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Dans l’ensemble, les résultats trouvés ne confirment pas nos attentes. En effet, seule la modulation affective diffère chez les participants répressifs par rapport aux non-répressifs après la récupération des souvenirs. Il n’y a pas d’effet significativement différent sur les autres dimensions analysées.

À présent, nous allons discuter des résultats obtenus grâce aux analyses statistiques pour chaque hypothèse en tentant d’interpréter les données au regard des différentes études et théories sur le style de coping répressif.

Tout d’abord, notre première hypothèse est confirmée. En effet, les affects négatifs des participants répressifs varient moins que les affects négatifs des participants non-répressifs

suite à la récupération des souvenirs définissant le soi. Ces résultats vont dans le sens de l’étude de Boden et Dale (2001) qui indique une humeur plus positive après le visionnement d’un film désagréable comparé aux participants non-répressifs. Nous pouvons supposer l’utilisation de stratégies de régulation émotionnelle automatiques qui modulent le ressenti émotionnel et chasse les affects négatifs de la conscience. Ces données supportent la mise en place de stratégie de protection face aux menaces pertinentes pour le self qui seraient saillantes lors de la récupération de souvenir négatif. Il se peut que certains souvenirs fassent référence à des événements qui mettent « en danger » le self de l’individu et, par conséquent, les individus répressifs utiliseraient des stratégies pour minimiser leur ressenti émotionnel négatif provoqué par la récupération des souvenirs. En effet, il est possible que le rappel de certains souvenirs définissant le soi induise de vives émotions négatives qui seraient alors considérées comme menaçantes pour l’équilibre psychologique. Il en résulterait un contrôle émotionnel de la part de l’individu afin d’éviter de ressentir ces émotions négatives.

Nous pouvons aussi émettre la possibilité que les individus répressifs rapportent moins de souvenirs définissant le soi négatifs d’intensité émotionnelle élevée ou alors que ceux-ci vivent les événements de manière plus neutre afin d’éviter la portée affective de ceux-ci. Pour évaluer cette hypothèse, il faudrait mesurer l’intensité affective du souvenir au moment de sa récupération et au moment du vécu de l’événement. En effet, le PANAS est une mesure de l’humeur du participant qui n’est pas la mesure directe de l’évaluation affective du souvenir.

Il s’agit de l’humeur du participant et non de l’intensité émotionnelle du souvenir. Il se peut que les participants répressifs rapportent des événements qui ne sont pas intenses sur le plan émotionnel ou alors qu’ils les aient vécu de manière moins intense sur le plan affectif. Cette explication rejoint le courant de pensée de Hansen et Hansen (1988) qui postulent que les individus répressifs n’encodent pas les événements dans leur globalité affective d’où les problèmes de rappel concernant leurs souvenirs affectifs.

Dans leur étude, Blagov et Singer (2004) ne trouvent pas d’effet du style répressif sur les affects liés aux souvenirs définissant le soi. Leurs participants devaient écrire 10 souvenirs définissant le soi, puis dans un deuxième temps, évaluer leur intensité émotionnelle, leur importance et leur vivacité. Cette mesure se faisait après avoir écrit les 10 souvenirs, il se peut donc que les auteurs n’aient pas trouvé d’effet sur les affects, les participants répressifs ayant eu le temps (entre l’écriture et l’évaluation émotionnelle) de réguler leur ressenti affectif. De plus, leurs individus devaient rappeler 10 souvenirs définissant le soi ce qui représente un

nombre important et peut être vécu différemment selon les participants. En effet, il est probable que certains participants trouvent l’exercice difficile et ne se donnent pas forcément la peine de rappeler des souvenirs importants ou qui sont conformes aux consignes. La fatigue peut alors parasiter les résultats.

