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Texte intégral

(1)

Universit´e Claude Bernard Lyon 1 Semestre printemps 2016 - 2017 Pr´eparation aux ´epreuves ´ecrites du CAPES

Fiche 1

FONCTIONS DE VARIABLE R ´EELLE : CORRIG ´E DES EXERCICES

Exercice 1 : Calcul de limites

On consid`ere la fonction f : R→ R d´efinie par f(x) = exp(1/x).

1 - Montrer que, pour tout x > 0, il existe cx∈]x, x + 1[ tel que f (x) − f (x + 1) = 1

c2xexp(1/cx) .

Soit x ∈ R. La fonction f est continue sur [x, x + 1] et d´erivable sur ]x, x + 1[. D’apr`es le TAF, il existe cx∈]x, x + 1[ tel que f (x + 1) − f (x) = f0(cx), c’est `a dire f (x) − f (x + 1) =

1

c2xexp 1 cx

 .

2 - Montrer que la fonction g : x → 1

x2exp 1 x



est strictement d´ecroissante sur R+. Il s’agit simplement de calculer la d´eriv´ee de g. Pour tout t ∈ R+, on a :

g0(t) = −

 2 +1

t

 1

t3exp 1 t



< 0 , donc g est d´ecroissante.

3 - En d´eduire que lim

x→+∞x2



exp 1 x



− exp

 1

x + 1



= 1.

D’apr`es ce qui pr´ec`ede, on a, pour tout x > 0 : 1

(x + 1)2 exp

 1

x + 1



≤ 1

c2xexp 1 cx



≤ 1

x2 exp 1 x2

 . En multipliant par x2 et en utilisant la question 1, on aboutit `a :

x2

(x + 1)2exp

 1

x + 1



≤ x2

 exp

 1

(x + 1)



− exp 1 x



≤ exp 1 x2

 .

On utilise enfin lim

x→+∞

x2

(x + 1)2 exp

 1

x + 1



= lim

x→+∞exp 1 x



= 1 pour conclure avec le th´eor`eme des gendarmes.

Exercice 2 : D´eveloppements limit´es 1 - D´emontrer le r´esultat suivant :

(2)

Lemme. Soit I un intervalle contenant 0 et f une fonction d´efinie sur I. On suppose qu’il existe M > 0 et p ∈ N tels que pour tout x ∈ I :

|f (x)| ≤ M |x|p. Si f poss`ede une primitive F sur I alors :

|F (x) − F (0)| ≤ M |x|p+1 et F (x) = F (0) + o(xp) au voisinage de 0.

Notons tout d’abord que si f admet une primitive F sur I, alors F est continue et d´erivable sur I, et on a F0(x) = f (x) pour tout x ∈ I.

Soit x ∈ I. D’apr`es le TAF, il existe c ∈]0, x[( si x > 0) ou c ∈]x, 0[( si x < 0) tel que F (x) − F (0) = xf (c). On en d´eduit que

|F (x) − F (0)| = |x||f (c)| ≤ M |x||c|p ≤ M |x|p+1,

d’o`u le r´esultat. A noter que F (x) = F (0) + ε(x) avec ε(x) = F (x) − F (0), et |ε(x)| ≤ M |x|p+1 , donc F (x) = F (0) + o(xp).

2 - D´eterminer un d´eveloppement limit´e `a l’ordre 3 en 0 de sin.

Pour tout x ∈ R, on a | sin(x)| ≤ 1. La fonction F d´efinie par F (x) = − cos(x) pour tout x ∈ R est une primitive de sin. Le lemme pr´ec´edent s’applique donc (avec M = 1 et p = 0), et on a, pour tout x ∈ R

| − cos(x) + 1| ≤ |x| .

Consid´erons `a pr´esent la fonction g d´efinie par g(x) = 1 − cos(x) pour tout x ∈ R. La fonction G d´efinie sur R par G(x) = x − sin(x) est une primitive de g. Une nouvelle application du lemme (avec M = 1 et p = 1) donne alors, pour tout x ∈ R

|x − sin(x)| ≤ |x|2.

De mˆeme, par de nouvelles applications successives du lemme, on obtient :

∀x ∈ R ,

x2

2 + cos(x) − 1

≤ |x|3, puis :

∀x ∈ R ,

x3

6 + sin(x) − x

≤ |x|4,

ce qui fournit un DL de sin `a l’ordre 3 en 0 : sin(x) = x − x3

6 + o(x3) . 3 - (a) Montrer qu’il existe un intervalle I ⊂] − 1, 1[ contenant 0 tel que :

1

1 + x− (1 − x + x2)

≤ 3

2|x|3 , ∀x ∈ I . Un calcul ´el´ementaire donne

1

1 + x− (1 − x + x2)

= |x|3

1 + x (∗) pour tout x ∈] − 1, 1[.

