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TROISIÈME PARTIE : MÉTHODOLOGIE

IV. Enregistrement des données

L'enregistrement des données acquises lors de l'étude des collections muséales ou à partir de la bibliographie sont rassemblées dans une base de données. Une base de données se définit comme un outil servant à lier une variété d'informations de nature diverses et à les organiser de façon à en faciliter la consultation. Les bases de données ont très tôt été employées par les archéologues pour ordonner et classer de grandes séries de données, l'avènement de l'informatique dans la recherche ne faisant qu'intensifier son usage329. Dans le cadre de notre travail, l'emploi d'un tel outil est indispensable pour trier la masse d'information à notre disposition puis d'en simplifier l'accès et d'en favoriser l'exploitation. Cette base de données doit répondre à notre objectif tel qu'il est circonscrit par notre problématique, à savoir :

• Lister la totalité du mobilier de parure et permettre l'attribution d'un type et d'une datation.

• Renseigner sur l'origine de chaque objet en l'associant à un contexte (structure, US, sépulture, dépôts, etc.). Ce contexte doit lui-même être rattaché à un site.

• Lier tous les objets issus d'un même contexte pour faire émerger des ensembles chronologiquement, géographiquement et culturellement cohérents.

• Mettre l'accent sur les ensembles funéraires dans la mesure où c'est à partir d'eux que reposera principalement l'analyse chronologique et culturelle en raison de leurs caractéristiques instantanées et intentionnelles.

• Autoriser une hiérarchisation des ensembles selon leur degré de fiabilité.

Ainsi, la conception de notre base de données a été présidée par des choix qu'il nous faut rapidement évoquer.

IV.1. En préambule

Ce travail n'a pas vocation à proposer un enregistrement exhaustif de la documentation disponible mais de faire émerger des données liées à nos questionnements. Ainsi, les informations rapportées dans la base ne sont pas toutes traitées sur la même échelle de valeur selon leur pertinence avec le sujet d'étude. Certaines n'ont qu'une valeur de contextualisation générale alors que d'autres renvoient à des cas précis. Cette hiérarchisation du matériel documentaire réellement disponible aura une incidence sur la conception de la structure de la base de données. À ces prérequis de sélection et d'ordonnancement des informations, vient

113 s'ajouter celui de la clarté d'utilisation afin de faciliter la navigation à l'intérieur de la base. Pour sa conception, nous avons utilisé le logiciel File Maker Pro 11. Par son interface simple et complète, cet outil permet de créer aisément une base de données comprenant une multitude de rubriques. De plus, par un jeu de liens, il autorise la mise en place de relations ou de ponts entre différents fichiers appelés "tables", et évite l'emploi de fiches d'enregistrement "flottantes". Ainsi, il est possible de concevoir plusieurs tables dont chacune d'elles comprend plusieurs fiches d'enregistrement. Les liens permettent d'associer des fiches spécifiques entre plusieurs tables par le biais de rubriques partagées par deux tables330. Cette logique de tables liées permet d'approcher la structuration de l'information archéologique à plusieurs niveaux : un site a révélé des structures dont chacune contenait des objets. La conception de la base de données s'articule donc suivant ce même schéma de raisonnement hiérarchisé : une table "site", une table "ensemble" (synonyme d'assemblage cohérent) et deux tables "objet" (pour séparer le mobilier de parure du reste) (fig. 22)331. La définition et les rubriques que comportent les tables créées nécessitent une rapide présentation.

Figure 22 : Arborescence des tables de notre base de données.

IV.2. Table "site"

Le terme de site recouvre l'ensemble le plus large dans lequel un objet a été mis au jour et documenté. Le degré d'informations connues n'influe pas sur la création d'une fiche "site". Chaque information, même minime, rapportant la mise au jour d'un objet de parure a entrainé l'ouverture d'une fiche "site". Il peut s'agir d'une mention ancienne et vague à propos de la découverte d'un objet à tel endroit, tout autant que d'une fouille pluriannuelle bien documentée.

