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INSTITUT TECHNIQUE ELECT RONIQ UE

Dans le document ELECTRONICS CONTINENT (Page 88-93)

ENSOGNEMEIVTPRIVtADISTANCE 35801 DINARD

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Optique ou

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'AUDIOVISUEL est à l'ordre

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du jour; il met en œuvre les techniques d'élaboration et de recherche des images animées ou non, conjugées à des sons complémentaires. Nous sommes au « siècle de l'image ».; de plus en plus, les procédés qui font appel aux effets visuels, à la mémoire visuelle, sont en honneur, cinéma et télévision au prem(er rang.

L'homme retient en moyenne sons n'a pas toujours eté complë-tement exploitée jusqu'ici par le cinéma et la télévision.

Les appareils optiques de pho-tographie, de projection de diapo-sitives, les caméras de prises de vues et les projecteurs associés avec les différents systèmes de sonorisation, ne sont pas encore toujours suffisamment exploités, maigre leurs perfectionnements constants, techniques et pratiques.

Les manipulations des projecteurs restent encore relatfvement complexes; la nécessité d'une saile obscure et d'un écran, le coût élevë des copies, ne favorisent pas la multiplication des domaines d'utilisation.

La souplesse d'utilisation de la télévision est limitée; des investis-sements relativement importants sont nécessaires pour toutes ses applications; la normalisation du matériel. une meilleure adaptation am besoins envisagés, l'augmen-L!Iioo de la robustesse, de la

fiabi-wr

e1 de rautomatisme

constitue-:oal des faits essentiels dans ce

celles de l'imprimeur. Le film enre-gistré positif doit être placé dans un projecteur qui fait apparaitre des images animëes sur un écran;

la communication immédiate n'est donc pas réalisable.

La télévision, elle, peut réaliser la transmission directe; elle peut aussi être différée, grâce à l'emploi du télëcinéma et des films pouvant être obtenus par un procédé kines-copique, ou les méthodes magnéti-ques récentes, la télédistribution, dont les débuts sont prometteurs, assurera une distribution plus facile des images et la possibilité de réaliser des pr~grammes limités et locaux; les satellites de télédif-fusion permettront, au contraire, les liaisons mondiales.

Le cinéma n'exige plus cepen-dant de grandes salles et des appa-reils professionnels; l'avènement des films réduits, de 16 -de Super-16 et Super-8 l'a mis à la portée des semi-professionnels et du grand public. Les diapositives avec des projecteurs automatiques et des cassettes sonores avec tops de synchronisme donnent des résultats audiovisuels proches des films de cinéma, et peuvent être optiques aux qualités pratiques de plus en plus remarquables, mais présentant également des inconvé-nients et des limitations non négli-geables, une autre catégorie d'appareils audiovisuels a pris naissance à partir de la télévision avec tous ses développements nou-veaux; leurs débuts sont promet-teurs, malgré les difficultés de tou-tes sortes : techniques, industrielles, économiques et juri-diques.

Ces nouveaux matériels sont basés sur l'emploi de méthodes de télévision, l'inscription des images télévisées, produites directement par une caméra électronique ou recueillies sur un téléviseur, la res-titution de ces mêmes images sans l'aide d'aucun projecteur et sur l'écran de ce même téléviseur, ce qui offre des possibilités immen-ses.

Ils permettent d'obtenir des images télévisées « en conserve • de toutes natures, de réaliser, en quelque sorte, tous les program-mes télévisés « à la carte • et non plus de se contenter des images diffusées par les chaînes ou trans-mises par un circuit fermé; il peut

Sortie HF

Magnétoscope

y avoir là une véritable révolution audiovisuelle de « l'image à la carte».

Certes, les difficultés de réalisa-tion des appareils et d'utilisaréalisa-tion des enregistrements effectués, quel que soit leur support, sont multi-ples et complexes, et nous ne som-mes pas encore au stade d'une exploitation commerciale et indus-trielle de grande envergure mon-diale.

