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❖ La loi élémentaire

Dans le document LE SERVICE DU SANCTUAIRE (Page 151-163)

Lors de leur création, Adam et Ève avaient une connaissance intuitive de Dieu et de Sa volonté. Comme lors de la conversion, « l'homme nouveau est créé selon Dieu dans une justice et une sainteté » (Éph. 4: 24), ainsi Dieu au commencement a doté Ses créatures de justice et de vraie sainteté. Créés à l'image de Dieu, ils possédaient des caractéristiques qui ont grandement influencé leur conduite et ont moulé leur vie en conformité à l'idéal de Dieu. C'est le sens évident que Paul donne au texte cité et il le confirme davantage en affirmant que l'homme nouveau « se renouvelle, dans la connaissance, selon l'image de Celui qui l'a créé. » (Col. 3: 10). En réunissant ces deux affirmations, nous en concluons qu’au commencement l'homme avait une connaissance intuitive de Dieu et possédait la justice et la vraie sainteté et ces caractéristiques sont englobées dans la conception d’« image de Dieu ».

Nous ne sommes pas informés de l'étendue exacte des connaissances d'Adam à sa création, mais le fait qu'il ait pu, dès le premier jour de sa vie, évaluer correctement les animaux qui passaient devant lui pour recevoir un nom en harmonie avec leurs natures particulières, suggère une vision plus profonde que celle dont l'homme dispose aujourd'hui. Il convient de noter que si Adam « créé selon Dieu dans une justice et une sainteté que produit la vérité », ce sont des dons qui lui ont été accordés et qui ont besoin d'être confirmés et de faire l'objet d'une appropriation consciente de sa part avant de devenir absolument siens et par conséquent, il doit être mis à l'épreuve en temps voulu.

Vu que Dieu est amour et qu’Adam a été créé à l'image de Dieu, le principe directeur de Ses créatures devait aussi être l'amour. Quand Adam et Ève se sont rencontrés pour la première fois, il n'était pas nécessaire de dire à Adam qu'il ne devait faire aucun mal à Ève ; Ève n'avait pas non plus besoin d'être exhortée à ne pas avoir peur d'Adam.

L'amour que Dieu avait implanté dans leur cœur a résolu de tels problèmes. L'amour

152 ne fait aucun mal au prochain et l'amour parfait banni la peur. Adam et Ève n'ont fait aucun effort pour s'aimer. C'était le résultat naturel de leur création à l'image de Dieu.

L'amour qui remplissait leur cœur les amenait à aimer Dieu aussi bien que l’autre.

N’ayant aucune crainte dans l'amour, ils s'approchaient avec confiance de Dieu et à mesure que leur connaissance de Lui augmentait, leur amour augmentait également. L'homme n'avait pas besoin d'apprendre cet amour. C'était le sien en vertu de sa création à l'image de Dieu et cela constituait un fondement sûr sur lequel Dieu pouvait édifier le bonheur de l'homme et sur lequel Il pouvait déposer toute la loi et les prophètes.

L'arrivée du péché a brouillé la conception que l'homme avait de Dieu et a changé sa relation avec ses semblables. Mais la connaissance de Dieu et de la responsabilité de l'homme envers ses semblables n'a jamais été entièrement effacée de sa conscience, comme en témoigne la recherche de Dieu existant même parmi les tribus les plus primitives et non civilisées et leurs efforts pour établir une sorte de gouvernement grossier basé sur les droits individuels ou communautaires.

Nous trouvons une illustration plus claire parmi les nations civilisées, où les lois pour la protection de la vie et des biens ressemblent incontestablement à la loi de Dieu pour les hommes. L'universalité de ce concept confirme l'affirmation selon laquelle une connaissance du bien et du mal est implantée profondément dans la conscience de l'homme et bien que cette connaissance soit, dans de nombreux cas, très limitée et imparfaite, il n'en reste pas moins un résidu suffisant pour établir la responsabilité morale et dont les hommes peuvent être tenus responsables.