330 Les liens entre les tables se fait le plus souvent grâce à un numéro d'attribution de chaque fiche. Par exemple, la fiche d'enregistrement 42 de la "table" 1 peut être liée uniquement avec la fiche d'enregistrement 54 de la "table" 2.

331 En réalité, cette base de données comporte également une table "Commune". Il n'est pas nécessaire de revenir sur cette table dans la mesure où elle ne constitue pas l'ossature principale de notre outil. Elle comprend uniquement des données géographiques de la totalité des communes de France et d'Espagne. Cette table sert à l'alimentation automatisée de la table "site" lors de la sélection de la commune dans un panneau déroulant.

114 Sa création est liée à une zone géographique déterminée pourvue d'indices d'occupation cohérents et non à un moment d'excavation des vestiges. Ainsi, la reprise d'une fouille sur un site archéologique déjà connu et documenté ne donne pas lieu à un nouvel enregistrement mais vient compléter celui déjà existant.

Visuellement, la fiche site est construite selon trois bandeaux situés à gauche, au centre et à droite (fig. 23).

Figure 23 : Table "site" issue de la base de données.

La partie gauche donne les renseignements jugés primordiaux pour tout site archéologique. En haut se trouve le numéro du site tel qu'il doit apparaître dans le catalogue et les cartes des répartitions. L'ordre de la numérotation suit un raisonnement logique afin d'en faciliter la lecture332. En dessous est reporté le nom du site. Ce dernier est calqué sur celui usuellement utilisé dans la bibliographie ; le plus fréquemment, il est formé à partir du nom de commune et du lieu-dit. Toutefois, il arrive que ces informations manquent, souvent dans les mentions anciennes, et que seul le nom de la commune serve comme dénomination de site. Dans la partie inférieure sont rassemblées les informations géographiques (pays, région, département ou province, commune, lieu-dit, code commune et coordonnées)333. En dehors du lieu-dit qui est rempli manuellement, les autres rubriques sont liées aux données de la table

332 La numérotation débute par les sites espagnols puis les sites français. Viennent ensuite les provinces espagnoles par ordre alphabétique et les départements français par ordre de code INSEE. À L'intérieur de cette sous-catégorie, les sites sont triés par ordre alphabétique suivant leur nom.

333 Notre étude portant sur une vaste zone à cheval sur deux pays, nous avons décidé d'utiliser les coordonnées du système de projection ED50/UTM zone 31N (EPSG 23031).

115 "commune" et sont alimentées automatiquement lors de la saisie de la commune. Nous n'avons pas ajouté de données géolocalisées plus précises, comme la parcelle, dans la mesure où une analyse à l'échelle de la commune ou du lieu-dit répond amplement aux interrogations posées par notre problématique. Ensuite, viennent les informations sur le site à proprement parler. Le ou les inventeurs de la découverte ou responsables de la fouille et l'année ou l'intervalle de temps durant laquelle l'intervention archéologique a eu lieu. La rubrique suivante est réservée à la catégorisation du contexte de découverte. Il peut s'agir d'une découverte ou d'un ramassage fortuit réalisés à l'issue de travaux, de fouilles programmées, de fouilles préventives ou de sondages et des prospections. Un site peut cumuler plusieurs de ces catégories. Ainsi, si du mobilier a été mis au jour lors de sondages puis également lors de la fouille qui a suivie, alors on fera figurer les deux informations. Enfin, nous avons placé une limite arbitraire à 1950 séparant les fouilles dites anciennes de celles jugées plus modernes. Cette distinction a été mise en place pour rassembler rapidement les données ayant les plus grandes chances d'être les mieux documentées et ayant profité de méthodes de fouille de meilleure qualité. En dessous, sont rapportées les informations liées à l'identification du type de site. Ici, nous avons fait en sorte que chaque site puisse être rattaché à une typologie large, évitant le plus possible les particularismes. Les sites à vocation funéraire rassemblent les nécropoles tumulaires, les nécropoles à "tombes plates" et les nécropoles en grotte. Dans d'autres cas, il arrive qu'une seule sépulture ait été mise au jour sans préjuger de son appartenance à un ensemble de sépultures formant une nécropole plus vaste et qui demeure inconnue pour le moment. Afin d'éviter toute spéculation pouvant conduire à une interprétation erronée, on mentionnera simplement qu'il s'agit d'un tumulus ou d'une sépulture isolée. Concernant les habitats, nous avons produit une distinction entre les habitats de plaine ou de faible altitude et les habitats de hauteur afin de vérifier si, au terme de l'analyse, des différences sont observables quant aux catégories de parures qu'ils renferment. Enfin, quelques catégories moins répandues ont été ajoutées au fil des enregistrement. Il s'agit des dépôts rituels, des occupations en grotte indéterminées, des fosses et des enclos fossoyés. Pour finir, la dernière rubrique renseigne sur le lieu de conservation du mobilier lorsque ce dernier est connu. Lorsque nous n'avons pas retrouvé un objet au cours de nos visites dans les musées alors que les données bibliographiques et d'anciens inventaires nous indiquaient sa présence, nous avons mentionné qu'il avait disparu.

