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RESULTATS ET DISCUSSIONS

CHAPITRE 7 Intégration dans un système d'information local

3. Tester : examiner et vérifier les documents sélectionnés ;

7.1.4 Résultats intermédiaires

Concentrons-nous, à présent, en détail sur le contenu géologique à sélectionner et insérer dans la structure de la nouvelle base de données, soit la donnée en elle-même, dont ce chapitre fait, ici, l’objet. Voyons comment celle-ci serait mise en valeur à travers les choix des thématiques des différents objets géologiques et les types et niveaux d’informations que ces derniers contiendraient. Ces premiers résultats sont structurés de la manière suivante : tout d’abord le sujet/objet est présenté dans sa globalité ; ensuite une explication sur son utilité pour les géologues est apportée ; enfin, les caractéristiques définies pour chaque objet sont listées, et quelques étapes de réflexion sont détaillées. Un échantillon des discussions qui ont eu lieu autour de l’attribution de chaque caractéristique sera aussi présenté, illustrant ainsi les difficultés rencontrées et les réflexions ayant mené à ces résultats. Une description plus rigoureuse de certaines caractéristiques est également intégrée.

Ces caractéristiques ont été classées en cinq catégories pour accompagner la discussion et mieux discerner leur intérêt :

- Administration (en bleu) ; - Analyses (en vert) ; - Détermination (en violet) ; - Propriétés (en jaune).

- Techniques (en rouge) ;

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Précisons que chacune de ces catégories n’est pas forcément représentée pour chaque sujet/objet, selon la pertinence de retenir ou non ce type d’information pour ledit objet. De fait, certains des sujets/objets sont d’ordre de la donnée commune (administrative), d’autres sont des objets géologiques à proprement parler et enfin certains sont plutôt des thématiques géologiques. Ils n’ont donc pas tous les mêmes caractéristiques.

Les sujets/objets retenus ont été sélectionnés sur la base du socle de données et connaissances géologiques existant à ce jour à Genève ainsi que sur le type de données qui seront acquises dans un avenir proche dans le cadre du programme GEothermie2020. Cette sélection permet de garantir la centralisation de toutes les données géologiques du canton de Genève dans un seul et même système et d’assurer le suivi des affaires concernant les ressources du sous-sol. Nous verrons ainsi, tour à tour, les composants suivants :

Commun : suivi administratif et documentation à la fin ;

Objets : sondage, géophysique, affleurement ;

Sujets/thématiques : échantillon, géologie, quaternaire, structure.

Suivi administratif

Le suivi administratif est le premier élément décrit ici. Dès lors que l’on se penche sur la donnée géologique pour créer une nouvelle structure de base de données, la responsabilité de clarifier les informations administratives est automatiquement incluse. Il semble donc naturel et cohérent que ces données administratives soient correctement organisées dans les nouvelles infrastructures pour accompagner le géologue dans le suivi de ses projets. Ce volet caractérise chaque objet intégré dans la base de données d’un point de vue purement administratif et permet ainsi de définir avec précision son identité.

Il s’agit d’un volet central et indispensable car il participe à la gestion et à l’organisation générale du système (suivi des affaires, etc.). Ce suivi est déjà partiellement présent dans la base de données actuelle du Canton qui présente toutefois certaines lacunes, puisque la majorité du suivi administratif s’effectue aujourd’hui à l’aide de tableurs Excel. La nouvelle base de données que nous cherchons à développer vise donc à adapter la procédure actuelle en intégrant les éléments essentiels d’évolution et en la complétant quand cela est nécessaire. De nombreuses modifications et adaptations ont été décidées aux cours des réflexions menées à ce sujet ; certaines sont présentées dans la figure ci-dessous.

