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Sur la largeur des raies du spectre de l'arc électrique à diverses pressions

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Academic year: 2022

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(1)

HAL Id: jpa-00205154

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00205154

Submitted on 1 Jan 1924

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Sur la largeur des raies du spectre de l’arc électrique à diverses pressions

St. Procopiu

To cite this version:

St. Procopiu. Sur la largeur des raies du spectre de l’arc électrique à diverses pressions. J. Phys.

Radium, 1924, 5 (7), pp.220-224. �10.1051/jphysrad:0192400507022000�. �jpa-00205154�

(2)

SUR LA LARGEUR DES RAIES DU SPECTRE DE L’ARC ÉLECTRIQUE A

DIVERSES PRESSIONS.

par M. St. PROCOPIU.

Sommaire. 2014 L’auteur s’est proposé d’étudier, par la méthode interférentielle, la varia- tion avec la pression (entre 1 et 760 millimètres de mercure) de la largeur des raies de série de l’arc entre métaux (Zn, Cd, Ca, Al).

La fente d’un spectroscope est placée suivant un diamètre d’anneaux d’interférence formés au moyen d’un étalon de Pérot et Fabry en quartz demi-platiné, et on cherche,

pour chaque raie, quelle pression donne la visibilité des anneaux correspondant à une largeur de 0,1 Å.

Résultats. - Dans une même série, la largeur des raies augmente avec le numéro d’ordre de la série, en accord qualitatif avec l’hypothèse de Stark sur l’influence du champ élec- trique intermoléculaire.

La largeur des raies d’étincelle émises par la cathode est plus grande que celle des mêmes raies émise par l’anode.

Les raies de flamme sont plus larges que les raies d’arc ou d’étincelle.

Ces deux derniers résultats s’interprètent, comformément à l’hypothèse de Gouy, par l’influence du nombre des particules capable d’émettre les radiations considérées.

1.

-

La largeur des raies est un problème fondamental pour la spectroscopie. Les prin- cipales causes d’élargissement, qu’on a successivement envisagées, sont :

Le phénomène Doppler-Fizeau, au mouvement de translation des particules lumi-

neuses dans la ligne de visée ; c’est un effet de température ;

L’absorption de la radiation de la vapeur lumineuse par ses propres particules; cet effet

se fait sentir lorsqu’on augmente la couche de vapeur ou le nombre de particules qui émettent

la radiation :

L’effet du champ électrique direct, provenant de la chute du potentiel le long de la

source lumineuse, ou du champ électrique intermoléculaire, formé par les particules chargées qui entourent la particule émettrice.

D’après J. Stark (’), c’est surtout à ce dernier effet que serait dû l’élargissement des raies, quand la pression dans la source lumineuse augmente. Lorsqu’une particule émet, elle peut

se trouver dans le champ électrique d’une particule voisine; la raie émise sera, de ce fait, décomposée par le champ électrique. Pendant l’fmission de la particule, sa distance aux

molécules voisines peut prendre une série continue de valeurs et, par suite, aussi le déplace-

ment des composantes de la raie primitive. La raie se trouvera élargie, et cet élargissement

suivra les mêmes lois que la décomposition des raies par le champ électrique. Or cette décomposition, pour les raies d’une même série, est d’autant plus grande que le numéro d’ordre de la raie dans la série est plus grand. La largeur d’une raie doit être, elle aussi,

d’autant plus grande que la raie forme un terme plus éloigné vers l’ultra-violet dans la

série.

°

Et en effet, Stark et ses élèves ont constaté que, dans une décharge condensée ou dans

une décharge à pression élevée dans l’hydrogène, la raie H3 est plus large que H" et H., est plus large que H3. Ces observations ont reçu une confirmation dans les expériences de Mer- ton, et de Nicholson et Merton (2) sur les décharges dans l’hydrogène et dans l’hélium. Les largeurs des raies étaient estimées, cette fois, par les interférences, et le résultat fut le même,

c’est-à-dire que la largeur des raies d’une même série augmente avec le numéro d’ordre de la raie dans la série, lorsque la décharge est condensée ou lorsqu’elle est à pression élevée.

(1) J. SzaRx. Elektrtsche Spektralanalyse chenzischer Leipzig, ~91!~, p. î9. Des théories quanti- tatives de ce phénomène ont été données par DEBYE [Pfi ysikaliscfie Zei/schri/l, t. 20 (1919), p. 160J et surtout

par HOLTSMARK [Annalen der Physik, t. 58 (1919), p. 170J.