Mais, dès à présent, la qualité des résultats obtenus va poser le problème d'un choix à effectuer, tout au moins dans des cas limites entre les appareils optiques classi-ques et ces nouveaux systèmes électroniques de principes dérivés de la tèlévision. Cette comparai-son doit être faite, non seulement e1_1 ce qui concerne les qualités pratiques et techniques des appa-reils, la qualité réelle des images et des sons obtenus, mais également, et peut-être surtout, en ce qui concerne les conditions économi-ques, c'est-à-dire les prix des appareils de prise de vues et de lecture et des supports d'images et de sons, à égalité de durée des pro-grammes, projetés ou reproduits.

Cette comparaison doit porter

Antenne

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d'acceptation Récepteur

Fig.1

aussi bien d'ailleurs sur les malé-riels d'enregistrement de caractére professionnel que contre-partie, les nouveaux appareils électroniques, qui peuvent jouer les mêmes rôles avec des supports d'enregistrement correspondants.

LES AVANTAGES ESSENTIELS

Dans la méthode cinématogra-phique, l'image est inscrite sur le film par un procédé photographi-que et, pour obtenir le film destiné à la projeclion direcle ou au téléci-néma, il faut effecluer un certain nombre de traitements optiques et chimiques, mais, l'image inscrite sur le film est visible, l'observa-Lion, la transmission, la projection et la reproduction, peuvent être effectuées dans n'importe quelle norme.

La bande magnétique, au contraire, n'exige aucun traite-ment de laboratoire et le pro-gramme enregistré peut être repro-duit en utilisant l'appareil lui-même qui a servi à l'enregistre-ment. L'estimalion de frais de revient dans les deux cas, en tenant compte du prix de la bande et du film, et de l'amortissement des frais d'achat du matériel, peut montrer certains avanlages de la méthode magnétique. La dépense par heure de projection peut être supérieure à celle correspondant au film, mais il n'y a pas à consi dérer de traitement intermédiaire avant la reproduction.

Avec le film couleur les images sont visibles et directement utilisa-bles; les trois composantes primai-res en couleurs fondamentales rouge, vert et bleu, sont obtenues et reproduites sans erreur de superposition; les trois couches sensibles se recouvrent et la lumiére est séparée entre ses composantes primaires; il n'en est pas ainsi avec une caméra à tube cathodique d'analyse.

Il n'y a pas, en outre, d'effets parasites dans la transformation de l'image optique de halo et de diffusion, on peut effectuer de peti-tes corrections de gradation et de rendu des couleurs au moment du développement. Par contre, le rendu des couleurs est plus criti-que, l'analyse des trois composan-tes primaires est effectuée au

moins deux fois, une première fois au cours du développement, une deuxiéme fois au moment du tirage. Dans le télécinéma, la cadence de répétition de la trame ne peut dépasser 25 images/-seconde, ce qui limite la reproduc-tion des mouvements très rapides.

La stabilité de projection de l'image cinématographique dépend, en outre, de tolérances mécaniques, en particulier, de la précision des perforations en rai-son de l'entraînement saccadé du film; la saturation des couleurs est limitée et le temps nécessaire pour le traitement peut être gênant.

Le rendement est relativement faible, car la surface du film néces-site un nux lumineux élevé, la définition dépend d'ailleurs de la surface de l'image; elle peut être relativement réduite avec le

16 mm et le Super-8.

Enfin, malgré les progrès des supports et des émulsions, le film peut être plus ou moins détérioré.

lorsqu'il est stocké pendant un certain temps, si l'on ne prend pas les précautions indispensables.

Examinons en regard les condi-tions dans le cas du procédé magneuque. On n'utilise plus qu'un seul filtrage des couleurs et les facteurs colorimétriques sont moins complexes; il suffit d'une seule analyse des composants de deux couleurs du traitement du signal, avec possibilité d'efface-ment ou de correction immédiate.

