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Imprimantes locales contre imprimantes réseau

Dans le document Red Hat Enterprise Linux 3 (Page 172-0)

6. Gestion des comptes utilisateur et de l’accès aux ressources

7.7. Imprimantes locales contre imprimantes réseau

Selon les besoins de l’entreprise, il sera peut-être nécessaire d’assigner une imprimante à chaque membre de votre entreprise. Un tel chevauchement des dépenses peut grignoter une partie des bud-gets impartis et donc diminuer le capital pour d’autres nécessités. Bien que des imprimantes locales reliées par un câble parallèle ou USB à tous les postes de travail représentent une solution idéale pour l’utilisateur, une telle option n’est généralement pas réalisable sur un plan économique.

Les fabricants d’imprimantes ont pris ce besoin en considération en développant des imprimantes deservices(ou groupe de travail). Ces machines sont généralement solides, rapides et utilisent des consommables dont la durée de vie est longue. Les imprimantes de groupes de travail sont généra-lement reliées à des serveurs d’impression, un périphérique indépendant (tel qu’un poste de travail reconfiguré) qui traitent les travaux d’impression et envoie les sorties vers l’imprimante appropriée lorsque cette dernière est disponible. Parmi les imprimantes de services récentes figurent les inter-faces réseau incorporées ou ajoutées, qui éliminent le besoin d’un serveur d’impression attitré.

7.8. Informations spécifiques à Red Hat Enterprise Linux

Les informations suivantes examinent les différentes fonctionnalités spécifiques à Red Hat Enterprise Linux ayant trait aux imprimantes et au processus d’impression.

L’Outil de configuration de l’imprimantepermet aux utilisateurs de configurer une imprimante. Il permet de maintenir le fichier de configuration de l’imprimante, d’imprimer des répertoires de spoule (ou spool) et des filtres.

Red Hat Enterprise Linux 3 utilise le système d’impression CUPS. Si le système a été mis à niveau à partir d’une version précédente de Red Hat Enterprise Linux qui utilisait CUPS, les files d’attente configurées ont été conservées lors du processus de mise à niveau.

Afin de pouvoir utiliser l’Outil de configuration de l’imprimantevous devez disposez des privi-lèges du super-utilisateur (ou root). Pour lancer l’application, sélectionnez leMenu principal(sur le panneau) =>Paramètres du système=>Impressionou vous pouvez également tapez la commande redhat-config-printer. Cette dernière détermine automatiquement si une version graphique ou

texte doit être lancée selon si la commande a été exécutée à partir d’un environnement graphique X Window ou à partir d’une console en mode texte.

Pour forcer l’Outil de configuration de l’imprimanteà démarrer en tant qu’application en mode texte, exécutez la commanderedhat-config-printer-tuià une invite de shell.

Important

Ne modifiez ni le fichier/etc/printcapni les fichiers du répertoire/etc/cups/. Chaque fois que le démon d’imprimante (que ce soitlpdoucups) est lancé ou relancé, de nouveaux fichiers de configuration sont créés de façon dynamique. Ces fichiers sont également créés dynamiquement lorsque des modifications sont appliquées avec l’Outil de configuration de l’imprimante.

Figure 7-1. Outil de configuration de l’imprimante

Il est possible de configurer les types de files d’attente d’impression suivants :

Connectée-localement— une imprimante directement reliée à votre ordinateur via un port paral-lèle ou USB.

CUPS (IPP) réseau— une imprimante accessible sur un réseau TCP/IP par le biais du protocole d’impression Internet, également connu sous le nom IPP (de l’anglais Internet Printing Protocol) (par exemple, une imprimante reliée à un autre système Red Hat Enterprise Linux exécutant CUPS sur le réseau).

UNIX (LPD) réseau— une imprimante reliée à un autre système d’impression UNIX auquel l’accès est possible par un réseau TCP/IP (par exemple, une imprimante reliée à un autre système Red Hat Enterprise Linux exécutant LPD sur le réseau).

Windows (SMB) réseau— une imprimante reliée à un autre système qui partage une imprimante sur un réseau SMB (par exemple, une imprimante reliée à un ordinateur Microsoft Windows™).

