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Étude paramétrique des configurations impaires profondes dans les spectres de l'uranium UI et UII

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(1)

HAL Id: jpa-00208217

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Submitted on 1 Jan 1974

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Étude paramétrique des configurations impaires profondes dans les spectres de l’uranium UI et UII

F. Guyon, J. Blaise, J.-F. Wyart

To cite this version:

F. Guyon, J. Blaise, J.-F. Wyart. Étude paramétrique des configurations impaires profondes dans les spectres de l’uranium UI et UII. Journal de Physique, 1974, 35 (12), pp.929-933.

�10.1051/jphys:019740035012092900�. �jpa-00208217�

(2)

ÉTUDE PARAMÉTRIQUE DES CONFIGURATIONS IMPAIRES PROFONDES

DANS LES SPECTRES DE L’URANIUM UI ET UII

F.

GUYON,

J. BLAISE et J.-F. WYART

Laboratoire Aimé

Cotton,

C.N.R.S.

II,

91405

Orsay,

France

(Reçu

le 26

juin 1974)

Résumé. 2014 Des spectres infrarouges, obtenus par

spectroscopie

de Fourier, ont permis d’étendre l’analyse du spectre d’arc de l’Uranium (UI). Les niveaux

pairs

les plus

profonds

appartenant à 5f4 7s2 5I ont été identifiés et de nouveaux niveaux impairs ont été localisés. Pour faciliter l’inter-

prétation

de ces niveaux, un calcul des

configurations

5f3 6d 7s2 et

Sf3(4I)

6d2 7s, tenant compte de leur interaction, a été effectué selon les méthodes de Racah. 68 niveaux sont interprétés avec

un écart quadratique moyen sur les énergies de 124 cm-1. Les résultats d’un calcul analogue de la

configuration

5f3 6d 7s de UII sont aussi discutés.

Abstract. 2014 By the use of new observations in the infrared (Fourier Transform Spectroscopy),

the analysis of the first spectrum of uranium (UI) has been extended. The lowest even levels belong

to 5f4 7s2 5I and new odd levels have been located. In order to facilitate their interpretation, the

configuration

5f3 6d 7s2 and the

sub-configuration 5f3(4I)

6d2 7s have been calculated taking

account of their interaction, following the methods of Racah. Sixty-eight levels are interpreted

with a rms deviation of 124 cm-1 in their energies. Results of a similar calculation for the confi-

guration 5f3 6d 7s in UII are also discussed.

Classification

Physics Abstracts

5.230

1. Introduction. - L’Uranium est, avec le

Thorium,

l’actinide

qui

a suscité le

plus grand

nombre de

travaux mais son spectre, très

complexe,

pose encore de nombreux

problèmes

de classification.

Judd

[1],

en

1962,

a effectué une étude

paramétrique

des

configurations

5 f" 6d des actinides. Pour calculer les niveaux

d’énergie

de

5f3

6d

7s2

de

UI,

il ne dis-

posait

que de 14 niveaux

expérimentaux

identi-

fiés

[2, 3, 4].

L’étude des spectres UI et UII se

poursuit depuis

cette

époque

au Laboratoire Aimé Cotton en colla- boration avec

Steinhaus,

Radziemski et Cowan

[5],

du Los Alamos Scientific

Laboratory.

Les travaux

de Blaise

[6], Diringer [7],

Guelachvili

[8],

Ben

Osman

[9]

et

Vergès [10],

ont

porté

le nombre des niveaux connus à

près

de 1 000 pour le spectre d’arc

et 300 seulement pour le spectre d’étincelle car les

sources utilisées favorisent l’émission du

spectre

I.

En 1970 des

spectres infrarouges

de UI et

UII,

obtenus

par

spectroscopie

de Fourier par

Guelachvili,

ont

permis

de fixer les

énergies

des niveaux à

±

5 x 10-3

cm -1

et de trouver une centaine de

niveaux.

Le

principal

résultat de cette nouvelle étude du spectre d’arc

[11]

est la localisation des

plus profonds

niveaux

pairs

de

5f4 7s2 ;

on connais-

sait

déjà 5f 4 7S2 SI6

à 12 643

cm-1,

trois niveaux de J =

4, 5,

7

appartenant

au même terme ont été trouvés

respectivement

à 7 020

cm-1,

10 051

cm-1

et 14 858

cm-’.