De plus, Blagov et Singer (2004) trouvent un lien positif entre la non-spécificité des souvenirs et le style répressif, ces résultats ne sont pas mis en évidence dans notre étude. Il se peut donc que le fait de rappeler des souvenirs non-spécifiques provoque moins d’activation émotionnelle due à l’évitement des détails et images liés à l’événement rappelé. Blagov et Singer (2004) supportent l’idée que les participants avec un style répressif auraient plus tendance à intellectualiser leur souvenir afin de garder à distance les affects qu’il pourrait susciter. Cette dimension de souvenirs non-spécifiques pourrait expliquer les différences que l’on observe entre leur étude et la nôtre concernant la modulation affective. En effet, dans l’étude de Blagov et Singer (2004), la structure non-spécifique des souvenirs des participants répressifs les protègerait contre le ressenti émotionnel. Nos analyses ne montrent pas de différences concernant la structure des souvenirs chez les répressifs versus non-répressifs. Les souvenirs des individus répressifs étant majoritairement spécifiques, cette dimension pourrait donc entraîner une plus grande modulation affective. Toutefois, celle-ci reste moins importante que dans les autres groupes.

De plus, il se peut que les participants répressifs rappellent moins de souvenirs définissant le soi négatifs. Toutefois, l’analyse du lien entre les souvenirs et la dimension de tension, montre qu’il n’y a pas de différence entre les groupes. Les répressifs rapportent autant de souvenirs avec tension que les non-répressifs. Nos analyses ont montré que la tension était en lien avec une augmentation des affects négatifs. Ces résultats indiquent plus la mise en œuvre de stratégies de régulation émotionnelle. Par ailleurs, il se peut que les répressifs évaluent leurs affects comme plus positifs qu’ils ne les ressentent réellement.

Nos analyses complémentaires mettent en évidence un lien faible mais positif entre la modulation affective négative et l’échelle d’anxiété. En effet, les participants présentant des scores élevés sur l’échelle d’anxiété montrent plus de variation d’affects négatifs suite à la récupération des souvenirs. Les participants anxieux seraient donc plus enclins à ressentir des affects négatifs suite au rappel de souvenirs définissant le soi. Il est probable que ces personnes rappellent des souvenirs ayant trait à des préoccupations anxiogènes qui constituent

les thèmes principaux de leurs souvenirs identitaires. Il est ainsi possible que leurs souvenirs définissant le soi fassent appel à des émotions négatives de manière plus marquée que le reste de la population. Toutefois, aucune analyses liées au contenu ne rapportent des résultats significatifs, il n’y a donc pas un type particulier d’événement qui est spécialement rapporté par cette population. Il est possible aussi que la situation provoque des affects négatifs en raison de la tâche à effectuer ou du contexte expérimental qui peut mettre certains individus sous pression ou mals à l’aise.

Notre deuxième hypothèse n’est pas confirmée par les analyses statistiques. Nous supposions que les souvenirs définissant le soi suscitant une augmentation des affects négatifs, dateraient de périodes plus récentes chez les répressifs par rapport aux non-répressifs. Nos résultats indiquent que les souvenirs des participants répressifs tendent à provenir de périodes plus anciennes que ceux des non-répressifs. Ces observations s’appliquent aussi bien pour les souvenirs définissant le soi suscitant des affects négatifs que pour ceux suscitant des affects positifs. Nos analyses montrent que l’ « âge » de leur souvenir est plus élevé de manière générale. Toutefois, ce lien n’est pas statistiquement significatif.

Ces résultats semblent surprenants au regard de la littérature (Davis, 1987 ; Myers et Brewin, 1994) qui montre que les répressifs ont des difficultés de rappel d’événements négatifs datant de l’enfance. Cependant, ces données renvoient aux souvenirs autobiographiques qui ne sont pas forcément des souvenirs définissant le soi. En effet, dans le cas des répressifs, il est possible que ce type de souvenir lié à l’identité de la personne soit d’autant plus facilement rappelés s’ils sont négatifs de part l’influence qu’ils ont sur la construction identitaire et les croyances de l’individu. Ces événements pourraient avoir façonné le style de coping des individus répressifs à travers les émotions suscitées. En effet, cette stratégie de coping se construit au travers d’expériences passées aversives. Une étude de Zacharie et al. (2004) indique que le style de coping répressif peut se développer suite à un diagnostic de cancer et, par la suite, être utilisé plusieurs mois après l’annonce du diagnostic. Cette stratégie est donc modulable tout au long de la vie et peut survenir suite à un traumatisme.

