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« Car l'un (médicament) n'exclut pas l'autre (suivi pédopsychiatrique). "Grâce au médicament, explique Eliane Roulet (neuropédiatre au CHUV), l'enfant prend l'habitude de réfléchir avant d'agir, et même lorsqu'il n'est plus sous Ritaline, il continue". Le psychostimulant "aide ainsi au travail de fond". » [Hebdo. 6 sept. 2001. Sonia Arnal et Elisabeth Gordon. " Au secours ! mon enfant est hyperactif ". Phénomène de mode ou réelle maladie ? Notre test.Traitement: la Ritaline soigne mais suscite la polémique. 87]

« Neuropédiatre au CHUV, à Lausanne, Eliane Roulet côtoie enfants hyperactifs et parents débordés depuis quelques années. Exclu pour elle de définir un seul type de trouble et une solution miracle. "La Ritaline apporte une aide, dit-elle, pas la guérison. Il s'agit ensuite d'adapter le traitement aux besoins de l'enfant. S'il est extrêmement inattentif mais ne souffre pas de problèmes de comportement, mais d'apprentissage, un milieu scolaire adapté en effectif réduit ou la logopédie, par exemple, seront un complément efficace au traitement médicamenteux. Si l'enfant montre, au contraire, des troubles

affectifs évidents et des sautes d'humeur, la thérapie débute par un bilan psychiatrique". » [Fémina, 25 avril 1999. S. Pittet. " Les enfants terribles ".58 ]

« Dans le processus d'évaluation et de diagnostic, que l'on décide ou non de donner une médication, il y a de bonnes chances que la situation s'améliore et que les parents trouvent que " ça va mieux ". La situation scolaire se décontamine aussi lorsque les enseignants savent que les parents ont entrepris une démarche et recherchent une solution » (p.149) [Dr Claude Desjardins. " Ces enfants qui bougent trop. Déficit d'attention-hyperactivité chez l'enfant ". Quebecor. Quebec. 1992 [299]]

« Il n'empêche que même les chauds partisans de ce psychostimulant, comme le sont les experts réunis récemment par l'Institut national de la santé, soulèvent "au moins cinq questions importantes"

qui n'ont pas reçu de réponse. Elles portent notamment (…) sur l'intérêt qu'il y a - ou non - de lui associer un traitement psychothérapeutique ». [Hebdo. 6 sept. 2001. Sonia Arnal et Elisabeth Gordon.

" Au secours ! mon enfant est hyperactif ". Phénomène de mode ou réelle maladie? Notre test.Traitement: la Ritaline soigne mais suscite la polémique. [83]]

« Une pilule de Ritaline, c'est quatre heures de répit, durant lesquelles l'enfant (…) profite des autres mesures thérapeutiques ». [L'Illustré Santé No 25. (19 janv. 2000). Par M. Monnier. " Neuropédiatrie : et s'il était hyperactif... " (Haenggeli interrogé) [51 ]

« Un des grands bénéfices du traitement médicamenteux est de rendre possible le succès de l'enseignement personnalisé et de la psychothérapie ». [Site. Hypsos. Traitements (27/05/00). 75]

« L'amélioration symptomatique obtenue avec la médication appropriée peut être suffisante à elle seule, ou permettra de mettre en place un travail psychopédagogique de soutien à l'enfant et la famille, avec un enfant enfin réceptif » [Site. Hypsos. Traitements (27/05/00). 58 ]

« Un traitement médicamenteux est souvent nécessaire, il n'apportera pas la "guérison" mais va permettre de rééquilibrer la chimie des neurotransmetteurs cérébraux pour quelques heures.

L'intervention psycho-éducative ne pourra pas non plus se prévaloir de "guérir" le TDAH mais va aider à sa gestion. L'alimentation pouvant dans certains cas exacerber la symptomatologie du TDAH, un régime alimentaire dirigé servira alors d'adjuvant aux thérapies susmentionnées. » [Site. Hypsos.

Traitements (27/05/00). 13 ]

« L'amélioration de l'attention sous Ritaline(r) a un effet favorable en situation de psychothérapie.

L'enfant tient mieux compte de ses erreurs passées, gagne en capacité d'introspection et généralise plus facilement les apprentissages faits dans une situation donnée » (8). [Médecine thérapeutique / Pédiatrie. Vol. 3, Numéro 3, Mai - Juin 2000 : 168-71. REVUE : Syndrome d'hyperactivité. Bange F., Mouren-Siméoni M.C.: Service de Psychopathologie de l'Enfant et de l'Adolescent, Hôpital Robert Debré, 49 boulevard Sérurier, 75019 Paris, France.72 ]

« La thérapie comportementale maximise la réduction des symptômes liées à l'administration de médicaments, et ce particulièrement dans les situations marquées par des relations parents-enfants problématiques, des comportements dérangeants, de faibles performances scolaires et compétences relationnelles, de l'anxiété ». [Archives of General Psychiatry, Purdue University, 3 feb. 2000, 12-99.