C’est ce que Paul soutien dans les premiers chapitres de Romains où il dit que

« les païens, qui n'ont point la loi [sous forme écrite], font naturellement ce que prescrit la loi. » (Rom. 2: 14). L'argument de Paul est basé sur le fait qu'il y a quelque chose dans l'homme, même s’il est avili, qui correspond à la loi de Dieu et qui l’approuve, et bien que cette connaissance soit incomplète et pauvre, ils en savent suffisamment pour que « leurs pensées les accusent ou les défendent. » Il ajoute : «ils montrent que l’œuvre de la loi est écrite dans leur cœur, leur conscience en rendant témoignage et leurs pensées s’accusant ou se défendant tour à tour. » (v. 15). Paul ne dit pas, en effet, que les Gentils ont la loi écrite dans leurs cœurs mais qu’ils œuvrent selon la loi. Cela ne veut pas dire que tous, ont toute la loi écrite, mais qu’il y en a assez, dans le cœur de chaque homme, pour le rendre moralement responsable ; et il faut ajouter à cela le fait que sa conscience témoigne aussi.

Dans cet argument, Paul rejette complètement l’hypothèse de la théorie de l'évolution selon laquelle l'homme aurait pour ancêtre une « brute ». Au contraire, il soutient que tous les hommes ont « naturellement » une connaissance de l’œuvre de la loi « écrite dans leur cœur » ; qu'une certaine justice morale dans l'âme les amène à s’accuser ou s’excuser ; que dans ce processus d'auto-jugement, la conscience témoigne aussi et « les païens, qui n'ont point la loi, font naturellement ce que prescrit la loi, ils sont, eux qui n'ont point la loi, une loi pour eux-mêmes. » (v. 14). Ce témoignage intérieur que

153 Paul présente ici ne peut avoir son origine qu'en Dieu. Lorsque Paul affirme que les hommes « font naturellement ce que prescrit la loi », il ignore toutes les habitudes acquises et revient à la nature que l'homme avait à l'origine quand il fut créé par Dieu.

La connaissance intuitive que tous les hommes ont ainsi du bien et du mal, à des degrés très divers, constitue leur responsabilité morale et elle est la mesure utilisée lors du jugement. Ainsi, « tous ceux qui ont péché sans loi périront aussi sans la loi, et tous ceux qui ont péché avec la loi seront jugés par la loi. » (Rom. 2: 12).

Cela montre qu'il est possible pour les hommes de pécher sans la loi, c'est-à-dire sans connaissance de la loi écrite de Dieu. En quoi consiste donc leur péché ? « Ils sont, eux qui n’ont point la loi, une loi pour eux-mêmes. » (v. 14). Cette connaissance, aussi imparfaite soit-elle, est le critère qui détermine leur culpabilité « au jour où, selon mon Évangile, Dieu jugera par Jésus-Christ les actions secrètes des hommes. » (v. 16). Si l'on soutient que l'Écriture ne dit pas qu’ils seront jugés sans loi, nous répondons que la raison pour laquelle ils périssent est qu'ils ont péché ; et exécuter le jugement sur eux sans d'abord les juger, serait contraire à Dieu. Le fait qu'ils soient reconnus coupables de péché présuppose une enquête et un jugement. « Ils sont, eux qui n'ont point la loi, une loi pour eux-mêmes» et c'est sur cette base qu'ils seront jugés.

