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« Le risque que s'installe une dépendance à l'égard du médicament comprend autant le besoin physiologique que l'habitude comportementale. " Cette dépendance qui, en dehors des benzodiazépines est avant tout psychique pour les autres psychotropes, s'installe en fonction de la présence de facteurs biologiques génétiques (terrain), cliniques (nature des troubles de la personnalités (...), mais aussi environnementaux. » (541). [Epelbaum C. "Place des psychotropes en psychiatrie infantile" 536-552 in Ferrari P. & Epelbaum C., La psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent,1993. [42]

« Les effets d'élévation de l'humeur sont généralement évoqués pour dénoncer les abus. L'usage des amphétamines fait état d'un accroissement de la confiance en soi, une euphorie fréquente, une certaine jovialité et une attitude positive. » [Jaffe J.H. Encyclopedia of Drugs and Alcohol. (1995).

(Traduction littérale) Macmillan Library Reference : New York.30 [67]]

Annexe 7. I. Ritaline (extraits classés) 121

« Although 15 percent reported that someone had wanted pills from them at least once, fewer than 3 percent reported ever taking their pills to feel good or get "high." And although 8 to 10 percent said that medication made them more likely to try other medications or drugs, 28 to 31 percent said that medication made them less likely to try other medications or drugs, and another 56 to 64 percent saw no relationship between their medication and subsequent use of medication or drugs (Kramer, Loney, 1998). » [[NIH (National Institut Health). Jan Loney, concensus, November 1998. " Risk of Treatment Versus Nontreatment " 56 ]

« Young people use stimulants to feel stronger, more energetic, and more decisive. » [Site. Stopdrugs.

CA Department of Justice. Stimulants. 12 ]

« Fact: Avoiding negative experiences now (stimulant) may actually help prevent addictions and other emotional problems later. » [Site NIMH (National Institute of Mental Health). " Attention Deficit Hyperactivity Disorder (ADHD) " 412 ]

« Often an associated improvement occurs in many of the other difficulties, although second drugs may be needed. » [British Medical Journal 1998 ; 316:1594-1596 (23 May). " Attention deficit hyperactivity disorder is underdiagnosed and undertreated in Britain ". Geoffrey D Kewley . 65 ]

« Novartis précise : " L'abus chronique de Ritaline® peut entraîner une accoutumance marquée et une dépendance psychique avec divers degrés de comportement anormal. Des épisodes franchement psychotiques peuvent se produire, surtout lors d'usage abusif par voie parentérale. » [AVTES.

Romandie. Christophe Bornand pour la commission presse. " Enquête sur l'hyperactivité chez les enfants " 36 ]

« Les symptômes d'une intoxication aiguë sont évocateurs d'une hyperstimulation du système sympathique : vomissements, agitation, tremblements, hyperréflexie, secousses musculaires, convulsions (éventuellement suivies de coma), euphorie, confusion, hallucinations, délire, transpiration, réactions vasomotrices, céphalées, tachycardie, palpitations, arythmies cardiaques, hypertension, mydriase et sécheresse des muqueuses ». [RITALINE 10 mg comprimés. (Site. BIAM-France : 19/9/1996. mise à jour : 15/6/2000). 350]

« Des épisodes franchement psychotiques peuvent se produire, surtout lors d'usage abusif par voie parentérale. » [Compendium Suisse des Médicaments® Ritaline®/- SR. NOVARTIS PHARMA .[121]]

Noter que la Ritaline n’est plus disponible sur le marché par voie parentérale.