Les divers types de transitions

observées dans le

spectre

d’arc sont

présentés

sur

la

figure

1.

FIG. 1. - Types de transitions observées dans le spectre d’arc.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:019740035012092900

(3)

930

Pour tenter d’identifier le

plus grand

nombre de

niveaux

profonds,

et pour localiser les niveaux

manquants,

nous avons

entrepris

une étude para-

métrique,

selon les méthodes de

Racah,

des confi-

gurations 5f3

6d

7s2, 5f3 6d 2

7s de UI et 5f3 6d 7s

de UII. Ce calcul a

permis

d’identifier des niveaux de J extrêmes

qui

interviennent dans un nombre restreint de

transitions,

par

exemple

les niveaux

5P?

à 13 719

cm-1, 5D02

à 10708

cm-1

et

7L010

à

20 945

cm-1.

Ces calculs

complètent

ceux effectués

par Cowan sur les

configurations

fondamentales des

spectres

UI à UVI.

2.

Configurations

du spectre d’arc. - Les 160 niveaux

impairs

de UI couvrent 35 000

cm-1.

Quatre configurations

ont été identifiées :

5f3

6d

7s2,

5f3 6d2 7s, 5f4

7s

7p, 5f3

6d 7s

8s ;

d’autres comme

5f3 6d3, 5f’

6d

7p

attendues dans la même

région

n’ont pu être encore localisées. Seules les

configu-

rations

f3 ds2

et

f3 d2

s sont suffisamment bien

connues pour permettre une étude

paramétrique.

Le calcul doit tenir compte de l’interaction des 2

configurations

car, dès 10 000

cm-1,

les

dépla-

cements

isotopiques 235U-238U

mesurés pour

plu-

sieurs

couples

de niveaux tels que

f3 d2 s7K04-

f3 ds’

’G’

montrent

qu’un mélange

sensible des niveaux se

produit.

La

configuration 5f3

6d 7s 8s

dont on a identifié les trois

premiers

niveaux :

7 Lo

32857

cm-1, 7K04

33 544

cm-1, 7L06

34 160

cm-1

ne

perturbe

pas les niveaux

profonds.

2.1 CONFIGURATION

5f3

6d

7s2.

- Les matrices

angulaires

de la

configuration

f3 d calculées par Bordarier existaient dans la

bibliothèque

de confi-

gurations

du laboratoire Aimé Cotton. Les valeurs initiales des 11

paramètres

nous ont été fournies par

une étude de

4f3

5d

6s2

effectuée par

Wyart [12]

dans le

Néodyme.

La

plupart

des niveaux connus

ont pour terme

parent 5f3(4I0) ;

les

premiers

termes

bâtis sur

5f3(4 F’) n’apparaissent

que 8 000

cm-1

au-dessus du niveau fondamental

f3(4I) ds2 5L06, rapi-

dement suivis des termes issus des autres

multiplets

du coeur

f3 : 4Go, 2Ho, 2 Do.

2.2 CONFIGURATION 5f3

6d 27s.

- Les niveaux

d’énergie

sont calculés en

couplage

LS

progressif :

[(f3 Si Ll, d2 S2 L2) S12 L, s] S, L,

J et, comme les

niveaux de

f3 ds2,

au moyen d’une chaîne de pro- grammes mise au

point

au laboratoire Aimé Cotton

[13].

Sans troncature, cette chaîne ne

permet

pas de traiter les matrices d’ordre élevé

qui

appa- raissent dans le calcul de

f3 d2

s. Nous avons limité notre étude à la

sous-configuration f3(41 0) d2

s tout

en sachant que le

premier multiplet

de

5f3 s’éloigne

sensiblement du

couplage

LS. Une étude de la confi-

guration f3

a en efi’et montré que le niveau le

plus

élevé du

quadruplet : 4I015/2

contient

près

de 20

%

de

2K°.

La troncature du coeur

f3

nous a conduits à éliminer du processus

d’optimisation

des

paramètres

tous les niveaux de

f3(4I°) d2

s, comme

71°,

sus-

ceptibles

d’être

perturbés

par des termes

proches,

de même nom

LS,

construits sur les termes

parents négligés

de f3.