Docs fournis par " bancs publique ". 14 ]

« "Le Ritalin...(une) façon de faire taire les enfants". Je suis à même de constater tous les jours que le Ritalin leur donne plutôt la parole car, lorsqu'ils prennent la médication, les adultes les écoutent davantage ». [Site Elaine : Les réponses du Dr. Guy Falardeau. Auteur de : " Les enfants hyperactifs et lunatiques, comment les aider ", Montréal, le jour éditeur, 1992. 176 - 178 ]

« Il faudra, dès les premiers contacts, évaluer et la signification de la pathologie dans les interactions et la représentation qu'on se fait du traitement. Il faudra avec beaucoup de prudence mais d'attention s'attacher à découvrir l'existence d'une pathologie familiale » (p.108) [Corraze J. & Albaret J.M., L'enfant agité et distrait, Expansion scientifique française : Paris, 1996. 337]

« En effet, il est difficile de se dire lorsqu'un enfant présente moins de troubles d'hyperactivité que c'est seulement dû à l'effet Ritaline®. Est-ce le médicament qui a le plus d'effet, la famille qui va mieux ou les interventions éducatives qui permettent une amélioration de l'état de l'enfant ? » [AVTES.

Annexe 7. I. Ritaline (extraits classés) 75

Romandie. Christophe Bornand pour la commission presse. " Enquête sur l'hyperactivité chez les enfants ": 98]

« Oui, la Ritaline(r) peut faire peur, mais elle peut aussi soigner un enfant et sa famille. L'importance d'un suivi et d'un accompagnement semble primordiale. » [AVTES. Romandie. Christophe Bornand pour la commission presse. " Enquête sur l'hyperactivité chez les enfants ": 169]

« La question de savoir si ce médicament fonctionne reste ouverte. Si des études scientifiques assurent qu'il remplit son rôle chez 79% des patients, il est difficile d'exclure d'autres paramètres permettant aussi à l'enfant de changer. Parfois l'enfant va mieux parce que la famille va mieux et parfois la famille "progresse " parce que l'enfant fait des progrès. Peut-on alors parler de famille-thermomètre ou d'enfant-famille-thermomètre ? » [AVTES. Romandie. Christophe Bornand pour la commission presse. " Enquête sur l'hyperactivité chez les enfants ": 174]

« A variety of medications, behavior-changing therapies, and educational options are already available to help people with ADHD focus their attention, build self-esteem, and function in new ways. » [Site NIMH (National Institute of Mental Health). "Attention Deficit Hyperactivity Disorder (ADHD)" 36 ]

« Quand tout va mieux et que le Ritalin fonctionne bien, il se peut qu'on laisse tomber d'autres formes d'aides. On a parfois tendance à oublier que le programme académique avance et exige plus. Dans ces cas-là, une médication qui donnait de bons résultats semble progressivement ne plus vouloir fonctionner. En fait, elle fonctionne toujours, mais c'est que les difficultés académiques sont devenues plus grandes » (p.148). [Dr Claude Desjardins. " Ces enfants qui bougent trop. Déficit d'attention-hyperactivité chez l'enfant ". Quebecor. Quebec. 1992 [263 – 263]]

Les changements de l'entourage peuvent également "perturber l'équilibre fragile de l'enfant, et donnent l'impression que la médication ne fonctionne pas" (p.148) [Dr Claude Desjardins. " Ces enfants qui bougent trop. Déficit d'attention-hyperactivité chez l'enfant ". Quebecor. Quebec. 1992 [263 – 263]]

« On calme le loupiot ou bien on lui donne des fortifiants et cela sans avoir touché aux raisons symboliques de son état. Ainsi les psychiatres empêchent les symptômes d'apparaître pour que ces symptômes ne gênent pas le groupe, ni les voisins, mais cela ne constitue pas une thérapeutique à long terme » (p.75) [F. Dolto " L'enfant dans la ville " Ed. Gallimard, Paris 1998. Conférence (1987) et entretien (1977). [87]]

« Avec des mesures d'encadrement soutenues, et intégrées à une prise en charge orientée vers une restauration de l'estime de soi, un usage judicieux de ces médicaments permet aux parents d'être enfin efficaces dans l'aide offerte à leur enfant ». [Site. Hypsos. Traitements (27/05/00). 76 ] + [La Presse (Opinions Mercredi 3 juin 1998, Québec). " Le Ritalin, un médicament éprouvé " . [51]]

« La thérapie comportementale maximise la réduction des symptômes liées à l'administration de médicaments, et ce particulièrement dans les situations marquées par des relations parents-enfants problématiques, des comportements dérangeants, de faibles performances scolaires et compétences relationnelles , de l'anxiété ». [Archives of General Psychiatry, Purdue University, 3 feb. 2000, 12-99.