(2) MERTON. Proceedings 0/ the Royal S’ociety, t. 92 (1916), p. 322 et t. 95 (t9lg),p. 30. iNICIIOLsoN et aIERTON.

Phllosophical Transactions, t. 216 (1916), p. 459.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphysrad:0192400507022000

(3)

221 Des observations ont été faites, avec un résultat moins net, sur l’élargissement des raies

de série dans le spectre de l’arc entre métaux, lorsque l’arc jaillit dans l’air (1) ou dans

l’eau (2), les largeurs étant mesurées directement sur le cliché, d’après le noircissement, au moyen d’un comparateur à microscope. Cette méthode, bien que peu précise, est la seule

.

B

possible lorsque les largeurs des raies sont grandes.

,

Je me suis proposé d’étudier la variation avec la pression (entre 1 mm et 760 mm de mercure) de la largeur des raies de série du spectre de l’arc entre métaux (Zn, Cd, Ca, AI),

par la méthode interférentielle, la seule pouvant conduire à la comparaison précise des lar-

geurs de plusieurs termes successifs d’une même série.

2. Dispositif expérimental. - Le dispositif est celui, classique, employé dans les

recherches fondamentales de Fabry et Perot, et de Fabry et Buisson.

,

L’image de l’arc est projetée au moyen d’une lentille de quartz (de 20 cm de foyer) sur

un étalon interférentiel de Fabry et Pcrot, à deux lames parallèles de quartz, semi-platinées,

afin de pouvoir observer dans l’ultra-violet, se trouvent la plupart des raies de série des métaux que j’ai étudiés. Devant l’étalon., il y a un diaphragmepercé d’un trou de 4 mm de dia-

mètre; après l’étalon se trouve une lentille achromatique quartz-fluorine (de 14cm de foyer),

dans le plan focal de laquelle se forment les anneaux d’interférence de toutes les radiations existant dan* la source. Ces anneaux sont coupés suivant un diamètre par la fente verticale d’un spectrographe Hilger à optique en quartz. Dans ces conditions, chaque raie du speétre est

constituée de points lumineux et de parties obscures.

L’étalon de 5 mm d’épaisseur a été très obligeamment mis à ma disposition par M. le Professeur Ch. Fabry. Les lames de quartz ont été semi-platinées par projection cathodique,

avec le dispositif que MM. Lambert et (3) ont installé au Laboratoire de Recherches

Physiques de la Sorbonne.

La mise au point des appareils et des anneaux d’interférence a été effectuée avec la lumière d’un arc au mercure à régime faible.

Comme arc entre métaux, à basse pression, j’ai d’abord employé l’arc vertical repré-

senté par la figure 1. >

Fig. 1..

°

L’arc est établi entre deux morceaux Et, E2 du métal à étudier. L’électrode inférieure est

fixe ; l’électrode supérieure est portée par une tige de fer T qui peut glisser à l’intérieur d’un tube de laiton c, et être soulevée par la bobine extérieure repos, les électrodes se touchent. Lorsqu’on fait passer un courant électrique dans la bobine, les électrodes s’écartent

(1) ‘YBBDT. Annalen der Physik, t. 45 (i91~.), p. 125 î ; RITTER. 4nnalen der Physik, t. 59 (1919), 1"B. 1

(2) PRoCoPiu. Comptes Rendus, t. 175 (f922), p. 2 î ; Annales de Physique, t. 1 (1924), p. 100.

(S) LAMBERT et AIDANT. Cornptes Rendus, t. 175 (1922), p. 154.

(4)

et l’arc s’établit, sa longueur étant déterminée par la position de la bobine B (ou de l’écran déplaçable K qui peut limiter la course de la tige T). Un tube latéral, en face de l’arc, est fermé

par une fenêtre de quartz.

Ayant eu intérêt à étudier la largeur des raies émises par la surface même des électrodes

j’ai également employé l’arc horizontal, représenté par la figure 2. Cet arc permettait de

~

i g. 2.

recevoir, à travers une électrode, l’émission de la surface de l’autre. A cet effet, l’électrode fixe E, est trouée, et l’électrode mobile est portée par une tige de fer T, soutenue en son

milieu par un fil souple F, qui lui permet de s’approcher ou de s’écarter de l’électrode fixe.

L’arc est établi lorsqu’un courant passe dans la bobine B, comme précédemment. (Cet arc

a servi également pour l’étude du phénomène Doppler-Fizeau).

A yec l’arc à la pression de 1 mm due mercure, et avec l’étalon de 5 mm d’épaisseur (10 mm de différence de marche), on peut obtenir de bons anneaux depuis h

_

5000 1 jus- .qu’à A - 2 300 ! environ, ce qui indique que la plupart des raies de l’arc, à la pression de

1 mm de mercure, ont une largeur plus petite que 0,05 À.

