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etude technique ( suite de la page 52 )

Dans le document BANCS D ' ESSAI R É ALISATIONS (Page 117-124)

L

qu

m

ééediairecontre cetd'un galet presseuraxeparl'inter

-dont lasurfaceest souple. Ce galet estconstituéd'unmoyeu de caoutchouc autour duquel est installé une

couronne

de caoutchouc dûment rectifiée.

La couche magnétique de la bande vientencontactavecle cabestan. La pression est importante, la force d'entraî

-nement élevée obtenue L magnétophone Uher

SG 630 Logic est un appareil évolué,

son

apparitionà Berlin,il y a plus de dix

-

hu

î T

mois constituait l'

un

des év

é

nements mar

-quantsdecette exposition

. La

plus spectaculaire innovation présente sur ce magnéto

-phone, c'est incontestable

-ment la disparition du galet presseur.

Page 176-No1598

moyennant une fortepression permettait d'entraîner la bobine débitrice

sans

pro

-blè

me

.

Le galet presseur possède plusieurs inconvénients, il soumetlespaliersducabestan à

une

contrainte élevé

e

,iltend à tordre

Taxe

de

ce

cabestan, la contrainte infligée à la bandeestrelativement impor

-tante

.

Silegalet presseurreste ENTRAINEMENT

TYPE OMÉGA T r a d i t i o n n e l l e m e n t, fentraînement de la bande d'

un

magn

é

tophone était confi

é

àunsystème àpression (fig. 1A). Lavitesse du magné

-tophone estdéterminée parla vitesse angulaire d'un axe. La bande magnétique est appli

-nous

trouvons

une

sorte de galet de guidage qui joue le rôle derégulateurde vitesse et limite le scintillement dû àdes vibrations longitudinales de la bande. qui sepasse lorsquela bande est tendue, le faisceau lumi

-neux

atteint la cellule et

com

-mande le moteur. Lorsque le galet

sera

versle bas, la pleine tension sera appliquée au moteur dont le couple sera élevé, lorsquele galet

sera

tiré versle haut,l'alimentation du moteur

sera

complètement coupé

e .

Dansle haut de cetensem

-ble de

mesure

detension,une vismécanique sert à

r

églerla tension.

Le

manuelde

r

églage donne desindicationsprécises et simples

sur

la mani

ère

de réglerlerégulateur de tension à partir d

un

dynamomètre.

Le sens

de rotation du moteur récepteur est anti

-horaire,celuidu moteur débi

-teur est horaire(en fait, pour le moteur débiteur,

on

appli

-queélectriquement

un

couple de freinage).

La tensiondifférentielle est suffisamment faible pour que lecabestan entraînela bande

.

En

fait, la bande peut être cabestanetungaletpresseur de caoutchouc. -A droite,systèmeOméga utilisépar Uher,cette fois,labandeestenroulée autour du cabestan, c'estladorsale quiestencontact avec ceder

-nier. La régulation de la tension

delabandeest confiée àdeux transducteursquisontsituées l

’ un

en amont dusystè

me

de têtes,l’autreenaval

.

Cesdeux transducteursserepèrent faci

-lement, ils portent tous deux

un

stroboscope. A premi

ère

vue,ils'agit uniquementd'un axe

comme

un autre. Il n'en estrien.

La photo

2

donne le détail du transducteur de tension de bande.

Le

principe gé

ral utilisé est celui d'un d

é

tecteur de position optique. Laxe (A) portant le galet stroboscopi -que(D)est montésur

une

tige

dacier dont on utilise l

é

lasti

-cité. Lorsque la bande est sontgrands (

en

réalité,lescou

-ches tiennentfort bien mais il est préf

é

rable de lessoigner). Le cabestan est solidaire d’

un

volant dinertie dont le diamètre est très important. Lamasse est répartieàla p

é

ri

-phériedu volant et des trous servent à

son

équilibrage dynamique.

Le volant est entraî

n

é par courroie. Le moteur est du typesans collecteur, une for

-mule utilis

é

e par Uher depuis de nombreuses ann ées.

Moteur à commutation élec

-tronique des inducteurs. Sur le trajet de la bande, longtempsen contact avec le

cabestan,ilsedéforme(ceder

-nier inconvénient est sup

-primépar l’usage de certaines mati

è

res plastiques).

