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Problème 2 : isométries du plan et de l’espace

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(1)

SESSION 2012

CAPES EXTERNE

MATHÉMATIQUES 2

Problème 1 : anneau ( Z /n Z , +, ×)

Eléments inversibles de l’anneau(Z/nZ,+,×).

1.Soienta∈Zetn∈N\ {0, 1}.

ainversible dans (Z/nZ,+,×)⇔∃u∈Z/ a×u=1⇔∃(u, v)∈Z2/ au=1−nv⇔∃(u, v)∈Z2/ ua+vn=1

⇔a∧n=1(d’après le théorème deBézout).

2.• 1∈ In et doncIn n’est pas vide.

•On sait que le produit de deux classes inversibles est une classe inversible ou encore×est interne dansIn.

•On sait que la multiplication des classes est commutative.

•On sait que la multiplication des classes est associative.

•1∈ In et pour toute classe inversiblea,a×1=a.

•On sait que l’inverse d’une classe inversible est une classe inversible ou encore tout élément deInadmet un inverse dans In.

On a montré que(In,×)est un groupe commutatif.

3.

I10 1 3 7 9 ordre 1 4 4 2

Puisque l’élément3est d’ordre4et que card(I10) =4, le groupe(I10,×)est cyclique.

4.

I12 1 5 7 11

ordre 1 2 2 2

Puisque card(I12) =4 et queI12 ne contient pas d’élément d’ordre4, le groupe(I12,×)n’est pas cyclique.

5. Algorithmes écrits avec Algobox.

5.1Voir page suivante. On utilise cet agorithme en rentrant deux entiersket ntels quek>0 etn > 1.

(2)

1 VARIABLES

2 n EST DU TYPE NOMBRE 3 k EST DU TYPE NOMBRE 4 r EST DU TYPE NOMBRE 5 DEBUT ALGORITHME 6 LIRE n

7 LIRE k

8 Si k>=n ALORS

9 DEBUT SI

10 k PREND LA VALEUR k-floor(k/n)*n

11 FIN SI

12 r PREND LA VALEUR n%k 13 TANT QUE (r !=0) FAIRE

14 DEBUT TANT QUE

15 n PREND LA VALEUR k

16 k PREND LA VALEUR r

17 r PREND LA VALEUR n%k

18 FIN TANT QUE

19 SI (k !=1) ALORS

20 DEBUT SI

21 AFFICHER "0"

22 FIN SI

23 SINON

24 DEBUT SINON

25 AFFICHER "1"

26 FIN SINON

27 FIN ALGORITHME 5.2

1 VARIABLES

2 n EST DU TYPE NOMBRE 3 k EST DU TYPE NOMBRE 4 r EST DU TYPE NOMBRE 5 card EST DU TYPE NOMBRE 6 a EST DU TYPE NOMBRE 7 b EST DU TYPE NOMBRE 8 DEBUT ALGORITHME 9 LIRE n

10 card PREND LA VALEUR 0 11 POUR k ALLANT DE 1 A n-1

12 DEBUT POUR

13 a PREND LA VALEUR n

14 b PREND LA VALEUR k

15 r PREND LA VALEUR a%b

16 TANT QUE (r !=0) FAIRE

17 DEBUT TANT QUE

18 a PREND LA VALEUR b

19 b PREND LA VALEUR r

20 r PREND LA VALEUR a%b

21 FIN TANT QUE

22 SI (b==1) ALORS

23 DEBUT SI

24 card PREND LA VALEUR card+1

25 FIN SI

26 FIN POUR

27 AFFICHER "Le cardinal de In est "

28 AFFICHER card 29 FIN ALGORITHME

(3)

5.3

1 VARIABLES

2 n EST DU TYPE NOMBRE 3 k EST DU TYPE NOMBRE 4 r EST DU TYPE NOMBRE 5 a EST DU TYPE NOMBRE

6 m EST DU TYPE NOMBRE

7 ordre EST DU TYPE NOMBRE 8 DEBUT ALGORITHME

9 LIRE n 10 LIRE k

11 m PREND LA VALEUR n 12 a PREND LA VALEUR k 13 SI (k>=n) ALORS

14 DEBUT SI

15 k PREND LA VALEUR k-floor(k/n)*n

16 FIN SI

17 r PREND LA VALEUR n%k 18 TANT QUE (r !=0) FAIRE

19 DEBUT TANT QUE

20 n PREND LA VALEUR k

21 k PREND LA VALEUR r

22 r PREND LA VALEUR n%k

23 FIN TANT QUE

24 SI (k !=1) ALORS

25 DEBUT SI

26 AFFICHER "Erreur"

27 FIN SI

28 SINON

29 DEBUT SINON

30 ordre PREND LA VALEUR 1

31 TANT QUE (pow(a,ordre)-floor(pow(a,ordre)/m)*m !=1) FAIRE

32 DEBUT TANT QUE

33 ordre PREND LA VALEUR ordre+1

34 FIN TANT QUE

35 AFFICHER "L’ordre de "

36 AFFICHER a

37 AFFICHER " est "

38 AFFICHER ordre

39 FIN SINON

40 FIN ALGORITHME

Eléments non inversibles de l’anneau (Z/nZ,+,×).