La partie centrale propose un résumé sous forme de notice des conditions de découverte et des structures pertinentes rencontrées. Ces notices viennent compléter les informations listées dans les rubriques du bandeau de gauche. Elles permettent de mettre en valeur les données principales mais aussi de rendre compte des problèmes d'identification pouvant exister. En dessous, sont rassemblés les références bibliographiques. Il s'agit ici de lister les ouvrages

116 essentiels et les plus complets sur la découverte et dont la lecture permet une compréhension intégrale du site concerné. Les publications proposant une simple mention du site ou n'apportant aucune plus-value en termes de "données brutes" (description, inventaire des structures et du mobilier) ne sont pas rapportées dans cette rubrique.

Pour finir, la partie de droite propose une liste des ensembles rattachés à ce site. Cette rubrique est dépendante des informations enregistrées dans la table "ensemble". Ici, est restitué un condensé des informations de chaque ensemble comprenant son nom, sa datation, sa fiabilité et le numéro de planche. Cette liste permet de rapidement accéder aux données liées et facilite la compréhension d'un site. Enfin, plus bas, se trouvent des boutons permettant de circuler entre les enregistrements liés au site et d'atteindre les ensembles, les parures et le mobilier d'accompagnement du site.

IV.3. Table "ensemble"

Le terme "ensemble" regroupe tout ce que la documentation archéologique reconnait comme contexte plus précis que celui de site. Il peut s'agit d'un dépôt, d'une unité stratigraphique (US), d'une sépulture ou de toute autre structure cohérente. La création d'un enregistrement dans cette table est sujette à condition. Pour cela, il faut disposer d'un minimum d'informations, dont notamment un dénombrement suffisamment détaillé des objets de parures découverts. Ainsi, pour quelques mentions du XIXe s., il arrive que les auteurs ne proposent qu'une description partielle du mobilier ne permettant pas d'en connaître le nombre ou le type. Si ces mentions ne sont pas accompagnées d'illustration, elles ne peuvent pas générer de fiche "ensemble". Toutefois, elles demeurent enregistrées dans la table "site". Pour tous les autres remplissant ces conditions, il est nécessaire d'ouvrir une fiche. Dans la pratique, sa création est indispensable si l'on veut ouvrir un enregistrement dans l'étape suivante puisque la fiche ensemble fait le pont entre la table "site" et la table "objet". Ainsi, à chaque fois qu'un site possède suffisamment d'informations autorisant le dénombrement des parures qu'il a livré, il faut alors ouvrir une fiche "ensemble". La fiabilité du contexte archéologique dont sont issus les objets n'entre pas en compte dans la création d'un enregistrement sur cette table. Un lot de mobilier entreposé dans un musée et ne pouvant être rattaché à une structure archéologique véritable peut tout à fait être rassemblé sous l'identification "indéterminé" dans la mesure où les objets existent et sont reconnaissables.