La solution adoptée par Uher est plus complexe (fig. IB).Elle consisteà

enrou

-ler la bande autour duncabes

-tan constituéd'un axedacier entouréduneceinture antidé -rapante faite d

une

matière plastique. Labande

s

'enroule,

dorsalecontrel'axe,autourde cecabestan,entraîn

é

e par un

ergot

mu

par le quatriè

me

moteur de ce magnétophone.

Laphoto lmontrelefonction

-nement de cette section. On voit, en clair, la position de départ de l'axeauxiliaire puis

sa

position finale. Cette pièce décrit

un

arc de cercle.

Nous

avons un système assez complexe entraîné par

un

moteur

.

Ce moteur fait tourner

une

roue qui porte,

outre l'axedemiseenplacede la bande, une série de

cames

commandant le déplacement deplusieurs pièces. Cespièces sont traditionnellement com -mand

ées

par la touchedelec

-ture

.

Ici,lestouches sontélec

-tromagnétiques. Il fallait un système de commande pour cette mécanique, cest le moteur qui a

é

t

é

choisi.

Le

diamètre relativement importantducabestanpermet d'avoir

une

surfacedecontact relativement importante et une courbure faible de la bande. La faible courbureest propiceàla conservation de la bande,plus lerayon estfaible et plusles risques de décolle

-ment de couche et de dorsale

1 7 7

arrêtée à la main, cabestan tournant,beaucoup plus faci

-lement quavec

un

magnéto

-phone à entraînement classi

-que,maisd

è s

que le cabestan tend à tirer la bande,le galet débiteura tendanceà

remon

-ter et à couper l'alimentation du moteur de gauche.

Derriè

re

les fourchettes optiques,

nous

trouvons

une

électronique dont les constan

-tesde temps ont

é

t

é

soigneu

-sement

é

tudi

ées

(

gulation proportionnelle, dériv

é

e et intégrale)pouréviter lespom

-pages qui

se

traduiraient par

une

mauvaise stabilité de vitesse

. Nous vous

faisons grâ

ce

de cetteélectronique,la conception modulaire de l'appareil a entraî

n

é une

« m o d u l a r i s a t i o n » d u sch

é

ma deprincipesi bien que les

é

l

é

ments sont répartis

sur

diversesparties dusché

ma ce

qui

ne

simplifiepas lacompr

é

-hension.

lisés comme

m

émoire,ils

ser

-vent également pour la com

-mande à distance (mise

en

parallèle de contacts du cla

-vier etdela prise de t

é

l

é

com

-mande)

.

Grâce à ce circuit logique, aucune erreur de fonctionne

-ment

n

est possible, l’utilisa

-teur pourra faire

n

importe quelle

erreur

demanipulation,

le seul risque est celui d

un

enregistrement involontaire, la logique ne pourra jamais empêcher les interventions humaines de cegenre.

Le

circuit logique agit

sur

les moteurs,

sur

l’

é

lectroni

-que,

sur

desrelais etaussi des freins. Pour cesderniers,

nous

signalerons quils ne servent que defreinsde parking,ils

ne

bloquent les bobines quà l'arr

ê

t,lefreinage estréalisé à partir des moteurs et les gar

-nitures des freins deviennent inusables !

en pic

c

, nrrn

BC3CB34B BCC9384

" U

B

a

K)k R7/150h

.

7 R 17 4

ih 77

47u/$3V

flRl

2,2k

R3

6.8kU Rii

567 R13

10k

B et

s

R10/1V

C6*

1

22k

JJPS

6' R14 C13100u

-

L25V

>

r :

ï

:

10k

22M/i6V ]k

)0 2

,9 BC3848 BC384 B

10k R1C/l50k

SP R ,8

IL 27

47JJ/5.3V rtR?

22k (U1|R5.84k

IIï °

55.7

Fig. 2.

-

Schéma du préamplificateur microphonique.

PRÉAMPLIFICATEUR MICROPHONIQUE phone uniquement lorsque la

bande est

arr

êté

e

. On peut

ainsi passer directement de l

avance

rapideà la lecture,la lecture

commence

, avec la

mise en place de l’oméga autour du cabestan unique -ment lorsque la bande est compl

è

tement immobilisée.