« Parmi les signes et les symptômes d'une intoxication aiguë, résultant principalement d'une hyperstimulation du système nerveux central et sympathique, on trouve: vomissements, agitation, tremblements, hyperréflexie, secousses musculaires, convulsions (éventuellement suivies de coma), euphorie, confusion, hallucinations, délire, accès de sueur, bouffées de chaleur, céphalées, hyperpyrexie, tachycardie, palpitations, arythmies cardiaques, hypertension, mydriase et sécheresse des muqueuses. [Compendium Suisse des Médicaments® Ritaline®/- SR. NOVARTIS PHARMA .[208]]

« D'après ces études, il n'existe pas non plus de prédisposition à la dépendance ou à la toxicomanie ». [Le Courrier, 12 mai 2000, Marco Gregori. " La commission des pétitions défend l'action du SMP " 23]

« Le retentissement staturopondéral et le risque de toxicomanie ultérieure ne sont pas démontrés et sont même infirmés par de nombreux auteurs » (143) [Dollfus S., Petit M., " Efficacité et Tolérance des Psychotropes chez l'enfant ". Expansion Scientifique Française, 1988. 217]

Informations supplémentaires sur les troubles liés à l'amphétamine : Caractéristiques et troubles associés : "des modifications de l'humeur telles qu'une dépression avec des idées de suicide, une irritabilité, une anhédonie, une labilité émotionnelle, ou des troubles de l'attention ou de la concentration sont habituels en particulier pendant le sevrage" (247) [DSM-IV. Troubles liés à (aux) l'amphétamine (s) (F15.1 [305.70]). p.241-249 [84 – 86]]

« Une tolérance à long terme est rare puisque l'augmentation du dosage n'est pas nécessaire pour maintenir les bénéfices cliniques.(Commentaires Elaine : Hummm....Pourquoi ai-je dû augmenter le

dosage, comme beaucoup de parents, dans ce cas là??) » [Site Elaine. Quelques extraits. The Lancet. 7 fév.98. J.M. Swanson, J.A. Sergeant, E. Taylor, E.J.S. Sonuga-Barke, P.S. Jensen et D.P.

Cantwell. "Attention-deficit hyperactivity disorder and hyperkinetic disorder". 18 ]

« D'ailleurs certaines études montrent qu'au terme du traitement, la perte de poids n'est pas maintenue. On peut donc conclure à un manque d'efficacité dans le long terme, d'autant qu'il faut considérer l'effet de dépendance qui peut s'installer ». [Jaffe J.H. Encyclopedia of Drugs and Alcohol.

(1995). (Traduction littérale) Macmillan Library Reference : New York. 28 ]

« Un (amphétamine) des principaux effets toxiques suite à un usage à long terme est le développement d'une schizophrénie de type psychose (comportant des symptômes de persécution, une hyperactivité, excitation, hallucination visuelle et auditive, et changement de l'image corporelle). » [Jaffe J.H. Encyclopedia of Drugs and Alcohol. (1995). (Traduction littérale) Macmillan Library Reference : New York. 45]

« Néanmoins, une administration contrôlée et régulière révèlent une moindre voire aucune tolérance (perte de réponse ou de réaction) aux effets secondaires ». [Jaffe J.H. Encyclopedia of Drugs and Alcohol. (1995). (Traduction littérale) Macmillan Library Reference : New York. 59]

« Les amphétamines peuvent servir à renforcer et produire de sérieuses conséquences toxiques lorsqu'elles sont disponibles de manière illimitée ». [Jaffe J.H. Encyclopedia of Drugs and Alcohol.

(1995). (Traduction littérale) Macmillan Library Reference : New York.: 58]

« Un usage abusif, quotidien et répété, peut engendrer un dramatique développement de la tolérance.

L'arrêt brutal des amphétamines s'accompagne généralement de dépression. » [Jaffe J.H.

Encyclopedia of Drugs and Alcohol. (1995). (Traduction littérale) Macmillan Library Reference : New York.: 76 ]

« Une consommation continue peut développer une certaine tolérance à ses effets et l'usager devra souvent augmenter la doses pour atteindre les effets désirés ou obtenus lors des prises initiales. » [Jaffe J.H. Encyclopedia of Drugs and Alcohol. (1995). (Traduction littérale) Macmillan Library Reference : New York.: 108]

« Les résultats de recherches animales suggèrent que la répétition comportementale qui caractérise la réponse à un traitement chronique de méthylphénidate est un modèle révélateur pour les psychoses humaines et le fait de devenir, avec une forte dose, de plus en plus sensible aux stimulants (=tolérance devoir augmenter la dose pour obtenir les effets initiaux). Mais ceci reste une hypothèse. » [Jaffe J.H. Encyclopedia of Drugs and Alcohol. (1995). (Traduction littérale) Macmillan Library Reference : New York.: 116]

