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« Une réduction modérée de la prise de poids et un léger retard de croissance ont été rapportés en relation avec des traitements à long terme avec des psychostimulants. Aucun lien de cause à effet n'a toutefois pu être démontré. » [Compendium Suisse des Médicaments(r) Ritaline(r)/- SR. NOVARTIS PHARMA .[157]]

« Si l'effet du médicament diminue trop rapidement le soir, les troubles du comportement et/ou l'incapacité à s'endormir peuvent réapparaître. Une faible dose de Ritaline le soir ou une dose de Ritaline SR l'après-midi peuvent contribuer à résoudre ce problème ». [Compendium Suisse des Médicaments(r) Ritaline(r)/- SR. NOVARTIS PHARMA .[121]]

« La nervosité et l'insomnie sont des effets indésirables très fréquents. Ils apparaissent en début de traitement et peuvent cependant céder à une réduction de la dose ou à l'omission de la dose de l'après-midi ou du soir. La diminution de l'appétit est aussi fréquente mais passagère ». [Compendium Suisse des Médicaments(r) Ritaline(r)/- SR. NOVARTIS PHARMA .[173]]

« Rarement: lors de traitement prolongé chez l'enfant, une réduction modérée de la prise de poids ainsi qu'un léger retard de croissance peuvent survenir ». [Compendium Suisse des Médicaments(r) Ritaline(r)/- SR. NOVARTIS PHARMA .[197]]

« Les effets secondaires de ce médicament parfois controversé ne sont pas très conséquents. Ils se traduisent surtout par un manque d'appétit et des difficultés à s'endormir (mais puisque ces enfants ne dorment que très peu de toute façon, même en tant que bébés, cela ne change pas grand-chose). » [Site Concepts femme. " Mon enfant est hyperactif ". Tom Bloomer, président de l'ASPEDAH. 57 ]

« Comme les effets secondaires sont rares, il n'existe aucune raison logique de priver les enfants d'une administration quotidienne de méthylphénidate (recommandation du Comité de la santé mentale de la Société canadienne de pédiatrie, 1990). » [Le Courrier, 11 fév. 2000. " Des amphétamines pas si horribles que cela "82 ]

« Si des tics faciaux important apparaissent ou si une insuffisance de croissance est suspectée, ces symptômes peuvent nécessiter l'arrêt du traitement. Les effets sur la croissance semblent être secondaires à l'effet anorexigène (inhibiteur de l'appétit), mais toute réduction relative de la taille attendue est minime ». [Le Courrier, 11 fév. 2000. "Des amphétamines pas si horribles que cela". 86 ]

« Des chercheurs ont pu mettre en évidence que bien que la Ritaline ait un effet négatif sur la croissance au cours du traitement, la taille finale n'est pas compromise grâce à un phénomène de rebond compensatoire apparaissant dès l'arrêt du traitement ». [Le Courrier, 11 fév. 2000. " Des amphétamines pas si horribles que cela ". 87 ]

« Quant aux effets secondaires, ils sont relativement minimes - en comparaison du bénéfice que l'on en retire - et disparaissent avec le temps : légère perte d'appétit, maux d'estomac et de tête, difficulté à s'endormir ». [Le Courrier, 16 novembre 1998, Marco Gregori. "Il serait temps que le SMP admette qu'il a commis des erreurs" [87]]

« Juan Manzano, directeur du SMP, dans une lettre du 15 oct. 99 écrit : "A l'heure actuelle, nous savons qu'il n'y a pas d'effets secondaires importants à long terme dans le traitement avec Ritaline, ni de risques particuliers de dépendance". L'effet à long terme de ce traitement (plus de 14 mois) est à l'heure actuelle inconnu (Conférence du consensus). Il est utilisé depuis plus de 25 ans, mais pendant longtemps les conséquences de certains effets secondaires, notamment des arrêts de croissance, n'étaient pas bien connues, ce qui freinait son utilisation par prudence ». [Le Courrier, 12 mai 2000, Marco Gregori. " La commission des pétitions défend l'action du SMP " 22 ]