Les magnétoscopes de haute qualité assurent une bonne stabi-lité des images avec des bandes magnétiques vidéo soigneusement choisies. L'entraînement est régu-larisé à l'aide d'un dispositif élec-tronique de haute précision : la qualité des images reproduites est analogue à celle des images obte-nues directement sur l'écran d'un téléviseur, et la cadence normale est de 50 demi/images par seconde, ce qui permet la repro-duction facile des mouvements rapides

L'inscription magnet1que, en permettant la reproduction immé-diate des enregistrements ou leur effacement, fournit des bandes qui se conservent pendant une trés longue durée; le danger d'un effa-cement accidentel est extrêmement réduit.

Par contre, on inscnt sur la sur-face magnétique, non des images visibles mais des signaux électri-ques à fréquence vidéo, et il faut analyser les trois images en trois couleurs primaires fondamentales séparées géométriquement, ce qui pose des problémes de

superposi-tion, une grande précision de réali-sation, de mise au point. et de réglage des appareils.

li ne faut pas négliger les défauts possibles des tubes catho-diques: les halos, les taches, les traînages colorés, les phénomènes d'épanouissement. plus ou moins atténués dans les tubes recents, de même que la limitation des contrastes et les risques de polari-sation de la lumiére.

Enfin, il n'y a pas toujours compatibilité : la reproduction de l'image inscrite n'est possible qu'en utilisant un appareil, dont les caractéristiques correspondent à la norme de l'enregistrement effectué.

L'UTILISATION PRATI<JUE DES MATERIELS Le matériel cinématographique n'exige que des dispositifs opti-ques et il est utilisable sans connaissances techniques complexes, mais il exige un cer-tain délai de développement et de tirage, et sous une forme quelconque, un réglage précis de l'éclairement et des conditions d'exposition; cadence d'obturation et ouverture du diaphragme.

L'image inscrite est assez déli-cate; elle risque d'être altérée par la poussière, les rayures, et les taches au cours de son passage dans le projecteur; sa qualité dépend des caractéristiques du film vierge et des conditions de développement, ce qui rend possi-ble une gamme d'effets trés éten-due.

Quelles sont en regard les possi-bilités de la méthode magnétique?

Elle permet le contrôle de l'enre-gistrement a prés la prise de vues;

il devient possible de déceler immédiatement les erreurs d'éclai-rage et de décoration, les défauts de mise en scène ou de jeu des acteurs, les di!Térences des carac-tenst1ques des caméras. Le contrôle rapide de la qualité de l'image permet d'effectuer immé-diatement les corrections utiles, de rectifier les mises au point d'un objectif, de régler les magnétosco-pes, de corriger les défauts de syn-chronisme. li devient possible d'observer et de reproduire simul-tanément l'image en noir et blanc correspondant à l'image en

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simple pen:lCUr&."t.. f!' transformatio:i -images. car aucune transfo:--...a-tion ultérieure n'est pos.s1:: ~

comme avec le film. Les mootL.--cs electroniques sont égalemem ~ -sibles, mais les opérations som plus complexes.

La qualité de lïmage dépend. en partie, de la qualité de la bande magnétique elle-même, des carac-téristiques et du réglage des camé-ras électroniques et surtout du magnétoscope. La technique est donc plus complexe; un certain délai est nécessaire souvent pour la mise en route de l'installation et son réglage.

On peut obtenir, enfin. des copies de la bande enregistrée.

mais la production en grande série est difficile et nécessite une instal-lation complexe; des progrés récents ont été obtenus dans ce domaine, mais leur mise au point est encore nécessaire.