Novell (NCP) réseau— une imprimante reliée à un autre système qui utilise la technologie de réseau Novell NetWare.

JetDirect réseau— une imprimante directement connectée au réseau par HP JetDirect au lieu d’être reliée à un ordinateur.

Important

Si vous ajoutez une nouvelle file d’attente d’impression ou si vous en modifiez une existante, vous devez appliquer les modifications afin qu’elles prennent effet.

Cliquez sur le boutonAppliquerafin d’enregistrer tous les changements effectués et de relancer le démon d’imprimante. Les changements ne sont enregistrés dans le fichier de configuration qu’après le redémarrage du démon d’impression. Vous pouvez également sélectionnerAction=>Appliquer. Pour obtenir de plus amples informations sur la configuration des imprimantes sous Red Hat Enter-prise Linux, reportez-vous auGuide d’administration système de Red Hat Enterprise Linux.

7.9. Ressources supplémentaires

La configuration de l’impression et l’impression réseau sont des sujets vastes demandant des connais-sances et de l’expérience au niveau du matériel, de la mise en réseau et de l’administration système.

Pour obtenir de plus amples informations sur le déploiement de services d’imprimante dans vos envi-ronnements, reportez-vous aux ressources énumérées ci-dessous.

7.9.1. Documentation installée

Page de manuel de lpr(1) — Informations sur l’impression de fichiers spécifiques sur l’imprimante de votre choix.

Page de manuel delprm(1)— Informations sur la suppression de travaux d’impression dans la file d’attente d’une imprimante.

Page de manuel decupsd(8)— Le démon d’impression CUPS.

Page de manuel decupsd.conf(5)— Le format de fichier du fichier de configuration du démon d’impression CUPS.

Page de manuel declasses.conf(5)— Le format de fichier du fichier de configuration de classe du démon d’impression CUPS.

Fichiers contenus dans/usr/share/doc/cups- version — L’ensemble des documents re-latifs à CUPS.

7.9.2. Sites Web utiles

http://www.webopedia.com/TERM/p/printer.html — Définitions générales des imprimantes et de-scriptions des différents types d’imprimante.

http://www.linuxprinting.org/ — Une base de données de documents sur l’impression ainsi qu’une base de données regroupant environ 1000 imprimantes compatibles avec du matériel Linux.

http://www.cups.org/ — Documentation, FAQ et groupes de discussion à propos de CUPS.

7.9.3. Livres sur le sujet

Network Printingde Matthew Gast et Todd Radermacher ; O’Reilly & Associates, Inc. — Ce livre sur l’impression réseau fournit des informations complètes sur l’utilisation de Linux comme serveur d’impression dans des environnements hétérogènes.

LeGuide d’administration système de Red Hat Enterprise Linux; Red Hat, Inc. — Ce manuel inclut un chapitre sur la configuration de l’imprimante.

Préparation à un sinistre

Il est relativement facile pour un administrateur système d’oublier de se préparer à un éventuel un sinistre — ce n’est en effet pas une tâche plaisante et il semble toujours y avoir quelquechose de plus urgent à faire. Néanmoins, la négligence en matière de préparation à un sinistre est une des pires choses qu’un administrateur système puisse faire.

Bien que les terribles sinistres sont toujours les premières à venir à l’esprit (telles que les incendies, les inondations ou les orages), les problèmes les plus banals (tels que la coupure accidentelle de câbles par des ouvriers du bâtiment ou même le débordement d’un évier) peuvent s’avérer tout aussi pertur-bateurs. Dans de telles circonstances, la définition du concept de sinistre qu’un administrateur système doit garder à l’esprit est la suivante : tout événement imprévu pouvant perturber le fonctionnement normal de l’entreprise.

Bien qu’il soit absolument impossible de dresser la liste de tous les différents types de sinistres pou-vant se produire, cette section examine les facteurs annonciateurs de chaque type de sinistre afin que tout contact possible avec ces derniers puisse être analysé, non pas en termes de possibilité pouvant résulter en sinistre, mais en termes de réalité entraînant effectivement un sinistre.