La version intermédiaire de gauche (Figure 59) montre une des toutes premières étapes de la recherche, inspirée de la base de données actuelle du Canton et donc encore relativement similaire à celle-ci. Elle permet d’illustrer les éléments qui ont évolué, les suppressions ou les modifications intervenues, et met en évidence les différences avec la version finale retenue. Il s’est révélé que le numéro cantonal, attribué par l’autorité compétente, fait aujourd’hui référence uniquement aux données de sondages (n°SCG – Service Cantonal de Géologie). Il fallait donc trouver une autre terminologie globale identifiant tous les types d’objets. Le canton de Genève devra donc adopter une nouvelle dénomination pour identifier les nouveaux objets figurant dans cette future base de données. Les coordonnées de l’objet en tant que caractéristique propre à celui-ci, ont été supprimées car elles seront automatiquement calculées quand l’objet sera géo-référencé. Il paraissait donc superflu et non pertinent de les conserver ici.

La version finale à droite (Figure 59) présente ainsi les éléments listés in fine suivant deux catégories : la détermination, représentant les identifiants propres à l’objet et l’administration, incluant les dates clés du suivi.

109 Figure 59: Caractéristiques nécessaires dans la gestion au suivi administratif. A gauche : Première étape de la recherche, permettant d’illustrer les éléments qui ont été supprimés ou modifiés depuis. A droite : Version finale à intégrer à la future

base de données.

Passons maintenant en revue les différentes caractéristiques pertinentes qui ont été définies puis intégrées à la future base de données pour assurer le suivi administratif et que nous retrouvons listées dans la figure de droite ci-dessus.

L’identifiant de l’objet est un libellé unique défini par le canton de Genève et dont la composition pourrait déjà informer sur le type et/ou sur la localisation de l’objet. En seulement quelques chiffres et lettres, il saurait apporter une quantité d’informations intéressantes. Sa définition est donc essentielle pour permettre de retrouver rapidement l’objet concerné par les recherches.

Notons qu’il a également été décidé de conserver le nom d'origine de l’objet pour permettre de l’identifier directement. L’exemple du forage géothermique de Thônex en est la preuve.

Aujourd’hui sur la plateforme de partage, il ne porte que son identifiant GESDEC – n° 10434 – (Figure 60) alors que dans la littérature, il est usuellement appelé Thônex-1 ou THX-1 (Jenny et al., 1995; PGG, 2011).

Le type d’objet correspond à l’élément de base qui va définir le caractère de l’objet et la variété d’informations qui sera transcrite. Autrement dit, le type qui sera renseigné correspondra à un des principaux types d’objets constituant la donnée géologique du bassin genevois et dont l’utilité a été reconnue comme essentielle dans la gestion du sous-sol. Il peut s’agir d’un forage, d’un sondage, d’une fouille, d’un piézomètre, d’une ligne sismique, d’une ligne électrique, d’un affleurement, d’une installation géothermique en système ouvert ou fermé, ou encore, d’un champ de sondes. Chacun de ces objets a une raison d’être précise en relation avec l’exploration ou l’exploitation de surface ou du sous-sol. Ainsi, les données de surface sont rapportées par les affleurements. L’exploration du sous-sol de faible profondeur se fait principalement grâce aux sondages, aux fouilles et aux lignes électriques. Les forages et les lignes sismiques permettent d’obtenir des informations concernant de plus grandes profondeurs (plusieurs kilomètres). Pour finir, les piézomètres contribuent à surveiller les nappes phréatiques du territoire. Déjà très nombreux in situ, ils sont associés à cette nouvelle base de données pour assurer la centralisation dans une seule et même infrastructure. Les installations géothermiques sont des données principalement générées et gérées, à ce jour, par le service de l’énergie (Office Cantonal de l’Energie – OCEN) mais il a été décidé, en coordination avec ce dernier, de les intégrer dans le nouveau système pour assurer leur relation avec les données géologiques ainsi que pour éviter

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les doublons dans la saisie. Les systèmes fermés (sondes verticales) sont actuellement les plus répandus sur le bassin genevois, mais le programme GEothermie2020 tend à privilégier désormais les systèmes ouverts (doublets) pour rechercher la présence d’eau souterraine dans les couches géologiques plus profondes. Ils sont donc appelés à devenir plus nombreux à l’avenir. Des stratégies énergétiques à l’échelle de plans de quartier (plans localisés de quartier – PLQ) sont de plus en plus mises en avant face aux installations géothermiques des maisons individuelles. De plus, il est fort probable qu’à l’avenir, avec le progrès des techniques et les avancées de la science, de nouveaux types d’objet soient progressivement ajoutés dans la base de données. Néanmoins, les objets éprouvés, à ce jour, seront présentés à part entière en tant que sujet/objet ci-après, chacun d’eux ayant besoin d’être caractérisé par des éléments spécifiques.

