• Aucun résultat trouvé

ARTheque - STEF - ENS Cachan | Informations [Position et action de l'association sur le projet de réforme Fontanet]

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "ARTheque - STEF - ENS Cachan | Informations [Position et action de l'association sur le projet de réforme Fontanet]"

Copied!
8
0
0

Texte intégral

(1)

INFORMATIONS

.Depuis le mois d'Avril dernier, date de parution du bulletin nO 8 qui relatait les travaux du bureau jusqu'à cette date, de nombreux événements sont venus modifier les projets et perspectives d'alors.

le projet de réfome "Fontanet" a été, comme il est dtusage main-tenant, complètement abandonné avec le changement de Ministère.

Nous avons été confrontés à une nouvelle proposition de réforme, 88seB peu préci~ée d'ailleurs,

Relatons brièvement quelle a été notre aotion.

1 -Au plan des problèmes propres de notre discipline.

Nous n'avons cessé de répéter que l'enseignement de la technologie rencontre aotuellement des problèmes nouveaux s

- dans l'enseignement technique proprement dit du fait de l'évolution et mAme de la mutation profonde de nombreuses teclurlques,

- dans l'enseignement général du fait de l'introduction d'une initiation à

la technologie, appelée à couvrir un nombre de classes de plus en plus grand.

L'étude de cet important problème est actuellement du ressort de la oommission LAGARRIGUE, tout au moins en droit, car en fait elle est incom-pétente sur ce problème du fait m3me de sa composition qui comprend moins de 10% de professeurs de technologie.

(2)

t" •• cation,

C'est pourquoi,

d~s

la, composition dunoUTe8U

!!inist~h

d, l'Ed. .

no~ 8,vop8@.çlress'

p,

MQDIlIi~ur ~

J.e..

le~tre suivante Iii;

~L:}:; ~/}

'L),

'~';i ',:}t:1~ !t\ll~ ,:;;'::~l ':~,.','J; ;:'4~

;;

':;

Caclum, le

i~O

Mai

1974

. ';::,';-",!: ;,3.:":,;,""',::'<'.'!;<:, " ;," .,.,',:,',:.:,";'''''''.>e" ",,', .:,.':<'::"'.,1",!,;:"';..•,\::,:;~.",,i',:""/",;';'''''~;':;:NiU::;~:;~,.,:::v\: è:'~::::;'! ':':'::l':!:'~'::';~:'::;'::';"::,"'\i~;,;,;r,·Ji,;:!-:':".','N."?:

Monsieur le

M:Urlske

dtiç

i

eEducation

'Mini8t~red, l'Ed.uoati&h National,

);

110, rue de Grene11,

75357

PARIS

Monsieur le Ministre,

"," Une Commission Ministérielle pour la rénovation de llenseip8ll8nt

de~{:lSçleJ1~B'

ph:Y"iqueset

'dé ",lé; teèbnol'og!efâ ététnfse

'enplaoe

dœlpù.is trois

afu,/'lt1é':

est· presfdéepa:t-le

p:rdfêssewLA.GABRIGUEèt '8,.

re9U'

une' t1'èslar,.,

misllIion, puisque sacompeteIlcè,;<i'fj{iïie'::pa~MoiuJieti.:rle .XiniSm;:GUIClWiP. :1;, ;',

confirmée par Monsieur le Ministre FON'rAlŒT, IS' étend à

"0.0

toute. questions

relat4;.T,t.:,;~,sçiençe~ ~;i.qutl~!e,tà".~.:~.~ql()J.te, ,~,;le:,J~~'f' et second cyole de;l,..'.e~~eigne!pent.<i~$ècond·tiei:N~i$'I'&l•. . . ' . . , ." . . ' . . .' -. .;~.',.' .:-. .~, . ' . - '. . -,.• ',' ' , ;'", .. ". : : . ' : .et teepn:l,qil~·. ' j *. ,-;<:, , ..i'~•.. .1.-. , 5 .

