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VASES DE LA DÉCADENCE

Dans le document MUSÉE FOL (Page 86-96)

ET POTERIES ROMAINES

293. Acetabulum, terre rouge et noire.

H. 17.

294. Id., terre jaune.

H. 8.

295. Id., vernis noir.

H. 9.

296. Id., id.

H. 12.

297. Id., id.

H. 15.

298. Id., id.

H. 13.

299. Id., avec anses à nervures.

H. 20.

300. Kylix, en terre dure et sonore, vernis brun.

H. 8. D. 13.

301. Patère, servant à contenir les liquides.

D. 14.

302. Patère, servant à contenir des liquides.

D. 13.

303. Id., id., id.

D. 14.

304. Id., à rebord aplati et en terre brune.

D. 15.

305. Id., de couleur noire.

D. 12.

306. Scudella, à rebord fileté.

D. 19.

307. Olla, il lui manque un couvercle analogue à celui du n. 372; on s'en servait; pour cuire la viande.

H. 18.

308. Capis, servant à verser les liquides.

H. 20.

309. Id., id., id.

H. 21.

310. Ampulla, même usage que nos bouteilles.

H. 17.

311. Gutturnium ou broc à eau, il servait à verser l'eau sur les mains des convives, après les repas ; on rece- vait cette eau dans un lebes ou vase arrondi à panse, sou vent décoré de stries ou d'ornements. Ce gutturnium en terre jaune est décoré de stries et de hachures en couleurs verte, noire et violette, vitrifiées au feu et formant comme un émail.

H. 21.

312. Gutturnium, pareil au précédent.

H. 21.

VASES DE LA DÉCADENCE ET POTERIES ROMAINES. 71

313. Oenochœ, stries noires sur fond rouge.

H. 30.

314. Id., la décoration a disparu.

H. 25.

315. Id., décoration grossière, oiseaux, palmes et volutes.

H. 26.

346. Oenochœ, décoration : palmes et volutes.

H. 19.

317. Lagena, décorée de volutes et pampres.

H. 18.

318. Id., id. de taches noires ou en forme de larmes sur fond rouge.

H. 19.

319. Id., une anse manque.

H. 16.

320. Id., filets noirs sur fond rouge.

H. 21.

321. Hydria à deux anses en terre jaune.

H. 18.

322. Batillum, ou petite pelle à charbon; on s'en ser- vait pour jeter sur des charbons ardents des essences ou des résines, afin de parfumer les habitations.

323. Colum ou passoire, on s'en servait pour passer le vin après l'avoir mélangé de miel ou d'aromates.

H. 5. D. 14.

324. Olla à anses, elle servait à cuire les aliments; le couvercle manque.

H. 9.

325. Olla, le couvercle manque.

H. 8.

326. Kyatis à col étroit.

H. 7.

327. Id., à col très-large.

H. 8.

328. Id., à col évasé.

H. 9.

329. Id., id.

H. 8.

330. Id., id.

H. 9.

331. Id., id.

H. 7.

332. Id., id.

H. 6.

333. Id., id.

H. 12.

334. Petite olla à cuire.

H. 8.

335. Id., id.

H. 6.

336. Guttus ou burette pour remettre de l'huile aux lampes.

H. 8.

337. Id.

H. 9.

VASES DE LA DÉCADENCE ET POTERIES ROMAINES. 7 3

338. Guttus.

H. 10.

339. Id.

H. 13.

340. Ampulla lacrimatoria, dans laquelle les pleu- reurs ou pleureuses qui suivaient les funérailles recevaient leurs larmes et qu'on déposait à côté des cendres du mort.

H. 7.

341. Id.

H. 7.

342. Id. H. 7

343. Id.

H. 9.

344. Id.

H. 8.

345. Lampion qui servait dans les illuminations.

H. 10.

346. Id., id.

H. 9.

347. Orca, amphore à conserver le vin ; on les plantait dans le sable, et les adossait, légèrement inclinées, au mur des caves.