Le but pour lequel a été réalisé l’objet peut être divers, il peut même y en avoir plusieurs. Il est donc important de renseigner cet aspect car connaître l’objectif lié à la réalisation d’un objet est une information primordiale pour le géologue. Cela lui permet de cibler rapidement le type de données qui sera associé à cet objet. Il peut par exemple être à but géotechnique, ou géothermique, réalisé pour des études de sites contaminés ou hydrogéologiques, dans le cadre de recherche de matières premières minérales ou d’hydrocarbures ou encore à des fins de travaux de recherches de type universitaire. Prenons par exemple le cas des sondages : un sondage géotechnique, qui peut varier d’une profondeur d’un mètre à quelques dizaines de mètres, va proposer un niveau de détail important sur les premiers horizons datant du Quaternaire. En revanche, un forage comme celui réalisé à but géothermique à Thônex (THX-1, profondeur 2’530m), va donner très peu d’informations sur le Quaternaire qui est considéré comme un horizon unique, de même que pour le Tertiaire. Néanmoins, plus le forage s’approche des horizons cibles, plus les détails des informations renseignées seront important, notamment avec des mesures hydrologiques précises informant sur les débits. Ce n’est pas forcément le cas pour le forage Humilly-2 (HU-2, profondeur 3’051m) qui a été, lui, effectué dans le cadre d’une exploration pétrolière ayant pour cible les hydrocarbures. Il donne des détails différents et notamment peu d’informations sur l’hydrologie et les débits obtenus. Autrement dit, la gestion de différents niveaux de détails s’avérant un enjeu clé pour la mise en place d’une base de données, connaître le but de la réalisation d’un objet permet donc de gagner un temps précieux pour ordonner ses caractéristiques dans le sens de la logique globale du système.

Le statut de l’installation renseigne de renseigner l’étape à laquelle le projet lié à l’objet se trouve. Cela permet d’enregistrer les phases clefs de cet objet et d’assurer le suivi du projet.

Entre la réflexion et la réalisation de l’objet, il peut souvent se passer du temps, l’objet pouvant même parfois être abandonné ou transformé en vue d’autres objectifs. Le service de géologie assure aujourd’hui le statut d’un objet à travers des tableurs Excel. S’agissant d’un travail assez laborieux, le suivi de l’avancement n’est pas systématiquement tenu à jour. Assurer la mise à jour du statut, consultable par tous et en temps réel, constituerait donc aujourd’hui un pas en avant non négligeable en matière d’efficacité de gestion.

L’état de fonctionnement est une caractéristique spécifique aux sondages ou aux équipements (piézomètre ou installations géothermiques) associés à cette exploration. Cette information est importante pour le géologue car elle lui permet de vérifier rapidement dans quel état se trouve un sondage. Un sondage ouvert, comblé ou recouvert, voire même détruit, oriente très précisément les opérations que le géologue pourrait envisager sur cet objet. Par exemple, le forage Humilly-2 est désormais recouvert. Un parking a d’ailleurs été construit, il y a plusieurs années, sur la parcelle où il se trouvait. Aujourd’hui Humilly-2 n’est donc plus accessible et il est impossible d’effectuer des mesures ou des analyses supplémentaires ou même d’envisager de nouvelles explorations sur cet objet qui ne peut plus être exploité. Le forage de Thônex (THX-1), lui, a été partiellement comblé, à cause de l’effondrement des bords du forage dans la partie non tubée à partir de 1840m/sol. Il a néanmoins été possible de réaliser de nouvelles analyses et mesures in situ pour améliorer les connaissances du sous-sol, et il a même été envisagé de

