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RISQUE SOURCE BONNES PRATIQUES

BIOLOGIQUE

‰ Établir une procédure normalisée pour la préparation de la traite.

‰ Établir une procédure normalisée pour la traite.

‰ S’assurer que les trayons soient propres, désinfectés et secs.

‰ Établir une procédure normalisée pour la traite de vaches produisant du lait anormal.

‰ Éliminer le lait anormal.

‰ Utiliser des serviettes jetables pour essuyer les trayons.

‰ Assurer la propreté des lieux.

‰ Avoir une hygiène personnelle adéquate.

‰ Désinfecter les unités de traite.

‰ Séparer le bétail.

‰ Traire séparément les vaches infectées.

‰ Tirer les premiers jets et assurer une traite complète.

‰ Examiner le pis.

‰ Faire un bain de trayons après la traite.

‰ Voir le chapitre 5.

Bactéries dans le lait - microbes sur les

Équipement mal nettoyé (unités de traite,

‰ Inspecter régulièrement toutes les surfaces entrant en contact avec le lait.

‰ Analyser chaque année la source d’eau utilisée pour vérifier si l’eau répond aux normes microbiologiques provinciales.

‰ Établir une procédure normalisée (PN) pour le nettoyage effectué après la traite.

‰ Utiliser des produits de nettoyage approuvés en vertu de la fiche de nettoyage affichée dans la laiterie.

‰ Disposer de plans écrits indiquant comment intervenir si:

Les surfaces en contact avec le lait sont souillées.

L’eau de pré-rinçage ou de lavage n’atteint pas une température suffisante.

‰ Vérifier et consigner la température de l’eau de pré-rinçage (chaque semaine) ou de lavage (chaque mois).

RISQUE SOURCE BONNES PRATIQUES

‰ Faire inspecter le système de lavage chaque année.

‰ Maintenir la propreté de la laiterie et des surfaces extérieures de l’équipement de traite.

‰ Vérifier régulièrement la concentration de détergent.

‰ Vérifier les coups de liquide pendant la vérification de l’équipement.

‰ Vérifier la durée de chaque cycle de lavage durant la vérification de l’équipement.

‰ Analyser chaque année la source d’eau utilisée pour vérifier si l’eau répond aux normes microbiologiques provinciales.

‰ S’assurer que l’eau répond aux normes bactériologiques provinciales.

‰ Disposer d’un plan écrit indiquant comment intervenir en cas de contamination de l’eau.

‰ Voir le chapitre 7.

Boyaux du camion-citerne souillés

‰ Garder l’aire de chargement du lait exempt de contamination par le fumier.

‰ Munir le port d’accès du boyau d’une porte bien ajustée ou d’un couvercle à fermeture

automatique.

‰ Maintenir un tablier de béton ou de pierre concassée à l’extérieur de la laiterie, sous le port d’accès du boyau, de dimensions suffisantes pour faire en sorte que le boyau de pompage ne touche pas au sol et reste propre.

‰ Voir le chapitre 1.

‰ Vérifier et consigner la température dans le réservoir à lait après chaque traite.

‰ Disposer d’un plan écrit sur la façon d’intervenir lorsque le lait n’est pas refroidi ou entreposé correctement.

‰ Vérifier et consigner la température dans le réservoir à lait avant chaque traite.

‰ Ajouter ou entretenir un pré-refroidisseur.

‰ Faire inspecter le système de refroidissement tous les ans par un professionnel de l’industrie.

‰ Voir le chapitre 6. gestion des fumiers et des déchets favorisent la propreté du pis des vaches en lactation.

RISQUE SOURCE BONNES PRATIQUES

‰ Interdire l’accès du bétail aux aires d’entreposage du fumier, aux liquides de ruissellement, aux pâturages boueux et à l’eau de surface.

‰ La ferme doit disposer des autorisations et des permis pertinents pour utiliser les boues d’épuration.

‰ Observer les délais d’attente prescrits après l’épandage de boues d’épuration.

‰ Observer les délais d’attente prescrits après l’épandage de fumier.

‰ Concevoir des aires d’exercice en fonction de la sécurité et de la propreté des animaux.

‰ Détourner l’eau de ruissellement des aires d’exercices.

‰ Veiller à ce que les chemins et l’aire de

chargement soient exempts de fumier lors de la cueillette du lait.

‰ Installer des passages d’animaux appropriés.

‰ Construire et entretenir des voies et des aires de circulation appropriées.

‰ Évaluer le taux de charge et réduire l’intensité de pâturage au besoin.