H. 103.

348. Id.

H. 63.

349. Id.

H. 55.

350. Orca.

H. 66.

351. Id.

H. 68.

352. Id.

H. 63.

353. Lagena, destinée à contenir de t'huile, elles ont un pied.

H. 67.

354. Id.

H. 59.

355. Id.

H. 25.

356. Olla.

H. 23.

357. Kyatis.

H. 19.

358. Olla à anses, ou acetabulum.

H. 24.

359. Id.

H. 15.

360. Préféricule œnochœ.

H. 22.

361. Id.

H. 22.

362 Id.

H. 22.

VASES DE LA DÉCADENCE ET POTERIES ROMAINES. 7 5

363. Olla.

H. 26.

364. Id., à anses, ornées de filets horizontaux blancs et noirs.

H. 23.

365. Préféricule.

H. 25.

366. Epychisis.

H. 18.

367. Olla.

H. 26.

368. Id. à anses.

H. 26.

369. Id. H. 28.

370. Id.

H. 19.

371. Petite Lagena.

H. 23.

372. Couvercle d'olla.

D. 10.

373. Id.

D. 8.

374. Petit vase, gallo-romain, décoré de cercles, stries et entrelacs, tracés à la pointe.

H. 8.

PLASTIQUE

INTRODUCTION

L'art de fondre les métaux et de les couler dans un moule, ou celui de travailler le bois ou la pierre, est assu-rément fort ancien; mais il a dû, selon toute probabilité, être précédé de celui de modeler en terre ou en argile, art dont il est question dès l'origine du monde. Moïse, en effet, nous dit dans la Genèse, chapitre II, verset 7 : « Or, l'Éter-nel Dieu avait formé l'homme de la poudre de la terre...»

Nous ne craignons pas d'affirmer que l'art qui consiste à rendre par une forme sensible une ressemblance d'un ob-jet extérieur, vivant ou inanimé, doit avoir été pratiqué de toute antiquité chez les différents peuples qui constituaient le monde ancien et dont nous nous proposons d'étudier, pour quelques-uns d'entre eux, les progrès.

Le modelage, c'est-à-dire le fait de pétrir l'argile et de lui donner une forme, précéda le moulage qui exige un travail d'invention bien plus compliqué. Le moulage une fois connu, on s'en servit pour couler dans des moules les métaux que les anciens savaient fondre. Avec les outils ob-

tenus de la sorte on put travailler le bois et la pierre et employer ces deux substances pour imiter ou copier, ce qui, précédemment, n'avait pu être exécuté qu'en terre. L'em-ploi de ces matières plus dures était plus difficile, il est vrai, mais donnait des produits plus solides. Le bronze et la pierre furent employés de préférence à la terre, qui, outre sa fragilité, s'opposait par les difficultés de la cuis-son à la production d'ouvrages de grande dimension et fut trouvé rapidement peu digne de représenter les dieux et leurs fêtes, les héros et leur histoire. L'argile fut presque exclusivement; réservée à l'ornementation des maisons, des tombeaux et aux représentations symboliques funèbres où la matière a sa signification tout autant que la forme et la couleur. A mesure que la plastique progressa et que le de-gré de civilisation s'accrut, on en arriva à dédaigner même la pierre ou le bronze ; les dieux durent avoir des statues en or et en ivoire et c'est là la cause principale de la dis-parition de chefs-d'œuvre sans pareils, que la rapacité de conquérants successifs a fait détruire.

Les représentations qui sont parvenues jusqu'à nous, sont cependant plutôt en pierre et en métal qu'en terre, cela s'explique de reste par la fragilité de l'argile cuite, sans qu'on puisse en tirer une objection sérieuse à notre manière de voir.

Nous faisons précéder une division historique générale, à l'étude particulière de la collection; nous rattacherons ensuite la plupart des spécimens qui s'y trouvent par un chiffre romain se rapportant à cette classification ; nous bornant à les décrire au point de vue de leur destination spéciale et de leur signification. La collection, bien

INTRODUCTION 79

complète au point de vue historique, présentera assez d'é-chantillons de chaque classe pour servir de base à une étude de cette nature pour les personnes qui, plus tard, seraient dans le cas de visiter des collections plus com-plètes.

Nous divisons tout ce que la plastique, la statuaire et la sculpture ont produit chez les anciens en IX classes ou périodes, à savoir :

I. Plastique orientale, comprenant les monuments égyptiens avant les Ptolémées, les monuments assyriens et les phéniciens avant la destruction de Carthage.

II. Plastique grecque, depuis l'origine jus- qu'à 560 ans av. J.-C., caractérisée par les anciennes métopes de Sélinonte.

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