L
qum
ééediairecontre cetd'un galet presseuraxeparl'inter-dont lasurfaceest souple. Ce galet estconstituéd'unmoyeu de caoutchouc autour duquel est installé une
couronne
de caoutchouc dûment rectifiée.La couche magnétique de la bande vientencontactavecle cabestan. La pression est importante, la force d'entraî
-nement élevée obtenue L magnétophone Uher
SG 630 Logic est un appareil évolué,
son
apparitionà Berlin,il y a plus de dix
-
huî T
mois constituait l'un
des évé
nements mar-quantsdecette exposition
. La
plus spectaculaire innovation présente sur ce magnéto
-phone, c'est incontestable
-ment la disparition du galet presseur.
Page 176-No1598
moyennant une fortepression permettait d'entraîner la bobine débitrice
sans
pro-blè
me
.Le galet presseur possède plusieurs inconvénients, il soumetlespaliersducabestan à
une
contrainte élevée
,iltend à tordreTaxe
dece
cabestan, la contrainte infligée à la bandeestrelativement impor-tante
.
Silegalet presseurreste ENTRAINEMENTTYPE OMÉGA T r a d i t i o n n e l l e m e n t, fentraînement de la bande d'
un
magné
tophone était confié
àunsystème àpression (fig. 1A). Lavitesse du magné-tophone estdéterminée parla vitesse angulaire d'un axe. La bande magnétique est appli
-nous
trouvonsune
sorte de galet de guidage qui joue le rôle derégulateurde vitesse et limite le scintillement dû àdes vibrations longitudinales de la bande. qui sepasse lorsquela bande est tendue, le faisceau lumi-neux
atteint la cellule etcom
-mande le moteur. Lorsque le galet
sera
versle bas, la pleine tension sera appliquée au moteur dont le couple sera élevé, lorsquele galetsera
tiré versle haut,l'alimentation du moteursera
complètement coupée .
Dansle haut de cetensem
-ble de
mesure
detension,une vismécanique sert àr
églerla tension.Le
manuelder
églage donne desindicationsprécises et simplessur
la manière
de réglerlerégulateur de tension à partir d’un
dynamomètre.Le sens
de rotation du moteur récepteur est anti-horaire,celuidu moteur débi
-teur est horaire(en fait, pour le moteur débiteur,
on
appli-queélectriquement
un
couple de freinage).La tensiondifférentielle est suffisamment faible pour que lecabestan entraînela bande
.
En
fait, la bande peut être cabestanetungaletpresseur de caoutchouc. -A droite,systèmeOméga utilisépar Uher,cette fois,labandeestenroulée autour du cabestan, c'estladorsale quiestencontact avec ceder-nier. La régulation de la tension
delabandeest confiée àdeux transducteursquisontsituées l
’ un
en amont dusystème
de têtes,l’autreenaval.
Cesdeux transducteursserepèrent faci-lement, ils portent tous deux
un
stroboscope. A première
vue,ils'agit uniquementd'un axecomme
un autre. Il n'en estrien.La photo
2
donne le détail du transducteur de tension de bande.Le
principe géné
ral utilisé est celui d'un dé
tecteur de position optique. L’axe (A) portant le galet stroboscopi -que(D)est montésurune
tigedacier dont on utilise l’
é
lasti-cité. Lorsque la bande est sontgrands (
en
réalité,lescou-ches tiennentfort bien mais il est préf
é
rable de lessoigner). Le cabestan est solidaire d’un
volant d’inertie dont le diamètre est très important. Lamasse est répartieàla pé
ri-phériedu volant et des trous servent à
son
équilibrage dynamique.Le volant est entraî
n
é par courroie. Le moteur est du typesans collecteur, une for-mule utilis
é
e par Uher depuis de nombreuses ann ées.Moteur à commutation élec
-tronique des inducteurs. Sur le trajet de la bande, longtempsen contact avec le
cabestan,ilsedéforme(ceder
-nier inconvénient est sup
-primépar l’usage de certaines mati
è
res plastiques).La solution adoptée par Uher est plus complexe (fig. IB).Elle consisteà
enrou
-ler la bande autour d’uncabes
-tan constituéd'un axed’acier entouréd’uneceinture antidé -rapante faite d’
une
matière plastique. Labandes
'enroule,dorsalecontrel'axe,autourde cecabestan,entraîn
é
e par unergot
mu
par le quatrième
moteur de ce magnétophone.