Les

circuits logiquessont uti

-LOGIQUE

DE COMMANDE

Pour

obtenir une dynami

-que importante d'

un

préampli

-ficateur,il faut quela tension Cette logiqueest baséesur

une s

é

rie de circuits int

é

gr

é

s CMOSassocié

s

àdes compo-sants traditionnels et des cir

-cuitsintégré

s

linéaires. Parmi lesdonnéesquisont prises

en

compte par l’

é

lectronique, nous citeronsla présencede la bande (fourchetteoptoélectro

-nique), lorsquil

n

'y a pas de b a n d e m a g nét i q u e d a n s l'appareil,le d

é

partestimpos

-sible (les comparateurs de traction commanderaient la pleinevitesse).Unefourchette install

ée

àproximitéducabes

-tan d

é

tecte la pré

sence

de la bande.Ontrouve aussiunsys

-tè

me se

servant des feuilles conductrices collé

es

àla limite de la bande magnétique et de l'

amorce

.

Lalogiqueutilise

é

galement l'information venant d'

une

fourchette opto

é

lectronique installéesurl

axede la bobine débitrice. Cette fourchette donne

une

information

sur

la vitesse de rotation,elle auto

-riseletransfertdunordre mis en

m é

moire

sur

le magn

é

to

-P a g e 1 7 8

-

N o 1 5 9 8

Sorties préamplis "Micro"

Point milieu c 81

Rlft/270k

31

O i

Gauche^'

-

Droite

Sortiespréamplis"Radio" RI2270li 0

. s &

R 2Î/1M -tiomètresélémentairesdans cesystème.

» 82417Tl

de sortie puisseatteindre une amplitude importante.Pour

ce faire

,

on

est appel

é

à utiliser des étages amplificateurs ali

-mentés

sous

defortestensions ou à faiblegain.

Un

magnéto

-phonetravaille

avec un vum

è

-tre, un indicateur de niveau.

Ondisposeraàchaqueinstant de lafacultéde savoir si

nous sommes

près ou loin de la saturation

.

Ici,la solution qui aurait consisté à utiliser une forte tension d'alimentationa étérejet

é

e. Par contre

,

le

cons

-tructeura faitappelàun

mon

-tage àgain variable

.

Le

.p r

é

a m p l i f i c a t e u r d'entré

e

a

une

sensibilité éle

-vée

n

écessaire lorsque lon doit fairede la prise de

son à

distance,parcontre,pourde la parole,

cas

àenvisager pour la

alisation d'

u n

montage audiovisuelàbase de diaposi

-tives, le niveau

sonore

sera important. Il fallait donc faire appel à un préamplificateur dontlegain pouvaits’adapter à

une

large plage de r

é

glage.

Deux param

è

tres sont ici à considérer, la garde et le

r

églagedegain.

La

garde,c'est (quitte à réduire le niveau d'enregistrement par le limi

-teur).Lagardese

mesure

sans que lon intervienne sur le potentiomètre de niveau,

on

envoie unsignalà l'entrée du pr

é

amplificateur et

on

l'aug

-m e n t e p r o g r e s s i v e m e n t jusqu'à la saturation,

un

peu

comme

si

on

effectuait une prise de

son sans

toucher

au

potentiom

è

tre et que l'

on

se rapproche du micro.

Nous

a u r i o n s donc un n i v e a u d'entr

ée

du pr

é

amplificateur variable.

Laplage de tension admissi

-bleàl'entréepeutaussi varier par l’interventiondupotentio

-m

ètre de gain. Cette fois,on considè

re

que l'utilisateur du magn

é

tophone estdevantson

NO1598 Page 179

25k

Fig.6. -Schéma deprincipe dupréamplificateur de lecture.

4.7k 25 k

étant constante. Lorsque le curseur est à la borne 8, la

r

ésistance de découplage d'émetteur de T

2

estde 27 52, puisque la r

é

sistance de découplage est faible,

nous avons un

gain élev

é

pour

T

étage

.

Si le

curseur

est en 9,la

sor

-tiedu pr

é

amplificateur estàla masse,latension desortieest nulle, et, d'autrepart , la

r

ésis

-tance demetteur de T2 est, vis

-

à

-

vis des composantes alternativescomposé

es

de R4 en parallèle

sur

10k52, donc nous avons unevaleurélevée, et par suite

un

gain relative

-ment faible

.

On voit également

sur

cette figure la sortie continu desti

-n

é

e à l’alimentation d’un microphone à condensateur ou à électret.

,rant le transfert du signal venant du micro ou de celui venant des entrées radio. Ce dispositif simple est repr

é

-sent

é

figure3.

Nous

avons un double potentiomètreà point milieu.

Les

points milieux sont à la masse

.

Les potentiomètresse comportent

comme

quatre

potentiom

è

tres qui seraient command

és

l'

un

à lasuitede l'autre.Au centre,nous avons une position qui est rep

ér

ée

m

écaniquement par un cran.