2.3 RÉSULTATS. - Les

valeurs,

en

cm-l,

des para- mètres radiaux obtenus lors des derniers calculs de moindres carrés sont

présentés

dans le tableau I.

Les

paramètres qui

ont varié librement sont suivis de leur

écart-type.

TABLEAU 1

Paramètres radiaux en cm-1

des

configurations impaires profondes

de Ul et UII.

Les 11

paramètres

associés à f3

ds’

ont

convergé

vers des valeurs bien définies.

Pour

f3(41)

d2 s, les

paramètres qu’on

ne

peut

laisser varier librement ont été soit fixés

(F2(d2), F4(d2), G3(fs)),

soit maintenus dans des

rapports

constants avec les mêmes

paramètres

de

f3 ds2,

mieux définis. Les valeurs constantes et les

rapports

choisis sont

compatibles

avec ceux obtenus récem- ment pour le Thorium

[14].

Le

paramètre

a

qui

rend compte de l’interaction de

configurations

loin-

taines

joue

un rôle peu

important

dans le

calcul ;

nous l’avons annulé dans les dernières itérations.

Nous avons aussi dû fixer deux

paramètres

d’inter-

action

R 2(fs, fd)

et

R3 (fs, df) qui

ne prennent pas de valeurs

significatives.

Judd

[15]

a

remarqué

que, pour des

configurations

du

type

de celles que nous

étudions,

l’hamiltonien d’interaction

spin-orbite

est

(4)

quasi diagonal

en

couplage

LS pour les termes de

multiplicité

maximale

Si (f

=1=

Çd.

En

n’introduisant,

lors des

optimisations,

que des niveaux des septu-

plets 7MO, 7 Lo

et 7Ko

qui respectent

assez bien la

règle

de Landé on obtient dans

f3(4I)d2

s une valeur

élevée

de (d

voisine de

Çf.

Notons que si l’on

remplace (f

par trois

pseudo-paramètres Ej

fixés aux

énergies expérimentales

de

5f3

4I0 dans

UIV, ’d(f3 d2 s)

tend

vers une valeur nettement

plus faible,

inférieure à celle de

’d(f3 ds2),

ce

qui

s’accorde mieux à ce que l’on observe

généralement.

On trouve dans le tableau II par valeurs de J croissantes : les

énergies

observées

Eo

et calculées

Ec,

l’écart

Eo-Ec,

les facteurs de Landé

observés go

et

calculés

gc, le

nom et le carré de

l’amplitude

de la

composante prépondérante

du niveau sur la base LS

utilisée ;

pour f3

ds’,

on a

porté

successivement le terme

parent

de f3 et le terme de la

configuration

f3

d ;

pour

f3 d2

s, on trouve deux

parents :

entre paren- thèses le terme de

d2,

,

puis

celui de

f3 d2.

L’accord

entre la théorie et

l’expérience

est assez bon pour les niveaux de

f3 ds2 ;

il est nettement meilleur que celui obtenu récemment par

Spector [16]

pour un nombre de niveaux

pourtant plus

faible. Les

premiers

niveaux

exclus de notre base vectorielle par la troncature de f3 :

f3(4F0)

d2

S 7I03

et

f3(4 GO)

d2 s

7Ko

attendus vers

15 000 cm -1 1

perturbent

les niveaux de J = 3 et 4 : tous les niveaux de

f3 (’l)

d2 s 7K ° sont

repoussés

vers le bas. Ce fait rend très aléatoire une identi- fication des niveaux J = 3 et J = 4 situés au-dessus de 12 000

cm-’

en l’absence de mesures de facteurs de Landé et de

déplacements isotopiques.

TABLEAU II

Niveaux

d’énergie expérimentaux Eo

et calculés

E,,

des

configurations 5f3

6d

7s2

et

5f3(4 1) 6d2

7s. On

On se limite pour J 6 aux

énergies inférieures

à 15 000

cm-l.

(5)

932

TABLEAU II

(suite)

3.