8.1. Types de sinistres

En général, quatre facteurs différents pouvent engendrer un sinistre, à savoir :

des pannes matérielles

des pannes logicielles

des pannes liées à l’environnement

des erreurs d’origine humaine 8.1.1. Pannes matérielles

Les pannes matérielles elles-mêmes sont faciles à comprendre — le matériel tombe en panne et met toute activité à l’arrêt. Ce qui est le plus difficile à comprendre est la nature des pannes et la manière de minimiser votre contact avec ces pannes. Ci-après figurent certaines des approches que vous pouvez utiliser pour limiter l’impact d’un éventuel sinistre.

8.1.1.1. Stockage de matériel de rechange

Dans le cas le plus simple, une exposition due à des problèmes matérielles peut être réduite en gardant du matériel de rechange. Évidemment, cette approche suppose deux choses :

D’une part, qu’une personne sur place dispose des compétences nécessaires pour diagnostiquer le problème, identifier le matériel défaillant et le remplacer.

D’autre part, que du matériel de rechange soit disponible pour le matériel défaillant.

Ces aspects sont abordés de manière plus détaillée dans les sections suivantes.

8.1.1.1.1. Compétences adéquates

Selon votre expérience passée et le matériel utilisé, le fait de disposer des connaissances nécessaires ne sera peut-être pas un problème. Toutefois, si vous n’avez pas travaillé avec du matériel dans le passé, vous souhaiterez peut-être vous tourner vers des institutions d’enseignement de votre communauté locale pour explorer l’éventail des cours élémentaires consacrés à la réparation de PC. Bien qu’un tel cours ne soit pas en soi et par lui-même suffisant pour vous préparer à affronter des problèmes avec des serveurs de niveau entreprise, il représente une excellente manière d’acquérir de connaissances de base en la matière (telles que la bonne manipulation des outils et composant, procédures de diagnostique élémentaires, etc.).

Astuce

Avant d’adopter une approche consistant à effectuer d’abord les réparations vous-même, assurez-vous que le matériel en question :

n’est plus sous garantie

n’est couvert par aucun contrat d’assistance/maintenance

Si vous tentez d’effectuer des réparations sur du matériel couvert par une garantie et/ou un contrat d’assistance, vous serez probablement en infraction des conditions de ces accords et risquez par là-même de compromettre la couverture continue de votre matériel.

Toutefois, même en disposant d’un minimum de compétences, il sera peut-être possible de bien diag-nostiquer et remplacer le matériel défaillant — à condition que vous choisissiez correctement votre stock de rechange

8.1.1.1.2. Que stocker ?

Cette question illustre la nature à facettes multiples de toute tâche en relation avec la récupération après un sinistre. Lorsque vous considérez le matériel à stocker, gardez à l’esprit les éléments suivants :

La durée maximum du temps d’indisponibilité permis

Les compétences nécessaires pour effectuer la réparation

Le budget disponible pour du matériel de rechange

L’espace nécessaire pour le stockage du matériel de rechange

Tout autre matériel pouvant utiliser les mêmes pièces de rechange

Chacun de ces aspects a une influence sur les différents types de pièces de rechange qui devraient être stockés. Par exemple, le stockage de systèmes complets pourraient minimiser le temps d’indisponibilité et leur installation ne nécessite que des compétences minimales, mais une telle stratégie serait beaucoup plus coûteuse que le stockage d’un module CPU et RAM de rechange sur une étagère. Néanmoins, cette dépense est peut-être justifiable si votre entreprise dispose de plusieurs dizaines de serveurs identiques qui pourraient profiter d’un seul système de rechange.

Indépendamment de la décision finale, la question suivante, abordée ci-après, est inévitable.

8.1.1.1.2.1. Quelle quantité de matériel stocker ?

Cette question des niveaux de stock pour le matériel de rechange a également de multiples facettes.

Toutefois, les principaux aspects sont les suivants :

La durée maximum du temps d’indisponibilité permis

L’estimation du taux de panne

L’estimation de la durée nécessaire au réapprovisionnement de stock

Le budget disponible pour du matériel de rechange

L’espace nécessaire pour le stockage du matériel de rechange

Tout autre matériel pouvant utiliser les mêmes pièces de rechange

Dans le cas extrême où un système peut être indisponible pour un maximum de deux jours et où une pièce de rechange ne serait probablement utilisée qu’une fois par an avec la possibilité de réappro-visionner le stock en un jour, il semblerait raisonnable de ne disposer que d’une pièce de rechange (voire aucune, dans le cas où vous auriez la certitude de pouvoir obtenir une pièce de rechange en 24 heures).