Laphoto lmontrelefonction
-nement de cette section. On voit, en clair, la position de départ de l'axeauxiliaire puis
sa
position finale. Cette pièce décritun
arc de cercle.Nous
avons un système assez complexe entraîné parun
moteur.
Ce moteur fait tournerune
roue qui porte,outre l'axedemiseenplacede la bande, une série de
cames
commandant le déplacement deplusieurs pièces. Cespièces sont traditionnellement com -mandées
par la touchedelec-ture
.
Ici,lestouches sontélec-tromagnétiques. Il fallait un système de commande pour cette mécanique, c’est le moteur qui a
é
té
choisi.Le
diamètre relativement importantducabestanpermet d'avoirune
surfacedecontact relativement importante et une courbure faible de la bande. La faible courbureest propiceàla conservation de la bande,plus lerayon estfaible et plusles risques de décolle-ment de couche et de dorsale
1 7 7
arrêtée à la main, cabestan tournant,beaucoup plus faci
-lement qu’avec
un
magnéto-phone à entraînement classi
-que,maisd
è s
que le cabestan tend à tirer la bande,le galet débiteura tendanceàremon
-ter et à couper l'alimentation du moteur de gauche.
Derriè
re
les fourchettes optiques,nous
trouvonsune
électronique dont les constan-tesde temps ont
é
té
soigneu-sement
é
tudiées
(ré
gulation proportionnelle, dérivé
e et intégrale)pouréviter lespom-pages qui
se
traduiraient parune
mauvaise stabilité de vitesse. Nous vous
faisons grâce
de cetteélectronique,la conception modulaire de l'appareil a entraîn
é une« m o d u l a r i s a t i o n » d u sch
é
ma deprincipesi bien que lesé
lé
ments sont répartissur
diversesparties duschéma ce
quine
simplifiepas lacompré
-hension.
lisés comme
m
émoire,ilsser
-vent également pour la com
-mande à distance (mise
en
parallèle de contacts du cla-vier etdela prise de t
é
lé
com-mande)
.
Grâce à ce circuit logique, aucune erreur de fonctionne
-ment
n
’est possible, l’utilisa-teur pourra faire
n
’importe quelleerreur
demanipulation,le seul risque est celui d’
un
enregistrement involontaire, la logique ne pourra jamais empêcher les interventions humaines de cegenre.Le
circuit logique agitsur
les moteurs,sur
l’é
lectroni-que,
sur
desrelais etaussi des freins. Pour cesderniers,nous
signalerons qu’ils ne servent que defreinsde parking,ilsne
bloquent les bobines qu’à l'arr
ê
t,lefreinage estréalisé à partir des moteurs et les gar-nitures des freins deviennent inusables !
en pic
c
, nrrn
BC3CB34B BCC9384" U
Ba
K)k R7/150h
.
7 R 17 4ih 77
47u/$3V
flRl
2,2kR3
6.8kU Rii
567 R13
10k
B et
s
R10/1VC6*
1
22kJJPS
6' R14 C13100u
-
L25V>
r :
ï:
10k22M/i6V ]k
)0 2
,9 BC3848 BC384 B
10k R1C/l50k
SP R ,8
IL 27
47JJ/5.3V rtR?
22k (U1|R5.84k
IIï °
55.7Fig. 2.