6.

6.1Soitnun entier supérieur ou égal à2 non primaire.npossède un facteur premierp. On noteα>1 l’exposant dep dans la décomposition primaire denet on posen1=pα puisn2= n

n1

de sorte que n2est un entier tel quen=n1n2. Puisquen n’est pas primaire,pα 6=net donc1 < n1< n. L’entiern2 est supérieur ou égal à2 et n’admet plusppour facteur premier. Les entiersn1etn2 n’ont pas de facteur premier commun et doncn1∧n2=1.

On a montré qu’il existe deux entiersn1etn2 tels quen=n1n2et1 < n1< n2et n1∧n2=1.

6.2Posonsd= (n1+n2)∧n.

ddivisen1+n2etddivisen=n1n2. Doncddivise(n1+n2)n1−n1n2=n21et de mêmeddivise(n1+n2)n2−n1n2=n22. Mais alorsd divise n21∧n22 = 1 (n1 et n2 sont deux entiers supérieurs ou égaux à 2 n’ayant pas de diviseur premier commun et il en est de même den21et n22).

Finalement,ddivise1 et doncd=1. On a montré que(n1+n2)∧n=1.

6.3Puisquen=n1n2,n1∧n=n1> 1. Puisquen1et nne sont pas premiers entre eux,n1∈ I/ n d’après la question 1.

De même,n2∈ I/ n. 7.Soitk∈Z.

(4)

•Si pdivisek, alorspdivisek∧pα. Par suite,ket pα ne sont pas premiers entre eux et donck∈ Npα.

•Si pne divise pask, alorsk etpα sont premiers entre eux (carpest premier). Dans ce cas,k /∈ Npα. On a montré que∀k∈Z, k∈ Npα ⇔p|k

. 8.Soitnun entier naturel supérieur ou égal à2.

•Sinn’est pas primaire, d’après la question 6, on peut écriren=n1n2avecn1etn2entiers naturels tels que1 < n1< n et(n+1+n2)∧n=1. La question 6.3 montre quen1et n2appartiennent àNn et la question 6.2 montre quen1+n2 n’appartiennent pas àNn. Dans ce cas,Nnn’est pas stable pour+et en particulier n’est pas un sous-groupe de(Z/nZ,+).

•Supposons quensoit un nombre primaire. Il existe un nombre premierpet un entier naturel non nulαtel quen=pα. Les éléments deNn sont les classes des entiers relatifs divisibles parp. Donc,

-0 appartient àNn,

- la différence de deux éléments de Nn est encore un élément deNn. Ceci montre queNn est un sous-groupe de(Z/nZ,+).

On a montré que

∀n>2, (Nn est un sous-groupe de(Z/nZ,+)si et seulement sinest primaire).

Problème 2 : isométries du plan et de l’espace

Partie A : généralités

1.Soientf une isométrie deEetF une partie non vide deE.

• Sif∈G(F), alorsf(F) =F. Mais alors,

- Si Mest un point deF, alorsf(M)∈f(F) =F

- Si Mest un point deF=f(F),f−1(M)∈f−1(f(F)) =F.

•Réciproquement, supposons que pour toutMdeF,f(M)etf−1(M)soient dansF.

-Pour tout pointMun point deF,f(M)∈F. Ceci montre quef(F)⊂F.

-SoitM un point def(F). Il existeM∈F tel queM =f(M)à savoirM=f−1(M). PuisqueM∈F, M=f(M) est dansF. Ceci montre que F⊂f(F)et finalement quef(F) =F.

On a montré que

∀f∈Is(E), f∈G(F)⇔∀M∈F, (f(M)∈Fetf−1(M)∈F).

2.•G(F)⊂Is(E).

•IdE∈G(F)et en particulierG(F)6=∅.

•Soit(f, g)∈(G(F))2. D’après 1), pour tout pointMdeF, -g−1(M)∈Fpuisf(g−1(M))∈F,

-f−1(M)∈Fpuisg(f−1(M))∈F ou encore(f◦g−1)−1(M)∈F.

Toujours d’après la question précédente, on en déduit quef◦g−1∈G(F). Ainsi,∀(f, g)∈(G(F))2,f◦g−1∈G(F).

Ceci montre que

G(F)est un sous-groupe de(Is(E),◦).