« Néanmoins, aujourd'hui, selon des études effectuées, les effets secondaires qui peuvent survenir (perte de l'appétit, troubles du sommeil, retard de croissance), disparaissent plus tard, sans laisser de

conséquences. » [Le Courrier, 12 mai 2000, Marco Gregori. " La commission des pétitions défend l'action du SMP " 23]

« la d-amphétamine et le méthylphénidate engendrent beaucoup d'effets secondaires (in Waizer et coll., 1974). (En fait, ceux-ci ne semblent pas aussi importants qu'on le laisse penser en ce qui concerne le méthylphénidate à condition que les posologies soient respectées) » (88) [Dollfus S., Petit M., " Efficacité et Tolérance des Psychotropes chez l'enfant ". Expansion Scientifique Française, 1988.

66]

« L'arrêt des psychostimulants pendant les week-ends et les vacances scolaires semble être indiqué en raison de la plus faible incidence dans ces cas de retentissement staturopondéral à long terme » (127) [Dollfus S., Petit M., " Efficacité et Tolérance des Psychotropes chez l'enfant ". Expansion Scientifique Française, 1988. 136 ]

« Les BZD sont probablement, parmi les psychotropes, ceux qui engendrent le moins d'effets secondaires, à moins qu'il ne s'agisse de ceux dont les effets secondaires sont les moins étudiés » (164) [Dollfus S., Petit M., " Efficacité et Tolérance des Psychotropes chez l'enfant ". Expansion Scientifique Française, 1988. 230]

« Effets secondaires habituels: Légère perte d'appétit (le midi, en particulier pour l'action prolongée).

Petit retard à l'endormissement; humeur parfois labile (variable). Céphalées occasionnelles, en début du traitement en fonction du dosage. Toute incidence sur la croissance ne serait que fortuite. » [Site Jolicoeur. Canada. L'Usage du Méthylphénidate dans le Déficit d'Attention /Hyperactivité/ Opposition.

97]

« À propos des stimulants: ils réduisent les symptômes de façon significative chez 80% des enfants et, malgré les effets secondaires, la médication est "sécuritaire". Chaque dose de stimulant a un effet à court terme avec très peu d'effets secondaires à long terme. » [Site Elaine. Quelques extraits. The Lancet. 7 fév.98. J.M. Swanson, J.A. Sergeant, E. Taylor, E.J.S. Sonuga-Barke, P.S. Jensen et D.P.

Cantwell. "Attention-deficit hyperactivity disorder and hyperkinetic disorder". 16]

« Mais le méthylphénidate suscite malgré tout bien des inquiétudes. Passe encore qu'il entraîne des effets secondaires - diminution de l'appétit, insomnie ou somnolence - mais comment savoir s'il ne perturbe pas, à long terme, la croissance de l'enfant? "C'est un sujet de préoccupation, mais on n'a aucune preuve d'un retard imputable au traitement", répondent François Bange et Marie-Christine Mouren-Siméoni, de l'Hôpital Robert Debré à Paris. Or la substance est connue depuis les années 50 et "plusieurs millions d'enfants ont été traités dans le monde". » [Hebdo. 6 sept. 2001. Sonia Arnal et Elisabeth Gordon. " Au secours ! mon enfant est hyperactif ". Phénomène de mode ou réelle maladie?