Si l'on admet que les hommes sont constitués de telle sorte qu'ils ont « naturellement » un sens de l'obligation morale indépendant de toute révélation extérieure, on peut se demander si ce sens de l'obligation ne concerne que la deuxième table de la loi, la relation d'homme à homme, ou s'étend-elle aussi à la première table, la relation de l'homme avec Dieu ? Les hommes sont-ils ainsi constitués par la nature de telle sorte qu’ils ont, ou peuvent atteindre une connaissance de Dieu sans une révélation écrite ? Cette question Paul l’aborde dans le premier chapitre de Romains. Là, il déclare sans hésiter que Dieu s'est suffisamment révélé dans la nature qu'Il peut être connu « par les choses qui sont faites » (Vers. Darby, 1991) et que les « perfections invisibles de Dieu » - qui sont définies comme incluant « Sa puissance éternelle et Sa divinité, se discerne par le moyen de l’intelligence, par les choses qui sont faites » (Rom. 1: 20). Ces déclarations sont évidemment un commentaire inspiré des paroles du psalmiste : « Les cieux racontent la gloire de Dieu et l'étendue manifeste l'œuvre de Ses mains. » (Ps. 19: 1).

Mais Paul va encore plus loin en affirmant que « ce qui se peut connaître de Dieu est manifeste parmi eux ; car Dieu le leur a manifesté. » (Rom. 1: 19). Ce verset suggère que Dieu ne s'est pas simplement révélé dans les choses qu'Il a créées pour que les hommes puissent les étudier s'ils le désirent, mais d'une certaine manière Dieu est entré dans la vie des individus et le leur a « fait connaître », « ils sont donc inexcusables » (v. 20).

Si cet argument laisse les hommes sans excuse, il ne doit pas être poussé jusqu'à rendre une révélation écrite inutile. Il prouve simplement que les hommes peuvent trouver Dieu en contemplant les choses qu'Il a faites, mais il faut aussi admettre qu'il ne s'agit pas d'une révélation parfaite ou complète. En ce qui concerne le décalogue, il existe

154 une exception notable sur laquelle nous attirons l'attention. C’est le quatrième commandement.

La nature n'indique nulle part un septième jour précis comme jour de repos pour l'homme ou pour Dieu. Aucune recherche dans le ciel ou sur la Terre, aucune étude des corps célestes majestueux ou de la vie microscopique sur la Terre ne révèle un jour de repos spécifique. Cela n’est qu'une question de révélation.

Nous ne prétendons pas nier qu'il existe des indications de repos dans la nature ou que le corps humain n'a pas besoin de repos périodique en dehors de celui obtenu dans le sommeil ou au moins dans un changement d'occupation. Au contraire, nous estimons qu'une étude des fonctions du corps révèle le besoin d'un tel repos et d'un tel changement et que par nature les hommes sont enclins à rechercher un tel repos.

Nous doutons cependant, que les hommes parviennent nécessairement, par un simple raisonnement ou une étude, à la conclusion qu'un jour sur sept, au lieu d'un jour sur cinq ou dix, devrait être mis à part pour le repos. Mais, même si nous devrions admettre une telle possibilité, nous sommes absolument certains qu'aucun raisonnement ou aucune recherche ne pourrait jamais révéler l'identité du véritable septième jour.

C'est une question de pure révélation.

Nous plaçons donc le commandement du Sabbat avec les neuf autres comme un commandement distinctement moral, chacun trouvant une réponse dans la conscience humaine. Nous soutenons avec Paul que les hommes ont, par nature, une certaine connaissance des préceptes constituant la deuxième table de la loi et nous sommes également d'accord avec lui sur le fait que Dieu s'est révélé dans la nature afin que les hommes, en étudiant les choses qui sont faites, puissent comprendre ce qui peut être connu de Dieu. De sorte que, même en ce qui concerne la première table de la loi, ils sont sans excuse.

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19. Le sabbat

« Souviens-toi du jour du repos, pour le sanctifier. Tu travailleras six jours, et tu feras tout ton ouvrage. Mais le septième jour est le jour du repos de l’Éternel, ton Dieu : tu ne feras aucun ouvrage, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni ton bétail, ni l’étranger qui est dans tes portes. Car en six jours l’Éternel a fait les cieux, la Terre et la mer et tout ce qui y est contenu, et Il s’est reposé le septième jour : c’est pourquoi l’Éternel a béni le jour du repos et l’a sanctifié. » (Ex. 20: 8-11).