Ainsi, les individus répressifs pourraient avoir vécu des événements traumatiques durant leur enfance qui auraient participé à la construction et à l’utilisation de cette stratégie de coping. Il est possible qu’il ne s’agisse pas forcément de traumatismes qui surviennent une fois dans le temps, mais plus de mauvais traitements sur le long terme comme des abus sexuels ou de la

maltraitance (Bonanno, Noll, Putnam, O’Neill & Trickett, 2003). Les souvenirs définissant le soi peuvent donc faire ressurgir des préoccupations et des conflits à l’âge adulte qui influencent les buts à atteindre de l’individu. Une des préoccupations des répressifs serait de ne pas se laisser emparer par des sentiments négatifs qu’ils seraient incapables de gérer. En réponse aux événements négatifs, les répressifs tenteraient de contrôler leur ressenti affectif en mettant en place une stratégie de protection contre l’anxiété provoquée. Ainsi, ils utiliseraient une réaction défensive face aux émotions négatives ressenties dans le présent, pour les maintenir à distance, afin de ne pas se retrouver dans le même état émotionnel passé.

Par ailleurs, ces résultats ne sont pas contradictoires avec l’étude de Myers et Brewin (1994) qui ont mis en évidence, grâce à un questionnaire semi-structuré, que des participantes avec un style répressif avaient vécu plus d’événements négatifs relationnels que les non-répressifs durant leur enfance. Ces événements autobiographiques sont peut-être moins spontanément rappelés lors d’expérience faisant appel à de souvenirs autobiographiques généraux par rapport des tâches faisant appel à des souvenirs définissant le soi.

De plus, Davis (1987) trouve que les répressifs rapportent autant d’expérience durant lesquelles ils se sont sentis tristes que les non-répressifs. La différence se situe au niveau des souvenirs faisant ressurgir de la gêne ou de la peur. Notre étude ne cote pas la qualité émotionnelle du souvenir en tant que tel. De ce fait, il est probable que les souvenirs définissant le soi modulant les affects négatifs des répressifs se rapportent à des événements suscitant de la tristesse. Cette possibilité pourrait expliquer nos résultats.

Notre troisième hypothèse se réfère à la dimension de contenu en émettant l’hypothèse que les participants répressifs rapportent plus de souvenirs définissant le soi de type loisir par rapport aux participants non-répressifs. Les analyses effectuées ne montrent pas de résultats significatifs. Nous pensions trouver plus de souvenirs définissant le soi liés à cette catégorie qui se réfère à des événements positifs. Grâce à leur stratégie de coping, les individus répressifs ont tendance à se focaliser sur les aspects positifs des événements et a rappelé plus facilement des souvenirs de valence positive (McKinney et Newman, 2002 ; Davis, 1987, Davis & Schwartz, 1987).

Il se peut que notre échantillon de souvenirs ne soit pas assez grand et ne permette pas de mettre en évidence ces résultats. De plus, les catégories de contenus comme les relations et les

réussites n’ont pas été utilisées dans nos analyses et auraient pu apporter des informations quant à la valence des souvenirs rapportés. En effet, ces catégories cotent des souvenirs de valence positive et négative. De ce fait, il est possible que nous ne trouvions pas de résultats allant dans le sens de la littérature, à cause du mélange d’événements positifs et négatifs dans une seule catégorie, faisant ainsi perdre des informations sur la valence des souvenirs définissant le soi. Par ailleurs, les analyses statistiques supplémentaires montrent que les deux groupes avec des scores élevés sur l’échelle de désirabilité sociale, tendent à rapporter plus de souvenirs de type relationnel que les autres groupes.