« Une revue du Tessin, opposée à la vivisection, donc très positionnée, a récemment prouvé que les enfants sous Ritaline sont déprimés, sujets au suicide et aux pulsions criminelles. Au surplus, ladite revue a montré que ces enfants pouvaient s'adonner à la drogue, dans la mesure où ce psychotrope crée la dépendance chez eux. Il n'est pas admissible, en outre, de constater que ce médicament est mis au point sur des animaux par des procédés cruels. » [Secr. du Grand Conseil. Rapport de la Commission des pétitions chargée d'étudier la pétition (1332) concernant l'interdiction de prescription de psychotropes à des enfants de moins de 16 ans. Date de dépôt: 23 avril 2001. Rapporteuse: Mme Mireille Gossauer-Zurcher. 49 ]

« The effects this abuse could cause are addiction and possibly death. » [Ritalin. Site : www.chemistry.vt.edu/chem dept/helm/2514/project/ritalin/ritalin.html 46]

« Such drugs might have fewer of the drawbacks (inconvénient, désavantage) of the psychoactive drugs, such as reduced appetite and possible drug dependence ». [Science. Vol. 283, Number 5400.

Jan 1999, p 306. (Neurobiology). " How Stimulant Drugs May Calm Hyperactivity ". Jean Marx. 47 ]

« Ce médicament est utilisé depuis bientôt 50 ans et n'a jamais créé de dépendance. » [L'Illustré Santé No 25. (19 janv. 2000). Par M. Monnier. " Neuropédiatrie : et s'il était hyperactif... " (Haenggeli interrogé). 47 ]

Annexe 7. I. Ritaline (extraits classés) 123

« Animals and humans cross-addict to methylphenidate, amphetamine and cocaine. These drugs affect the same three neurotransmitter systems and the same parts of the brain. » [Breggin (consultant médical. Anti-Ritaline). Divers docs : résumé " talking back to Ritalin ", Congrès. Sept.00. procès Ritalin, Message. http://www.breggin.com 134 ]

« Ritalin and amphetamine have almost identical adverse effects on the brain, mind and behavior, including the production of drug-induced behavioral disorders, psychosis, mania, drug abuse, and addiction ». [Breggin (consultant médical. Anti-Ritaline). Divers docs : résumé " talking back to Ritalin

", Congrès. Sept.00. procès Ritalin, Message. http://www.breggin.com [25]]

« The threshold of drug availability that can lead to oversupply and consequent illicit use is unknown.

There is little evidence that current levels of production have a substantiel effect on abuse. However, there is a need to be vigilant in monitoring the national indice of use and abuse among high school seniors and Drug Abuse Warning Network (DAWN) emergency room reports » [NIH « Consensus Development Program : 110. Diagnosis and Treatment of Attention Deficit Hyperactivity Disorder », Nov. 1998, USA].

« Although an increased risk of drug abuse and cigarette smoking is associated with childhood ADHD, existing sudies come to conflicting conclusions as to whether use of psychostimulants increases or decreases the risk of abuse. A major limitation of inferences from observational databases is that the diagnosis of ADHD is confounded with the use of stimulant medication ; additional confounders include seventies of ADHD and coexisting conditions. » [NIH « Consensus Development Program : 110. Diagnosis and Treatment of Attention Deficit Hyperactivity Disorder », Nov. 1998, USA].

« Sevrage. Un seul cas de syndrome de sevrage, sous forme d'un syndrome dépressif avec régression psychotique, a été publié après un traitement prolongé avec arrêt brutal » (Voir American Journal of Psychiatry, 1979, 136 (2) ; p.226-228). [Revue Prescrire. Juin. 97 /tome 17. N.174, p.391-396. " Nouveautés en ambulatoire. Méthylphénidate ". [89]]

« La base de données internationale des laboratoires Ciba-Geigy comptait au 19 décembre 1994 4 cas de syndrome de sevrage et 13 cas de dépendance notifiés » [Revue Prescrire. Juin. 97 /tome 17.