Xonsieur le professeur LA.GABRIGUE Il constitué cette oommis.ion,

Pour-

"S'...·qbâ8i ,tot8.1:1.

té, :

de professeureet )deéhercbeursspéeialiste.,;' daIS

sciences phySiquesS ce n'est qu'à la demand, expr.esQ,.:;d$.1"I~pectio;n" .... Générale des Techniques Industrielles que quelques professeurs de Technologie ont été admis au sein de cette oommission, mais la proportion n'atteint pu

dix pour cent. " . . .; .

Au trawra des compte-rendus, il appardt très nettement que la

pnoccupation essentielle' de cettËtcQ_sdo.l'1c:a,:,~t4 o:ri~Ilt~e.,ve1"fJlefJ:p~ ,

bl~s rela~ à l'enseignement des sciences physiques. En trois ans la

te~logien'a ffdt ;J.,'9bjet.d'auCUD. dé~t,.d~f()pd, a:L0rtil qu'il est"question

de l'introduire dans tout lesecon~ c~ciè gSn,.~ra1.trtqu'ell.eestd.éjà ~}~B~i,- ','

gnée dans tout le premier 'cycle~ Il' noUS pardtpoUrtaD.t'orliCiai de 'réfl~ôhir"

sur l'ense;l.gnement deoette d:.l..Bcipline,q-çJ. est actuellement un échec dan8 les classelS' de qua~ et: troi8i~~1'1 't,orlVient'CÙit ne paEjrépéi;er"l.s; erreurs précédentes darisle second cycle. " , . ' " ' . ' . '

" ,':Wous

avo~

pleinementa<liléréauprincipe

dei

la, généralisatiQnde la technologie dena le prender oycle, ainsi

qu'aux

:Perspa'ctivss réœntés'dé son prolongement dans le second cycle, mais nous croyons de notre devoir de dénonœr .1atentative d'annerlonpure et simple de. l'horaire .ainsi proposé pour: une eimple extension des .~nsl:fignements scientifiques traditiOnnels"

d~naturantainsi le sens d'une réfol'Q trèsposi tiva.

,..

Cette crainte est d'ailleurs fortement étayée par une déclaration d'un ensemble d'associations largement représentées au sein de la commission LAGARRIGUE qui précise en substance que l'enseignement de la technologie

(3)

-3-doit être h • • • l'ébauChe d'un enseignement des sciences dans le premier

cycle".

Au vue de sa composition, ainsi que du Neultat de ses travaux, nous affirmons que la commission présidée par le professeur LAGARRIGUE, n'est

pas oompétente pour étudier les problèmes de l'enseignement d~ la technologie

dans le premier et second cycle général, ni, a fortiori dans le second oycle technique.

C'est pourquoi, Monsieur le Ministre, nous avons l'honneur de vous demander de ne pas renouveler dans ses termes actuels la mission de cette commission.

D'autre part, nous estimons qu'il est urgent que les problèmes de l'enseignement de la technologie soient abordés avec efficacité et nous vous suggérons de créer une commission compétente. Notre association est pr8te à participer à un tel groupe de travail.

lestant à votre disposition pour toute collaboration dans la re-cherche de la juste place que doit avoir l'enseignement de la technologie dans le monde contemporain, nous voua prions de croire, Monsieur le Ministre,

à l'expression de notre profond respect.

Cette lettre est malheureusemeht restée sana réponse, mais i l semble maintenant que les ambitions de la commission LAGARRIGUE se soient limitées au domaine de l'enseignement des sciences physiques. Nous nous trouvons donc devant un vide, c'est pourquoi nous avons récemment adressé à Monsieur HABY la lettre suivante :

Cachan, le 2 Décembre 1974

Monsieur le Ministre de l'Education Ministère de l'Education Nationale

Cabinet du Ministre 110, rue de Grenelle

75357 PARIS

Monsi~ur le Ministre,

Je vous ai adressé le 30 Mai dernier une lettre dont vous n'avez probablement pas eu connaissance puisque je n'ai reçu à ce jour aucune

réponse • .Aussi me permettrai-je d'en joindre un double à la présente lettre.