Lorsque lecurseur sedéplace d'un côté,

on

ouvre lepassage aux .signaux des préamplis micros, de l'autre côté aux préamplis radio.Simple eteffi

-cacemais interdit le

m

élange.

cuit de limitation sont com

-mandés par une tension prise en amont du limiteur. La figure 4 représente le circuit de commande des indicateurs de modulation.Lestransistors Tl à T4 se chargent de cette besognepourles deux

canaux

.

Les

bases de Tl et T2

re

çoi

-vent deux tensions

. La

pre

-mière vient de la sortie du limiteur par les bornes8 et 4

.

Les

bornes

6

et

5

sont reli

ées

aux sorties des pr

é

amplifica

-teurs d

enregistrement, ils permettent de tenir compte des diverses caractéristiques de préaccentuation utilisé

es

pourles trois vitessesde défi

-lement. Pour les fréquences moyennes, l'indication pro

-viendra du signaldirect alors que pour les fréquences les plus hautes,

ce sera

le signal de sortie des circuits d'enre

-gistrement qui prédominera

.

Le

premiertransistorest

un

amplificateur dont le gain est approximativement de 10. Il estsuivid'

un

d

é

tecteur àdio

-des

-

qui chargent

un

condensa

-teur pr

é

c

é

dant

un é

tageàcol

-lecteur

commun

donc haute imp

é

danced'entr

é

e.Cet

é

tage commande le passage ducou

-rantdanslegalvanomètre

.

Ce magnétophone, il ajuste le

bouton de réglage du gain pourquel'aiguille restesensi

-blement au z

é

ro dB

.

Surcet appareil,

nous avons

la possibilit

é

d'admettre à l'entr

é

e du pr

é

amplificateur

une

tension de 180/iV, cest

-dire

un

rapport de tension

un

peuinf

é

rieur à 1000. Dans cette dynamique dentr

é

e,

nous

tenons compte à la fois de la possibilitéde

r

églage du gain et de la garde.

La gardeest assuréepar la valeur de la tension dalimen

-tation de l'

é

tage alors que le réglage du gain

sera

d

û

à des

é

léments variables du mon

-tage. Lafigure2 représentela configuration de l’étage préamplificateur micro. Il se compose de quatre transis -tors, deux par voie.

Le

pre -mier transistor est monté en

é

metteur

commun avec

résis

-tance d'émetteur découpl

ée

par

un

condensateur, C8 montéen

s

érie

avec

une

r

ésis -tance variable de 10k52(

sans r

éférence). Cette r

é

sistance variableest en fait

un

poten

-tiomètre

.

Nous

avons

là deux résistances variables dont la Variation est inverse, la

somme

des deux r

é

sistances

Page180-No 1598

MICRO/RADIO

Le

limiteur et lindicateur de modulation sontdeux

fonc

-tions qui sont li

é

es l’

une

à l'autre.L'indicateur de modu

-lationestinstallé àlasortiedu limiteur alors que les indica

-teurs demise

en

service du cir

-Le magnétophone Uher SG630 nedisposepas desys

-tème de mélange mais d'un double potentiomètre assu

-n

09/mut

1

-mandedeprojecteur.

schéma permet dobtenir

une

d

é

tectionde

crê

te

. La

monté

e

de laiguille est relativement rapide alors que sa descente est plus lente.

Les diodes D

5

à D8servent àcommander lestransistorsà effet de champ qui limitent lamplitudedes signauxaudio

.

Le limiteur(fig.

5

)utilise le double circuit intégré ICI.

Chaque moitié est utilisé

e

pour l

une

des voies.

Les

amplificateurs opérationnels sont mont

és en

amplificateur à gain

fixe

. La limitation est dueàlapr

ésence

des transis

-torsà effetdechampTl etT

2

quiconstituent

avec

les résis

-tances Rll et RI 3 des att

é

-nuateurs

.

Le

circuitintégré IC2est

un

quadruple amplificateur

. Les

premiers

é

tages sont mont

é s

en amplificateur, ils sont sui

-vis d'

un

d

é

tecteur de cr

ê

teet dun amplificateur à courant continu monté en compara

-teur

.

Le seuil de

ce

compara

-teur est

fixé

par les potentio

-m

ètres R29et R 30.

Les r

ésis

-tances R39 et R 40 limitent lintensité dansles diodesélec

-troluminescentes. Ces diodes indiquent les cr

ê

tes de ten

-sion, lorsquelles sont de courte dur

é

e,le condensateur C18 les met

un

court instant en

m

émoire.