Notre test.Traitement: la Ritaline soigne mais suscite la polémique. 77]

« On a longtemps associé la prise de stimulants centraux à un retard de croissance et un déficit de poids. Les études montrent effectivement un retard de croissance à la pré-adolescence, mais il y a rattrapage puis normalisation en fin d'adolescence avec une stature normale à l'âge adulte. Ce retard semble provoqué par le syndrome TDAH lui même et donc ne pas être provoqué par une médication. » [Site. Hypsos. Traitements (27/05/00). 66 ]

« Le recul dans le temps (plusieurs dizaines d'années) et l'importance des cohortes de patients déjà traités (plusieurs millions d'enfants) étayent la constatation que la Ritaline(r) est bien supportée et que ses effets secondaires éventuels sont limités ». « En effet, les effets indésirables aux posologies usuelles sont en règle générale modérés et réversibles. Dans les études contrôlées, ils surviennent chez moins de 10 % des patients, surtout en début de traitement : ce sont l'insomnie d'endormissement, la baisse de l'appétit, les gastralgies, les céphalées... Ils sont rarement responsables de l'interruption du traitement. Nous reviendrons ultérieurement sur les rares effets secondaires réellement préoccupants de la Ritaline. » [Médecine thérapeutique / Pédiatrie. Vol. 3, Numéro 3, Mai - Juin 2000 : 168-171. Revue : Syndrome d'hyperactivité. Bange F., Mouren-Siméoni M.C.: Service de Psychopathologie de l'Enfant et de l'Adolescent, Hôpital Robert Debré, 49 boulevard Sérurier, 75019 Paris, France.76-78]

Annexe 7. I. Ritaline (extraits classés) 91

« Certains enfants manifestent des tics moteurs ou vocaux sous Ritaline(r), ce qui peut conduire à son arrêt. Cependant, l'existence de tics préalablement à l'instauration du traitement est de moins en moins considérée comme une contre-indication absolue à la prescription de ce médicament. » [Médecine thérapeutique / Pédiatrie. Vol. 3, Numéro 3, Mai - Juin 2000 : 168-71. Revue : Syndrome d'hyperactivité. Bange F., Mouren-Siméoni M.C.: Service de Psychopathologie de l'Enfant et de l'Adolescent, Hôpital Robert Debré, 49 boulevard Sérurier, 75019 Paris, France. 94]

« Le retentissement de la Ritaline(r) sur la croissance staturale a également été un grand sujet de préoccupation, sans preuve d'un retard imputable au traitement. Au contraire, des enquêtes récentes bien conduites concluent à l'existence d'un retard de croissance idiopathique chez certains hyperactifs, sans relation avec la prise de Ritaline(r), qui se normalise dans la deuxième partie de l'adolescence ». [Médecine thérapeutique / Pédiatrie. Vol. 3, Numéro 3, Mai - Juin 2000 : 168-171.

Revue : Syndrome d'hyperactivité. Bange F., Mouren-Siméoni M.C.: Service de Psychopathologie de l'Enfant et de l'Adolescent, Hôpital Robert Debré, 49 boulevard Sérurier, 75019 Paris, France. 94]

« On a aussi imputé des troubles anxieux et une dysphorie au traitement notamment à de fortes posologies. Cependant, ces troubles internalisés sont fréquemment comorbides à l'hyperactivité. Ils préexistent donc à l'instauration du traitement et il ne faut pas les attribuer systématiquement à la Ritaline® ». [Médecine thérapeutique / Pédiatrie. Vol. 3, Numéro 3, Mai - Juin 2000 : 168-171. Revue : Syndrome d'hyperactivité. Bange F., Mouren-Siméoni M.C.: Service de Psychopathologie de l'Enfant et de l'Adolescent, Hôpital Robert Debré, 49 boulevard Sérurier, 75019 Paris, France. 99]

« La Ritaline® n'est pas dépourvue d'effets secondaires, même si ceux-ci sont généralement bénins et transitoires. Le rapport entre les risques et les bénéfices d'un traitement psychostimulant doit donc être soigneusement pesé ». [Médecine thérapeutique / Pédiatrie. Vol. 3, Numéro 3, Mai - Juin 2000 : 168-171. Revue : Syndrome d'hyperactivité. Bange F., Mouren-Siméoni M.C.: Service de Psychopathologie de l'Enfant et de l'Adolescent, Hôpital Robert Debré, 49 boulevard Sérurier, 75019 Paris, France. 138]