D'une maniére générale, on peut déjà essayer d'évaluer d'une manière aussi valable que possible les différences de qualités des deux méthodes en adoptant un coeffi-cient pour chaque facteur caracté-ristique. Le tableau 1 donne quel-ques indications à ce sujet avec trois chiffres : le chiffre 1 corres-pond à un résultat très bon, le 2 à une qualité satisfaisante, et le 3 in-dique une qualité admissible à la peut favoriser les conditions d·ec-ploi de l'un ou l'autre des

proœ-dés. Les prises de vues d'actualitt et les documentaires sont C ' I : ~

enregistrés sur films. mais dcja l'avènement des équ1peme magnétiques portaufs les récents avec une caméra

ëlectroc:i-- - -

véritable intérêt des caméras élec-troniques et des magnétoscopes est, en fait, plus ou moins grand suivant les applications envisagées dans le domaine du film réduit.

nels. La reproduction des images enregistrées sur la bande magnéti-que peut cependant être effectuée au moyen d'un téléviseur ordi-naire, tandis que la projection des films exige des projecteurs plus ou moins puissants.

TABLEAU 1

Pour tous ceux qui désirent réa-liser rapidement des messages visuels d'information, de démons-tration, pour tous les éducateurs qui veulent enseigner le langage visuel, les publicistes qui ont ainsi la possibilité d'employer un riel de télévision, l'intérêt du maté-riel magnétique est évident. Il en est de même pour les professeurs d'enseignement physique ou de danse, les médecins psycho-théra-peutes, les producteurs et les met-teurs en scène de cinéma, et de nombreux autres utilisateurs qui désirent préparer dans un court délai des programmes visuels et sonores.

La reproduction instantanée constitue un avantage important pour un amateur, puisqu'elle lui permet de se rendre compte immé-diatement de la qualité des ima-ges; pour un professionnel, cet examen offre également un intérêt certain, il décèle immédiatement les défauts des images et des appa-reils, effectue la mise au point d'un spectacle ou la préparation d'une prise de vues.

Évaluations comparées des qualités des films et des bandes magnétiques

monies ou lëtes de tous genres s'effectue souvent en direct, et la production magnétique devient parfaitement adaptée.

Pour des programmes et scéna-rios de caractères complexes, nécessitant des prises de vues à l'intérieur et à l'extérieur, avec des séquences nombreuses, de nom-breux montages et truquages, des dispositifs spéciaux d'éclairage, le film offre des avantages de sou-plesse et de simplicité.

Par contre, pour des émissions dramatiques ou à grand spectacle, des émissions de variétés, des pri-ses de vues à l'aide de plusieurs caméras fonctionnant simultané-ment ou successivement, l'utilisa-tion des caméras électroniques et des magnétoscopes est particuliè-rement avantageuse.

MATÉRIEL MAGNÉTIQUE OU SUPER-8

La vidéographie est, en quelque sorte, l'emploi des procédés magnétiques pour la réalisation des projections de cinéma et des télédiffusions en différé; il n'y a pas seulement à considérer d' ail-leurs le probléme de l'exploitation des films standard dans les salles.

mais de plus en plus l'utilisation des films réduits, en particulier. du Super-8 pour les applications semi-professionnelles ou d'ama-teurs.

Il est ams1 intéressant de comparer spécialement les possi-bilités et les avantages des riels optiques Super-8 et des maté-riels magnétiques correspondants.

Le magnétoscope associé à une caméra électronique est déjà réa-lisé sous une forme légère et porta-tive, el peut ainsi remplacer les appareils de prise de vues de for-mats réduits. Une fois la bande magnétique enregistrée, elle per-met la reproduction des images, spécialement en couleurs sur

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l'écran d'un téléviseur, et celles-ci peuvent même être reportées plus ou moins facilement sur le film photosensible.

La possibilité d'effacement immédiat et les utilisations succes-sives de la même bande présentent alors des avantages économiques évidents; les prises de vues sont effectuées avec un éclairement très faible, la reproduction des images de son côté, est établi sous des for-mes très compactes, les caméras enregistrent dans des conditions d'éclairage trés faible grâce à l'em-ploi de nouveaux films très sensi-bles et d'obturateur à grand rende-ment: le prix de la maintenance est faible, les caméras sonores ne l'aide d'un appareil photographi-que « à développement à la minute • genre Polaroid, mais la photographie ne peut nous mon-trer des mouvements rapides et leur succession, ce qui peut être réalisé avec précision par la bande magnétique, en attendant l'avène-ment du film Polaroïd annoncé.