Si une personne ne connaissant pas l'existence des dix commandements se trouvait soudainement face à face avec eux, il serait aussitôt frappé par leur caractère raisonnable et leur bon sens. En lisant le commandement « Tu ne voleras point », il conviendrait que c'est un bon commandement. Ainsi que les commandements :

« Tu ne tueras point » et « Tu ne commettras point d’adultère ».

Elle ferait sans doute remarquer que la plupart des nations ont des lois similaires et les ont trouvées nécessaires et bonnes. Elle serait incapable de trouver un défaut dans la loi de Dieu.

Cependant, une chose pourrait la laisser perplexe : pourquoi le septième jour devrait-il être saint ? Elle serait capable de voir la nécessité des autres commandements, mais le commandement du Sabbat lui semblerait arbitraire. Du point de vue sanitaire, un jour sur cinq ou six ou un jour sur huit ou dix, serait tout aussi utile. Et pourquoi choisir le septième jour de la semaine plutôt qu'une quelconque septième partie du temps ? Les autres commandements sont raisonnables, mais le Sabbat du septième jour semble être un décret arbitraire. Il pourrait affirmer que l'esprit du commandement serait accompli par l'observation d'un jour occasionnel, selon la convenance. Exiger qu'un jour particulier soit observé est étranger à la procédure générale de Dieu en matière de liberté humaine.

Une fois, l'auteur a eu une conversation avec une personne. Au cours de la conversation, les arguments exposés ici ont été présentés. C’était une personne instruite.

La conversation a porté sur la loi de Dieu, en particulier sur le commandement du Sabbat. Son argumentation était le suivant :

« J'apprécie la contribution de votre dénomination à la loi et à l'ordre. À une époque comme celle-ci, où le crime et l'anarchie prévalent, nous devons compter sur les églises pour défendre fermement la justice. Je suis désolé de constater que certaines églises ne le font pas. Elles se moquent de la loi de Dieu et cela a des conséquences dans les affaires civiles. Si la loi de Dieu peut être ignorée en toute impunité, il est facile d'adopter une attitude similaire à l'égard du droit civil. Je suis donc heureux que vous prêchiez la loi aussi bien que l'Évangile.

Les deux sont nécessaires.

« Il y a cependant une chose sur laquelle je crois que vous vous trompez.

Vous gardez le septième jour et vous croyez que Dieu l'exige de vous. Bien que

156 j'honore sincèrement votre croyance et pense que vous êtes honnêtes, il me semble que vous avez tort. J’ai étudié ce sujet et je crois que la volonté et le dessein de Dieu peuvent être accomplis aussi bien en gardant le premier jour de la semaine que le dernier ; ce serait beaucoup plus facile pour vous et votre influence serait renforcée. Bien que je pense personnellement, qu'il est sans importance que l'on garde un jour ou l'autre, ou pas de jour du tout, j'honore ceux qui consacrent une journée à Dieu. Mais je pense que vous avez tort de croire que vous devez observer le septième jour. Dieu ne l'exige pas de vous.

Le mieux qu'Il puisse espérer, c'est que vous gardiez un jour sur sept.

« Le commandement du Sabbat est d’une nature différente des autres commandements. Il se distingue par le fait qu'il n'est pas fondé sur la nature de l'homme comme les autres commandements. Si un groupe d'hommes n'ayant jamais entendu parler des dix commandements devait vivre en communauté, il ne tarderait pas à élaborer un ensemble de lois pour sa propre gouverne.

Les nations païennes et les tribus sauvages ont des règles contre le vol, le meurtre et l'adultère. Je crois que ces peuples primitifs élaboreraient, au bout d’un certain temps, des lois conformes au décalogue, mais je ne vois pas comment ils pourraient un jour élaborer une loi sur le Sabbat. Il n'y a rien dans la nature qui les guiderait dans une telle entreprise. Je considère que les autres commandements sont en vigueur, mais pas le commandement du Sabbat. » Nous lui avons répondu plus ou moins comme suit :

« Sans admettre la vérité de tous vos arguments, reconnaissons que le commandement du Sabbat est, à certains égards, différent des autres commandements et que l'homme sans l'aide de la révélation, ne pourrait jamais arriver à croire au Sabbat du septième jour.