La largeur d’une raie est déterminée par la limite d’interférence, c’est-à-dire par

l’épaisseur de l’étalon pour laquelle les anneaux d’interférence disparaissent. Si on désigne

par e l’épaisseur de l’étalon et par IVIe numéro d’ordre d’interférence pour lequel les anneaux,

correspondant à une raie de longueur d’onde A, disparaissent, la largeur A de la raie est . estimée d’après la relation (1).

Dans mes expériences, l’épaisseur de l’étalon étant fixe, la largeur d’une raie ne peu

-être appréciée que si elle arri;e à avoir aussi une valeur fixe, correspondant à l’épaisseur de

5 mm de l’étalon. On peut alors comparer la largeur des raies qui possèdent encore des

,anneaux, à la largeur fixe de la raie qui les a perdus. Cette largeur fixe, calculée avec la

formule précédente, est de 0,06 1 lorsque c’est ), = 2 500 1 qui a perdu les anneaux ; de 0,10 A lorsque c’est X - 3 300 1, et de 0,2 ~B lorsque c’est ~, - .# 800 ~.

Le procédé d’étude consiste donc à examiner la pression à laquelle disparaissent les

anneaux d’une raie, et de tenir compte de l’existence d’anneaux pour les autres raies. En

changeant la pression, on constate qu’on peut amener succ£ssÍvernent toutes les raies d’une même série à avoir la même largeur, d’environ 0,1 1.

3. Résultats. - 1° La largeur des raies, dans le spectre de l’arc, d’un même métal,

pour une même pression, n’est pas la même pour toutes les raies d’une même série. Elle varie avec le numéro d’ordre de la raie dans la série considérée, et elle est indépendante

de la longueur d’onde. La largeur est d’autant plus grande que la raie occupe un ordre

plus élevé dans la série.

En effet, si l’on établit l’arc à une pression de 1 mm, entre deux électrodes de Cd par

exemple (intensité 1 ampère), on constate que la raie X == 2660 À ne présente pas

°

d’anneaux, bien que les deux raies voisines J, _ ~ 677 À et ),

=

2 639 Â, qui l’encadrent, en

(1) Cn. FABRY. Les mouvements des particules lumineuses dans les gaz. Conférences à La Société de

,Physique, Paris, B191 }), p. 210 ; Les ccpplicaitoccs des interférences lumineuses, Paris, (1923), p. 138.

(5)

223

présentent de très nets. Pourtant, les trois raies ont, au centre, à peu près le même ordre d’interférence. La différence entre les trois raies provient de ce que la raie X == 2660 À est un terme d’ordre 5, de la série diffuse ; elle a une largeur, calculée avec la formule pré- cédente, d’environ 0,06 À, à la pression de t mm de l’arc, tandis que les deux autres raies constituent le triplet de la mème série; ces dernières raies, et aussi les termes

d’ordre 3 et 2, ont des largeurs nettement plus petites que la valeur donnée précédemment

pour la première raie. Le fait que la largeur de la raie À = 2 660 À est plus grande que celle de la raie ’t, == 2639 Á montre que la longueur d’onde n’y joue pas un rôle important.

Pour toute autre pression et pour d’autres métaux, Zn, Ca, on fait des constatations ana-

logues.

Ces constatations sont en accord qualitatif avec les résultats prévus d’après l’hypothèse

de Stark de l’influence du charnp électrique intermoléculaire sur l’élargissement des raies

par la pression.

-1

21 Au fur et à mesure que la pression croît, les anneaux d’interférence disparaissent,

d’abord pour les raies d’ordre élevé, vers l’ultra-violet, ensuite successivement pour les .autres raies des premiers termes des séries, vers le rouge. C’est-à-dire que les raies arri- vent successivement à avoir la largeur fixe, de 0,07 à 0,10 A. Les raies d’un ordre plus petit sont plus fines que cette valeur.

Dans le tableau suivant sont inscrites les pressions pour lesquelles les diverses raies arrivent à avoir la même largeur, dans le cas de l’arc au Cd. Dans la troisième colonne est inscrit l’ordre de la raie dans la série ; dans la dernière colonne est donnée la valeur fixe de la largeur, différant un peu d’un bout à l’autre du spectre, pour l’épaisseur fixe de l’éta- lon interférentiel.

A la pression de 250 mm de mercure, les anneaux de toutes les raies de la série diffuse et de la série fine ont complètement disparu; à cette pression, les raies ont une largeur plus grande que 0,2 31.