« Most doctors feel the potential side effects should be carefully weighed against the benefits before prescribing the drugs. While on these medications, some children may lose weight, have less appetite, and temporarily grow more slowly. Others may have problems falling asleep. Some doctors believe that stimulants may also make the symptoms of Tourette's syndrome worse, although recent research suggests this may not be true. Other doctors say if they carefully watch the child's height, weight, and overall development, the benefits of medication far outweigh the potential side effects. Side effects that do occur can often be handled by reducing the dosage ». [Site NIMH (National Institute of Mental Health). " Attention Deficit Hyperactivity Disorder (ADHD) " 392 - 395 ]

« Ritalin's side effects, which include headaches and loss of appetite, are reported as minor and reversible ». [The New York Times. December 15, 1999. " Study Backs a Drug for Hyperactive Children". 33 ]

« Il faut aussi se rappeler que la Ritaline existe depuis plus de 40 ans, ce qui devrait suffire à rassurer les personnes craignant d'éventuels effets secondaire à long terme. Rare sont les médicaments sur le marché qui bénéficient d'un tel recul ! » [Hypsos. Quoi de neuf ? (site. modifié le 21/10/00). 42 ]

« There was no evidence of weight deficits in children with ADHD relative to control subjects and no relationship between measures of malnutrition and short stature was found. These findings suggest that ADHD may be associated with temporary deficits in height gain through midadolescence that may normalize by late adolescence. This effect appears to be mediated by ADHD and not by its treatment ». [PEDIATRICS Vol. 102 No. 2 Supplement August 1998, pp. 501-506 " Growth Deficits in Children With Attention Deficit Hyperactivity Disorder ". Thomas Spencer, Joseph Biederman, and Timothy Wilens (From the Department of Pediatric Psychopharmacology, Massachusetts General Hospital, and the Department of Psychiatry, Harvard Medical School, Boston, Massachusetts).

(Received Feb 6, 1998; accepted Mar 20, 1998).19-20 ]

« Un nombre considérable de travaux a porté sur le retard de croissance chez les enfants hyperkinétiques recevant des psychostimulants. Ces problèmes ont été revus par Roche et son équipe qui ont conclu à la présence réelle d'un retard temporaire du taux de croissance, de poids et de taille, chez les enfants hyperkinétiques recevant des psychostimulants, lesquels en un laps de

temps relativement court ont repris leur taille normale prévue. De semblables constatations ont été observées dans le cas de la pémoline » (1278) [Publié par J.P. Giroud, G. Mathé, G. Meyniel.

Pharmacologie Clinique. Bases de la thérapeutique.2e ed.Expansion Scientifique Française. Paris.

1988. 111]

« En règle générale, avec l'arrivée de la puberté, le syndrome s'estompe et la période de maturation s'améliore. En même temps, tout retard de croissance ou de poids se corrige d'habitude spontanément ». (1279) « Les principaux effets secondaires de ces médicaments sont l'insomnie, l'ataxie, la perte d'appétit, la perte de poids et un certain degré d'irritabilité. Il se peut que ces effets soient liés à la posologie ; aussi peuvent-ils être corrigés » (1279). [Publié par J.P. Giroud, G. Mathé, G. Meyniel. Pharmacologie Clinique. Bases de la thérapeutique.2e ed.Expansion Scientifique Française. Paris. 1988. 130 - 131 ]

« Le ralentissement de la croissance est compensée, et donc pas compromise par le traitement. » [Review of psychiatry. American Psychiatric Press. Washington.. Ed. Tesman A., Hales R.E. , Frances A.J. 1989. Vol.8. Section II Child Psychiatry. Chap. 7 " Attention-Deficit Hyperactivity Disorder " by D.P. Cantwell, G.L. Hanna. 134-161 [89]]

