1. On a enM interférence de deux vibrations RRRRRRRRRR RRRRR
s1=S0.ej(ωt−Ð→k1⋅
ÐÐ→OM+ϕ1)
s2=S0.ej(ωt−
Ð→k2⋅ÐÐ→OM+ϕ2)
Avec Ð→ k1= n.ω
c .Ðe→1 etÐ→ k2 =n.ω
c .Ðe→2
Par conséquent la vibration résultante enM aura pour expression : s(M, t) =s1(M, t)+s2(M, t) =S0.ej(ωt−
Ð→k1⋅ÐÐ→OM).(1+ej[(Ð→k1−
Ð→k2)⋅ÐÐ→OM+ϕ2−ϕ1]) On en déduit alors l’intensité :
I(M) =s.s∗=2.S02.(1+cos[(Ð→ k1−Ð→
k2)⋅ÐÐ→
OM+ϕ2−ϕ1]) I(M) =s.s∗=2.S02.(1+cos[n.2.π.x.sinα
λ +ϕ2−ϕ1])
2. On a la relation x=v0.t. La lumière émise a donc pour éclairement : I′(M) =Cte.2.S02.(1+cos[n.2.π.v0.t.sinα
λ +ϕ2−ϕ1]) La pulsation a donc pour expressionω0= n.2.π.v0.sinα
λ , on en déduit donc la fréquence : f= n.v0.sinα λ 3. On doit obtenir une fréquence inférieure à 1
τ, soit n.v0.sinα λ < 1
τ.
On se place dans le cas le plus défavorable d’une vitesse et d’un indice maximaux (n= 1,5 et v = 30
3,6 m.s−1), ce qui donne : α<1,3 ○