T7 est aussi

un

commutateur, il est employé pour le fonc

-tionnement monophonique de l'appareil

.

T7 met

en

court

-

cir

-cuit les sorties des deux

canaux

. ICI est

un

amplifica

-teur,onnoteralacontre

-

r

é

ac

-tion totaleencourant continu et la contre

-

réaction partielle

en

alternatif.

Ala sortie de ce pr

é

ampli

-ficateur (non représenté ici)

nous

trouvons

un

connecteur quipeut recevoir un circuitde

r

éduction de bruit puis un autre transistor à effet de champ qui coupe les sorties. Cettecoupureestutilis

é

epour jouer le

r

ôle de silencieux au momentdelamiseen service.

Les bruits

é

lectroniques par

-venant delamise soustension des circuits sont ainsi élimi

-n

és.

gréest utilisé,il sagitd’un cir

-cuit intégré multiple, quadru

-ple amplificateur. Le premier

é

lément du circuit intégr

é

est utilisé en pr

é

amplificateur.Le second également

.

Lesecond précèdeundétecteur àdiodes D6 et D7

. Le

troisi

ème é

l

é

-ment est un amplificateur à courant continu et à seuil, il commande un transistor de

«puissance» chargéde faire coller le relais

.

Pour que les impulsions aient

une

énergie suffisantepour que les ordres soient «dig

érés

» par le pro

-jecteur,

un

condensateur pro

-longe la duré

e

de l'impulsion (Cl 4)

.

Le dernier élément (4) est monté

en

oscillateur,c'est lui qui attaque la t

ê

te Dia pour enregistrer les impulsions de commandedu changement de

vue

.

AMPLIFICATEUR DE LECTURE

Le

schémadecetamplifica

-teur est représenté figure 6.

Nous retrouvons les deux voiesgauche et droite.

Les têtes de lecture sont fermé

es sur un

c i r c u i t d’accord pour la vitesse de dé f i l e m e n t (4,

7 5

e t 9,

5 cm /

seconde)

.

Le

m

ê

me

c o m m u t a t e u r m o d i f i e l a contre

- r

éaction. L'amplifica

-teur de t

ê

te de lecture utilise deux transistors couplés

en

continu.Ala sortie de létage, les transistors à effet de champ T5 et T6 servent de commutateurs. Le transistor

CIRCUIT

DIA

f

ILOT REALISATION

Le

circuit pour commande de projecteur est représenté figure7. Un seul circuit int

é

-Le

magnétophoneUher CG

630

logic est construit sur un châssisde

talmoulé luipro

-NO1598

-

Page181

sants sont trèsproches lesuns des autres,cequiexclutcette possibilit

é

. Les notices de dépannage de ces appareils comportent des dessins per

-mettant de repérerla position dechaque composant,

une

fois un transistorrepé

r

é,il ne res

-tera plus quà mesurer la valeur destensions etderep

é

-rerainsi lescomposantsd

é

fec

-tueux.

Pour r

ésumer

cettefabrica -tion,

nous avons

trouv

é

un produitconforme à une tradi

-tion de qualité habituelle à Uher

.

curant

une

bonne rigidit

é m

écanique. Cette rigidit

é

est augmentée par l

utilisation d'un bo

î

tier de matiè

re

plasti

-que formé de deux moiti

és

semboîtant parfaitement.

Sur le plan

m

écanique, la formuledumécanisme defor

-mation de la boucle d'entraî

-nement permet de simplifier les tringleries de miseenplace de la bande.

Les

freinssontcommandés parélectroaimants,la solution est simple et fiable.

Sur le plan électronique,

nous avons

une réalisation modulaire.Uncircuit imprimé

re installé dans le bas de l'appareil reçoit une

s

érie de modules amplificateurs et autre

.

Dautres circuits sont installés

sur

le châssis de

tal.

Nous

mentionnerons également les deux capteurs de tension de bande dont la

alisation est originale.

Les

câblessont rep

é

rés par des couleursquifaciliteront le repérage

.

Par contre, nous

n

avons

pas trouvéde repères sur les composants des cir

-cuits imprimés. Ces compo

-Page182-No 1598

dansles magnétophones. Il

ne

reste plus grand chose à

«électroniser». Latechnique modulaire étaitici indispensa

-ble, elle a été utilis

é

e. Un

-ble, elle a été utilis

é

e. Un

Dans le document BANCS D ' ESSAI R É ALISATIONS (Page 117-124)