Dana cette lettre je me permettais d'attirer votre attention sur le problème que pose, pour l'enseignement de notre discipline : la technoloRie,

(4)

la mission qui a été confiée depuis trois ans à la. commission LAGARRIGUE. Je voua présentais alors le point de vue de notre association qui déclarait z "la commission LAGARRIGUE n'est pas compétente pour étudier les problèmes de l'enseignement de la teohnologie dans le premier et second oycle général, ni, à fortiori dans le second cycle technique".

Depuis lors, et à notre connaissance, la commission LAGARRIGUE

elle4me a précisé que ses pnQccupations se situaient au niveau des sciences physiques et non de la technologie; ce qui vient confirmer notre déclaration.

Nous nous trouvons donc devant un vide : les problèmes posés par l'enseignement de la tetihnologie ne sont actuellement étudiés à fond par personne, et i l semble pourtant que la tendance soit d'étendre cet enseiRfle-ment dans le cycle général. Nous souscrivons entièreenseiRfle-ment à ce principe, mais nous sommes opposés à une nouvelle improvisation.

C'est pourquoi, Monsieur le Ministre, j'ai à nouveau l'honneur de vous demander d'étudier les modalités de la création d'une commission qui aurait oompétence pour "étudier les probl~es posés par l'enseignement de la technologie dans le premier et le seoond cycle de l'enseignement général et teohnique et faire toutes expérimentations pédagogiques nécessaires"co

Je voua demanderai alors que notre association soit représentée ès qualité dans cette commission et ses groupes de travail.

Notre association est à votre disposition pour toute collaboration que vous ju,geriez utile"

Veuillez agréer, Monsieur le Ministre~ l'expression de mon profond respect.

2 - Au. plan général.

Nous avons continué notre activité au sein de la Conférence des Présidents des associations de spécÜÜistes •

.La

conférence a été reçue par le Ministre Iur-œême le 29 Juin à 10 heures. Notre association y était représentée par Bon président. De nom-breux problèmes concernant la réforme de l'enseignement du second degré ont été abordés.

Le

Minis tre a alors annoncé qu'i l souhai, tai t aller vite, et pour cela il envisageait de constituer des groupes de travail qui étudieràieat

(5)

un certain nombre de points fondamentaux avant qu'il ne prenne une décision définitive sur l'orientation de la réforme. Les groupes ont travaillé du 22 au 26 Juillet 1974~

Notre association y a été représentée par notre collègue TARDIVEAU qui ad' ailleurs été rapporteur du g;:oup!

rv

t

Typologie et organisation d'une éducation en sciences et en technologie aux différents niveaux de formation. Nous en reproduisons ci-dessous le texte:

... I.e travail du groupe s'est situé dans le cadre actuel de l'enseignement du

second cycle divisé en un premier cycle de quatre ans et un deuxième cycle de 3 ans •

... I.e groupe s'est intéressé aux différents aspects de l'enseignement des

sciences expérimentales et de la technologie. les sciences expérimentales comprennent la biologie~ la chimie, la géologie et la physique.

l - Aspects fondamentaux et objectifs des sciences expérimentales de la techno-logie.

La

connaissance et la pratique des sciences expérimentales et de la teohno-logie sont indispensables à la formation de l'homme moderne et à son heureuse insertion dans le monde actuel, très marqué de soiences et de techniques, qui l'influencent et modifient son milieu de vie, naturel et conabruf,t.

