Les ébauches et finissages sont toujours facturés anx prix et conditions du tarif en rigueur.

Toutes modifications aux prix du tarif et aux conditions de paiement, sont communiquées ù la clientèle.

Imprimerie de la Fédération horlogère suisse (R. Haefeli & C

ie

), Chaux-de-Fonds.

Références

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