1

Zn se comporte de la même manière que Cd. Ca perd plus rapidement les anneaux

de ses raies, à la pression de .i60 mm seulement. Les dernières raies qui perdent

leurs anneaux sont les premiers termes des deux séries, diffuse et fine, des raies d’arc, les raies non encore classées de longueurs d’onde : 4308,4299,43182013429920134289,

A 30X - 4 283 A et aussi les doublets d’étincelle du Ca, 3 ~ 3 i - 3 706 A (1-~20132 ~) et 3 i81, 3 i79 20133i591(i7c20132c).

Pour Al, à la pression de 1 mm de mercure, la limite d’interférence se trouve, pour le doublet d’ordre 5 de la série diffuse, 2 269 - 2 263 À; et déjà, à la pression de 120 mm,

tous les termes des deux séries, diffuse et fine, ont perdu leurs anneaux.

3° Les raies d’étincelle qui apparaissent dans l’arc dans le vide, à la pression de

1 mm de Hg, se comportent d’une manière intéressante à signaler : tandis que ces raies, provenant de la surface de la cathode ou de son voisinage, iie présentent pas d’anneaux,

celles émises par l’anode en possèdent de très beaux. Donc la largeur des i-aies d’étincelle

éntises par la cathode est plus grande que la largeur des raies provenant de l’anode.

Cette distinction entre la cathode et l’anode ne paraît pas intervenir pour les raies d’arc.

La constatation a pu être faite pour les raies 25731,2 i 8 de Cd+, A 2 63i, 2 8i6, 3 60

et3612deAl+.

(6)

L’élargissement des raies d’étincelle à la cathode me semble difficile à interpréter àa

l’aide de l’hypothèse de Stark du champ électrique intermoléeulaire, puisque ces raies

sont moins affectées par le champ électrique que les raies d’arc. Il est plus probable que cet élargissement à la cathode vient de ce que le nombre de particules qui s’y trouvent,

pour émettre les raies d’étincelle, est très grand, et que l’absorption de ces radiations par

ses propres particules est très développée, comme le montre le renversement spontané des.

raies d’étincelle à la cathode de l’arc dans le vide [Annales de Physique, t. 1 (1924), p. t1t et 1i5].

4° Les raies de flamme, telles que À

~

4227 Á du Ca (arc d’intensité 4 à 3 ampères) et

3 933 et 3 968 Â du Ca+, présentent de mauvais anneaux qui disparaissent vers la pression

de 40 mm de mercure, alors que les anneaux de beaucoup de raies d’arc et de certaines raies d’étincelle (tel que le doublet 3 737 - 3 707 À du Ca+), restent encore nets jusque versai

une pression de 160 mm de mercure.

La grande largeur des raies de flamme pourrait encore s’expliquer par l’existence d’un

grand nombre de particules qui émettent ces raies et par l’absorption de la radiation par-

ses propres radiations. Cette cause a déjà été introduite comme explication de l’élargisse-

ment des raies, par Gouy, lors de ses expériences classiques sur les flammes colorées.

4. Conclusion. - En somme, les expériences ci-dessus exposées confirment l’idée que la notion de série de raies représente une réalité qui régit les diverses propriétés des- spectres. On sait déjà que l’intensité des raies de série va en diminuant avec l’élévation de l’ordre dans la série et que la pression dans laquelle jaillit l’arc diminue l’énergie d’émis-

sion des derniers termes, cette énergie tendant à s’amasser dans le premier terme de chaque

série (1). De même, la largeur des raies est une propriété de série. Cette largeur, pour une même pression de l’arc, va en augmentant avec le numéro d’ordre de la raie dans la série-

-

en accord qualitatif avec l’hypothèse de Stark.

Mais la largeur des raies d’étincelle et des raies de flamme est difficilement conci- liable avec l’hypothèse de Stark, il faut faire intervenir d’autres causes et notamment l’effet

Gouy.

Des mesures seraient nécessaires, pour établir les variations de la largeur d’une mêmes raie à plusieurs pressions; il en faudrait des étalons de plusieurs épaisseurs. J’ai été obligé, malheureusement, d’interrompre l’étude que j’avais commencée, au moyen d’un interféro- mètre Fabry et Perot.

Ce travail a été fait au Laboratoire de Recherches Physiques à la Sorbonne, sous 1~..

direction de M. le Professeur A. Cotton, auquel j’adresse ici mes plus vifs remerciements (1) Annales de P)rysique, t. 1 (t924), p. 98.

. Manuscrit reçu le 22 mai 1924.

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