Par ailleurs, les résultats de l’étude de Blagov et Singer (2004) indiquent que la qualité émotionnelle des souvenirs définissant le soi n’est pas corrélé avec le style répressif. En d’autres termes, les souvenirs définissant le soi des répressifs n’impliquent pas plus d’événements émotionnels positifs au détriment d’événements négatifs. Les auteurs suggèrent plutôt que les répressifs structurent leurs souvenirs rappelés à défaut de choisir leur contenu ou leur valence émotionnelle. Nos résultats concernant la valence des souvenirs définissant le soi vont donc dans le sens de leur étude.

Notre quatrième hypothèse se réfère à la structure des souvenirs définissant le soi. Nous postulons que les répressifs rapportent moins de souvenirs spécifiques que les non-répressifs.

Malheureusement, les analyses statistiques effectuées ne montrent pas de lien entre le style de coping répressif et la structure des souvenirs définissant le soi.

Ces résultats sont contraires à l’étude de Blagov et Singer de 2004, qui indique une corrélation négative entre la dimension de spécificité des souvenirs et le style répressif. Les auteurs ont trouvé plus de souvenirs non-spécifiques de valence positive et négative dans cette population. Leur explication s’inspire des études de Williams (1996, cité par Blagov &

Singer, 2004) et de Singer et Salovey (1993) qui suggèrent que l’évitement des détails ou d’images liés aux événements serait utilisé pour se persévérer du ressenti émotionnel négatif.

Les répressifs structureraient leurs souvenirs afin de ne pas ré-expérimenter des événements anxiogènes qui risqueraient de les déstabiliser. En effet, selon les auteurs, les répressifs mettraient en place un filtre mnésique, dans le but de garder à distance toutes informations qui iraient à l’encontre de l’image qu’ils ont d’eux-mêmes ou qui pourraient provoquer des critiques ou une désapprobation de la part des autres.

Nous n’avons pas trouvé les mêmes résultats dans notre étude. D’une part, il se peut que la taille de l’échantillon de souvenirs fasse la différence et ne permette pas de trouver de résultats significatifs par rapport à l’étude de Blagov et Singer (2004). En effet, leurs analyses portaient sur 1040 souvenirs alors que les nôtres portent sur 246 souvenirs. D’autre part, leur population se situe entre 17 et 22 ans alors que notre population est âgée entre 27 et 43 avec une moyenne d’âge de 35 ans. Il se peut qu’il y ait un effet de l’âge sur la spécificité des souvenirs. En effet, les individus, âgés entre 30 et 40 ans, avec un style répressif seraient capables de rappeler des souvenirs spécifiques sans être submergées par leurs émotions négatives. Ils auraient plus de recul sur ces événements et n’essaieraient pas d’éviter leur rappel. De plus, la moyenne en nombre d’années des souvenirs suscitant des affects négatifs chez les répressifs est de 18 ans (210 mois environ). Il est probable que ces événements vécus il y a longtemps ne provoquent plus d’émotions intenses désagréables. Les individus avec un style répressif ne seraient donc plus « contraints » d’éviter les détails et images liés aux événements spécifiques pour s’en préserver. De plus, il est également possible que les participants avec un style répressif se focalisent sur certains aspects non-émotionnels de l’événement ou encore interprètent l’événement de manière non-émotionnelle (Philippot, 2007).

Toujours concernant la structure, des analyses supplémentaires font état d’un lien positif faible qui est tendanciellement significatif entre cette dimension et l’échelle d’anxiété. En effet, plus les individus présentent des scores élevés sur la STAI plus leurs souvenirs ont tendance à être spécifiques. Il se peut que les participants anxieux se rappellent de leurs souvenirs de manière plus spécifiques, ceux-ci faisant appel à des événements précis qui les ont marqués et ont pu amplifier leur anxiété de manière générale.