N.174, p.391-396. " Nouveautés en ambulatoire. Méthylphénidate ". [91]]

« Subsequent accounts have suggested that, with appropriate care, substance-abusing adolescents and adults can be treated with methylphenidate (Schubiner, Tzelepis, Isaacson, et al., 1995) ». [NIH (National Institut Health). Jan Loney, concensus, November 1998. "Risk of Treatment Versus Nontreatment". 31]

« Where there were differences between medicated and unmedicated groups, it was the unmedicated individuals who were more involved with substances and more likely to have developed adult alcoholism and antisocial personality disorders, suggesting that the risk of substance abuse and related psychiatric disorders is greater for children who are not medicated than it is for children who are. » [NIH (National Institut Health). Jan Loney, concensus, November 1998. "Risk of Treatment Versus Nontreatment". 80]

« Au niveau de la dépendance, il (Haenggeli) est formel : il n'y en a pas. Preuve en est que la dose n'augmente pas avec l'âge et que la médication peut être arrêtée en tout temps ». [Secr. du Grand Conseil. Rapport de la Commission des pétitions chargée d'étudier la pétition (1332) concernant l'interdiction de prescription de psychotropes à des enfants de moins de 16 ans. Date de dépôt: 23 avril 2001. Rapporteuse: Mme Mireille Gossauer-Zurcher. 132]

« Quelques jours après le début des gouttes (homéopathiques), son enfant lui a demandé de reprendre son Ritalin ». [Elaine, Présentation. Site Canadien sur l'hyperactivité (guide pour parents).

Copyright 1996-1998 Elaine Lemire. Tout droits réservés. Mise en réseau du site le 17.10.1996. (Tous les pourcentages cités sont tirés du livre du Dr Guy falardeau, Les enfants hyperactifs et lunatiques, comment les aider, Montréal, Le jour éditeur, 1992.) 333 ]

« Distribuer de la ritaline à des toxicomanes. C'est un programme que veut lancer prochainement l'Office fédéral de la santé publique à titre d'essai. L'objectif est de mesurer si la prise de ce médicament peut servir d'alternative à la consommation de cocaïne. » [Site Radio Suisse Romande, Bulletin d’Actualité du 21.02.03.]

« Conclusions. Consistent with findings in untreated ADHD in adults, untreated ADHD was a significant risk factor for SUD in adolescence. In contrast, pharmacotherapy was associated with an 85% reduction in risk for SUD in ADHD youth. » [PEDIATRICS Vol. 104 No. 2 August 1999, p. e20 ."

Pharmacotherapy of Attention-deficit/ Hyperactivity Disorder Reduces Risk for Substance Use Disorder " Biederman J., Wilens T., Mick E., Spencer T., Faraone S.V. [20]]

« Our results are consistent with a small body of literature examining the long-term effects of stimulant therapy on subsequent SUD onset in adolescents with ADHD. In a review of longitudinal studies of treated ADHD children, Hechtman et al (2) found no evidence that stimulant exposure predicted later SUD and weak evidence that stimulant therapy prevented SUD (21-23)» [PEDIATRICS Vol. 104 No. 2 August 1999, p. e20 ." Pharmacotherapy of Attention-deficit/ Hyperactivity Disorder Reduces Risk for Substance Use Disorder " Biederman J., Wilens T., Mick E., Spencer T., Faraone S.V. 107-109]

« Although these findings require prospective confirmation, they suggest that adequate pharmacotherapy for ADHD in childhood may have a significant protective effect for the subsequent development of SUD in adulthood. » [PEDIATRICS Vol. 104 No. 2 August 1999, p. e20 ."