En second lieu, on a lim

x→0

1

1 + x = 1, ce qui garantit l’existence d’un intervalle I ⊂] − 1, 1[

contenant 0 tel que

1 1 + x− 1

< 1

2 pour tout x ∈ I. En particulier, pour tout x ∈ I, on

(3)

(b) En d´eduire un d´eveloppement limit´e `a l’ordre 3 en 0 de ln(1 + x).

On consid`ere la fonction f d´efinie sur I par f (x) = 1

1 + x − (1 − x + x2). La fonction F d´efinie sur I par F (x) = ln(1 + x) −

 x −x2

2 +x3 3



est une primitive de f . D’apr`es le lemme, on a, pour tout x ∈ I :

ln(1 + x) −

 x −x2

2 +x3 3



≤ 3 2|x|4. On en d´eduit un DL `a l’ordre 3 de ln(1 + x) en 0 : ln(1 + x) = x −x2

2 +x3

3 + o(x3) .

Exercice 3 : Etude de suites

On consid`ere les suites d´efinies par un=

n

X

k=1

1

k et vn= ln(n) pour n ∈ N. 1 - Montrer que pour tout k ∈ N, on a :

1

k + 1 < ln(k + 1) − ln(k) < 1 k.

Soit k ∈ N. On consid`ere la fonction f d´efinie sur [k, k+1] par f (x) = ln(x). f est continue et d´erivable sur [k, k + 1], et on a, pour tout x ∈]k, k + 1[, 1

k + 1 < f0(x) = 1 x < 1

k. D’apr`es l’IAF (qui s’applique aussi avec des in´egalit´es strictes), on a donc

1

k + 1 < ln(k + 1) − ln(k) < 1 k.

2 - En d´eduire que les suites (un)n∈N et (vn)n∈N sont ´equivalentes en +∞.

Il s’agit de sommer les in´egalit´es pr´ec´edentes. Soit n ∈ N. On a :

n

X

k=1

1 k + 1 <

n

X

k=1

(ln(k + 1) − ln(k)) <

n

X

k=1

1

k, ce qui ´equivaut `a :

un+ 1

n + 1− 1 < ln(n + 1) < un. On en d´eduit que lim

n→+∞un= +∞ .

Par suite, la suite (un) ´etant `a termes strictement positifs, on a, pour tout n ∈ N 1 + 1

un

 1

n + 1 − 1



< ln(n + 1) un

< 1 .

La divergence de (un) vers +∞ nous assure que le membre de gauche tend vers 1 lorsque n tend vers +∞. On conclut par le th´eor`eme des gendarmes que lim

n→+∞

ln(n + 1)

un = 1, c’est

`

a dire que (un) et (vn) sont ´equivalentes en +∞.

(4)

Exercice 4 : Recherche de z´eros d’une fonction, d´erivabilit´e 1 - Soit f : I → R, n fois d´erivable.

Montrer que si f s’annule n + 1 fois alors f(n) s’annule au moins une fois.

Consid´erons f une fonction n fois d´erivable, s’annulant en n + 1 points distincts a0< a1 <

· · · < an.

Commen¸cons par ´etudier la d´eriv´ee de f . Soit k ∈J1, n + 1K. On a f (ak−1) = f (ak) = 0.

f ´etant continue et d´erivable sur l’intervalle [ak−1, ak], le th´eor`eme de Rolle nous assure l’existence d’un bk∈]ak−1, ak[ tel que f0(bk) = 0. L’entier k ´etant arbitraire dansJ1, n + 1K, et les intervalles ]ak−1, ak[ , k ∈J1, n + 1K ´etant disjoints, on en d´eduit que f0 s’annule en n points distincts.

Supposons `a pr´esent n ≥ 2. Si l’on s’int´eresse `a la d´eriv´ee seconde, il suffit d’appliquer ce r´esultat `a f0 pour obtenir que f00 s’annule en n − 1 points distincts.

De mani`ere plus g´en´erale, une r´ecurrence imm´ediate donne que pour tout entier j ≤ n, f(j)s’annule en n − j + 1 points distincts.

En particulier, f(n) s’annule au moins une fois.

2 - Soit P un polynˆome de degr´e n + 1 admettant n + 1 racines r´eelles distinctes.

(a) Montrer que P0 poss`ede exactement n racines r´eelles distinctes.