Notre cinquième hypothèse sous-entend que la variation des affects des répressifs est plus faible que celle des non-répressifs suite à la récupération des souvenirs définissant le soi. En d’autre termes, les affects des répressifs varient moins suite à la récupération des souvenirs rapport aux non-répressifs. Les résultats confirment notre hypothèse.

Nous pouvons lier ces résultats à ceux de Davis et Schwartz (1987) qui indiquent une variation moins importante de l’évaluation de l’intensité des émotions ressentie au moment du rappel et au momen du vécu de l’événement chez les répressifs. Selon Gillihan et al. (2006), il existe un lien entre la valence des souvenirs rappelés et son influence sur l’humeur des

participants. Il est donc possible que les souvenirs définissant le soi des participants répressifs soient d’intensité affective plus modérée par rapport aux non-répressifs et que cette dimension affective influence leur humeur suite à la récupération des souvenirs.

Une autre explication renvoie aux stratégies émotionnelles qui sont utilisées par les répressifs afin de contrôler leur ressenti affectif. En effet, il est possible que les répressifs ressentent de vives émotions lors de la récupération des souvenirs puis mettent en place diverses stratégies d’évitement émotionnel comme la suppression ou encore la réévaluation cognitive pour se préserver de leurs émotions (Gross & John, 2004). Ces stratégies permettraient alors de moins ressentir d’affects.

Il est également possible que les participants répressifs ne rapportent pas réellement les affects qu’ils ressentent afin de contrôler ce qu’ils désirent montrer aux autres. Cette explication est en lien avec la désirabilité sociale élevée qui consiste à se présenter sous un jour favorable devant ses interlocuteurs. Le fait que l’expérimentateur soit devant la personne durant la passation risque d’influencer le comportement du participant et sa manière de répondre aux questionnaires.

Afin d’analyser les liens entre la désirabilité sociale et l’anxiété avec les dimensions évaluées, nous avons effectué des analyses corrélationnelles entre les scores totaux aux échelles de désirabilité sociale et d’anxiété avec toutes les dimensions. Aucun résultat n’est significatif pour l’échelle de désirabilité sociale ce qui tend à montrer que cette dimension toute seule ne présente pas d’effet sur la modulation affective contrairement au style répressif.

Il y a toutefois, une relation faible négative tendanciellement significative entre la désirabilité sociale et l’intégration. Ce résultat sous-tend que cette dimension entraine moins de souvenirs intégrés. Il se peut la désirabilité sociale ne permette pas réellement à l’individu d’accéder à son insight et entraine celui-ci à se présenter sous un jour favorable, à défaut de rappeler des souvenirs définissant le soi par rapport auxquels il aurait du recul. Le participant serait plus dans l’optique de faire bonne impression sur les expérimentatrices ce qui entraverait sa capacité à retrouver des événements suite auxquels il aurait pu tirer une leçon. Ces événements pouvant faire écho à des souvenirs qui mettent en péril l’image qu’il tente de projeter de lui-même. Ceci pourrait expliquer la relation négative entre l’intégration et l’échelle de désirabilité sociale.

Nos résultats indiquent également que plus les participants sont anxieux plus la récupération de leurs souvenirs définissant le soi entraine une variation importante d’affects. Une possible explication renvoie au fait que ces participants choisissent peut être de rappeler des souvenirs chargés émotionnellement et ne cherchent ou n’arrivent pas à se préserver de leurs affects. Il se peut que ces participants rappellent des souvenirs en lien avec de l’anxiété ou des soucis qui se réfèrent à des thèmes émotionnels prédominants dans leurs souvenirs.

Concernant notre dernière hypothèse, elle n’est pas confirmée. En effet, les participants répressifs ne rapportent pas moins de souvenirs définissant le soi contenant la dimension de tension par rapport aux non-répressifs. Nous avons effectué une analyse statistique qui met en

Concernant notre dernière hypothèse, elle n’est pas confirmée. En effet, les participants répressifs ne rapportent pas moins de souvenirs définissant le soi contenant la dimension de tension par rapport aux non-répressifs. Nous avons effectué une analyse statistique qui met en

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