Ces disciplines ont l'avantage de permettre un enseignement basé sur le concret qui

... entraîne à l'observation, 1& manipulation, l'expérimentation, à. partir de phénomènes, d'êtres vivants ou d' obje ts naturelm ou cons truits, ainsi qu'à la oonception, la fabrication et la représentation d'ensembles cons-truits, pour faira comprendre ce qu'il y a d'enrichissent à pratiquer oonjointement des activités manuelles et inte Ile otueIles•

... initie à des modes de raisonnellllent spéoifiques qui mettent en valeur le dialogue très formateur entre la théorie et la pratique, entre la conception et la réalisation•

... développe le bon sens, la curiosité, l'imagination, le sens du choix et de la responsabilité, le goüt de l'action créat~~~e individuelle et surtout collective •

... fait acquérir des connaissances de base sur les phénomènes naturèls et les systèmes teohniques quotidiennement rencontrés et prépare aux profondes modifications du monde que les hommes vont connaître au cours de leur existence professionnelle et privée.

(6)

-6-Ces disciplines sont en outre indispensables à une orientation positive basée sur les go~ts et aptitudes des élèves et non sur l'échec.

En conséqueace , il pa.:raNévident que l'enseignement dea sciences expérimen-tales et de la technologie doit trouver une place équitable à tous les ni-veaux de formation, de l'école élémentaire à l'enseignement supérieur.

La pondération entre les différents objeotifs doit évidemment être modulée suivant les niveaux considérés tout en préservant une bonne articulation des enseignements, leur cohérence, leur continuité, leur progressivité.

Pour chaque palier d'orientation, le programme à acquérir doit être fonotion-nel et oonatituer un tout. !es études technologiques et générales du palier suivant doivent pouvoir s'appuyer logiquement sur ce programme fonctionnel.

II - Organisation de l'éducation en sciences ,expérimentales et en technologie aux différents niveaux.

ECOLE ELEMENTAIRE

Les activités d'éveil scientifique devront obligatoirement figurer dans

le cas du tiers temps pédagogique.

Les choix et la mise en oeuvre de ces aotivités auront une grande sou-plesse. Les thèmes seront de préférence liés aux milieux de vie.

En oonséquense les instituteurs devront recevoir au cours de leur formation à l'Ecole Normale un complément d'enseignement scientifique, technologi~

et pédagogique adapté à. ces activités. PREMIER CYCIE

 ce niveau les sciences expérimentales et la technologie apportent les connaissances de base nécessaires à tout homme moderne; elles permettent une première approche de la méthode expérimentale et des techniques. En 6ème et Sème les programmes seront souples, mais suffisamment précis

dans leurs objectifs; en 4ème et 3ème. ils devront préciser les connaissances

à acquérir dans les différenies disciplines.

Il est apparu au groupe, qu'en 6ème et 5ème, pour ménager un temps de pré-sence suffisant du maître avec ses élèves, ces enseignements doivent 8tre

confiés au plus petit nombre possible d'enseignants.

Par contre, en 4ème et 3ème, les enseignements des soiences biologiques et géologiques, des sciences physiques, de la technologie doivent ~tre

confiés à des spécialistes travaillant en équipe ,

Le

groupe fait ressortir également que ces enseignements essentiellement pratiques et expérimentaux, qui ne laissent aucune part à l'enseignement magistral, n'entraînent aucune surcharge pour les élèves en dehors de

(7)

-7-l'éoole, mais nécessitent des moyens dont il sera fatt état plus loin. Les professeurs des d.isciplines'expérimentales et technologiques doivent jouer un raIe très important duru3 l'orientation des élèves à l'entrée en seconde et donner la possibilité à un plus grand nombre d'élèves da

s'orien-~ ter vers des formations scientifiques et techniques.

SECOND CYCLE

I.e groupe estime que les sciences expérimentales et la technologie doivent 8tre proposées à tous les élèves.

Dans

la olasse de seconde de type indifférenciée, et à options, l'ensei-gnement des sciences expérimentales et de la technologie est obligatoire pour tous; en première et terminale, il pour-ra être modulé par un jeu d'options.

I l est bien entendu que le choix des options ne préjuge pas de l'orienta-tion 111térieure et de la suite des études dans l'enseignement supérieur. Il est bien évident, qu'à ca niveau, comme en quatrième et en troisième, les différents enseignements sont donnés par des spécialistes.