La table "ensemble" est structurée en deux bandeaux, le premier à gauche et le second au centre (fig. 24).

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Figure 24 : Table "ensemble" issue de la base de données.

En haut de la partie gauche se trouve le numéro de l'ensemble, son nom d'après celui utilisé dans la documentation et le site auquel il appartient. À cette contextualisation vient s'ajouter une échelle de fiabilité selon trois degrés334 :

1) Désigne les ensembles incertains et dont la provenance des objets qui le composent ne possède pas de bases archéologiques solides et cohérentes. Il peut s'agir d'un lot de mobilier déposé dans un musée dépourvu d'origine exacte, d'objets découverts en prospection ou de pièces mises au jour dans les déblais d'une fouille. Les ensembles de fiabilité 1 ne renvoient pas à une structure archéologique réelle. Le lien qui unit les parures qui y sont rattachées est considéré comme fortuit et aucune analyse chronologique ne peut être effectuée sur ces ensembles.

2) Renvoie aux assemblages partiellement fiables en raison de l'état de conservation de la structure ou des méthodes de fouille. Une sépulture correctement fouillée et documentée mais partiellement arasée par des labours est un bon exemple d'un ensemble de fiabilité 2 : les pièces qui sont associées à cette sépulture ont un lien archéologique mais l'arasement de la sépulture ne permet pas d'assurer que l'assemblage était complet. Bien que partiels, ces ensembles sont néanmoins porteurs d'informations chronologiques. 3) Il s'agit des ensembles considérés comme complets. Ils peuvent soutenir une analyse

chronologique mais également servir à l'étude des panoplies.

334 Les degrés de fiabilité des ensembles suivent ceux proposés par A. Beylier dans sa thèse sur l'armement de Méditerranée nord-occidentale afin de faciliter par la suite les comparaisons entre les ensembles de son catalogue et de ceux issus de notre zone d'étude : Beylier 2012, 257.

118 Ce système hiérarchique permet de ventiler les ensembles en fonction de la caution que l'on peut accorder à la documentation disponible. Il est un fait que tous les contextes archéologiques ne se valent pas selon la méthode de découverte et leur état de conservation. Partant de là, il nous faut obligatoirement un outil permettant de les ordonnancer pour déterminer quels sont les ensembles sur lesquels peut s'appuyer une analyse chronologique et ceux pour lesquels une étude crédible des panoplies est possible. L'important dans cette démarche est que l'attribution du degré de fiabilité soit systématique et suive une même logique préétablie en amont afin de rendre l'exercice cohérent.

À la suite de l'indice de fiabilité apparaissent plusieurs rubriques apportant des détails relatifs uniquement aux ensembles funéraires. Tout d'abord, une série de cases à cocher détermine si l'assemblage funéraire est attribuable à un seul défunt ou à plusieurs. Cette donnée sera capitale lorsque s'agira d'étudier les liens entre les catégories fonctionnelles d'objet au sein d'une tombe. La rubrique suivante rapporte le diamètre du tumulus dont est issue la sépulture lorsque ce rite funéraire a été employé. Cette donnée est rapportée pour, à terme, vérifier l'existence d'un lien entre les mensurations du tertre et le type ou le nombre de parures qu'il renfermait. Ce type d'analyse a déjà été proposée pour les tumulus ayant livré du mobilier d'armement de la zone méditerranéenne335. Il serait intéressant de mesurer si un tel rapport existe également pour le mobilier de parure. Viennent ensuite des informations rituelles et anthropologiques sur la sépulture : sépulture à incinération ou inhumation, identification du sexe et de l'âge du ou des défunts lorsqu'une analyse ostéologique a été menée. Enfin, les deux dernières rubriques sont réservées à la datation de l'ensemble telle qu'elle sera établie par l'étude chronologique et au numéro de planche sur lequel le mobilier est représenté.