Dans la démonstration précédente, on remplaceG(F)parG+(F)et Is(E)par Is+(E)et on obtientG+(F)est un sous-groupe de(Is+(E),◦). Puisque Is+(E)est un sous-groupe de(Is(E),◦),

G+(F)est un sous-groupe de(Is(E),◦).

3.Soitsune symétrie qui est une isométrie. Alorss−1=set d’après 1),s∈G(F)⇔∀M∈F, s(M)∈F.

4.

4.1Soit f∈G+(F). Alorsϕ◦f ∈Is(E)et d’autre part, pour tout point Mde F, f(M)∈F puisϕ(f(M))∈F et aussi ϕ−1(M)∈F puis(ϕ◦f)−1(M) =f−1−1(M))∈F. Ainsi,ϕ◦f∈G(M).Φ est une application bien définie.

4.2Soitg∈G(F). Alors ϕ◦g∈Is+(E)et d’autre part, pour tout pointM deF, g(M)∈F puisϕ(g(M))∈F et aussi ϕ−1(M)∈F puis(ϕ◦g)−1(M) =g−1−1(M))∈F. Ainsi,ϕ◦g∈G+(M).

(5)

On définit donc une application en posant Ψ : G(F) → G+(F) g 7→ ϕ◦f

. Il est immédiat que Ψ◦Φ =IdG+(F) et Φ◦Ψ= IdG(F). On sait alors queΦest une bijection et queΨ=Φ−1.

5.G+(F)n’est pas vide d’après la question 2.

• SiG(F)est vide, alors G(F) =G+(F)puis card(G(F)) =card(G+(F)).

• Si G(F) n’est pas vide,(G+(F), G(F)) est une partition de G(F) et de plus, les ensembles G+(F) et G(F) sont équipotents d’après la question précédente. Par suite, card(G(F)) =card(G+(F)) +card(G(F)) =2card(G+(F)).

Partie B : exemples dans le plan euclidien

Un singleton.

1.

1.1fest une isométrie négative et l’identité est une isométrie positive. Doncf6=IdP. Par suite, il existe un pointI∈ P tel quef(I)6=I.

1.2Puisquefest une isométrie,ΩI=f(Ω)f(I) =Ωf(I)et donc le pointΩappartient à la médiatrice du segment[I, f(I)].

On en déduit quer(Ω) =Ω.

r◦f est une isométrie positive en tant que composée de deux isométries négatives. De plus,r◦fadmet les points ΩetI pour points invariants. Puisquef(Ω) =Ωet quef(I)6=I, les pointsΩetIsont distincts. En résumé,r◦fest une isométrie positive ayant au moins deux points fixes distincts et doncr◦f=IdP carr◦fne peut être ni une rotation distincte de l’identité (qui n’a qu’un point invariant), ni une translation distincte de l’identité (qui n’a pas de point invariant).

1.3Mais alorsf=r−1=r ou encorefest la réflexion d’axe la médiatrice du segment[I, f(I)].

2. • D’après la question précédente, un élément de G(F) est nécessairement une réflexion d’axe passant par Ω et réciproquement une réflexion d’axe passant parΩest un élément deG(F).G(F)est donc constitué des réflexions d’axe passant parΩ.

•Soitrune réflexion d’axe passant parΩfixée. D’après la question 3), les éléments deG+(F)sont lesr◦f oùf∈G(F).

Il est connu que la composée de deux réflexions d’axe passant parΩest une rotation de centreΩ, éventuellement égale à l’identité. Réciproquement, les rotations de centreΩsont dansG+(F)et doncG+(F)est constitué des rotations de centre Ω.

On a montré queG(F)est constitué des rotations de centreΩ(avec la convention queIdP est une rotation de centreΩ) et des réflexions d’axe passant parΩ.

Une paire.

3.f∈G(U)et donc ou bien f(P1) =P1et f(P2) =P2, ou bienf(P1) =P2 et f(P2) =P1. Dans les deux cas, l’image par fdu segment[P1, P2]est le segment [f(P1), f(P2)] = [P1, P2]. Puisque fest une application affine, l’image parf du milieu de[P1, P2]est le milieu de[f(P1), f(P2)] = [P1, P2]ou encoref(I) =I.

4.Soitf∈G+(U)tel quef6=IdP.fest une isométrie positive admettantIpour point invariant et doncfest une rotation de centre I. L’angle de f est −−−→

P1P2,−−−−−−−→ f(P1)f(P2)

. Cet angle est soit −−−→ P1P2,−−−→

P1P2

ou −−−→ P1P2,−−−→

P2P1

. Donc f est soit la rotation de centre I et d’angle 0 modulo 2π c’est-à-dire IdP ce qui est exclu, soit la rotation de centre I et d’angle π modulo2π c’est-à-dire la symétrie centrale de centreI.