« Le fait que le commandement du Sabbat occupe une place unique dans la loi de Dieu est, je crois, reconnu par la plupart de ceux qui ont étudié le sujet.

C'est le seul commandement qui traite du temps et qui a la particularité de déclarer que certaines choses sont des péchés si elles sont faites à un moment donné. En cela, il se distingue des autres commandements.

« C'est ce commandement que Dieu a choisi dans les temps anciens pour être un commandement de mise à l’épreuve. Avant que la loi ne soit publiquement proclamée au Sinaï, ‘toute l'assemblée des enfants d'Israël murmura dans le désert contre Moïse et Aaron. Les enfants d'Israël leur dirent : Que ne sommes-nous morts par la main de l'Éternel dans le pays d'Égypte, quand sommes-nous étions assis près des pots de viande, quand nous mangions du pain à satiété ? car vous nous avez fait venir dans ce désert pour faire mourir de faim toute cette multitude.’ (Ex. 16: 2, 3). La situation était critique. Il fallait faire quelque chose.

Et « l’Éternel dit à Moïse : Voici, Je ferai pleuvoir pour vous du pain, du haut des cieux. Le peuple sortira et en ramassera, jour par jour, la quantité nécessaire,

157 afin que Je le mette à l'épreuve et que Je voie s'il marchera, ou non, selon Ma loi. » (v. 4).

« La cueillette et la préparation du pain que Dieu envoya du ciel furent l’épreuve pour Israël, ‘afin que Je le mette à l’épreuve et que je vois s’il marchera ou non, selon Ma loi.’ Chaque jour, ils devaient rassembler suffisamment de manne pour les besoins de la journée, mais le sixième jour, ils devaient en rassembler deux fois plus, afin que cela suffise pour le Sabbat. Alors que la manne ne se conservait pas plus d'un jour, le sixième jour, Dieu la préservait miraculeusement de la corruption. Ainsi, ‘le sixième jour, ils ramassèrent une quantité double de nourriture.’ (v. 22). ‘Et Moïse leur dit : C'est ce que l'Éternel a ordonné. Demain est le jour du repos, le Sabbat consacré à l’Éternel. … Ils le laissèrent jusqu'au matin, comme Moïse l'avait ordonné ; et cela ne devint point infect et il ne s'y mit point de vers. Moïse dit : Mangez-le aujourd'hui, car c'est le jour du Sabbat ; aujourd'hui vous n'en trouverez point dans la campagne. Pendant six jours, vous en ramasserez ; mais le septième jour, qui est le Sabbat, il n'y en aura point.’

(v. 23-26).

« Certaines personnes n'étaient pas satisfaites. ‘Le septième jour, quelques-uns du peuple sortirent pour en ramasser et ils n'en trouvèrent point. Alors l'Éternel dit à Moïse : Jusques à quand refuserez-vous d'observer Mes commandements et Mes lois ? Considérez que l'Éternel vous a donné le Sabbat ; c'est pourquoi Il vous donne au sixième jour de la nourriture pour deux jours. Que chacun reste à sa place et que personne ne sorte du lieu où il est au septième jour. Et le peuple

« Certaines personnes n'étaient pas satisfaites. ‘Le septième jour, quelques-uns du peuple sortirent pour en ramasser et ils n'en trouvèrent point. Alors l'Éternel dit à Moïse : Jusques à quand refuserez-vous d'observer Mes commandements et Mes lois ? Considérez que l'Éternel vous a donné le Sabbat ; c'est pourquoi Il vous donne au sixième jour de la nourriture pour deux jours. Que chacun reste à sa place et que personne ne sorte du lieu où il est au septième jour. Et le peuple

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