-
Schéma du préamplificateur microphonique.PRÉAMPLIFICATEUR MICROPHONIQUE phone uniquement lorsque la
bande est
arr
êtée
. On peutainsi passer directement de l’
avance
rapideà la lecture,la lecturecommence
, avec lamise en place de l’oméga autour du cabestan unique -ment lorsque la bande est compl
è
tement immobilisée.Les
circuits logiquessont uti-LOGIQUE
DE COMMANDE
Pour
obtenir une dynami-que importante d'
un
préampli-ficateur,il faut quela tension Cette logiqueest baséesur
une s
é
rie de circuits inté
gré
s CMOSassociés
àdes compo-sants traditionnels et des cir-cuitsintégré
s
linéaires. Parmi lesdonnéesquisont prisesen
compte par l’
é
lectronique, nous citeronsla présencede la bande (fourchetteoptoélectro-nique), lorsqu’il
n
'y a pas de b a n d e m a g nét i q u e d a n s l'appareil,le dé
partestimpos-sible (les comparateurs de traction commanderaient la pleinevitesse).Unefourchette install
ée
àproximitéducabes-tan d
é
tecte la présence
de la bande.Ontrouve aussiunsys-tè
me se
servant des feuilles conductrices collées
àla limite de la bande magnétique et de l'amorce
.Lalogiqueutilise
é
galement l'information venant d'une
fourchette optoé
lectronique installéesurl’
axede la bobine débitrice. Cette fourchette donneune
informationsur
la vitesse de rotation,elle auto-riseletransfertd’unordre mis en
m é
moiresur
le magné
to-P a g e 1 7 8
-
N o 1 5 9 8Sorties préamplis "Micro"
Point milieu c 81
Rlft/270k
31
O i
Gauche^'
-
DroiteSortiespréamplis"Radio" RI2270li 0
. s &
R 2Î/1M -tiomètresélémentairesdans cesystème.
» 82417Tl
de sortie puisseatteindre une amplitude importante.Pour
ce faire
,on
est appelé
à utiliser des étages amplificateurs ali-mentés
sous
defortestensions ou à faiblegain.Un
magnéto-phonetravaille
avec un vum
è-tre, un indicateur de niveau.
Ondisposeraàchaqueinstant de lafacultéde savoir si
nous sommes
près ou loin de la saturation.
Ici,la solution qui aurait consisté à utiliser une forte tension d'alimentationa étérejeté
e. Par contre,
lecons
-tructeura faitappelàun
mon
-tage àgain variable
.
Le
.p ré
a m p l i f i c a t e u r d'entrée
aune
sensibilité éle-vée
n
écessaire lorsque l’on doit fairede la prise deson à
distance,parcontre,pourde la parole,cas
àenvisager pour laré
alisation d'u n
montage audiovisuelàbase de diaposi-tives, le niveau
sonore
sera important. Il fallait donc faire appel à un préamplificateur dontlegain pouvaits’adapter àune
large plage de ré
glage.Deux param
è
tres sont ici à considérer, la garde et ler
églagedegain.La
garde,c'est (quitte à réduire le niveau d'enregistrement par le limi-teur).Lagardese
mesure
sans que l’on intervienne sur le potentiomètre de niveau,on
envoie unsignalà l'entrée du pré
amplificateur eton
l'aug-m e n t e p r o g r e s s i v e m e n t jusqu'à la saturation,
un
peucomme
sion
effectuait une prise deson sans
toucherau
potentiomè
tre et que l'on
se rapproche du micro.Nous
a u r i o n s donc un n i v e a u d'entrée
du pré
amplificateur variable.Laplage de tension admissi
-bleàl'entréepeutaussi varier par l’interventiondupotentio
-m
ètre de gain. Cette fois,on considère
que l'utilisateur du magné
tophone estdevantsonNO1598 Page 179
25k
Fig.6. -Schéma deprincipe dupréamplificateur de lecture.
4.7k 25 k
étant constante. Lorsque le curseur est à la borne 8, la
r
ésistance de découplage d'émetteur de T2
estde 27 52, puisque la ré
sistance de découplage est faible,nous avons un
gain élevé
pourT
étage.
Si le
curseur
est en 9,lasor
-tiedu pr
é
amplificateur estàla masse,latension desortieest nulle, et, d'autrepart , lar
ésis-tance demetteur de T2 est, vis
-
à-
vis des composantes alternativescomposées
de R4 en parallèlesur
10k52, donc nous avons unevaleurélevée, et par suiteun
gain relative-ment faible
.
On voit également
sur
cette figure la sortie continu desti-n
é
e à l’alimentation d’un microphone à condensateur ou à électret.,rant le transfert du signal venant du micro ou de celui venant des entrées radio. Ce dispositif simple est repr
é
-sent
é
figure3.Nous
avons un double potentiomètreà point milieu.Les
points milieux sont à la masse.