On a montré que sif∈G+(U)et f6=IdP, alorsf est la symétrie centrale de centreI.

5. Réciproquement, sI la symétrie centrale de centre I est dans G+(U) et donc G+(U) = {IdP, sI}. D’après la question 4, G(U) est équipotent à G+(U) et donc card(G(U)) = 2. Comme la réflexion d’axe (P1P2) et la réflexion d’axe la médiatrice de [P1, P2] sont deux éléments distincts de G(U), G(U) est constitué de la réflexion d’axe (P1P2) et la réflexion d’axe la médiatrice de[P1, P2].

En résumé,G(U)est formé de quatre éléments : l’identité, la symétrie centrale de centreIet deux réflexions.

Une ellipse.

6.s(M),r1(M)et r2(M)ont pour coordonnées respectives(−x,−y), (x,−y)et(x, y).

7. Puisque pour tout(x, y)∈R2, (±x)2

a2 + (±y)2 b2 = x2

a2 +y2

b2, on en déduit que pour tout pointM du plan, M∈Γ ⇔ s(M)∈Γ ⇔r1(M)∈Γ ⇔r2(M)∈Γ. Commes,r1 et r2sont des involutions, ceci montre que s,r1 etr2appartiennent àG(Γ). On a montré que G({A, A})⊂G(Γ).

8. Figure.

(6)

1 2

−1

−2

1 2

−1

−2

Γ Λ

9.SoitMun point du plan de coordonnées(x, y). Puisque b < a, x2 a2+ y2

b2 > x2 a2+ y2

a2 = 1

a2(x2+y2)et donc M∈Γ ⇒ x2

a2+ y2

b2 =1⇒ 1

a2(x2+y2)61⇒x2+y26a2⇒M∈∆.

On a montré queΓ ⊂∆.

10.SoitMun point du plan de coordonnées(x, y).

M∈Γ∩Λ⇔



 x2 a2+ y2

a2 =1 (1) x2

a2+ y2

b2 =1 (2)



 x2 a2 +y2

a2 =1 (1) y2

1 a2− 1

b2

=0 (1) − (2)



 y=0

x2

a2 =1 (car 1 a2− 1

b2 6=0)

⇔(x, y)∈{(a, 0),(−a, 0)}⇔M∈{A, A}.

On a montré queΓ∩Λ={A, A}.

11.SoientPetP deux points deΓ. On note(x, y)et(x, y)les coordonnées respectives des pointsPetP. (a)

PP2= (x−x)2+ (y−y)2=x2+y2+x2+y2−2(xx+yy) 6x2+y2+x2+y2+2p

x2+y2p

x2+y2d’après l’inégalité deCauchy-Schwarz) 6a2+a2+2×a×a(d’après la question 9)

=4a2, et doncPP62a.

(b)L’inégalité précédente est une égalité si et seulement si chaque inégalité écrite est une égalité. En particulier,x2+y2= x′2+y′2 = a2 et donc P et P appartiennent à Λ et Γ. D’après la question 10, on a nécessairement {P, P} = {A, A}.

Réciproquement,AA =2a et on a montré quePP =2a⇔{P, P}={A, A}.

12.Soitfun élément deG(Γ). PosonsP=f(A)et P=f(A).PetP sont deux points deΓ. Puisquefest une isométrie, on aPP =AA=2a et donc{P, P}={A, A}d’après la question précédente. Par suite,f∈G({A, A}). Ceci montre que G(Γ)⊂G({A, A}). D’autre part,G({A, A})⊂G(Γ)d’après la question 7 et finalement,

(7)

G(Γ) =G({A, A}).

Partie C : étude d’isométries de l’espace

1.

1.1Soitf∈Is(E). Soit−→x ∈E. Il existeM∈ E tel que−→x =−−OM.→

−→ f −→x

=

−→ f −−→

OM

=

−−−−−−→ f(O)f(M)

=f(O)f(M) =OM= −→x

. Donc−→

f ∈O(E).

1.2Soit(M, M)∈ E2.

M=f(M)⇔M=f(O) +−−−−−−→

f(O)f(M)⇔M=−→f −−OM→

+f(O)⇔X=AX+B.

1.3 Puisque −→

f ∈ O(E) et que A est la matrice de −→

f dans la base orthonormée −→ i ,−→

j ,−→ k

, on sait que A ∈ O(E3).

Ensuite, le déterminant de−→

f est le déterminant deAc’est-à-dire1 ou−1. Donc

−→f ∈Is+(E)⇔det−→f

> 0⇔det(A)> 0⇔det(A) =1⇔A∈SO3(R).