La partie centrale de la table "ensemble" propose un résumé sous forme de listes des objets enregistrés dans les tables "parures" et "mobilier d'accompagnement" liés à cet ensemble. Sous la liste du mobilier d'accompagnement, un récapitulatif du nombre d'objets par catégorie déposés dans une tombe propose un premier degré d'analyse336. À l'aide d'un script, cette rubrique rend compte automatiquement du nombre total de parures présentes dans l'ensemble. Ce calcul automatisé permet également de mesurer le nombre de pièces appartenant à la panoplie d'un individu hors parures (épées, couteaux, lances, etc.), mais aussi le total de

335 Beylier 2012, 211-215.

336 Nous remercions Mme. Nathalie Prévôt du pôle Humanités numériques du laboratoire Ausonius pour son aide précieuse aboutissant à la création de ce script.

119 mobilier d'accompagnement associé à un rite d'offrande funéraire337. À la fin, ce script produit un total des catégories fonctionnelles liées à la panoplie, c’est-à-dire un total du nombre de parures et du nombre de mobiliers hors parures composant la panoplie du défunt. Il est évident que ces totaux n'ont de valeur seulement pour les ensembles de fiabilité maximale pour les raisons que nous avons déjà évoquées. Pour finir, des boutons sont disposés à droite de la table afin d'accéder aux enregistrements liés à cet ensemble des autres tables.

IV.4. Table "parure"

La création d'un enregistrement dans la table "parure" est le but premier présidant à la conception de cette base de données. De cette table a découlé la nécessité d'ouvrir préalablement des fiches dans les tables "site" et "ensemble" afin de mettre en place une suite d'associations de contextes cohérente. Chaque pièce de parure a fait l'objet d'un enregistrement unitaire dans la table "parure". Comme la table précédente, celle-ci est structurée selon des panneaux à gauche et plusieurs rubriques dans une partie centrale (fig. 25).

Figure 25 : Table "parure" issue de la base de données.

En haut à gauche, se trouve une partie dédiée à l'identification de l'objet. La première rubrique, remplie automatiquement à chaque nouvel enregistrement, attribue un numéro d'inventaire à chaque objet. Ce numéro est celui qui figure ensuite dans le catalogue et sur les planches de mobilier. La seconde rubrique désigne sa catégorie alors que les deux autres situées en dessous concernent le type et la chronologie du type tels qu'ils sont définis par l'étude

337 Sont associés au mobilier d'offrande les vases et leurs dérivés (gobelets, coupes, plats) ainsi que les simpulum, les clous ou les restes fauniques. Il s'agit des objets qu'un individus ne porte pas. A contrario, tous les éléments d'armement ou d'outillage sont compris comme du mobilier pouvant attester de la panoplie du défunt, ou tout du moins, dont on suppose qu'ils lui aient appartenu et qu'il en avait l'usage exclusif.

120 chronologique. À gauche, une rubrique renseigne sur le nombre d'éléments qui compose cette parure. En effet, si nous avons évoqué le fait qu'une fiche correspond à un objet de parure, cette assertion n'est qu'en partie vraie. Notre démarche a été d'inventorier, autant que possible, les objets de parure en termes de catégories fonctionnelles. Suivant ce raisonnement, si une fibule compte pour une fiche, un lot de cent perles n'a pas entrainé la création de cent fiches mais d'une seule pour laquelle le nombre d'éléments est porté à cent. Ce choix s'explique simplement par le fait qu'une perle faisait partie d'un ensemble, comme un collier. Ainsi, c'est la totalité des perles qui compte pour une catégorie fonctionnelle. Ce raisonnement s'applique par la suite à différents cas :

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