‰ Épandre le fumier uniformément.

‰ Concevoir les stalles de façon à assurer la sécurité, le confort et la propreté des bêtes.

‰ Utiliser la meilleure base possible pour les stalles.

‰ Utiliser les matériaux recommandés comme litière dans les stalles.

‰ Voir le chapitre 1.

Insectes et vermine ‰ Établir un programme de lutte contre les insectes et la vermine.

‰ Garder les portes extérieures, fenêtres et ouvertures fermées ou munies de moustiquaires afin d’interdire l’accès aux mouches et rongeurs.

‰ S’assurer que les portes extérieures sont bien ajustées et à fermeture automatique.

‰ Munir les drains de plancher d’un siphon pour prévenir les odeurs, les insectes et les rongeurs.

‰ Garder l’extérieur de l’immeuble propre et en bon état et éliminer les points de reproduction

potentielle des parasites.

‰ Voir le chapitre 1.

RISQUE SOURCE BONNES PRATIQUES

‰ Entreposer et manipuler les aliments dont l’emploi est interdit chez les ruminants et les aliments pour animaux de compagnie de façon à ne pas risquer de les distribuer au bétail et de ne pas contaminer les aliments destinés au bétail.

‰ Veiller à ce que le bétail n’ait pas accès ni ne reçoivent d’aliments pour animaux de compagnie ou des aliments dont l’emploi est interdit chez les ruminants.

‰ Entreposer et manipuler les aliments pour animaux de compagnie et les aliments dont l’emploi est interdit chez les ruminants séparément des aliments destinés aux ruminants.

‰ Appliquer un programme de biosécurité à l’approvisionnement d’aliments.

‰ Veiller à ce que les lieux, l’équipement et les méthodes d’affouragement réduisent le risque de contamination par le fumier.

‰ Observer le délai d’attente approprié avant le pâturage ou la récolte de fourrage traité aux boues d’épuration ou fumier.

‰ Lutter contre la vermine.

‰ Voir les chapitres 1 et 2.

Maladie transmissible (par les humains)

• Mains sales, vêtements souillés

‰ Avoir une hygiène personnelle adéquate.

‰ Porter des gants jetables.

‰ Voir le chapitre 5.

Colostrum • Vaches/génisses ayant

vêlé récemment

‰ Ne pas introduire dans le réservoir à lait le lait provenant d’animaux qui ont mis bas durant les 15 jours précédant et les 3 jours suivant le vêlage.

‰ Voir le chapitre 5.

RISQUE SOURCE BONNES PRATIQUES

‰ Identifier tout le bétail conformément au

programme d’Identification nationale des bovins laitiers ou Agri-Traçabilité Québec.

‰ Identifier tout le bétail (par ex., étiquettes d’oreille) de façon à pouvoir tenir à jour les dossiers de traitement.

‰ Acheter des animaux exempts de résidus d’une source fiable.

‰ Entreposer et manipuler les médicaments pour le bétail de façon à ne pas contaminer le lait, la viande ou les rations.

‰ Entreposer les traitements et aiguilles utilisés pour le bétail dans des conditions propres et sanitaires, conformément aux directives données sur les étiquettes.

‰ Entreposer les médicaments et les produits chimiques destinés aux vaches taries, ceux qui sont destinés aux vaches en lactation et les produits qui ne sont pas destinés au bétail laitier dans des armoires, des tablettes ou des sections séparées (s’ils sont rangés sur la même

tablette).

‰ N’utiliser que des médicaments pour le bétail (y compris les bains de pieds médicamentés) approuvés pour l’emploi chez les bovins laitiers.

‰ Utiliser les médicaments et les pesticides pour le bétail conformément au mode d’emploi sur l’étiquette ou aux directives écrites d’un vétérinaire, ou utiliser les produits figurant à l’Article 5 de la Liste des substances permises pour la production d’animaux d’élevage (CAN/CGSB-32.311-2006) dans les conditions indiquées.

‰ Créer une liste ou un registre de tous les médicaments et les produits chimiques utilisés dans le bétail précisant le nom des produits et leur lieu d’entreposage.

‰ Marquer toutes les vaches du troupeau laitier ayant reçu un traitement imposant une période de retrait du lait (par ex., à l’aide d’un ruban à la patte).

‰ Tenir un registre écrit permanent des traitements administrés au bétail.

‰ Disposer d’une procédure normalisée sur le traitement des animaux.