2.Chacune des matrices proposées est diagonale et en particulier est égale à sa transposée. Donc, pouri∈J0, 3K,

tAiAi=AitAi=A2i =diag{(±1)1,(±1)2,(±1)2}=diag(1, 1, 1) =I3, et donc∀i∈J0, 3K, Ai∈O3(R).

3.A0,A1 etA2sont dansO3(R)etA3est dansO3(R)\SO3(R).

4.•tλ est la translation de vecteur−→u(0, 0, λ).

•v est le demi-tour d’axe(Oz).

• sest le demi-tour d’axe(Ox).

• rest la réflexion par rapport au plan(Oxy).

5.Les expressions analytiques respectives dev◦tλettλ◦vsont toutes deuxX=A1X+Bλqui est l’expression analytique devλ. Doncvλ=v◦tλ=tλ◦v.

vλ est le vissage d’angleπautour de−→

k et de vecteur−→u. 6.Soit(γ, δ)∈R2. L’expression analytique devγ◦vδest

X=A1(A1X+Bδ) +Bγ=A21X+A1Bδ+Bγ=X+Bδ+Bγ=X+Bγ+δ, qui est aussi l’expression analytique detγ+δ. Doncvγ◦vδ=tγ+δ.

L’expression analytique detγ◦vδ est

X= (A1X+Bδ) +Bγ=A1X+Bγ+δ, qui est aussi l’expression analytique devγ+δ. Donctγ◦vδ=vγ+δ.

Partie D : un cylindre à base elliptique

1.SoitM(x, y, z)un point de l’espace et soitλ∈R.

•tλ(M)a pour coordonnées(x, y, z) = (x, y, z+λ)et t−1λ (M)a pour coordonnées(x′′, y′′, z′′) = (x, y, z−λ). Donc M∈ C⇒ x2

a2 +y2

b2 =1⇒ x′2 a2 + y′2

b2 =1et x′′2 a2 +y′′2

b2 =1⇒tλ(M)∈ Cett−1λ (M)∈ C.

D’après la question 1 de la partie A,tλ∈ C.

• vλ(M) a pour coordonnées(x, y, z) = (−x,−y, z+λ) etv−1λ (M)a pour coordonnées(x′′, y′′, z′′) = (−x,−y, z−λ).

Donc

M∈ C⇒ x2 a2 +y2

b2 =1⇒ x2 a2 +y2

b2 =1et x′′2 a2 + y′′2

b2 =1⇒vλ(M)∈ Cetv−1λ (M)∈ C.

(8)

et doncvλ∈ C.

•s(M) =s−1(M)a pour coordonnées (x, y, z) = (x,−y,−z). Donc M∈ C⇒ x2

a2+ y2

b2 =1⇒ x′2 a2 +y′2

b2 =1⇒s(M)∈ Cets−1(M)∈ C.

et doncs∈ C.

•r(M) =r−1(M)a pour coordonnées(x, y, z) = (x, y,−z). Donc M∈ C⇒ x2

a2 +y2

b2 =1⇒ x′2 a2 + y′2

b2 =1⇒r(M)∈ Cetr−1(M)∈ C.

et doncr∈ C.

2.SoitM(x, y, z)un point de l’espace.

M∈ C⇔ x2 a2 +y2

b2 =1⇔∃θ∈R/



 x

a =cosθ y

b =sinθ

∃θ∈R/

x=acosθ y=bsinθ

⇔∃θ∈R/ M∈dθ⇔M∈ [

θR

dθ.

C= [

θ∈R

dθ.

3.

3.1d0 est la droite dont un système d’équations est

x=a

y=0 . d0 est dirigée par le vecteur−→

k. Soit Dune droite non parallèle àd0 et soit−→u(α, β, γ)un vecteur directeur deD. Siα=β=0, alors−→u est colinéaire à−→k puisDest parallèle àd0 ce qui n’est pas. Donc l’un des deux réelsαouβn’est pas nul.

3.2Une représentation paramétrique de la droiteDest



x=x0+tα y=y0+tβ z=z0+tγ

,t∈R. 3.3Soit(x0+tα, y0+tβ, z0+tγ),t∈R, un point deD. SiM∈ C, alors

(x0+tα)2

a2 + (y0+tβ)2 b2 =1.

L’équation ci-dessus est une équation du second degré car le coefficient de t2 à savoir α2 a2 + y2

b2 n’est pas nul (puisque (α, β)6= (0, 0)). On sait que cette équation admet au plus deux solutions dans Rou encore Dcoupe C en au plus deux points.

4.Soitf∈G(C). On sait quef(d0)est une droiteDcarfest affine. SupposonsDnon parallèle àd0. AlorsDcoupeCen au plus deux points. Puisque Dest infinie, il existe au moins un point deM deDqui n’appartient pas àC. Soit Mun point ded0 tel quef(M) =M.Mest un point ded0 et donc deC tel quef(M)n’appartient pas àC. Ceci contredit le fait quef∈G(C)et on a donc montré quef(d0)est parallèle àd0.