D’apr`es ce qui pr´ec`ede, P0 admet au moins n racines r´eelles distinctes. D’autre part, deg(P0) = deg(P ) − 1 = n, donc P0 admet au plus n racines. On en d´eduit que P0 admet exactement n racines r´eelles distinctes

(b) Montrer que le polynˆome P2+ 1 ne poss`ede que des racines simples dans C.

Etude pr´eliminaire

Notons tout d’abord que P s’´ecrit sous la forme P (X) =

n

X

k=0

(X − ak), o`u les (ak)k=0,··· ,n d´esignent les racines r´eelles de P . En particulier, P ∈ R[X].

Posons Q = P2+ 1, et consid´erons α une racine de Q. On a Q(α) = (P (α))2+ 1. On en d´eduit que α ne peut ˆetre r´eel. En effet, P ´etant un polynˆome `a coefficients r´eels, on a : α ∈ R ⇒ P (α) ∈ R ⇒ (P (α))2+ 1 ≥ 1 .

Raisonnons par l’absurde, en supposant que Q admette une racine multiple α. On a alors Q0(α) = 0, c’est `a dire 2P P0(α) = 0. On en d´eduit que α est une racine de P ou une racine de P0. Dans tous les cas, d’apr`es la question pr´ec´edente, α est r´eel. Ceci est en contradiction avec Q(α) = 0 qui implique que α n’est pas r´eel. En conclusion, Q n’admet pas de racine multiple.

3 - Soit f : I → R, deux fois d´erivable. Soient a, b, c trois points distincts de I. Etant donn´es trois r´eels λa, λb, λc, on consid`ere le polynˆome P d´efini pour tout x ∈ R par

P (x) = λa(x − b)(x − c) + λb(x − c)(x − a) + λc(x − a)(x − b) . (a) D´eterminer λa, λb, λc tels que

P (a) = (b − a)f (a) , P (b) = (b − a)f (b) , P (c) = (b − a)f (c) . P (a) = (b − a)f (a) ⇔ λa(a − b)(a − c) = (b − a)f (a) ⇔ λa= (b − a)

(a − b)(a − c)f (a).

On obtient de mˆeme λb= (b − a)

(b − a)(b − c)f (b) et λc= (b − a)

(c − b)(c − a)f (c).

(b) En d´eduire qu’il existe d ∈ I tel que

(5)

Consid´erons la fonction g d´efinie par g(x) = (b − a)f (x) − P (x) pour tout x ∈ I. Notons que g est deux fois d´erivable en tant que somme d’un polynˆome et d’une fonction deux fois d´erivable. D’apr`es ce qui pr´ec`ede, g(a) = g(b) = g(c) = 0. Les points a, b, c ´etant distincts, on en d´eduit que la d´eriv´ee seconde de g s’annule en un point d ∈ I. Or :

g00(d) = (b − a)f00(d) − P00(d) = (b − a)f00(d) − 2 (λa+ λb+ λc)

= (b − a)f00(d) − 2(b − a)

 f (a)

(a − b)(a − c) + f (b)

(b − c)(b − a)+ f (c) (c − a)(c − b)

 , de sorte que la relation g00(d) = 0 donne le r´esultat attendu.

Exercice 5 : Un second th´eor`eme du point fixe

1 - On se propose de d´emontrer le th´eor`eme suivant :

Th´eor`eme du point fixe de Picard. Soit f une application de [a, b] dans [a, b], k−lipschitzienne avec k < 1. La suite d´efinie par

x0∈ [a, b] , xn+1= f (xn) , ∀n ∈ N

converge vers l’unique solution α dans [a, b] de l’´equation f (x) = x et on a, pour tout n ∈ N :

|xn− α| ≤ kn|x0− α| et |xn− α| ≤ kn

1 − k|x1− x0| . (a) Montrer que f admet un point fixe et que ce point fixe est unique.

Existence

Consid´erons la fonction g d´efinie par g(x) = x − f (x) pour tout x ∈ [a, b]. f ´etant `a valeurs dans [a, b], on a f (a) ≥ a et f (b) ≤ b, c’est `a dire g(a) ≤ 0 et g(b) ≥ 0. On cherche donc `a appliquer le TVI `a la fonction g, ce qui garantira l’existence d’un α ∈ [a, b] tel que g(α) = 0, c’est `a dire f (α) = α. Pour cel`a, il suffit donc de montrer que g (ou f , de mani`ere ´equivalente) est continue sur [a, b].