Mais, pour d'autres applica-tions, les avantages sont moins évidents; la supériorité du Super-8, se manifeste essentielle-ment par la compacité des maté-riels, leur poids réduit, leur bon rendement, leur économie, la diversité de leurs formes, la faci-lité de leurs transformations, leurs possibilités d'utilisation par les amateurs ou les

semi-profession-Film Super-8 de pistage magnétique

TABLEAU 2

Beaucoup d'amateurs cinéastes ne désirent pas conserver long-temps certains des films enregis-trés, présentant seulement un inté-rêt d'information ou d'actualité temporaire; les films positifs n'ont cependant aucune valeur commer-ciale intrinsèque et sont inutilisa-bles, tandis que l'effacement de la bande magnétique permet son uti-lisation un grand nombre de fois successives.

Par contre, les caméras Super-8 comportent un grand nombre de dispositifs de plus en plus perfec-tionnés; indicateurs de repères précis de défilement du film, systè-mes automatiques de réglage d'exposition, viseur réflex, disposi-tif de fondu automatique, charge-ment à cartouche, qui rend son utilisation facile pour le caméra-man voulant effectuer une prise de vues rapide.

Les risques de troubles de fonc-tionnement ou de pannes du maté-riel magnétique ne sont, d'ailleurs,

Bande magnétique Bande magnétique vidéo

largeur réduite 160 F environ

Caractéristiques techniques et économiques composées du matériel à film Super-8 et des magnétoscopes portatifs.

pas négligeables, malgré les per-fectionnements, ce sont des appa-reils plus complexes et la plupart de leurs composants sont plus fra-giles; leur réglage est plus délicaL Ils peuvent nécessiter des correc-tions et des alignements difficiles à réaliser au cours d'wi emploi à l'extérieur; une maintenance régu-lière et soignée est généralement magnétoscopes. Un traitement pneumatique avec un courant d'air comprimé quelconque suffit généralement pour nettoyer une caméra de cinéma, tandis que cer-tains composants de magnétosco-pes exigent des fluides de l'opérateur de contrôler immédia-tement ce qui est enregistré dans l'app!lreil. La possibilité est la même pour les caméras de cinéma réflex, mais il y a cependant une différence. Le moniteur de la caméra électronique ne montre pas exactement à l'opérateur l'image inscrite sur la bande magnétique, parce qu'il est actionné par les signaux transmis directement par la caméra électro-nique, et non par ceux qui pro-viennent de l'appareil d'enregistre-ment. Il peut y avoir ainsi des différences entre l'image observée sur le viseur électronique et celle qui est enregistrée; l'image obser-vée dans le viseur est beaucoup sont moins précis et moins rapides que ceux obtenus au moyen des viseurs réflex, plus brillants et plus précis, comportant même souvent des dispositifs télémétriques de systèmes variés. profession-nels et les amateurs-cinéastes qui veulent conserver des bandes enre-gistrées. Les bandes magnétiques vidéo de qualité sont coûteuses, d'un prix beaucoup plus élevé que celui des bandes magnétiques pour magnétophones, même avec une largeur normale de 6,25 mm.

Les images du film sont proje-tées sur un écran distinct, et celles de la bande magnétique sur l'écran d'un téléviseur. L'image du film projetée à partir d'une certaine distance peut avoir une grande surface; elle est facilement obser-vée par un assez grand nombre de spectateurs; l'image vidéo, de sur-face plus faible, peut, par contre, apparaître sur les écrans de plu-sieurs téléviseurs distincts pour permettre l'observation par diffé-rents groupes placés dans des endroits différents.

Des transformations sont

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