5. Soit f ∈ G(C). f(d0) est une droite parallèle à d0 d’après la question précédente. Soient Aet Bles points de d0 de coordonnées respectives(a, 0, 0)et (a, 0, 1). SoientA et B les images respectives des pointsAet Bparf.

−→f −→k

=−→f −AB→

=−−−−−−→

f(A)f(B) =−−−→ AB.

Puisquef(d0)est une droite parallèle àd0 et queA etB appartiennent à la droitef(d0), le vecteur−−−→

AB est colinéaire au vecteur−→k. Il existe donc un réelt tel que−→f −→k

=t−→k. Puisque le vecteur−→k n’est pas nul, on a montré que−→k est un vecteur propre de−→f.

6.

6.1Soitϕ∈O(E)admettant−→k pour vecteur propre.

• Soitt∈Rtel queϕ−→ k

=t−→ k.

(9)

|t|

−→k =

t−→k

=

ϕ−→k =

−→k

(carϕ∈O(E)), et donc|t|=1 puisque

−→ k

6=0. Ainsi, ou bienϕ−→ k

=−→

k, ou bienϕ−→ k

= −−→

k. On pose dorénavantϕ−→ k

=ε−→ k

oùε∈{−1, 1}. A ce stade, la matrice de ϕdans la base−→ i ,−→

j ,−→ k

est de la forme

a d 0 b e 0 c f 0

.

• On sait qu’un automorphisme orthogonal conserve l’orthogonalité. Donc, l’image parϕ d’un vecteur orthogonal à −→ k est encore un vecteur orthogonal à−→k. Ceci signifie que le plan vectoriel−→P =Vect−→i ,−→j

est stable parϕ. A ce stade matrice deϕdans la base−→

i ,−→ j ,−→

k

est de la forme de l’énoncé avecM∈ M2(R).

Mais alors, la restrictionϕ/

P est un endomorphisme de−→

P qui conserve la norme ou encore un automorphisme orthogonal de−→

P. Puisque la famille−→ i ,−→

j

est une base orthonormée de−→

P et queϕ/

P est un automorphisme orthogonal de−→ P, la matriceMest une matrice orthogonale. La matrice deϕ dans la base−→i ,−→j ,−→k

a la forme désirée.

6.2En développant le déterminant deϕsuivant la dernière ligne, on obtient det(ϕ) =εdet(M). Comme det(M)∈{−1, 1}, on a det(M) = 1

det(M). L’égalité det(ϕ) =εdet(M)s’écrit donc aussiε=det(ϕ)det(M).

7.

7.1gest une application deΠdansΠqui conserve les distances et doncg∈Is(Π).

fetgsont des bijections. SiMest un point deΠet siM=g−1(M)alorsMest un point deΠtel quef(M) =g(M) =M et doncM=f−1(M). Ceci montre queg−1 est la restriction def−1àΠ.

SoitMun point de Γ. g(M) =f(M)est un point de C appartenant au plan Πet doncg(M)∈Γ. De même, g−1(M) = f−1(M)est un point deC appartenant au plan Πet doncg−1(M)∈Γ. On a montré queg∈ C(Γ).

7.2D’après la partie B,g est soit l’identité deΠ, soit la symétrie centrale de centre O, soit la réflexion d’axe(Ox), soit la réflexion d’axe(Oy). Dans tous les cas,f(O) =g(O) =O.

7.3Les matrices possibles de g dans la base orthonormée−→ i ,−→

j

de Πsont

1 0 0 1

,

−1 0 0 −1

,

1 0 0 −1

et −1 0

0 1

.

7.4D’après la question 6, en tenant compte du fait quef∈G+(C), les matrices correspondantes defsont

1 0 0 0 1 0 0 0 1

,

−1 0 0

0 −1 0

0 0 1

,

1 0 0

0 −1 0 0 0 −1

 et

−1 0 0

0 1 0

0 0 −1

. Mais alors, ou bien f= Id, ou bienf =v, ou bienf= s, ou

bienf=v◦s. On a montré que sif∈G+(C)etf(O)∈Π, il existe(i, j)∈{0, 1}2tel quef=visj. 8.

8.1Le vecteur −−−−→

f(O)O est colinéaire à−→

k. Ses coordonnées s’écrivent donc (0, 0, µ) oùµ est un réel. De plus, le vecteur

−−−−→

f(O)O n’est pas nul carO ∈Πet f(O)∈/Π. On en déduit queµ6=0. Finalement, il existeµ∈R tel que t=tµ. hest la composée de deux déplacements et donchest un déplacement.f(C=Cpuist(C) =tµ(C) =Cd’après la question 1. Finalement,h(C) =t(f(C)) =C. Ceci montre queh∈G+(C).