Les potentiomètresse comportentcomme
quatrepotentiom
è
tres qui seraient commandés
l'un
à lasuitede l'autre.Au centre,nous avons une position qui est repér
éem
écaniquement par un cran.Lorsque lecurseur sedéplace d'un côté,
on
ouvre lepassage aux .signaux des préamplis micros, de l'autre côté aux préamplis radio.Simple eteffi-cacemais interdit le
m
élange.cuit de limitation sont com
-mandés par une tension prise en amont du limiteur. La figure 4 représente le circuit de commande des indicateurs de modulation.Lestransistors Tl à T4 se chargent de cette besognepourles deux
canaux
.Les
bases de Tl et T2re
çoi-vent deux tensions
. La
pre-mière vient de la sortie du limiteur par les bornes8 et 4
.
Les
bornes6
et5
sont reliées
aux sorties des pré
amplifica-teurs d
’
enregistrement, ils permettent de tenir compte des diverses caractéristiques de préaccentuation utilisées
pourles trois vitessesde défi
-lement. Pour les fréquences moyennes, l'indication pro
-viendra du signaldirect alors que pour les fréquences les plus hautes,
ce sera
le signal de sortie des circuits d'enre-gistrement qui prédominera
.
Le
premiertransistorestun
amplificateur dont le gain est approximativement de 10. Il estsuivid'un
dé
tecteur àdio-des
-
qui chargentun
condensa-teur pr
é
cé
dantun é
tageàcol-lecteur
commun
donc haute impé
danced'entré
e.Ceté
tage commande le passage ducou-rantdanslegalvanomètre
.
Ce magnétophone, il ajuste lebouton de réglage du gain pourquel'aiguille restesensi
-blement au z
é
ro dB.
Surcet appareil,
nous avons
la possibilité
d'admettre à l'entré
e du pré
amplificateurune
tension de 180/iV, c’est-à-dire
un
rapport de tensionun
peuinfé
rieur à 1000. Dans cette dynamique d’entré
e,nous
tenons compte à la fois de la possibilitéder
églage du gain et de la garde.La gardeest assuréepar la valeur de la tension d’alimen
-tation de l'
é
tage alors que le réglage du gainsera
dû
à desé
léments variables du mon-tage. Lafigure2 représentela configuration de l’étage préamplificateur micro. Il se compose de quatre transis -tors, deux par voie.
Le
pre -mier transistor est monté ené
metteurcommun avec
résis-tance d'émetteur découpl
ée
parun
condensateur, C8 montéens
érieavec
uner
ésis -tance variable de 10k52(sans r
éférence). Cette ré
sistance variableest en faitun
poten-tiomètre
.
Nousavons
là deux résistances variables dont la Variation est inverse, lasomme
des deux ré
sistancesPage180-No 1598
MICRO/RADIO
Le
limiteur et l’indicateur de modulation sontdeuxfonc
-tions qui sont li
é
es l’une
à l'autre.L'indicateur de modu-lationestinstallé àlasortiedu limiteur alors que les indica
-teurs demise
en
service du cir-Le magnétophone Uher SG630 nedisposepas desys
-tème de mélange mais d'un double potentiomètre assu
-n
09/mut1
-mandedeprojecteur.
schéma permet d’obtenir
une
dé
tectiondecrê
te. La
montée
de l’aiguille est relativement rapide alors que sa descente est plus lente.
Les diodes D
5
à D8servent àcommander lestransistorsà effet de champ qui limitent l’amplitudedes signauxaudio.
Le limiteur(fig.
5
)utilise le double circuit intégré ICI.Chaque moitié est utilisé
e
pour l’
une
des voies.Les
amplificateurs opérationnels sont montés en
amplificateur à gainfixe
. La limitation est dueàlaprésence
des transis-torsà effetdechampTl etT
2
quiconstituent
avec
les résis-tances Rll et RI 3 des att
é
-nuateurs
.
Le
circuitintégré IC2estun
quadruple amplificateur
. Les
premiers
é
tages sont monté s
en amplificateur, ils sont sui-vis d'
un
dé
tecteur de crê
teet d’un amplificateur à courant continu monté en compara-teur
.
Le seuil dece
compara-teur est
fixé
par les potentio-m
ètres R29et R 30.Les r
ésis-tances R39 et R 40 limitent l’intensité dansles diodesélec
-troluminescentes. Ces diodes indiquent les cr
ê
tes de ten-sion, lorsqu’elles sont de courte dur
é
e,le condensateur C18 les metun
court instant enm
émoire.T7 est aussi
un
commutateur, il est employé pour le fonc-tionnement monophonique de l'appareil
.