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l’approfondir dans l’espoir d’y trouver des ressources plus en profondeur. En effet, dans le cadre du programme GEothermie2020, des compléments d’information ont été requis et apportés sur cet objet (Nawratil de Bono, 2011). Finalement, pour les équipements d’un forage/sondage tel qu’un piézomètre ou une installation géothermique, il est possible d’indiquer s’ils fonctionnent toujours ou s’ils ont été endommagés – voire détruits – dans le cadre d’un projet de construction ou du fait d’un entretien insuffisant. Cette information est essentielle pour assurer le suivi des installations de surveillance des nappes phréatiques et connaître les mesures à prendre si des réparations doivent être engagées. La base de données permettrait alors, dans ce cas, de réaliser une recherche et une sélection très rapide des objets nécessitant un entretien. On imagine facilement qu’elle deviendrait un support très utile pour la planification des travaux et par extension pour toute la gestion qui gravite autour de l’entretien de telles infrastructures (priorisation des interventions, budgétisation en fonction, etc.). Concernant les installations géothermiques en particulier, la surveillance de leur état de fonctionnement permet d’assurer une meilleure pérennité des aménagements.

Pour ce qui est de l’autorité compétente, comme précisé à plusieurs reprises, la nouvelle base de données du canton de Genève est aussi destinée à accueillir et partager des données des régions avoisinantes, ce qui ne signifie pas que le Canton en est l’autorité compétente. Ce point était important à prendre en compte, d’où la création d’une entrée pour renseigner si la donnée se trouve en territoire suisse (GE, VD, …) ou français (F01, F74). Intégrer cette caractéristique permet de rechercher et sélectionner rapidement l’ensemble des données qui correspond à une autorité compétente ciblée. Il en va de même en renseignant le propriétaire de la donnée. Cela permet aux géologues d’évaluer dans quel cadre a été réalisé l’objet, de contacter ce propriétaire pour obtenir des informations complémentaires ou encore de vérifier les statuts de confidentialité associés à l’objet. En effet, une donnée est considérée comme privée si elle provient d’un mandataire privé ; elle reste donc inaccessible pendant une durée de cinq ans (projets d’exploration sur concessions) et de trois ans pour les sites pollués faisant état d’une procédure juridique. En revanche, elle est immédiatement accessible si elle provient d’un projet public. Cette information permet ainsi à toute personne de vérifier facilement l’accessibilité de la donnée de l’objet sélectionné.

Concernant la référence du projet associé, un objet est souvent réalisé dans le cadre d’un projet en particulier. Prenons par exemple le programme GEothermie2020, au sein duquel une série de projets de plus petite envergure (Concorde, Susette, ...) a été initiée. Chacun de ces projets a pu être responsable de plusieurs objets, qu’il s’agisse de sondages, de données géophysiques ou encore d’installations géothermiques. Il est donc important pour les géologues qui sont intéressés par l’ensemble des objets réalisés dans le cadre d’un seul et même projet de pouvoir les sélectionner rapidement. C’est à cette fin que le nom et la référence du projet sont associés à chaque objet.

Enfin, une succession d’éléments administratifs sont nécessaires au GESDEC pour assurer la partie administrative de son rôle de suivi des projets. Les informations pertinentes sélectionnées à ce titre sont le numéro d'autorisation, le numéro de la subvention s’il en existe une, le contrat de concession, la procédure administrative associée à l'objet, la date à laquelle la donnée tombe dans le domaine public (date de fin de privatisation), la date du début des travaux, la date de fin des travaux, la date début de l'exploitation et pour finir la date de réception de la donnée.

Cette partie sur le sujet du suivi administratif est donc centrale, puisque tous les objets y sont liés comme nous avons pu le constater à l’instant. Examinons, à présent ces différents objets plus en détail.