Dans le cas extrême inverse, si un système ne peut pas se permettre d’être indisponible pendant plus de quelques minutes et si une pièce de rechange sera peut-être utilisée une fois par mois (et qu’une nouvelle acquisition pourrait prendre plusieurs semaines), il serait intelligent de conserver sur les étagères une demi-douzaine de pièces de rechange (voire plus).

8.1.1.1.3. Pièces de rechange qui ne sont pas vraiment des pièces de rechange

Dans quel cas une pièce de rechange n’est pas une pièce de rechange ? Dans le cas de matériel qui est utilisé tous les jours mais sert également de pièce de rechange pour un système ayant une priorité supérieure, le cas échéant. Cette approche présente un certain nombre d’avantages, à savoir :

Un budget moindre est alloué à des pièces de rechange "non-productives"

Le matériel est considéré comme opérationnel

Il existe néanmoins certains inconvénient associés à cette approche, à savoir :

Le déroulement normal de la tâche ayant la priorité la plus basse est interrompu

Un risque de sinistre existe en cas de panne du matériel doté de la propriété la plus basse (et dans ce cas, le matériel doté de la propriété la plus haute est dépourvu de pièce de rechange)

Dans de telles conditions, il se peut que l’utilisation d’un autre système de production en tant que rechange fonctionne mais le succès de cette approche dépend d’une part de la charge de travail spéci-fique du système et d’autre part, de l’impact que l’absence du système a sur les opérations générales du centre de données.

8.1.1.2. Contracts d’assistance

Grâce aux contracts d’assistance, le problème des pannes matérielles est du ressort d’une autre per-sonne. La seule chose à faire dans ce cas est de confirmer qu’une panne s’est bien produite et qu’elle ne semble pas être d’origine logicielle. Il vous suffit alors de passer un coup de fil et quelqu’un se rendra sur place pour résoudre le problème.

Cette situation semble tellement simple. Mais comme c’est le cas avec la plupart des choses dans la vie, ce n’est qu’un aspect de la situation. Ci-après figurent certaines des choses que vous devez prendre en considération lors de l’examen d’un contrat d’assistance :

Heures de couverture

Temps de réponse

Disponibilité des pièces

Budget disponible

Matériel à couvrir

Chacun de ces points sera examiné ultérieurement de manière plus détaillée.

8.1.1.2.1. Heures de couverture

Il existe différents contrats d’assistance répondant à différents besoins ; en la matière, les heures de couverture constituent un point essentiel sur lequel les différents contrats varient. À moins que vous ne soyez prêt à payer un supplément pour le privilège, vous ne pouvez pas prendre le téléphone à tout moment et espérer voir le technicien arriver à votre entreprise aussitôt après.

En fait, selon votre contrat, vous ne pourrez peut-être même pas téléphoner à la société d’assistance avant un jour ou une heure spécifiques, ou si vous pouvez appeler la société, vous ne recevrez pas la visite du technicien avant le jour ou l’heure spécifiés dans votre contrat.

Dans la plupart des contrats, les heures de couverture sont défienies en terme d’heures et de jours pendant lesquels un technicien peut être envoyé sur place. Les heures de couverture les plus courantes sont les suivantes :

Du lundi au vendredi, de 09:00 à 17:00

Du lundi au vendredi, tous les jours pendant 12/18/24 heures (avec une heure de commencement et de fin de couverture établie d’un commun accord)

Du lundi au samedi (ou du lundi au dimanche), mêmes heures que ci-dessus

Comme vous vous en doutez, le coût d’un contrat augmente en fonction des heures de couverture.

D’une manière générale, l’alongement des heures de couverture du lundi au vendredi coûte moins cher que l’inclusion du samedi et dimanche.

À ce niveau cependant, il est possible de réduire les coûts si vous êtes prêt à effectuer certaines tâches.