Docs fournis par " bancs publique ". [14]]

« Oui, la Ritaline peut faire peur, mais elle peut aussi soigner un enfant et sa famille. L'importance d'un suivi et d'un accompagnement semble primordiale ». [Wanadoo.Site TRAITEMENTS. " La ritaline

" Methylphénidate chlorhydrate 50 ]

« Les troubles du THADA s'accompagnent souvent de problèmes d'apprentissage (par exemple, 80 % des enfants atteints du THADA souffrent d'une forme ou d'une autre de dyslexie). C'est pourquoi, en plus de la Ritaline, une aide visant à traiter les problèmes de dyslexie peut s'avérer nécessaire ». [Site Concepts femme. " Mon enfant est hyperactif ". Tom Bloomer, président de l'ASPEDAH (Association suisse romande de parents d'enfants avec déficit d'attention et/ou d'hyperactivité). [62]]

« Comme les médicaments psychostimulants n'ont que peu d'effet sur les autres troubles associés, il faut en général - si ces troubles associés existent, ce qui souvent le cas - , compléter le traitement par d'autres mesures pour traiter ces autres symptômes, telles que psychothérapie, logopédie,

psychomotricité, thérapie cognitive, décisions pédagogiques spéciales, intégration en centre de jour ou classe spécialisée, etc. » [Doc SMP à l'int. des enseignants et inspecteurs. Annexe 1 de la commission des pétitions (avril 2001). DA /H. E. Perez Crim. 51]

« Le devenir des enfants est encore amélioré par l'association d'une psychothérapie (...) à la chimiothérapie » (128). [Dollfus S., Petit M., " Efficacité et Tolérance des Psychotropes chez l'enfant ".

Expansion Scientifique Française, 1988. [152]]

« A cet égard, le Dr Haenggeli précise que la Ritaline n'est qu'un traitement symptomatique, dont les effets doivent être renforcés par les mesures prises conjointement. Son effet bénéfique joue néanmoins un rôle favorable immédiat dans la perception que l'enfant a de lui-même, car il lui est enfin possible d'avoir du succès dans ce qu'il entreprend. » [Secr. du Grand Conseil. Rapport de la Commission des pétitions chargée d'étudier la pétition (1332) concernant l'interdiction de prescription de psychotropes à des enfants de moins de 16 ans. Date de dépôt: 23 avril 2001. Rapporteuse: Mme Mireille Gossauer-Zurcher. 142]

« Lorsque le traitement est efficace, il peut être interrompu sans risque de rechute après quelques années : 1) parce que les troubles s’atténuent avec l’âge et 2) parce que la prise en charge parallèle, éducative et psychothérapique apprend à l’enfant à contrôler leurs conséquences. Pratiquement, le traitement est interrompu lors des vacances d’été, et il n’est remis en route que si la rentrée scolaire s’avère problématique » [Fink S., « Les déficits de l’attention avec hyperactivité (THADA) : nécessité d’une prise en charge multidisciplinaire » in A.N.A.E, 53-54, sept.-oct. 1999, (83-85)].

« Il faut donc toujours être à l'écoute de ce que l'enfant dit. Mon expérience est que c'est le pré-adolescent qui impose l'arrêt du traitement. Normalement, le garçon de 12 ans qui dit qu'il ne veut plus prendre de médicaments, il en a parlé avec ses copains et ses copains lui ont dit: "non, non, des pilules, tu n'en prends plus", alors il se décide de ne plus en prendre, et les parents suivent. C'est dans cette optique que je propose que si un enfant a un THADA, on le revoit à une fréquence basse, pour justement répéter les entretiens et pour écouter si tout va bien et s'assurer que la prise en charge est adéquate. » [Journée de travail. Neuchâtel, 22 janvier 2000. SSPEA + l'AESMEAF. "Les priorités en pédopsychiatrie à l'heure des choix". Transcription : Dr. R.Traube Office médico-pédagogique.

[43]]

« This propensity for prescribing medications may remove incentives for establishing educationally relevant interventions » [NIH « Consensus Statements. NIH Consensus Development Program : 110.

Diagnosis and Treatment of Attention Deficit Hyperactivity Disorder », Nov. 1998, USA].

« les enfants méritent mieux qu'une approche seulement médicamenteuse de leurs troubles et de leurs difficultés psychiques » [Le Monde. Samedi 27 mai 2000. "Ne bourrez pas les enfants de psychotropes !". par Claude Bursztejn, Jean-Claude Chanseau, Claudine Geissmann-Chambon, Bernard Golse et Didier Houzel [52]]

« Même en cas de prescription de Ritaline, une psychothérapie de soutien pourra être utile du fait de la situation d'échec ou de rejet de l'enfant à l'école ou dans sa famille. Il faut souligner que pour plus de la moitié des enfants adressé à la consultation pour troubles d'apprentissages scolaires, une psychothérapie est conseillée et constitue l'essentiel de la prise en charge ». [A.N.A.E. 1996.L.Vallée.

