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Corrigé du DS 8 (11/05/21) Exercice 1

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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

Corrigé du DS 8 (11/05/21)

Exercice 1

ln(4) 2 ln(4) 2 2 ln(4)

2 2 0

0 0

1 2 1

ln(1 )

1 2 1 2

t t

t

t t

e e

dt dt e

e = e =  + 

+ +

 

1 ln(17) 1 ln(2) 1 ln 17 ln 17 .

2 2 2 2 2

 

 

= − =     =      

2 2

 

2 2 2 2 2

2

2 2 1

1 1 1 1 1 1

2 1 1

2 2 2 2 2

2

t dt tdt dt dt t t

t t t

 − +  = − + =   +   +

     

     

   

1 5

2 1 2 4 2 .

2 2

= − + − + − =

( )

3 2 3 2 3

3

3 3 2

2 2

1 3 1 2

2 1 28 3

3 3 3

1 1

x x

dx dx x

x x

 

= =  +  = −

+ +

 

2 4 7

2 7 2 2.

3 3

= − = −

Exercice 2

(2)

Exercice 3

1. a) On a 𝑓(𝑥) =

1

𝑥.𝑥2−(ln 𝑥).2𝑥

𝑥4 =𝑥(1−2 ln 𝑥) 𝑥4 .

Sur l’intervalle [𝑒 ; 𝑒2], le signe dépend de 1 − 2 ln 𝑥 car 𝑥 > 0 et 𝑥4> 0.

On a 𝑓(𝑥) ≤ 0 ⟺ 1 − 2 ln 𝑥 ≤ 0 ⟺ 2 ln 𝑥 ≥ 1 ⟺ ln 𝑥 ≥1

2⇔ 𝑥 ≥ 𝑒12(= √𝑒) et √𝑒 ≤ 𝑒.

On en déduit le tableau de variations de la fonction 𝑓 :

𝑥 𝑒 𝑒2 𝑓′(𝑥) −

𝑓

1

𝑒2

𝑒24

b) On a d’après le tableau de variations sur [𝑒 ; 𝑒2] et comme 2

𝑒4< 1

𝑒2 le minimum de 𝑓 est 2

𝑒4. 2

𝑒4≤ 𝑓(𝑥) ≤ 1 𝑒2 Soit en intégrant cet encadrement sur [𝑒 ; 𝑒2] :

2 𝑒4

𝑒2 𝑒

𝑑𝑥 ≤ ∫ 𝑓(𝑥)

𝑒2 𝑒

𝑑𝑥 ≤ ∫ 1 𝑒2

𝑒2 𝑒

𝑑𝑥

⇔ (𝑒2− 𝑒) 2

𝑒4≤ ∫ 𝑓(𝑥)

𝑒2

𝑒

𝑑𝑥 ≤ (𝑒2− 𝑒) 1 𝑒2

⇔2(𝑒 − 1)

𝑒3 ≤ ∫ 𝑓(𝑥)

𝑒2

𝑒

𝑑𝑥 ≤𝑒 − 1 𝑒

(3)

Exercice 4

1. Tout d’abord calculons la différence 𝐽𝑛+1− 𝐽𝑛 :

𝐽𝑛+1− 𝐽𝑛= ∫1𝑛+1𝑒−𝑡√1 + 𝑡 𝑑𝑡− ∫ 𝑒1𝑛 −𝑡√1 + 𝑡 𝑑𝑡=

∫ 𝑒1𝑛 −𝑡√1 + 𝑡 𝑑𝑡+ ∫𝑛𝑛+1𝑒−𝑡√1 + 𝑡 𝑑𝑡− ∫ 𝑒1𝑛 −𝑡√1 + 𝑡 𝑑𝑡 (par la relation de Chasles).

Soit : 𝐽𝑛+1− 𝐽𝑛 = ∫𝑛𝑛+1𝑒−𝑡√1 + 𝑡 𝑑𝑡. Etudions maintenant, le signe de cette différence : sur l’intervalle [𝑛 ; 𝑛 + 1], 𝑒−𝑡√1 + 𝑡 > 0. On en déduit donc la positivité de l’intégrale :

𝑛𝑛+1𝑒−𝑡√1 + 𝑡 𝑑𝑡> 0. Soit pout tout entier 𝑛 positif : 𝐽𝑛+1− 𝐽𝑛> 0. La suite (𝐽𝑛) est bien croissante.

2. a) √1 + 𝑡 ≤ 1 + 𝑡 ⟺ 1 + 𝑡 ≤ (1 + 𝑡)2⟺ 1 + 𝑡 ≤ 1 + 2𝑡 + 𝑡2⟺ 0 ≤ 𝑡(𝑡 + 1) inégalité vraie pour 𝑡 ≥ 1. On a donc pour tout 𝑡 ≥ 1, √1 + 𝑡 ≤ 1 + 𝑡.

b) Pour tout 𝑡 ≥ 1, √1 + 𝑡 ≤ 1 + 𝑡 et 𝑒−𝑡 > 0, d’où :

√1 + 𝑡𝑒−𝑡≤ (1 + 𝑡)𝑒−𝑡.

Donc pour tout 𝑡 ∈ [1 ; 𝑛], √1 + 𝑡𝑒−𝑡≤ (1 + 𝑡)𝑒−𝑡. Soit en intégrant sur l’intervalle considéré :

∫ √1 + 𝑡𝑒1𝑛 −𝑡𝑑𝑡 ≤ ∫ (1 + 𝑡)𝑒1𝑛 −𝑡𝑑𝑡. C’est-à-dire 𝐽𝑛≤ 𝐼𝑛.

3. a) Effectuons une intégration par parties en posant :

𝑢(𝑡) = 1 + 𝑡 𝑢(𝑡) = 1 𝑣(𝑡) = 𝑒−𝑡 𝑣(𝑡) = −𝑒𝑡

𝐼𝑛= [−(1 + 𝑡)𝑒−𝑡]1𝑛+ ∫ 𝑒1𝑛 −𝑡𝑑𝑡 = −(1 + 𝑛)𝑒−𝑛+ 2𝑒−1− [𝑒−𝑡]1𝑛 = −(1 + 𝑛)𝑒−𝑛+ 2𝑒−1− 𝑒−𝑛+ 𝑒−1= 3𝑒−1− (2 + 𝑛)𝑒−𝑛.

b) Pour tout entier 𝑛, on a (2 + 𝑛)𝑒−𝑛 > 0, d’où 𝐼𝑛< 3𝑒−1.

De plus, on a démontré précédemment que pour tout entier 𝑛, 𝐽𝑛≤ 𝐼𝑛, on conclut donc que : Pour tout entier 𝑛, 𝐽𝑛≤ 3𝑒−1.

c) La suite (𝐽𝑛) est croissante et majorée par 3𝑒−1, elle est donc convergente.

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