RISQUE SOURCE BONNES PRATIQUES

‰ Disposer d’un plan de mesures correctives à mettre en œuvre si un animal est traité de façon incorrecte.

‰ Voir le chapitre 4.

• Aliments médicamentés et/ou additifs alimentaires

‰ Si des aliments médicamentés sont distribuées, disposer d’une procédure normalisée sur la méthode à suivre pour la distribution de aliments médicamentés.

‰ Si des aliments médicamentés sont reçus, identifier les bacs utilisés pour leur entreposage.

‰ Pour l’entreposage et l’administration d’aliments médicamentés, observer les bonnes pratiques applicables aux médicaments, y compris les périodes de retrait recommandées pour le lait.

‰ Veiller à ce que le fournisseur détienne une licence en bonne et due forme pour les aliments médicamenteux sur la ferme (réglementation en instance).

‰ Veiller à ce que les fabricants / fournisseurs d’aliments utilisent un programme de type HACCP.

‰ Empêcher la contamination croisée des aliments.

‰ Étiqueter clairement les contenants d’aliments

‰ Conserver des échantillons des arrivages d’aliments et d’ingrédients pour les rations.

‰ Voir les chapitres 2, 3 et 4.

‰ Disposer d’une procédure régissant la traite de vaches traitées ou produisant du lait anormal.

‰ Disposer d’une PN régissant l’expédition d’animaux.

‰ Respecter les délais d’attente recommandés pour les médicaments, pesticides et aliments médicamenteux utilisés.

‰ Lorsqu’un animal vêle ou avorte, vérifier la période de retrait dans les dossiers de traitement.

‰ Tester le lait de vaches nouvellement arrivées dans le troupeau avant d’expédier leur lait ou obtenir une attestation du vendeur.

‰ Disposer d’un plan écrit sur la façon d’intervenir si du lait traité se retrouve dans le réservoir à lait.

‰ Disposer d’un plan écrit indiquant comment intervenir s’il arrive qu’un animal présentant des résidus de médicaments ou de produits

chimiques soit expédié.

‰ Traire les vaches traitées en dernier ou avec de l’équipement différent.

RISQUE SOURCE BONNES PRATIQUES

‰ Afficher au babillard l’information portant sur les traitements afin de s’assurer que les préposés à la traite sachent quelles vaches ont été traitées.

‰ Appliquer un programme destiné à réduire au minimum les risques de contamination du réservoir à lait avec du lait provenant de vaches traitées (par ex., les traire en dernier).

‰ Voir les chapitres 3, 4, 8, 10, et 11.

Pesticides • Pâturages ou cultures traités

• Laiterie et étables

• Semences traitées

• Système anti-retour dans les tuyaux utilisés pour

‰ N’utiliser que des pesticides homologués

respectivement pour l’emploi dans les pâturages, les fourrages, la laiterie et l’étable.

‰ Suivre le mode d’emploi figurant sur l’étiquette des pesticides et observer les mises en garde relatives aux «intervalles pré-pâturage» et aux

«jours d’attente avant la récolte».

‰ Utiliser un système anti-retour sur les tuyaux branchés au système d’approvisionnement en eau de la laiterie et de l’étable.

‰ Détenir un certificat à jour de l’utilisation des pesticides dans les régions où la loi l’exige.

‰ Conserver un registre des pesticides utilisés sur la ferme.

‰ Installer l’aire de manutention des pesticides à un endroit convenable.

‰ Communiquer efficacement avec les membres de la famille et du personnel au sujet des risques de résidus.

‰ Éviter la contamination croisée des aliments destinés aux animaux.

‰ Faire des épreuves de laboratoire en cas de contamination présumée.

‰ Entreposer et utiliser les pesticides en lieu sûr, dans les contenants d’origine, de façon à ne pas contaminer l’eau.

‰ Disposer d’un plan écrit sur la façon d’intervenir en cas de contamination de l’eau par les pesticides.

‰ Entreposer les pesticides et les semences traitées en lieu sûr dans les contenants d’origine, à l’écart du bétail, des aliments destinés au bétail et de l’équipement de traite.

‰ Entreposer les semences traitées séparément

RISQUE SOURCE BONNES PRATIQUES des ingrédients servant à l’alimentation du bétail.

‰ Voir le chapitre 1.

Déversement ou fuite ‰ Appliquer les procédures pertinentes de nettoyage du déversement.

‰ Disposer d’un plan de dépannage écrit sur la façon d’intervenir en cas de contamination des sources d’eau.