III - FORMATION DES MAITRES

I.e groupe estime que tous les maîtres du second degré doivent avoir la même durée de formation (5 années après le baccalauréat) et avoir la possibilité d'enseigner aussi bien dans le premier eycle que dans le second cr,ycle. Ceci suppose qu'ils aient acquis une formation suffisamment poussée dans une spécialité du seconde cycle complétée par une compétence reconnue dans une spécialité voisine pour laquelle ils pourront intervenir dans les deux premières années du premier cycle.

La formation pédagogique des maNres se fera para.llèlement et conjointement à la formation scientifique à partir du prérecrutemento Elle sera retenue, à part égale avec la formation scientifique~ pour le recrutement des futurs In8ftres.

IV - MOYENS

I.e groupe pense qu'un effort tout particulier doit être fait pour le premier cycle afin que dans chaque établissement existent un atelier, des salles appropriées, et un équipement minimum.

Le

co~t des investissements correspondant a été chiffré ainsi : Equipement minimum

soit environ

20.000 Fr par établissement de 1er cycle, 20,,000 Fr x 5 000 = 100,,000.000 Fre

(8)

Atelier : une surface de 100 1-12 minimum doit ~tre mise à la dispos:L;tion de l'enseignement technologiqueo

Salles spécialisées : deux pour l'enseignement des sciences expérimentales.

VOEUX DU GROUPE DE TRAVAIL

ts

I.e

groupe souhaite très vivement :

1 ..

le.

création d'Instituts de Recherche pour l'Enseignement des Sciences Expérimentales et pour l'Enseignement de la Technologie semblables aux lREM et qui travailleraient en liaison avec eux.

- Ces instituts sont nécessaires pour la recherche pédagogique et pour la formation continue desma1tres •

.2 - le maintien de la commission "Lagarrigue".

le mise en place effective de la commission "Bergerard". le création d'une commission compétente pour la technologie~

3 -

La

continuation, le soutien, la prise en compte, la généralisation des expériences pédagogiques existantes. Le développement d'autres expé-riences sous la direction des commissions compétentes.

Après une période de silence assez longue, le ministère a publié un projet de structure du " système éducatif" et doit préciser son projet de loi pour la fin du mois de Janvier 1975.

Il est à noter que jusqu'à maintenant les enseignants n'ont pas été. con-eultés et que nous risquons fort de nous trouver devant un projet de loi pour lequel nous n'aurons jamais été oonsultéso

C'est pourquoi le bureau, au cours de sa réunion du 13 Janvier a déoidé de demander une audience à Monsieur SAUREL, Directeur des Lycées.

Références

Documents relatifs

La pension de retraite de base servie aux assurés du régime général, du régime des salariés agricoles et des ré- gimes de retraite des artisans et commerçants, dès lors qu’elle

Signes directs Thrombus dans les cavités droites Thrombus dans une artère pulmonaire Signes indirects : cœur pulmonaire aigu Dilatation ventriculaire droite (rapport VD/VG

Les personnes qui éprouvent « souvent » cette appréhension sont celles qui ont répondu que l’ambiance était empreinte d’agressivité (+18 points) pour les

On entend par intubation sélective la mise en place d’une sonde munie d’un ballonnet d’étanchéité dans l’une des deux bronches souches, permettant la séparation bronchique et

Rappelons que chez des patients de réanimation médicale, l’équipe de Louvain ne fut capable de reproduire les effets bénéfiques du contrôle glycémique strict sur la mortalité

Ils confirment que la vision glottique est de meilleure qualité avec les glottiscope qu’avec le laryngoscope de Macintosh, mais que le pilotage de la sonde d’intubation vers

De  la  même  façon,  les  indicateurs  hémodynamiques  basés  sur  les  interactions  cardiorespiratoires  (telle  la  variation  du  volume 

Rayon lumineux (Expérience : laser dans une fente afin d’isoler un rayon).. Indépendance des rayons II Principe