T7 meten
court-
cir-cuit les sorties des deux
canaux
. ICI estun
amplifica-teur,onnoteralacontre
-
ré
ac-tion totaleencourant continu et la contre
-
réaction partielleen
alternatif.Ala sortie de ce pr
é
ampli-ficateur (non représenté ici)
nous
trouvonsun
connecteur quipeut recevoir un circuitder
éduction de bruit puis un autre transistor à effet de champ qui coupe les sorties. Cettecoupureestutilisé
epour jouer ler
ôle de silencieux au momentdelamiseen service.Les bruits
é
lectroniques par-venant delamise soustension des circuits sont ainsi élimi
-n
és.gréest utilisé,il s’agitd’un cir
-cuit intégré multiple, quadru
-ple amplificateur. Le premier
é
lément du circuit intégré
est utilisé en pré
amplificateur.Le second également.
Lesecond précèdeundétecteur àdiodes D6 et D7. Le
troisième é
lé
-ment est un amplificateur à courant continu et à seuil, il commande un transistor de
«puissance» chargéde faire coller le relais
.
Pour que les impulsions aientune
énergie suffisantepour que les ordres soient «digérés
» par le pro-jecteur,
un
condensateur pro-longe la duré
e
de l'impulsion (Cl 4).
Le dernier élément (4) est monté
en
oscillateur,c'est lui qui attaque la tê
te Dia pour enregistrer les impulsions de commandedu changement devue
.AMPLIFICATEUR DE LECTURE
Le
schémadecetamplifica-teur est représenté figure 6.
Nous retrouvons les deux voiesgauche et droite.
Les têtes de lecture sont fermé
es sur un
c i r c u i t d’accord pour la vitesse de dé f i l e m e n t (4,7 5
e t 9,5 cm /
seconde).
Lem
ême
c o m m u t a t e u r m o d i f i e l a contre- r
éaction. L'amplifica-teur de t
ê
te de lecture utilise deux transistors couplésen
continu.Ala sortie de l’étage, les transistors à effet de champ T5 et T6 servent de commutateurs. Le transistorCIRCUIT
DIA
f
ILOT REALISATIONLe
circuit pour commande de projecteur est représenté figure7. Un seul circuit inté
-Le
magnétophoneUher CG630
logic est construit sur un châssisdemé
talmoulé luipro-NO1598
-
Page181sants sont trèsproches lesuns des autres,cequiexclutcette possibilit
é
. Les notices de dépannage de ces appareils comportent des dessins per-mettant de repérerla position dechaque composant,
une
fois un transistorrepér
é,il ne res-tera plus qu’à mesurer la valeur destensions etderep
é
-rerainsi lescomposantsd
é
fec-tueux.
Pour r
ésumer
cettefabrica -tion,nous avons
trouvé
un produitconforme à une tradi-tion de qualité habituelle à Uher
.
curant
une
bonne rigidité m
écanique. Cette rigidité
est augmentée par l’
utilisation d'un boî
tier de matière
plasti-que formé de deux moiti
és
s’emboîtant parfaitement.Sur le plan
m
écanique, la formuledumécanisme defor-mation de la boucle d'entraî
-nement permet de simplifier les tringleries de miseenplace de la bande.
Les
freinssontcommandés parélectroaimants,la solution est simple et fiable.Sur le plan électronique,
nous avons
une réalisation modulaire.Uncircuit imprimémè
re installé dans le bas de l'appareil reçoit unes
érie de modules amplificateurs et autre.
D’autres circuits sont installéssur
le châssis demé
tal.Nous
mentionnerons également les deux capteurs de tension de bande dont laré
alisation est originale.Les
câblessont repé
rés par des couleursquifaciliteront le repérage.
Par contre, nousn
’avons
pas trouvéde repères sur les composants des cir-cuits imprimés. Ces compo
-Page182-No 1598
dansles magnétophones. Il
ne
reste plus grand chose à«électroniser». Latechnique modulaire étaitici indispensa
-ble, elle a été utilis
é
e. Un-ble, elle a été utilis