Spectre

d’étincelle :

configuration 5f’

6d 7s. -

La

configuration

fondamentale du

spectre

de

UII, 5f3 7s2,

reconnue par Schuurmans

[17]

en

1946,

est immédiatement suivie de la

première configura-

tion excitée

5f3

6d

7s ;

Ben Osman et Guelachvili ont

porté

à 23 le nombre des niveaux connus de cette

configuration qui

en

comporte

789

[8, 9] ;

Blaise ultérieurement a trouvé

quelques

niveaux

nouveaux et localisé la

première configuration paire 5f4

7s

[5].

Les 23 niveaux

expérimentaux

se sont

révélés suffisants pour amorcer une

interprétation paramétrique.

Etant

éloignés

du

couplage LS,

leur

dépendance

vis-à-vis des

paramètres électrostatiques

est différente pour chacun d’entre eux et seuls les

paramètres E1, E2

et

G5 (5f, 6d)

ont été fixés au

cours des

optimisations.

On constate dans le tableau III

que les niveaux calculés et observés sont en bon accord

jusqu’à

8 000

cm-1.

Les

larges

déviations

pour les niveaux élevés sont dues à l’influence de

5f3 6d2

dont l’interaction avec f3 ds est très

impor-

tante

(présence

d’un terme

Q(d2, ds)

dans l’hamil-

tonien).

Les

niveaux, figurant

dans le tableau

III,

suivis d’une

astérisque

n’ont pas

participé

à

l’opti-

misation. La

première composante

des fonc- tions d’onde est donnée en

couplage

Les valeurs finales des

paramètres

sont

comparées

dans le tableau 1 avec

celles,

mieux

définies,

de

5f3

6d

7s2

dans UI. On constate entre ces deux

types

TABLEAU III

Niveaux

d’énergie expérimentaux Eo

et calculés

E,,

de la

configuration 5f3

6d 7s de UII. On se limite ici

aux

énergies inférieures

à 11000

cm-1.

Le nom de la

principale

composante est donné dans le

couplage

[f3 81 Ll, (ds) S2 L2]

8L.

Les niveaux suivis d’une

astérisque

sont

perturbés

par d’autres

configurations

et ont été exclus des dernières itérations.

(6)

de

configurations

les mêmes relations que dans les lanthanides.

4. Conclusion. -

Quand

on passe des lanthanides

aux actinides la

grandeur

relative des différentes interactions est

profondément modifiée ; cependant,

pour un même

type

de

configurations

on vérifie

toujours

Il en résulte que le

couplage

des

configurations 5f",

et a

fortiori

des 5f" 6dP

7s’ s’éloigne davantage

du

couplage

LS que dans le cas des lanthanides. Les niveaux issus du terme fondamental de 5fin ne sont

plus séparés

du reste de la

configuration

et les effets

de la troncature ont une

importance

accrue. De ce

fait,

les études

paramétriques susceptibles d’apporter

une aide à la

classification,

ou de fournir de bonnes fonctions

d’ondes,

sont limitées aux cas où les dimen- sions des

configurations

permettent un traitement

sans

approximation.

On ne peut malheureusement pas s’attendre à ce que

l’application

de ces méthodes

aux actinides

connaisse,

dans un

proche avenir,

les mêmes

développements

que dans la série des lanthanides.

5. Remerciements. - Ce travail a été

grandement

facilité par les mesures de

longueurs

d’onde très

précises

effectuées dans l’ultraviolet et le visible à Los Alamos par D. W. Steinhaus et L. J. Radziemski et par la

qualité

des spectres

infrarouges

obtenus

par

spectroscopie

de Fourier par G. Guelachvili et calculés par H. Delouis du

C.I.R.C.E., Orsay

et nous tenons à les en remercier chaleureusement.

Nos remerciements s’adressent

également

à M. Fred

et F. S. Tomkins de

Argonne

National

Laboratory qui

nous ont fourni d’excellents spectrogrammes Zeeman couvrant tout le domaine 3 000-11000

Á

et à J.

Vergès qui

a

enregistré

avec un SISAM à

haute résolution les structures Zeeman de 32 raies

infrarouges

dont l’une à 6 412

cm-1

a

permis

d’iden-

tifier le niveau

pair

le

plus profond

de UI : f4

S2 5I4.

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