Professeur, Service des maladies infectieuses et neurologie infantiles. Hôpital Roger Salengro.

CHRU.59037. Lille Cedex. [152]]

« Généralement, le TDAH-DA, ainsi que sa famille bénéficient grandement de thérapies. Ces thérapies doivent viser à développer plusieurs habiletés spécifiques dont: apprendre à se fixer des objectifs et buts spécifiques et réalistes, et favoriser l'organisation générale, la socialisation, et le développement personnel ». [Dr. Thomas E. Brown. " Children and adults with attention deficit disorders " (extrait). " Attention deficit disorder, predominantly inattentive type " (Trad. par C.Robitaille) [78]]

« Il (Barkley) y expose de façon claire et précise son programme d'intervention au niveau de la modification des comportements, des attitudes parentales à privilégier et de la concertation entre l'école et la maison. Les techniques proposées ne sont pas nouvelles en soi. Ceux et celles qui sont un peu familiers avec l'approche behaviorale y reconnaîtront les techniques traditionnelles de

Annexe 7. I. Ritaline (extraits classés) 77

conditionnement opérant et de systèmes de renforcement. Par contre ce qui fait l'originalité du modèle d'intervention de Barkley et sa pertinence, est fort probablement l'aménagement qu'il a fait de ces techniques cognitivo-behaviorales qui prennent en compte le type de personnalité et le style d'apprentissage de l'enfant ADHD. » [Commentaires sur Barkley (1995). Site Elaine. Par P.P. Gagné 17-20 ]

« Quoique Barkley propose un arsenal intéressant de moyens d'intervention au plan comportemental pour aider les enfants aux prises avec cette difficulté, il propose moins d'outils sur le plan de la modification des comportements plus "cognitifs" comme le développement de stratégies de prise de décision , de la gestion cognitive de l'attention ou de l'enrichissement du vocabulaire de gestion de l'enfant. » [Commentaires sur Barkley (1995). Site Elaine. Par P.P. Gagné 30]

« Les psychothérapies comportementales ont pu permettre d'augmenter le contrôle par l'enfant de ses réactions, tandis que les psychothérapies d'inspiration analytique propose un travail sur les perturbations émotionnelles ; les psychothérapies familiales, analytiques ou systémiques cherchent à repositionner l'enfant dans le contexte général et dans ses interactions avec son environnement immédiat ». [Site Coridys. Hopital neurologique de Lyon. O.Revol, D.Gérard, P. Fourneret. H.

Descombes, R.de Villard. "L'enfant hyperactif : approche thérapeutique ;place du Méthylphénidate (RITALINE R)". 134]

« Une aide éducative est fondamentale ; elle passe par un véritable travail de guidance familiale, encourageant les parents et les éducateurs à maintenir un cadre strict tout en comprenant les excès et les débordements de l'enfant. Des moments de " Time-Out " ont été préconisés par les auteurs anglo-saxons, afin d'amener l'enfant à s'auto-apaiser dans les moments difficiles, en l'accompagnant dans un lieu calme, en dehors de tout excès de stimulations qui comme le relève la pratique, aggravent le déficit attentionnel ». [Site Coridys. Hopital neurologique de Lyon. O.Revol, D.Gérard, P.

Fourneret. H. Descombes, R.de Villard. "L'enfant hyperactif : approche thérapeutique ;place du Méthylphénidate (RITALINE R)". 136]

« Celui-ci (médic) ne doit en aucun cas être la pierre unique de l'édifice thérapeutique. En particulier les thérapies cognitivo-comportementales ont fait l'objet d'évaluations strictes justifiant aujourd'hui leur intégration à la prise en charge de l'hyperactivité. » [Le Courrier, 11 fév. 2000. " Des amphétamines pas si horribles que cela ". 100 ]

« 3. Les diverses modalités de prise en charge:

a. La guidance parentale, orientée sur les explications et la compréhension de la psychologie générale,

b. Les thérapies cognitives (attitudes et comportements), psychoaffectives (estime de soi), dynamiques (situation névrotique),

c. L'encadrement pédagogique spécifique, selon les besoins, surtout dans les difficultés d'apprentissage;

d. La médicalisation: médicaments qui seront les mêmes que dans l'hyperactivité (parle du DA), bien qu'il s'agisse ici d'un activisme plus cérébral que moteur, lorsqu'il y a danger d'échec scolaire ou de marginalisation sociale ». [Site Dr Jolicoeur, Psychiatre, Canada. TDA. + diagnostics différentiels 53-57]