« Results: There was no evidence (group data) that motor tics or vocal tics changed in frequency or severity during maintenance therapy compared with diagnostic or initial double-blind placebo evaluations. Behavioral improvements demonstrated during the acute drug trial were maintained during followup. There was no evidence (group data) of clinically significant adverse drug effects on cardiovascular function or growth at the end of 2 years of treatment. Conclusion: Long-term treatment with methylphenidate seems to be safe and effective for the management of ADHD behaviors in many (but not necessarily all) children with mild to moderate tic disorder. Nevertheless, careful clinical monitoring is mandatory to rule out the possibility of drug-induced tic exacerbation in individual patients. » [Site checkmateplus.com. Drs. Gadow and Sprafkin (N.Y). CHILD SYMPTOM INVENTORIES. Revue de presse. 480 - 485 ]

« J'aimerais maintenant vous parler du cas de l'enfant Jonathan Provencher et des effets secondaires du méthylphénidate. (...) Dans votre reportage, cette mère parle des effets secondaires du méthylphénidate tels qu'elle les a constatés chez son fils. Je crois qu'il y a deux catégories d'effets secondaires de ce médicament. Les effets réels du médicament et ce que j'appelle les effets secondaires de leur efficacité ». [Site Elaine : Les réponses du Dr. Guy Falardeau. Auteur de : " Les enfants hyperactifs et lunatiques, comment les aider ", Montréal, le jour éditeur, 1992. 180]

« Les effets réels dont se plaint Jonathan sont les maux de tête, les douleurs abdominales et les engourdissements aux mains. Ces effets secondaires sont habituellement légers et disparaissent avec le temps. Dans son cas, je crains que la dose ait été trop forte ou augmentée trop rapidement. Il se peut aussi que certains enfants soient particulièrement sensibles à de petites doses. Dans la majorité des cas, si on débute par de petites doses et qu'on augmente lentement, les effets secondaires sont tolérables et s'atténuent avec le temps. Si tel n'est pas le cas et si l'enfant est incommodé par ces effets, il faut cesser le traitement. Il arrive souvent dans ces cas que la dexédrine (un autre stimulant) est mieux toléré. Je suis d'accord avec la mère, personne ne peut l'obliger à prendre un médicament qui donne de tels effets. » [Site Elaine : Les réponses du Dr. Guy Falardeau. Auteur de : " Les enfants hyperactifs et lunatiques, comment les aider ", Montréal, le jour éditeur, 1992. 184 ]

« Les effets secondaires les plus fréquents, dont la diminution de l'appétit, l'insomnie, la sensation de réplétion et les pleurs ou l'hyperémotivité, peuvent être évités si les comprimés sont pris avec des aliments, ou par un ajustement de la posologie et du schéma posologique. La sédation est un effet secondaire indésirable et non un objectif thérapeutique. Les effets sur l'appétit et la croissance semblent être fonction de la dose (7) toute réduction de la taille finale (ce qui est rare) étant minime.

Les parents devront être prévenus que le traitement au méthylphénidate peut déclencher des tics.

Des antécédents familiaux ou personnels de tics ou des antécédents familiaux de syndrome de Tourette seraient donc des contre-indications relatives à ce traitement (3) ». [Société canadienne de pédiatrie (SCP). 1990. " Le méthylphénidate dans l'hyperactivité avec déficit de l'attention ". 18 - 20]

« Pour ce qui est des problèmes émotionnels, je crois qu'ils ne sont pas dus au médicament (ils survenaient d'ailleurs le soir au moment où le médicament n'a plus d'effet) mais plutôt à l'efficacité de

Annexe 7. I. Ritaline (extraits classés) 93

celui-ci. » [Site Elaine : Les réponses du Dr. Guy Falardeau. Auteur de : " Les enfants hyperactifs et lunatiques, comment les aider ", Montréal, le jour éditeur, 1992. [187]]