‰ Tester l’eau et vérifier la source de contamination présumée.

‰ Endiguer et nettoyer le déversement.

‰ Améliorer les installations d’entreposage.

‰ Inspecter et réparer la gaine du puits.

‰ Forer un nouveau puits.

‰ Voir le chapitre 7.

Engrais • Déversement d’engrais

en vrac

• Contamination

• Erreurs de préparation

‰ Entreposer les engrais en lieu sûr dans les contenants d’origine, à l’écart du bétail, des aliments destinés au bétail et de l’équipement de traite.

‰ Nettoyer tout déversement.

‰ N’appliquer qu’aux doses recommandées.

‰ Calibrer convenablement l’équipement d’application.

‰ Voir le chapitre 1.

Produits de

conservation du bois

• Bois traité ‰ Ne pas utiliser de bois traité dans la fabrication des mangeoires, de la base des stalles ni de la plate-forme des logettes.

‰ Éviter tout contact entre les aliments destinés au bétail et le bois traité.

‰ Ne pas utiliser de litière composée de matériaux traités.

‰ Voir le chapitre 1.

RISQUE SOURCE BONNES PRATIQUES Contamination du lait

par des résidus chimiques

Solutions de nettoyage

Pesticides (par ex., insecticides et rodenticides)

• Sur-utilisation de produits de nettoyage

Drainage incomplète de l’équipement de traite

Interrupteur de sécurité défectueux

‰ Utiliser des produits approuvés selon la fiche de nettoyage de la laiterie.

‰ Installer un interrupteur de sécurité ou un système à sécurité intégrée ou vérifier le fonctionnement de l’interrupteur existant.

‰ Faire inspecter le système de lavage chaque année.

‰ Entreposer les produits chimiques de façon à ne pas contaminer le lait ou la viande.

‰ Ranger ces produits dans des contenants clairement identifiés et étiquetés.

‰ Utiliser la laiterie exclusivement pour le refroidissement et le stockage du lait ainsi que pour le nettoyage, la stérilisation et le rangement du matériel et de l’équipement utilisé pour la production et la manutention du lait.

‰ Disposer d’un plan écrit indiquant comment intervenir si l’eau de pré-rinçage ou de lavage contamine le lait.

‰ Avant la traite, inspecter l’équipement pour s’assurer que toute l’eau a été drainée.

‰ Vérifier le lactoduc afin de déceler toute contre-pente et corriger au besoin.

‰ Disposer d’un plan écrit indiquant comment intervenir si le lait est contaminé.

‰ Voir le chapitre 7.

‰ Bien nettoyer et assécher les trayons.

‰ Utiliser un produit homologué pour désinfecter les trayons et se conformer aux directives de l’étiquette.

‰ Se conformer aux directives de l’étiquette pour préparer la solution de lavage des trayons.

‰ Voir le chapitre 5.

Mercure Manomètre à mercure ‰ Remplacer par un manomètre adéquat.

‰ Voir le chapitre 7.

RISQUE SOURCE BONNES PRATIQUES

PHYSIQUE

Contamination du lait par des corps étrangers

Laiterie

Verre brisé

Huile et saleté provenant de compresseurs, de pompes à vide, etc.

‰ Couvrir les luminaires situés à proximité du trou d’accès du réservoir à lait ou s’assurer que les ampoules sont recouvertes d’un enduit protecteur.

‰ Utiliser et entretenir l’équipement de façon à réduire l’accumulation d’huile et de saletés et, dans la mesure du possible, installer dans une autre pièce.

‰ Voir le chapitre 7.

Aiguilles brisées dans la viande

(PC 3)

• Injection intramusculaire et sous-cutanée de médicaments pour le bétail

‰ Consigner l’identité de l’animal et le site de l’aiguille brisée.

‰ Faire retirer l’aiguille brisée par un vétérinaire – si ce n’est pas possible, en informer l’usine de transformation ou le prochain acheteur de l’animal.

‰ Disposer d’un plan écrit sur la façon d’intervenir si un animal traité ou un animal ayant une aiguille brisée est vendu sans que le prochain acheteur soit mis au courant de la situation.

‰ Utiliser les outils et techniques recommandés pour faire une injection intramusculaire.

‰ S’assurer que l’animal à traiter est bien immobilisé.

‰ Si l’étiquette le permet, utiliser la voie sous-cutanée pour l’administration des médicaments injectables.

‰ Acheter des animaux exempts d’aiguilles brisées d’une source fiable.

‰ Voir les chapitres 3, 4 et 8.