Enfin,h(O) =t(f(O)) =O et donch(O)∈Π.

8.2 D’après la question 7, il existe µ ∈ R et il existe (i, j) ∈ {0, 1}2 tels que tµ◦f = h = visj ou encore tels que f=t−µ◦vi◦sj. On a montré qu’il existeλ∈R, à savoirλ= −µet(i, j)∈{0, 1}2 tels quef=tλ◦vi◦sj.

9.

9.1Puisquef∈Is(E)etr∈Is(E), on ar◦f∈Is+(E). De plus,r(f(C)) =r(C) =C d’après la question 1 et on a montré quer◦f∈G+(C).

9.2Mais alors d’après les questions 7 et 8, il existeλ∈Ret(i, j)∈{0, 1}2tels quer◦f=tλ◦vi◦sjou encoref=r◦tλ◦vi◦sj carr−1=r.

Partie E : une hélice

1.Soientt∈RpuisMle point deHde coordonnées(acos(t), bsin(t), t).

(10)

(xM)2

a2 +(yM)2

b2 = (acos(t))2

a2 + (bsin(t))2

b2 =cos2t+sin2t=1, et doncM∈ C. On a montré que tout point deHappartient àC et donc que

H ⊂ C.

2.La droiteDcoupeHet doncC en au moins trois points et donc la droiteDest parallèle àd0d’après la question 3 de la partie D. Ensuite, la droiteDa au moins un point en commun avecC. Notons leA. D’après la question 2 de la partie 3, il existeθ∈Rtel queA∈dθ. Les droitesDetdθsont toutes deux parallèles à la droited0et donc les droitesDetdθ

sont parallèles. Comme ces deux droites ont en commun le pointA, on en déduit que D=dθ. On a montré qu’il existe θ∈Rtel que D=dθ.

3.Un système d’équations cartésiennes deHest

x=acos(z) y=bsin(z) . SoitMde coordonnées(acosθ, bsinθ, t),t∈R, un point dedθ.

M∈ H⇔

acost=acosθ bsint=bsinθ ⇔

cost=cosθ

sint=sinθ ⇔eit=e⇔∃k∈Z/ t=θ+2kπ.

Donc,dθ∩ H={M(θ+2kπ), k∈Z}.

4.Soitf∈G(H)et soitθ∈R. D’après la question précédente, l’ensembledθ∩ Hcontient les trois pointsM(θ),M(θ+2π) etM(θ+4π). Ces trois points sont deux à deux distincts car leurs côtes respectives sont deux à deux distinctes.

Puisquefest une bijection affine,f(dθ)est une droite et d’autre part les trois pointsf(M(θ)),f(M(θ+2π))etf(M(θ+4π)) sont deux à deux distincts. Ainsi,f(dθ)est une droite coupant la courbeHen au moins trois points deux à deux distincts.

D’après la question 2, il existeω∈Rtel que f(dθ) =dω.

5.Soitf∈G(H). La question 1 de la partie A montre quef−1∈G(H).

D’après la question 2 de la partie D,f(C) =f [

θ∈R

dθ

!

= [

θ∈R

f(dθ). La question précédente montre que chaquef(dθ),

θ∈R, est contenue dansCet donc quef(C ⊂ C. Par suite, pour chaque pointMdeC,f(M)∈ C.

En appliquant ce résultat à f−1, on a aussi : pour chaque pointM deC, f−1(M)∈ C et finalementf ∈G(C)d’après la question 1 de la partie A. On a montré queG(H ⊂G(C).

6. Soit k ∈ Z. t2kπ est une isométrie. Soit alors t ∈ R. Le point t2kπ(M(t)) a pour coordonnées (acost, bsint, t) + (0, 0, 2kπ) = (acost, bsint, t+2kπ) = (acos(t+2kπ), bsin(t+2kπ), t+2kπ). Par suite,t2kπ(M(t)) =M(t+2kπ). Ceci démontre que pour tout pointMdeH, le pointt2kπ(M)appartient àH.

En appliquant ce résultat à l’entier relatifk = −k, on a aussi : pour tout pointMdeH, le pointt−12kπ(M)appartient à Het finalementt2kπ∈G(H).

7.Soitλ∈Rtel quetλ∈G(H). Le pointM(0)de coordonnées(a, 0, 0)appartient àHet il en est de même detλ(M(0)) dont les coordonnées sont(a, 0, λ).

Par suite, il existe un réelttel quetλ(M(0)) =M(t)ce qui fournit



acost=a bsint=0 t=λ

. Les deux premières équations montrent qu’il existe un entier relatif k tel que t = 2kπ et la troisième fournit alors t = 2kπ. On a montré que les translations éléments deG(Hsont lest2kπ,k∈Z.