8.1.1.2.1.1. Assistance en atelier

Si dans votre situation vous ne nécessitez que la disponibilité d’un technicien pendant les heures de bureau normales et que vous avez suffisamment d’expérience pour pouvoir déterminer ce qui ne fonctionne pas, vous voudrez peut-être considérer l’assistance en atelier. Ce dernier est connu sous de nombreux noms y comprisassistance walk-in(assistance fournie lorsque la personne se déplace) etassistance drop-off(assistance fournie lorsque la personne apporte l’élément posant problème) et le fabricant dispose peut-être d’ateliers d’assistance où les techniciens travaillent sur du matériel apporté par les clients.

L’assistance en atelier a l’avantage d’être aussi rapide que le temps qu’il vous faut pour vous rendre à l’atelier. Vous n’avez pas à attendre qu’un technicien soit disponible et se présente à votre entreprise.

Étant donné que les techniciens de l’atelier n’interviennent pas en dehors de l’atelier suite à l’appel d’un client, l’un d’eux sera toujours disponible pour travailler sur votre matériel et ce, dès que vous pourrez le déposer à l’atelier.

Étant donné que l’assistance en atelier est fournie en un seul endroit, il y a de grandes chances pour que toute pièce dont vous auriez besoin y soit disponible. Ainsi, il ne sera pas nécessaire d’envoyer cette pièce du jour au lendemain ou d’attendre que la pièce en question soit acheminer à partir d’un bureau qui l’a justement en stock et se trouvant à plusieurs centaines de kilomètres de votre entreprise.

Ceci étant, il existe un certain nombre de contraintes. La plus évidente est que vous ne pouvez pas choisir les heures d’assistance — vous pouvez obtenir une assistance lorsque l’atelier est ouvert. De plus, les techniciens ne travaillent pas au-delà de leurs heures normales, ainsi, si votre système tombe en panne à 16.30 heures un vendredi et que vous arrivez à apporter votre système à l’atelier juste avant 17.00 heures, les techniciens ne s’occuperont pas de votre système avant de reprendre le travail le lundi suivant.

Une autre contrainte est que l’assistance en atelier dépend de l’existence d’un atelier à proximité. Si votre entreprise se trouve dans une zone métropolitaine, ce ne sera probablement pas un problème, En revanche, pour des entreprises se trouvant dans des zones plus rurales, l’atelier se trouvera peut-être à des centaines de kilomètres.

Astuce

Si vous envisagez d’utiliser une assistance en atelier, considérez bien la chose et prenez en consid-ération les éléments logistiques associés à l’acheminement du matériel vers l’atelier. Utiliserez-vous une voiture de la société ou votre voiture personnelle ? Dans le cas où votre voiture sera utilisée, est-elle suffisamment grande et peut-est-elle supporter le poids du système ? Quest-elles sont les implications au niveau de l’assurance ? Faudra-t-il plusieurs personnes pour charger et décharger le matériel ? Bien que ces préoccupations soient quelque peu banales, elles devraient être considérées avant de prendre la décision de recourir à une assistance en atelier.

8.1.1.2.2. Temps de réponse

Outre les heures de couverture, de nombreux accords d’assistance stipulent un certain niveau de ré-ponse. En d’autres termes, combien de temps s’écoulera-t-il entre le moment où vous téléphonez et l’arrivée du technicien ? Comme vous pouvez facilement vous en douter, plus le temps de réponse est court, plus l’accord d’assistance est cher.

Il y a des limites aux temps de réponses disponibles. Par exemple, le temps de transport pour al-ler des bureaux du fabricant à votre entreprise influence énormément l’éventail de temps de réponse possibles1. Des temps de réponse se situant dans une fourchette de zéro à quatre heures sont géné-ralement perçues comme faisant partie des offres les plus rapides. Des temps de réponse plus longs

Il y a des limites aux temps de réponses disponibles. Par exemple, le temps de transport pour al-ler des bureaux du fabricant à votre entreprise influence énormément l’éventail de temps de réponse possibles1. Des temps de réponse se situant dans une fourchette de zéro à quatre heures sont géné-ralement perçues comme faisant partie des offres les plus rapides. Des temps de réponse plus longs

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