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Sondage

Le sondage est l’objet qui permet d’obtenir de l’information ponctuelle verticale et détaillée sur le sous-sol. C’est une appellation relativement générique qui signifie que des analyses et des relevés destructifs ont été effectués dans le sous-sol (profondeur variable). Il peut s’agir d’une fouille, souvent réalisée pour un but géotechnique avec une pelle mécanique, atteignant dans ce cas seulement quelques mètres de profondeur. Il peut aussi être question d’un sondage, terminologie utilisée dans la base de données actuelle pour les objets de faible profondeur (qq dizaines), ou encore d’un forage, terminologie souvent associée à l’exploration géologique du sous-sol de plus grande profondeur. Le terme générique « sondage » a été choisi pour définir ce type d’objet car il englobe à la fois le cas de la fouille et du forage. Les sondages sont des objets déjà catalogués partiellement dans les bases de données actuelles du canton de Genève. Plus de 16'500 sondages sont localisés sur le SITG avec toutefois uniquement quelques brèves informations les décrivant.

Les sondages sont d’une richesse incommensurable pour les géologues car ils leur permettent d’explorer de manière active le sous-sol et d’en définir ainsi les caractéristiques physiques et pétrophysiques suite aux échantillons prélevés (carottes, cuttings). Quelle que soit la profondeur atteinte, le sondage apporte une connaissance indispensable à la gestion des ressources du sous-sol. À Genève, le sous-sol peu profond est bien connu car de nombreux sondages ont été effectués et de multiples analyses y ont été réalisées. Le sous-sol de plus grande profondeur est très peu connu car un seul forage de ce type est présent, à ce jour, dans le canton de Genève (Thônex-1). D’ailleurs, le niveau de détails renseigné aujourd’hui à son sujet dans la base de données actuelle et partagé sur le SITG, est trop faible (Figure 60). Le socle d’informations le caractérisant est très mal valorisé dans le système. Il a donc fallu revoir, avec attention, les caractéristiques qu’il convenait d’intégrer pour ce type d’objet, dans la nouvelle base de données, en équilibrant, avec plus d’exhaustivité, les informations afin d’en améliorer la valorisation.

Figure 60: Recherche de données sur le sondage Thônex (THX-1) sur la plateforme actuelle du SITG (SITG, 2017)

La nouvelle liste de caractéristiques sélectionnées pour ce type d’objet est passée par de nombreuses étapes dont certaines sont illustrées ci-dessous (Figure 61). Construite autour de riches discussions avec différents experts régionaux (géologues, ingénieurs,…), cette liste s’est précisée au fur et mesure de l’avancement du projet de thèse. S’appuyant largement sur les données contenues dans la littérature et sur l’expérience d’autres services concernés par la thématique, la liste des éléments considérée comme pertinente et répondant aux besoins des géologues genevois a ainsi pu être finalisée. Elle figure ci-après.

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Les éléments présentés ci-dessous sont pour la plupart des caractéristiques qui ont été placées à un autre niveau d’information ; il y a donc eu peu de suppressions à proprement parler. Si l’on prend, pour exemples, le nom d’origine et le but du sondage, ils ont été déplacés dans le niveau d’information supérieur –plus général– et se trouvent donc maintenant dans le suivi administratif décrit ci-dessus. Désormais attribuée à un niveau d’information inférieur –plus précis–, la présence d’un gisement est une caractéristique qui se trouve donc maintenant dans les unités géologiques que nous détaillerons plus loin dans la suite de ces résultats. Enfin, les piézomètres et les sondes géothermiques sont devenus des objets à part entière, qu’il a été choisi de définir en détail, comme vous le verrez ultérieurement dans le résultat final. Ces équipements sont indispensables pour assurer le suivi et la gestion du sous-sol ce qui a justifié qu’ils soient traités en tant que tels. Néanmoins, ils seront rigoureusement liés à leur sondage d’origine au travers de la base de données.

Figure 61: Caractéristiques nécessaires dans la gestion d’un sondage. A gauche. Versions intermédiaires illustrant des éléments qui ont été supprimés ou modifiés. A droite. Version finale à intégrer à la future base de données (D. =

Figure 61: Caractéristiques nécessaires dans la gestion d’un sondage. A gauche. Versions intermédiaires illustrant des éléments qui ont été supprimés ou modifiés. A droite. Version finale à intégrer à la future base de données (D. =