8.Soitt∈R.s(M(t)) =s−1(M(t))est le pointM(−t)deHet donc s∈G(H.

v−π(M(t)) a pour coordonnées(−acost,−bsint, t−π) ou encore(acos(t−π), bsin(t−π), t−π)et est donc le point M(t−π)deH. De même,v−1−π(M(t)) =vπ(M(t))est le pointM(t+π)deH. Donc, v−π∈G(H).

9. Soitλ∈Rtel que vλ ∈G(H). Le point vλ(M(0))a pour coordonnées(−a, 0, λ)et est un élément de H. Par suite, il existe un réelt tel que



acost= −a bsint=0 t=λ

. Les deux premières équations montrent qu’il existe un entier relatifk tel que t = (2k+1)π et la dernière montre que λ = (2k+1)π. On a montré que si vλ ∈ G(H), alors il existe k ∈ Z tel que λ= (2k+1)π.

10.⇐/D’après la question 8,s∈G+(H). D’après la question 6, pour toutk∈Z,t2kπ∈G+(H). D’après la question 8, v−π∈G+(H). Comme(G+(H),◦)est un groupe d’après la question 2 de la partie A, on en déduit que pour toutk∈Z, v(2k+1)π=v−π◦t2(k+1)π∈G+(Hpuisv(2k+1)π◦s∈G(H)ett2kπ◦s∈G+(H).

On a montré que pour toutk∈Z, pour touti∈{0, 1}, les transformationst2kπ◦si etv(2k+1)π◦si sont dansG+(H).

⇒/Soitf∈G+(H).

(11)

D’après la question 5, G+(H) ⊂G+(C). D’après la question 8.2 de la partie D, il existeλ ∈ R et (i, j) ∈ {0, 1} tel que f=tλ◦vj◦si.

• Sii=j=0, la question 7 montre que nécessairementλ=2kπpour un certaink∈Z. Dans ce cas,∃k∈Z tel que f=t2kπ◦s0.

•Sij=1eti=0,f=tλ◦v=vλ. La question 9 montre queλ= (2k+1)πpour un certaink∈Z. Dans ce cas,∃k∈Z tel que f=v(2k+1)π◦s0.

•Sij=0eti=1,f=tλ◦s. Puisques∈G+(H)et que(G+(H),◦)est un groupe,f◦s=tλest un élément deG+(H) et donc encore une foisλ=2kπpour un certaink∈Z. Dans ce cas, il existek∈Ztel que f=t2kπ◦s1.

• Sii=j=1,f=tλ◦v◦s=vλ◦s. Le casj=1et i=0montre queλ= (2k+1)π pour un certaink∈Z. Dans ce cas, il existe k∈Ztel que f=v(2k+1)π◦s1.

On a montré que∀f∈Is(E),g∈G+(H)⇔∃k∈Z, ∃i∈{0, 1}/



f=t2kπ◦si ou

f=v(2k+1)π◦si . 11.SupposonsG(H)6=∅.

11.1D’après la question 5,G(H)⊂G(C). D’après la question 9 de la partie D, il existeλ∈Ret (i, j)∈{0, 1}2tel que r◦tλ◦vj◦si∈G(H).

11.2r◦tλ◦vj◦siet vj◦si sont dansG(H). Donc,r◦tλ◦vj◦si◦vj◦si=r◦tλ est encore dansG(H). De plus,r est une isométrie négative ettλ est une isométrie positive. Donc,r◦tλ∈G(H). On a montré qu’il existe un réelµ tel que r◦tµ∈G(H).

11.3Les coordonnées detµ(M(0))sont(a, 0, µ)et donc les coordonnées der(tµ(M(0))) sont(a, 0,−µ).

11.4Comme à la question 7, si le point(a, 0,−µ)appartient àH, il existem∈Ztel queµ=2mπ. Pour cet entier relatif m, r◦t2mπ∈G(H).

11.5t2mπest dansG+(H)et donc, omme à la question 11.3,r◦t2mπ◦t2mπ=r est dansG(H).

11.6Le pointMπ 2

a pour coordonnées 0, b,π

2

et donc le pointr Mπ

2

a pour coordonnées

0, b,−π 2

. 11.7Sir

Mπ 2

est un point deH, il s’agit nécessairement du point M

−π 2

(à partir de la troisième coordonnée).

Mais le pointM

−π 2

a pour coordonnées

0,−b,−π 2

et n’est pas le pointr Mπ

2

. Doncr Mπ

2

n’est pas un point deH puisr /∈ G(H). Il était absurde de supposerG(H)6= ∅et on a donc montré que G(H) = ∅ou encore G(H) =G+(H).

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