Pharmacotherapy of Attention-deficit/ Hyperactivity Disorder Reduces Risk for Substance Use Disorder " Biederman J., Wilens T., Mick E., Spencer T., Faraone S.V. 118]

« Du fait que notre approche n'est pas tout à fait scientifique - puisqu'il s'agit d'une auto-évaluation des patients - il faut considérer les résultats obtenus comme des tendances", prévient le directeur. Sans doute, mais celles-ci (tendances) sont claires: sur près de 400 patients (toxicomanes) interrogés, 25%

ont estimé se retrouver totalement dans les comportements décrivant l'hyperactivité, et 27%

beaucoup. Le taux de prévalence de l'hyperactivité dans la population étant estimé à 5%, il y a manifestement une surreprésentation au sein de la population toxicomane. » ["Repère Social". février 2000, no. 14, publication de l'Hospice Général de Genève. Eric Budry, Interview du doctor Déglon, psychiatre Genève (dir. Fondat. Phénix)."L'hyperactivité serait à la source de cas de toxicomanie"

[22]]

« On peut évidemment trouver plusieurs explications à ce phénomène, poursuit Jean-Jacques Déglon.

Mais, pour moi, l'enfant hyperactif souffre de son état et le jour où, grâce à un produit illégal, il peut être calme, bien dans sa peau, il aura tendance à ne plus pouvoir s'en passer. Il ne faut pas y voir une recherche de plaisir, de vice, mais une quête de bien-être. Comprenons-nous bien!, je ne dis pas qu'un enfant hyperactif va forcément devenir toxicomane, mais que les facteurs de risque sont plus importants que dans le reste de la population. » [" Repère Social ". février 2000, no. 14, publication de l'Hospice Général de Genève. Eric Budry, Interview du doctor Déglon, psychiatre Genève (dir. Fondat.

Phénix)." L'hyperactivité serait à la source de cas de toxicomanie " [24]]

« Psychiatrist Joseph Biederman of Massachusetts General Hospital in Boston and colleagues analyzed data on 75 white middle-class boys, aged 15 to 21, who had been diagnosed with ADHD at least 4 years earlier. Nineteen had never been treated with drugs, while the rest had received Ritalin or another stimulant. Of the untreated group, 75% reported substance abuse problems, usually with marijuana or alcohol--three times the rate in the Ritalin group. » [Science Magazine, Vol. 285, Number 5430. 13 aug. 1999, p.1007 (abstract of " Pediatrics ") by The American Association for the Advancement of Science. 16]

« The findings are unlikely to settle (régler, résoudre, calmer) the debate. Psychologist Nadine Lambert of the University of California, Berkeley, says her own ongoing research involving more than 200 ADHD patients suggests that kids treated with stimulants are more likely to smoke and to abuse cocaine as adults ». [Science Magazine, Vol. 285, Number 5430. 13 aug. 1999, p.1007 (abstract of "

Pediatrics ") by The American Association for the Advancement of Science. 21]

Contrôles

Selon l'OMS les stupéfiants sont des substances qui répondent à 3 critères:

« - action hédonique, qui procurent un état de plaisir ;

- tolérance ou accoutumance : nécessité d'augmenter les doses pour obtenir les mêmes effets ;

- dépendance : nécessité de fournir la drogue à l'organisme. Elle est physiologique et/ou psychique.

La dépendance physique disparaît en quelques jours, la dépendance psychique (troubles de l'humeur)

Annexe 7. I. Ritaline (extraits classés) 125

subsiste plusieurs années chez l'homme, elle a été retrouvée chez l'animal. » [Intro aux Neurosciences comportementales (licence Psycho.Uni Tours, FR. Alain Lenoir). 09.11.00. 497 - 501 ]

« La FDA a également approuvé la dextroamphétamine et le méthylphénidate dans la narcolepsie et le trouble déficit de l'attention/hyperactivité, et la pémoline dans ce dernier trouble » (p.352). « La métamphétamine est approuvée dans le TDA/H et comme médicament d'appoint à court terme dans les cures d'amaigrissement. Très toxicomanogène, la métamphétamine est utilisée par les toxicomanes sous le nom de "speed", "amphét", etc., ce qui lui a retiré la faveur des indications médicales » (p.352). [Kaplan H.I. & Sadock B.J. Médicaments en psychiatrie. Guide de poche. Trad.

et adapt. Franç. B. Granger. Masson, 1998 (extrait traduit, modifié et adapté à partir du chap. 8 "

Biological therapies " in Synopsis of Psychiatry, 8e édition). 41 - 42 ]