On sait que f est k-lipschitzienne sur [a, b], c’est `a dire :

∀(x, y) ∈ [a, b]2 , |f (x) − f (y)| ≤ k|x − y| . Soit x ∈ [a, b], et soit ε > 0. On pose η = ε

k. D’apr`es ce qui pr´ec`ede, pour tout y ∈ [a, b]

v´erifiant |x − y| ≤ η, on aura |f (x) − f (y)| ≤ k|x − y| ≤ k × ε

k = ε. Donc f est continue en x. x ´etant arbitraire, f (et donc g) est continue sur [a, b] et le TVI s’applique pour g.

Unicit´e

Supposons qu’un autre point fixe β existe. La fonction f ´etant k-lipschitzienne, on a :

|α − β| = |f (α) − f (β)| ≤ k|α − β| .

On en d´eduit que (1 − k)|α − β| ≤ 0, ce qui est absurde car 0 < k < 1 et |α − β| > 0 .

(b) Montrer que |xn− α| ≤ kn|x0− α| , ∀n ∈ N .

(6)

Remarquons tout d’abord que l’in´egalit´e est triviale si n = 0.

Soit n ∈ N. |xn− α| = |f (xn−1) − f (α)| ≤ k|xn−1− α| . Une r´ecurrence imm´ediate donne |xn− α| ≤ kn|x0− α| .

La suite de terme g´en´eral kn converge vers 0 (|k| < 1). On en d´eduit que la suite (xn) converge vers α.

(c) Montrer que |xn− α| ≤ kn

1 − k|x1− x0| , ∀n ∈ N .

Indication : On pourra commencer par montrer que |xn+p− xn| ≤ kn

1 − k|x1− x0| , ∀n ∈ N, p ∈ N. Soit n ∈ N. |xn+1− xn| = |f (xn+1) − f (xn)| ≤ k|xn− xn−1|.

Comme pr´ec´edemment, une r´ecurrence imm´ediate donne |xn+1−xn| ≤ kn|x1−x0|. Notons que ce r´esultat reste vrai si n = 0.

Soit p ∈ N. On a

|xn+p− xn| =

p

X

i=1

(xn+i− xn+i−1)

p

X

i=1

|xn+i− xn+i−1|

p

X

i=1

kn+i−1|x1− x0|

≤ |x1− x0|kn

p−1

X

i=0

ki

≤ |x1− x0|kn 1 1 − k.

Ceci ´etant valable pour tout p ∈ N, on obtient le r´esultat en passant `a la limite sur p.

2 - Application. On consid`ere la fonction f d´efinie sur R+ par f (x) = 4 − 1 4ln(x) .

(a) Montrer que I = [3, 4] est stable par f (i.e. f (I) ⊂ I) et que pour tout x ∈ I, |f0(x)| ≤ 1 12. On a f (3) = 4 −ln(3)

4 ≤ 4 et f (4) = 4 −ln(4)

4 ≥ 3. Pour tout x ∈ [3, 4], on a f0(x) = − 1 4x. On en d´eduit que f est d´ecroissante et que pour tout x ∈ I, |f0(x)| ≤ 1

12. On a donc : 3 ≤ x ≤ 4 ⇒ f (4) ≤ f (x) ≤ f (3) ⇒ 3 ≤ f (x) ≤ 4. Donc I est sable par f .

(b) Montrer que f admet un unique point fixe α dans l’intervalle I.

Notons g la restriction de f `a l’intervalle I = [3, 4]. g est une application d´efinie sur I,

`

a valeurs dans I, et k-lipschitzienne avec k = 1

12. Le th´eor`eme du point fixe nous assure que g admet un unique point fixe α dans I, et que la suite (un) d´efinie par u0 ∈ I et un+1= f (un) pour tout n ∈ N converge vers α.

(c) On consid`ere la suite (un) d´efinie par u0 ∈ I et un+1 = f (un) , ∀n ∈ N. Montrer que (un) converge vers α et d´eterminer une valeur de n permettant de donner un encadrement de α `a 10−5pr`es.

(7)

La convergence de (un) vers α a ´et´e ´etablie dans la question pr´ec´edente. Prenons x0= 7/2, de sorte que |x0− α| ≤ 1

2. D’apr`es le th´eor`eme pr´ec´edent, pour tout n ∈ N, on a |xn− α| ≤ 1

2

 1 12

n

. Pour avoir une approximation de α `a 10−5 pr`es, il suffit donc de choisir un n ∈ N tel que 1

2

 1 12

n

≤ 10−5, c’est `a dire 12n ≥ 5.104, d’o`u l’on tire n ≥ ln(5.104) ln(12) . Il suffit donc de prendre n ≥ ln(5.104)

ln(12)

 + 1.

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