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Conclusion

Dans le document THESE UNIVERSITE PIERRE ET MARIE CURIE (Page 87-98)

C. Place du médecin généraliste dans la réalisation de l’autotest salivaire

VII. Conclusion

La commercialisation de l’autotest salivaire a été approuvée par la Ministre de la Santé

après l’avis favorable du CNS afin d’élargir l’accès au dépistage.

Notre étude a montré que l’intérêt des personnes porté à l’autotest salivaire était important (58,5%), surtout chez les personnes jeunes et célibataires. Parmi les personnes

jamais dépistées pour le VIH, 56% envisageaient de réaliser un autotest salivaire. De plus, 71% des personnes envisageaient de le proposer à leur partenaire.

Cet intérêt marqué pour l’autotest salivaire devrait donc conduire à une augmentation

du nombre de personnes dépistées. Cependant, le prix pourrait être un frein à ce dépistage.

Alors que celui-ci est annoncé à une vingtaine d’euros, seulement 70% des personnes

seraient prêtes à payer pour un test et parmi celles-ci seules 26% seraient prêtes à payer

plus de 15 euros. D’autre part, les bénéfices de l’élargissement du dépistage pourraient être

limités par les inconvénients potentiels de l’autotest salivaire utilisé seul. Dans cette étude,

78% ne connaissaient pas le délai nécessaire après un rapport à risque pour réaliser

l’autotest salivaire afin que le résultat soit fiable.

Alors que le but de l’autotest salivaire est de réaliser seul un test de dépistage,

seulement 40% des personnes envisageant de réaliser ce test le ferait à domicile. La majorité

des personnes envisageant la réalisation d’un autotest salivaire, soit 71%, souhaitait qu’il

soit encadré, dont 30% des cas par le médecin généraliste, devenant alors un TROD.

Devant ces résultats, le médecin généraliste se révèle être un acteur primordial afin

d’apporter une information adaptée aux patients, permettant de limiter les conduites à

risque. De plus, son intervention dans la réalisation de l’autotest salivaire pourrait être

envisagée afin d’en augmenter la performance. Cette technique semble facile à mettre en

place sous réserve d’une formation au counselling des médecins généralistes intéressés et

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dépistage du VIH encadré. La réalisation d’études complémentaires auprès des médecins généralistes en France semble nécessaire afin d’obtenir leur opinion.

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Annexes

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Annexe 2 : Questionnaire de l’étude

Questionnaire patient

Cette enquête est réalisée dans le cadre d’une thèse de doctorat en médecine. Ce questionnaire est ANONYME

1. Quel est votre âge ?

18-25

26-39

40-49

>50

2. Quel est votre sexe ?

Homme

Femme

3. Quelle est votre profession ?

Retraité

Employé, ouvrier

Profession libérale, artisan, commerçant

Cadre

Etudiant

Sans emploi actuellement 4. Quelle est votre situation familiale ?

Célibataire

Vivant maritalement

Veuf

Divorcé

5. Quelle est votre sexualité ?

Hétérosexuel

Homosexuel

Bisexuel

Pas de sexualité

6. Quel est votre pays de naissance ?

Europe

Afrique sub-saharienne

Maghreb

Asie

Amérique

Caraïbes

Autre 7. Si vous n’êtes pas né en France,

depuis combien d’années êtes-vous en France ?

Moins d’un an

Entre 1 et 5 ans

Plus de 5 ans

8. Quel est votre régime de sécurité

sociale ?

Aucun

Régime général

CMUc

AME

Régime libéral

Autre

9. Avez-vous une mutuelle ?

Oui

Non

10. Avez-vous un médecin généraliste ?

Oui

Non 11. Si oui, depuis combien temps le

connaissez-vous ?

Moins de 5 ans

Entre 5 et 10 ans

Entre

10 et 20 ans

Plus de 20 ans 12. Quand a eu lieu votre dernière visite chez

votre médecin généraliste ?

Moins d’un mois

Entre 1 mois et 6 mois

Entre 6 mois et 1 an

Plus d’un an 13. Fréquence des visites chez votre médecin

généraliste ?

Plus de 5 fois par an

Entre 2 et 5 fois par

an

Moins d’une fois par an 14. Votre médecin généraliste vous a-t-il déjà

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15. Avez-vous déjà fait un test de dépistage

du VIH ?

Oui

Non

16. Si oui, où l’avez-vous fait ?

CDAG= centre de dépistage anonyme et gratuit

Chez le médecin généraliste

A l’hôpital

En laboratoire

Autre médecin

17. Connaissez-vous le test de dépistage du VIH sur prélèvement de salive, réalisable seul à domicile, donnant le résultat en 20-30 min ?

Oui

Non 18. Envisageriez-vous de réaliser ce type de

test ?

Oui

Non

19. Si oui, où pensez-vous le faire ?

Au domicile

Chez votre médecin généraliste

A l’hôpital

Dans un laboratoire 20. Dans quel contexte ce type de test serait

utile pour vous?

Pour se rassurer

Avant un rapport sexuel avec un nouveau partenaire

Avant de décider d’arrêter de mettre le préservatif avec son partenaire régulier

Suite à un rapport à risque

Autre 21. Selon vous, quand faut-il faire le test

après une prise de risque pour être sûr du résultat ?

48H

2 semaines

6 semaines

3 mois

6 mois 22. Pensez-vous proposer ce test à votre

partenaire ?

Oui

Non

23. Seriez-vous prêt à payer pour faire un test

de dépistage pour le VIH ?

Oui

Non

24. Si oui, jusqu’à quel prix

accepteriez-vous ?

Moins de 5 euros

Entre 5 et 10 euros

Entre 10 et 15 euros

Entre 15 et 20 euros Merci de votre participation

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